Notre vie était devenu le terrain des fantasmes, des désirs et de la jouissance.
Philippe et moi étions enfin réunis. Je veux dire par là que notre couple n’était plus composé de deux personnes mais d’une et même seule entité. Cette dernière étant composée d’une envie dans deux corps.
Nous nous épanouissions conjointement à l’apport des idées et envies de chacun. Nous en discutions beaucoup et l’on ne se cachais plus rien. Nous avons également constaté une meilleure qualité de nos ébats amoureux en faisant la distinction entre nos envies, les câlins, les actes sexuels tendres, ceux plus intenses et enfin ceux plus hard. Ces derniers comme le dit mon mari : « Tu peux aimer et respecter ton épouse mais parfois avoir envie de la baiser ! » et sa femme à cela réponds par l’affirmative.
Par exemple, je pouvais en journée rejoindre un amant et me faire « baiser » comme la dernière des salopes puis rentrer à la maison et remettre « le couvert » avec Philippe.
Il faut avouer que j’ai toujours (et cela dès le plus jeune âge) « mouillée » constamment de l’entre-jambe. Même à la cinquantaine je n’ai jamais eu de problème de sècheresse intime, bien au contraire. A ce point que je dors quotidiennement nue, été comme hiver, mais parfois je dois me résoudre à porter une culotte durant la nuit car je mouille abondamment sans pour autant avoir envie de … Bref je suis comme cela.
Mon mari est également bien construit. Certains (et je peux le lire dans le forum de ce site) pense parfois que le cocu consentant est une forme de lopette ou d’impuissant. Rien de tout cela pour mon cher et tendre qui est un vrai étalon.
Je suis sûre qu’il n’y a aucune règle, il faut juste se connaitre et avoir la chance de se rencontrer et de pouvoir fusionner. En cela je constate chaque jour la chance que nous avons. Je n’aurais pas eu la même vie avec un autre homme, mes amants mon souvent apporté cette réalité.
A ce propos, Philippe prenait donc un grand plaisir à me commander des photos de moi de plus en plus « cochonne » et pouvoir avoir une excitation certaine quand il montrait ces dernières à des inconnus de ma part.
Il me racontait les réactions de ces hommes. Un soir notre discussion à ce sujet me mit dans un état d’excitation intense. Philippe me racontait les dires de l’un de ces collègues de travail, nous l’appellerons ici Bruno.
Bruno avait pris une dépendance auprès de Philippe et surtout de mes photos pornographiques. De plus mon mari ne se contentais pas de montrer l’image de sa femme, mais il lui racontait également mes rencontres… Lors d’une soirée entre nous deux, Philippe me rapportait son dialogue avec ce Bruno. Je mouillais abondamment et j’ai demandé à mon mari de continuer de me relater cela. Il fut surpris que je l’écoute tout en m’enlevant le bas que je portais alors. Je l’écoutais et écartai mes cuisses en commençant à me toucher. Mon souffle devenait plus fort, adapté à ma masturbation tout en demandant à mon mari de me répéter les mots de ce Bruno. Philippe voyant cette excitation me proposa de me le faire rencontrer.
Ce fut le cas lors d’une autre de nos soirées en semaine. Bruno fut invité chez nous. Il arriva un peu avant minuit. Il me trouva assise au sein de notre canapé, en nuisette noire transparente. Philippe lui servit un verre et l’asseyant en face de moi, à ses côtés.
- Voilà mon épouse, Bruno. Elle avait une grande envie de te rencontrer dit mon époux. Elle sait que tu aimes regarder ces photos.
- Aimeriez vous voir ce que je fais sur photo en vrai ? lui dis-je.
Bruno sourit un peu gêner et me répondit un oui sec. Je lui répondis qu’il allait me voir ce soir mais que je lui demandais ainsi qu’a mon mari de ne pas m’approcher ce soir, juste regarder.
- Vous pouvez tout de même vous toucher ou même vous masturber en me regardant, ai-je ajouté.
Puis j’ai commencé à ouvrir légèrement ma nuisette. Les quatre yeux en face de moi se remplirent de flammes. J’ai ouvert légèrement mes cuisses pour découvrir mon sexe. Ma chatte était déjà assez humide.
J’ai commencé à me masturber, à soupirer puis à gémir un peu devant eux.
Bruno et mon mari avait déjà sorti leur sexe dur et se masturbaient. Mon mari me demanda si cela m’excité quand Bruno restait silencieux.
J’ai répondu que j’étais excitée de voir l’effet que je faisais à cet inconnu et rajouta que je voulais savoir s’il me considérait comme une salope ?
Bruno commença alors à parler.
- Je pense que Philippe a beaucoup de chance.
- Ce n’est pas la question que je vous ai posée lui dis-je en même temps que je passai mes doigts de ma chatte à mon anus.
- Oui, vous êtes une belle salope.
Ensuite, étant très excité tous les trois, j’ai demandé à mon mari s’il voulait plus que cela pour sa salope de femme. Philippe m’a souri et confirmé ma demande.
Ainsi ce soir là Bruno me baisa souvent car mon mari avait décider de regarder.
Il en profita allègrement et c’est moi qui dû le stopper au début du milieu de la nuit car ces assauts m’avait ouvert l’ensemble de mes orifices.
J’étais sereine et lascive après ce marathon, mais surtout heureuse de savoir que Philippe avait adoré cette nuit avec pour la première fois l’invitation de l’un de ces collègues.
Voilà l’un des aspects de nos jeux d’exhibition, que cela soit par photos ou en direct chez nous ou au dehors, qui nous permettaient d’avoir une grande excitation ainsi qu’une jouissance vive pour nous deux.
Nous parlerons sûrement d’autres aspects de notre envie en corrélation avec le candaulisme de mon mari. Qui donc, fait de moi « Elisa B, Femme de candauliste. »
Capture d’écran 2024-01-11 150524.jpg
Capture d’écran 2024-01-11 150600.jpg
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.