- 21 mars 2015, 11:58
#1750466
C'est un rebeu, il bande comme un âne, même s'il est normalement gaulé.
Il la prend, il a envie d'elle. Le cul de PCS lui est monté au cerveau et est redescendu dans ses couilles, bien pleines, vous verrez...
Elle est à lui, je lui est offerte. Il a compris qu'il avait une salope au bout de sa queue.
Il en profite. Il la ramone à sa guise comme il aime. Elle ne lui dira rien. Elle n'a pas le choix. Elle est juste là pour se faire baiser et jouir de ce membre qui coulisse dans son vagin.
Elle est à lui, parce que son maître lui a ordonné.
Il est doué, très doué. Elle a de la chance. Car, ces hommes ne sont pas des libertins. Ils ne sont pas venus pour la faire jouir, mais pour jouir. Mais lui, aime l'entendre gémir. Alors, il fait durer le plaisir, et la lime comme il faut pour la faire crier.
PCS est en extase. Pas seulement, parce que cet inconnu est bon amant, mais aussi parce que sa posture, yeux bandés, cul offert, collier, laisse, tenue de pute, l'ont réduit à être un trou, un trou dédié au plaisir des mâles. Elle est là, pour faire jouir les hommes, et elle adore ça.
D'autres hommes arrivent. Ils ne viennent pas pour la baiser. Ils passent juste regarder le spectacle, la mise en scène que j'ai élaborée. Ils s'astiquent, et certains jouissent rapidement, devant cette actrice porno, cette soumise au cul offert. Puis, ils repartent.
Ils sont rentrés dans ce club gay, juste pour s'astiquer, et profiter du spectacle.
Son rebeu, le jeune des cités, finit par jouir sur son cul. Le sperme gicle, la pression était trop forte. Il crie ! Qu'elle est bonne ! Il se lâche, en ajoutant "salope"... Il explose sur elle, sur son cul. son sperme dégouline le long de ses fesses pour atteindre les grandes lèvres de sa chatte de Catin.
Je bande moi aussi. Mais, je dois garder le contrôle. Je regarde ce sperme que je m'empresserai, de retour à l'hôtel, de lécher. Ma langue nettoiera, une à une chacune des souillures que ces hommes viennent de déposer sur ma bien-aimée...
PCS est en extase. Elle savoure ce plaisir d'homme, cette chaleur qui vient de se déverser sur son cul, et qui commence à couler délicatement sur son corps. Elle savoure sa soumission, et attend le prochain ordre que je vais lui donner.
Mais ce rebeu a été trop vaillant, trop peut-être. Les autres mâles sont intimidés ! Ils ont tous la queue au garde à vous, mais n'osent pas passer après ce bon amant. Il l'a trop bien baisée.
Alors, ils vont jouir sur elle, jouir du spectacle qu'elle vient de leur donner. L'un d'eux, se glisse quand même derrière elle. Il vient de comprendre qu'il n'a plus le choix, s'il veut pleinement en profiter. Ce ne sera pas un étalon, mais il lui offrira sa jouissance. PCS exulte. Son cul, son dos, ruissellent de sperme, et ce jeune inconnu, timide, mais qui a fini par vaincre sa peur de ne pas être à la hauteur, vient de se répandre en elle dans son préservatif. Elle a senti son jus monter. Le plaisir de PCS s'est décuplé, à la seconde où la queue de ce timide inconnu a gonflé pour exploser ; cet instant, où l'homme perd tout contrôle...
Un septuagénaire, qui a du mal à bander dur, n'ose pas s'approcher. Il se sent trop vieux. Il a assisté à toute la scène, la bite à la main. Je l'invite à venir se vider les couilles sur ma PCS. Elle sent sa fragilité. Elle le prend dans ses bras, lui dit des mots doux à l'oreille. Il gicle ! Ce sera le dernier.
Le spectacle est terminé. Nous retournons à l'hôtel.
Elle ne sera jamais, qui sont ces hommes qui sont venus la baiser. Elle ne gardera d'eux qu'un souvenir, une voix, une odeur, un contact charnel, et une odeur de sperme pour le reste de la journée.
Eux, par contre, garderont, dans leur vie vanille, le souvenir d'une belle salope.