Suite et fin du week-end…
Comme je ne suis pas très assidu sur mon récit, je vous refais un petit résumé de ce fameux week-end dont les évènements ont commencé dès le jeudi soir.
-Jeudi matin : Je fus contraint de demander à notre ami de venir faire l’amour avec ma femme. Cette dernière refusant que je la touche avant qu’il soit revenu la satisfaire. Le soir même, celui-ci passa la nuit avec elle pour me rendre service… (J’avais pour ma part un ressenti de jalousie bien présent…)
-Vendredi Après-midi en rentrant du travail : Je trouvais mon épouse avec Cédric, nus sur le lit conjugal. L’amour de ma vie se faisait prendre en levrette sans vergogne par mon copain qui avait les yeux rivés sur ce cul qui lui était offert.
-Vendredi soir : Elle me virait du lit, manquant de me faire tomber, car elle préférait faire l’amour avec son amant. « C’est avec lui que j’ai envie de faire l’amour, pas avec toi, Dégage !!! »
-Samedi matin : Sandra se refusa à moi, voulant profiter encore de Cédric. Et après d’interminables efforts, elle fut récompensée par un bel orgasme.
-Samedi Après-midi : Dehors, sur le bord de la piscine, en mon absence, les deux amants firent à nouveau l’amour, encore…, sans moi…
Samedi 18h00 18h30 :
Trente minutes de trajet pour arriver chez nos amis communs. Cédric, s’endormi quasiment aussitôt, sur son siège bien calé contre la fenêtre derrière Sandra.
Ma belle était quant à elle radieuse et des plus joyeuse. Arriver en soirée avec son mari et son amant dans la même voiture la faisait tout particulièrement sourire. Je feintais une certaine complicité en plaisantant à mon tour. Je lui rappelais que la dernière fois que nous étions tous ensemble, elle y avait trouvé un amant et qu’elle pourrait peut-être en trouver un autre…
Ce à quoi elle avait répondu : « Ou un de plus !!! »
Je ris jaune sur cette réplique…
Elle se tourna vers l’endormi, et me dit : - « Non, celui-ci me convient, il est très attentionné ! » discrètement elle me glissa :« Cette nuit je te raconterai un truc…, j’ai fait l’amour avec lui cet après-midi… » Toute fière d’elle, elle ondulait sur son siège en me regardant de ses yeux malicieux.
« J’ai hâte d’entendre ça !!! » fis-je faussement étonné.
J’ai surtout hâte de te faire l’amour comme une bête ! Pensais je.
Cela faisait combien de temps maintenant que je n’avais pas pu profiter de ses charmes et combien de fois avait elle fait l’amour avec lui depuis ??? Déjà cinq fois en moins de 48h00…
Pas le temps de faire les comptes, nous arrivions à destination.
19h00 l’ensemble des convives étaient présents. Nous étions une trentaine s’affairant autour du bar, pétanques, fléchettes, ou à crier après les enfants qui traversaient au milieu des jeux, à crier après les adultes qui jouaient à des jeux dangereux alors qu’il y a des enfants !!!
Bref, une soirée des plus normales entre copains.
Seule une chose dénotait de d’habitude, tout au long de la soirée, à chaque fois que je cherchais ma femme, Cédric n’était pas loin. Je les vis aussi discuter ensemble un bon moment un peu à l’écart des autres.
Aucun de nos amis n’avaient cependant remarqué quoi que ce soit, sauf notre hôte Fred.
Rappelez vous, Fred était celui qui était à l’origine de toute cette histoire ; j’avais surpris une conversation entre Cédric et lui … Fred ayant demandé à l’autre : « Alors Sandra… ? Qu’est-ce que je t’avais dit ? » et l’autre de répondre : « A ouais t’avais raison, 10/10 ! » (Pour les nouveaux c’est mon tout premier récit, à priori ça se lit bien d’après nos lecteurs…)

(Et pour rappel, tout est absolument vrai !!!)
Reprenons le cours de la soirée…
Et ben ! Ils sont en grande discussion ces deux-là ! me dit Fred d’un ton tout à fait naturel, alors que je matais la silhouette de ma douce. Je me souviens que j’étais dans mes pensées, que son jean moulait vraiment bien son p’tit cul. Cul sur lequel son amant s’était répandu quelques heures plus tôt.
Et c’est tout aussi détaché que je lui répondis, « Tu connais Cédric, il essai de la chopper !!! »
Nous éclations de rire. Se moquant discrètement de ce dernier qui était toujours célibataire et que nous comparions à Jean-Claude DUS !!! Avec un copieux « Vas-y Cédric, on ne sait jamais, sur un mal entendu ça peut marcher !!! » que Fred avait lancer en direction des deux protagonistes.
Cédric en fut tout gêné, tandis que Sandra en pouffa de rire.
Je riais avec Fred, en pensant : Si tu savais…
La soirée fut excellente, et il était maintenant l’heure de se coucher.
La voiture était garée à l’avant de la maison sur leur parking, et nous étions seuls de ce côté car les autres étaient soit rentrés, soit dans des tentes plantées derrière dans le jardin.
Les vitres teintées, les duvets assemblés, je regardais allongé, Sandra se contorsionner pour se dévêtir.
Elle ne garda sur elle que sa petite culotte bleue. Je regardais avec envie ses p’tits seins qui pointaient fièrement dans la pénombre. Il faisait bon dans la voiture ce n’était donc pas dut au froid.
Non, ses tétons dardaient depuis que cette aventure avait commencé. A tel point que de temps à autre, mes mains voulant effleurer ses pointes érigées sous un vêtement, Elle me rappelait à l’ordre !
« Tu sais, ils sont sensibles en ce moment, ils me font un peu mal, on verra plus tard… »
Bizarrement, je ne l’ai jamais entendu dire ça à Cédric…
Bref…,
Juste avant de se coucher, elle enfila un T-shirt. Merde !
C’est un T-shirt neuf ?
Non c’est à Cédric, il me l’a prêté pour dormir…
Comment vous dire qu’à cette annonce, je bouillais intérieurement, mais je ne fis pas de commentaire, voulant profiter de ce corps dont j’avais rêvé toute la soirée et plus… Et pourtant, j’aurais voulu lui arracher ce vêtement pour en faire des confettis !
« Alors comme ça tu as fait l’amour cet après-midi » Il était près de 3h00 du mat, et je n’avais pas de temps à perdre avec les mondanités.
« Oh oui, dès que tu es parti préparer la voiture. Il m’a embrassée et enlevé mon haut de maillot pour me caresser les seins et me les embrasser. » (Et tu ne l’as pas repoussé… pensais-je)
« Ça m’a excitée d’avoir les seins à l’air dehors, devant lui, je l’ai emmené sur le canapé de la piscine, je me suis mise à genoux sur lui et il m’a embrassé les seins comme jamais. J’avais envie qu’il mette tout mon sein dans sa bouche !!! J’étais trempée, il a glissé sa main dans mon maillot et a rentré au moins deux doigts dans ma p’tite chatte très facilement »
« Ensuite on a fait l’amour dans plein de position et on a fini debout contre le mur. J’avais un pied sur le canapé, il était dans mon dos et a jouis sur mes fesses. C’était géniale, j’ai adoré. Et on a encore joui en même temps ! J’avais hâte de te raconter ! »
J’aurais préféré plus de détails, mon bon… j’approchais la main de son sein droit, lorsqu’elle me stoppa une nouvelle fois, « Ils sont trop sensibles tu sais » me dit-elle désolée.
Qu’à cela ne tienne ! Je lui frôlais alors le galbe de la poitrine à travers le T-shirt de son amant, sans m’approcher des tétons douloureux.
Sans trop m’attarder, je descendis la main vers son ventre, passant sous son haut, puis glissais sous le sous vêtement de dentelle afin d’atteindre le trésor tant convoité.
« Tu sais, je suis épuisée, ça fait deux jours que je ne dors pas beaucoup, et il est tard, on verra demain d’accord ? » me dit-elle en m’attrapant le poignet pour me sortir de sa petite culotte, et en m’obligeant à l’enlacer tendrement.
« De toute façon, on ne pourrait rein faire, j’ai le sexe en feu »
J’étais dans tous mes états !!! « Non pas d’accord ! J’en peux plus moi, il est venu comme convenu, on avait un deal ! »
« Je sais mais là c’est impossible » Elle se lova tout contre moi et m’embrassa tendrement. « On remet ça, c’est promis ! » « Même si j’en avais envie, je ne pourrais pas, ton copain m’a défoncé ma p’tite chatte !!!) me souffla-t-elle avant de me souhaiter bonne nuit.
Je restais une nouvelle fois comme un con furieux de jalousie et en même temps exciter comme jamais !!! J’eu à nouveau beaucoup de mal à m’endormir… contrairement à elle qui s’endormit en moins de 5 minutes. Dans mes bras, la belle était apaisée. Et je l’aimais, cette nuit elle était à moi !
Le lendemain matin, donc dimanche ! (Faut suivre un peu !), nous partîmes vers 11h00, après un bon café partagé avec le reste des convives qui avaient campé sur place.
Le retour fût très calme, Sandra somnolait sur le siège passager et Cédric comme à son habitude, s’était endormit dès le départ.
Cinq minutes avant d’arriver, j’aperçut du coin de l’œil la main de Cédric se faufiler sous le T-shirt que Sandra portait. (Sandra avait gardé le même T-shirt que pour dormir) Celle-ci avait posé la sienne sur celle de Cédric par-dessus le tissu.
Je pensais intérieurement que si j’avais protesté, il aurait pu se défendre en prétextant que c’était son T-shirt et qu’il pouvait bien mettre la main dedans s’il voulait…
Je m’amusais seul de cette idée, alors qu’il avait sa main sur la peau nue du ventre de ma femme et que celle-ci la conservait bien au chaud…
En arrivant, une bonne douche pour tout le monde, et chacun se mit à l’aise, short de bain pour les gars, et jupette volante blanche et top blanc également pour la nymphette. On distinguait nettement l’absence de soutient gorge sous ce haut légèrement moulant qui exposait à loisir la douce forme de ses orgueilleux tétons.
Barbecue le midi, farniente sur le bord de la piscine sans aucun écart de comportement l’après-midi. Bravo à tous les trois pour cela !!!
Il avait été convenu que nous hébergerions Cédric jusqu’au lendemain matin et que celui-ci dormirait dans la chambre d’ami, pour une fois…
Nous avons avec Sandra pour habitude de faire un tour de jardin en fin de week-end, le terrain n’est pas très grand, mais c’est sympa comme petit tour. Nous observons à cette occasion l’évolution du jardin et évoquons les différentes réalisations avenir. Cette fois nous étions accompagnés de Cédric pour cette balade. Arrivés sous le cerisier, nous remarquions que ses fruits commençaient à bien rougir.
L’échelle qui, je ne sais vraiment plus pourquoi n’était pas rangée, était adossée au tronc de l’arbre.
Je m’empressais de monter quelques barreaux pour jauger d’une éventuelle date de cueillette.
« Non, elles manquent un peu de soleil, encore quelques jours » dis-je en redescendant.
« T’en est sûr ? elles ont l’air pas mal d’ici ! » me dit Sandra.
« Va voir, si tu veux » « Je te tiens l’échelle ! »
Sans plus attendre, elle grimpa 3 ou 4 barreaux. Je ne pus m’empêcher de lui mater les cuisses au passage, tout comme Cédric qui était resté en retrait.
Et plus elle montait et plus elle nous offrait une vue superbe de son p’tit cul nu sous la jupette volante. Mais quelle agréable surprise !!!
Sans réfléchir je dis à mon copain,
« Viens m’aider à tenir l’échelle, on ne sait jamais ! »
Celui-ci vint à mon secours sans se faire prier.
Sandra fit mine de s’intéresser aux cerises en commentant une quelconque observation dont ni-Cédric, ni moi, n’avons fait attention.
Le regard rivé sur ce magnifique spectacle, nous avions chacun une main sur l’échelle pour la sécurité, et une autre qui remontait le long des mollets fins et musclés de la coquine. Sans se concerter, nos mains glissaient lentement à l’intérieur du compas que faisaient les jambes tendues de l’ingénue…
Arrivé à la lisière des fesses, nous eûmes tous deux la même envie, en voir un peu plus. Nous attrapâmes lentement chacun un des deux globes musclés pour les séparer doucement l’un de l’autre. Sandra sentant cela se cambra outrageusement offrant à nos yeux une des images les plus intimes qui soit.
Pour notre plus grand bonheur à tous les trois, nous exhibions son sexe rasé et son anus à tous vents.
Je prenais un malin plaisir à lui masser la fesse en écartant bien celle-ci de sa jumelle et Cédric faisait exactement la même chose.
Près de deux minutes durant, nous offrions aux oiseaux la vue impudique et inconvenante d’un cul que nous aurions aimé dévorer…
Ce traitement eu bientôt l’effet attendu. L’abricot de cette fée cambrée, commençait à suinter le doux miel du plaisir. Etant plus grand que Cédric j’approchais ma langue de ce fruit pour en récolter le nectar.
Sentant le bout de mon nez sur son anus, Sandra se déroba aussitôt et nous glissa entre les mains avec la souplesse d’une chatte, pour se réfugier sur la terrasse.
« Elles ne sont pas assez mûres, tu as raison. » « Ouf ! J’ai chaud moi ! » nous dit-elle avec espièglerie !
Cédric et moi arborions une belle bosse déformant nos caleçons de bain et cela l’amusait.
« Et bien messieurs, ce sont les cerises qui vous mettent dans cet état ? » « Vous aussi vous avez chaud ? »
Et elle se sauva dans la maison avant que nous l’attrapions.
A part cette petite anecdote, la fin de soirée fut très calme pour un dimanche soir. Débriefing de la soirée précédente, ou nous nous amusions des évènements provoqués par les uns et les autres.
L’heure du coucher était proche et alors que j’étais avec ma femme dans la cuisine à ranger les dernières assiettes du repas, elle me demanda toute douce :
« J’ai quelque chose à te demander… »
Elle passa ses bras autour de mon cou, et m’embrassa à pleine bouche, je la pressais tout contre moi lui plaquant une main au creux des reins et l’autre sur les fesses.
Cédric était parti à la salle de bain pour se laver les dents pendant ce temps.
« J’aimerais passer la nuit avec lui… »
J’étais sur le cul, encore une fois, mais jusqu’où ira-t-elle ???
« Mais tu as déjà eu ce que tu voulais, et puis de toute façon c’est mon tour. »
« Non, c’est le sien, j’ai passé la nuit avec toi hier » me dit-elle
« Tu parles ! On n’a rien fait »
« Mais là non plus on ne va rien faire, j’ai ma p’tite chatte toute irritée je te rappelle… » « J’en ai vraiment envie, s’il te plait, en plus c’est la dernière nuit du week-end, je serai toute à toi la semaine prochaine ! » « Je me rattraperai c’est promis, j’ai vraiment envie de passer la nuit avec lui, dit oui s’te plait… »
Sur ce, avant que je n’aie le temps de dire quoi que ce soit, elle m’embrassa fougueusement en plaquant sa main sur mon sexe tendu par l’érotisme de ses baisers. Elle dégrafa mon short et sorti mon sexe bien raide en le masturbant avec une application que je ne lui connaissais pas. Le serrant bien plus fort que d’habitude, lentement sa petite main faisait glisser la peau le long de mon sexe en me regardant droit dans les yeux.
« S’il te plait » me demanda-t-elle à nouveau sans lâcher mon sexe, un air de supplication sur le visage. « J’en ai vraiment envie… »
Comment lui dire non … ???
« Ok, mais t’auras intérêt à te rattraper ! » la prévins-je
« Merci mon amour, je t’aime, je te promets de penser à toi, range ça, tu pourrais te cogner quelque part… » Elle remit mon sexe dans mon short en disant cela et se sauva dans la salle de bain.
Une minute plus tôt, alors que ma douce me tenait par le sexe dans tous les sens du terme, nous avions entendu notre ami quitter la pièce d’eau pour aller se coucher.
Me dirigeant vers ma chambre pour récupérer mon oreiller, il fallait à nouveau que j’aille demander à mon pote s’il voulait bien passer la nuit avec ma femme…
Arrivant dans le couloir et pensant trouver ce dernier dans le bureau, je m’étonnais de trouver de la lumière dans notre chambre. Je découvris alors Cédric couché dans notre lit à la place de l’infidèle petite déesse.
Il baissa la tête quand je rentrais. J’en conclu que les deux amants avaient prévu leur coup et que Sandra savait que je lui cèderai.
« Bonne nuit » lui dis-je en sortant. « Soyez-sage » lui lançais-je sans grande conviction.
« Bonne nuit à toi aussi, t’inquiète on est fatigué »
En sortant je fis en sorte de déplacer discrètement le bloque porte avec mon pied pour garder l’ouverture au maximum.
Je me couchais donc seul dans la pièce voisine, la tête au niveau du chambranle de la porte que j’avais laissé ouverte aussi. Peu de temps après je vis sortir Sandra de la salle de bain située en face des deux portes de chambre. Sans un regard pour moi, elle se précipita dans notre… leur chambre pour rejoindre son amant. J’avais eu le temps d’apercevoir qu’elle portait une nuisette noire à dentelle du plus bel effet.
Par négligence ou bien intentionnellement, elle ne referma pas la porte non plus derrière elle.
J’étais donc au première loge pour les entendre chuchoter et rire à quelques mètres de moi.
La lumière avait été éteinte dès que la belle s’était allongée, donc pas de vidéo possible ce soir, cependant, comme ces derniers temps, je laissais tourner l’ordinateur afin d’enregistrer la nuit qui s’annonçait pénible pour le mari que j’étais. (Pour les nouveaux lecteurs, il y a une caméra dissimulée dans la chambre)
J’arrivais à distinguer quelques bribes de chuchotement plus forts que d’autres :
« Tu as les pieds froids » (rire)
« T….. ….. … réchauffer …… …… »
« ……. chaud déjà…. ….. »
« …. comme ça oui…… »
Je m’imaginais des choses folles, et le tout avec un début d’érection malgré la jalousie.
Et puis le calme, après cinq minutes de chahut à peine dissimulé. J’étais à l’affut du moindre son pendant environ dix minutes, mais rien de probant. Quelques froissements de drap certainement le temps de trouver la position pour s’endormir mais sinon la maison était des plus paisible.
Finalement, ma femme avait dit vrai, il n’y avait pas de galipettes au programme cette nuit.
En même temps, Cédric s’était largement vidé l’entre jambe avec ma p’tite femme ces dernières 72h00. Sa libido avait dû en prendre un sacré coup… ou pas !
« Je peux plus, j’ai un peu mal… » Avait soufflé ma femme, ce qui coupa net ma dernière réflexion.
Putain, il avait rechargé les piles ! Et si ça se trouve, c’était de ma faute avec l’histoire du cerisier…
A nouveau des chuchotements, mais plus discrets, incompréhensibles. Des soupirs, de longs soupirs, beaucoup trop à mon gout, et les bruits des draps mal traités.
J’imaginait qu’ils faisaient l’amour avec tendresse, lentement, très lentement ma femme se donnant une nouvelle fois à lui sans une pensée pour son mari qui était à côté. J’imaginais que l’adultérine ayant fort mal au muscle du vagin, son homme la prenait avec la plus grande douceur.
Et puis les longs soupirs de ma p’tite femme se transformèrent en gémissements. Plus les mouvements s’accéléraient, plus les gémissements s’intensifiaient, elle ne cachait visiblement pas son plaisir et le laissait exploser maintenant sans pudeur.
« Oh oui ! han, han, OH OUI ! OUI ! OUUUUIIIIIiiiiiii !
Elle avait un orgasme, je l’entendis gémir près de trente secondes, et croyez-moi, c’est long trente secondes quand on est un mari qui entend sa femme jouir avec un autre….
Heureusement cette fois, leur étreinte n’avait duré qu’une vingtaine de minutes. Le supplice pour moi avait été bref comparé aux autres fois.
A nouveau le calme, quelques chuchotements, puis quelqu’un qui se lève et se précipite dans la salle de bain. La douche coulait depuis dix seconde lorsque Sandra entra dans la chambre d’ami.
Je vis ma p’tite femme arrivée en sautillant sur la pointe des pieds toute fière d’elle et joyeuse comme une gamine recevant le cadeau qu’elle avait commandé.
« SODOMIE !!! » lança-t-elle heureuse de me dire ça…
??????????????????????
« Qu…. QUOI ??? »
Elle s’allongea sur mon côté pour m’embrasser à pleine bouche. Tout en m’embrassant, elle attrapa mon sexe qui était sorti de mon caleçon sous le drap.
« Je l’ai embrassé pour lui dire bonne nuit, et je me suis tourné dos à lui pour dormir. Là, il s’est collé derrière moi et a collé son sexe entre mes cuisses. Il s’était couché tout nu ! »
Je l’écoutais avec attention en appréciant la douce caresse sur mon sexe. Je passais une main sous elle pour la prendre dans mes bras et lui malaxer la chaire d’une fesse que je trouvais bien chaude.
Avais-je bien entendu ???
« J’ai coincé son sexe entre mes cuisses pour dormir, mais il a commencé un lent va et viens contre ma p’tite chatte qui est devenue toute mouillée. Il a réussi à rentrer tout seul tellement j’étais trempé »
A son récit, je commençais à être de plus en plus excité et ma main sur ses fesses se faisait de plus en plus pressante.
« Après quelques allers-retours, j’avais trop mal au sexe, tu sais pourquoi. » « Je lui ai dit que je pouvais plus, et l’ai fait sortir. Il s’est tout de suite posé sur mon anus et a commencé à appuyer lentement… »
« J’ai pensé à toi, et ça m’a excitée ! Il est rentré très facilement, sans forcer »
Alors qu’elle me disait ça, je glissais un doigt dans sa raie des fesses jusqu’à ce fameux petit trou interdit, enfin jusqu’à présent… Je découvrais alors l’endroit inhabituellement humide et souple.
Sans aucune résistance, je pénétrais le chaud fourreau qui m’attire tant, et que j’ai trop rarement l’autorisation de visiter. En effet, lors de rares occasions un doigt obtient un pass VIP et sur quelques centimètres, jette un œil furtif, mais il faut pour cela que la belle soit particulièrement bouillante de désir…
« Mais je croyais que tu n’aimais pas ça ! » lui dis-je en pénétrant plus avant mon majeur entre ses reins.
C’était la toute première fois que je découvrais le lieu aussi profondément du doigt, et la facilité avec laquelle il était accueilli, était pour le moins déconcertante. L’endroit était bien lubrifié et ouvert par une dilatation récente. La masturbation de Sandra sur mon pénis, mon majeur fiché au plus profond de son antre, je n’allais pas tarder à jouir.
« Je n’aime pas quand c’est toi…, tu es trop gros, et trop grand. » « Lui il est rentré tout seul et s’était vraiment très agréable, je me suis caressée en même temps et j’ai pris un super pied en même temps que lui ! »
J’apprendrai plus tard, qu’elle avait volontairement exprimée son plaisir sans retenu pour que je l’entende. Qu’elle eût envi de se faire sodomiser par son amant, dès que le bout de chair s’était posé sur la corolle à la peau fine. A ce moment, l’idée d’offrir son cul au copain de son mari, qui lui, n’y a pas le droit, lui parut particulièrement excitante. Et venir s’en vanter auprès de celui-ci juste après, suffit à faire cambrer la polissonne pour profiter du mât de chair lubrifier de cyprine qui parcourait le conduit bien serré.
La douche s’arrêta et mit fin à notre accolade. Ma femme lâcha mon sexe, et se saisi de mon poignet pour ôter lentement mon doigt de son étui.
« Je dois y aller, tu feras attention, tu dois avoir du sperme sur le doigt… »
« Comment ça ? »
« Je t’ai dit qu’on avait pris notre pied en même temps ! » « J’ai pensé pour le plan à trois, c’est lui qui me prendra par-là, il lui appartient maintenant… » Me dit-elle avant de s’échapper et que j’ai eu le temps de répondre quoi que ce soit.
Je restais complètement hébété, scotché par tout ce qui venait de m’arriver, les émotions se bousculaient sans qu’aucune ne prennent le dessus, tout ce que je savais à ce moment, c’était que mon sexe me faisait mal. Très mal même !!!
Cédric se réfugia dans la chambre à la suite de Sandra ;
« Bonne nuit me dirent les deux amants l’un après l’autre »
« Bonne nuit… » Tu parles oui ! Comment dormir maintenant !
Je ressassais l’ensemble du week-end pour finir par la conclusion que mon pote venait de sodomiser ma femme. Pire, le p’tit cul de mon épouse ne m’appartenait plus et que mon pote en avait fait sa propriété. Celui-ci avait rependu sa semence dans un endroit qui m’était interdit !!!
Et elle s’en amusait. Elle m’avait fait le récit de sa propre sodomie avec une grande fierté et une joie immense.
A cette pensée j’éjaculais sur mon ventre en quelques aller-retour de ma main sur mon membre trop dur… Le sommeil me gagna enfin ce week-end était fini…
Le lendemain j’étais réveillé par Cédric qui partait de la maison à la vas-vite. Je ne l’ai surtout pas retenu, ne voulant pas croiser son regard que j’imaginais bien satisfait.
La porte d’entrée fermée, je rejoins mon amoureuse dans sa chambre, pour la trouver juste vêtue de sa nuisette remontée sur les hanches (voir photo ci-dessous). Le drap recroquevillé au bout du lit.
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Je la trouvais une nouvelle fois magnifique. J’immortalisais l’instant, de cette photo. La femme adultère était bien réveillée et souriait allègrement.
« Merci » « J’ai passé un super week-end » me dit-elle
« Cédric aussi je pense… » Sur ce, je m’asseyais sur le bord du lit pour lui caresser les fesses, approchant trop près du sillon fessiers…
« Bas les pattes, c’est à Cédric maintenant ! » me dit-elle en riant et roulant sur le côté.
« De toute façon, j’ai toujours son sperme dans les fesses… » Elle sauta du lit pour s’enfermer sous la douche…
Voila ce fameux week-end. Le récit est long, j’en conviens, mais je voulais vous faire part du moindre des détails, qui je vous le rappelle, sont tous bien vrais. J’ai même extrait un « Oh oui » de la vidéo de la sodomie, pour en faire une alerte de SMS affectée à ma douce.
Merci a nos lecteurs pour leur fidélité !!! Et tous nos vœux pour cette nouvelle année !
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