- 02 janv. 2010, 20:03
#14954
Nouvelle sur le forum, je me présente à vous. Vierge jusqu’à mes 25 ans, tant j’étais en demande, six mois après notre mariage, je cocufiais mon époux. Maghrébine, j’étais vouée à une vie chaste. Comme toutes les femmes, ma sexualité aurait du se limiter aux rapports conjugaux. Mes amies. Mes sœurs. Toutes ne connaissent qu’un seul homme. Pire. Certaine l’attendent encore. Il leur faudra accepter ses faiblesses. Ses pannes. Son manque d’imagination. Ses éjaculations précoces. Ses jalousies. Ses lourdeurs. Ses rondeurs. Sa rancœur. Jamais elles ne sauront l’étendue des plaisirs inouïs du candaulisme. Dommage pour elles.
A peine sortie du joug de mon éducation, j’ai découvert l’agréable sensation de vos mains sur mon corps. L’envie frivole découlant de vos doigts sous mon string. J’ai pété un câble. Celui de mon string. Je n’en portais plus. En l’ôtant, en brandissant mon sexe tel le fanion de mon indépendance. Je me sentais libre. Je découvrais la Liberté totale. Le mode de fonctionnement. Je trouvais l’équation facile. Il suffisait d’un homme et d’un instant intime pour avoir de la joie. Du bonheur. Du plaisir. Douces sensations ornées de grands frissons. J’en voulais le matin. Le midi. L’après-midi. Le soir. Toute la nuit. Mon mari pas. Mon mari plus. Repu si pas blasé. Je le savais. Il ne pouvait suffire. Il le savait aussi. Je lui avais soufflé. Sous ses yeux de voyeur, parfois interloqués, j’ai appris à baiser. A baiser sans problème. A baiser librement. Trop librement pour lui. Mais on n’est jamais assez libre. En fait, pas de critique à faire. Je baise comme lui. Je baise comme un homme. Du plus dur au facile, je tente tous les coups. Mais chez une fille, la pêche est bien meilleure. Il le savait aussi. Il l’a vite constaté. A l’entrée du harem, ce fut bien vite l’embouteillage. Tout le monde voulait baiser sa femme. Tout le monde voulait baiser une maghrébine. On se refilait l’adresse. Les côtes. Les commentaires. Les pratiques. Les adjectifs. Je trouvais cela normal. Quasi valorisant. Je publiais des photos. Je découvrais un nouveau monde et tout ce monde me découvrait. Me déshabillait. Me pénétrait. Ils jouissaient de mon corps. De la douceur de ma peau et de mes origines. Mais je n’étais pas contre. Je jouissais aussi. Je jouissais beaucoup. Rebelle, je me vengeais. Je ne sais combien d’hommes m’ont baisée de la sorte. A l’époque, j’étais en chasse. Il suffisait d’un peu d’audace et j’en étais humide. Une fois humide, plus rien à faire. C’était plus fort que moi ? Cet exhibitionnisme au goût de Liberté, envahissait mes tripes. Mes fesses. Mon sexe. Cambrée, je devançais. J’acquiesçais à tout rompre. Je voulais être libre. Je voulais être prise. Prise femelle. A la moindre introduction, fut-ce un doigt, je gloussais. Je gémissais. Je jouissais. J’étais heureuse. Heureuse des jouissances faciles. Bien trop heureuse que pour comprendre l’immoralité de certains rapports. Mais qu’importe. Pourquoi m’en excuser. Pour avoir jouis de chaque côté du fil rouge, je sais combien l’interdit est stimulant. Combien il procure des sensations nouvelles. Combien j’aime tromper mon mari.
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A peine sortie du joug de mon éducation, j’ai découvert l’agréable sensation de vos mains sur mon corps. L’envie frivole découlant de vos doigts sous mon string. J’ai pété un câble. Celui de mon string. Je n’en portais plus. En l’ôtant, en brandissant mon sexe tel le fanion de mon indépendance. Je me sentais libre. Je découvrais la Liberté totale. Le mode de fonctionnement. Je trouvais l’équation facile. Il suffisait d’un homme et d’un instant intime pour avoir de la joie. Du bonheur. Du plaisir. Douces sensations ornées de grands frissons. J’en voulais le matin. Le midi. L’après-midi. Le soir. Toute la nuit. Mon mari pas. Mon mari plus. Repu si pas blasé. Je le savais. Il ne pouvait suffire. Il le savait aussi. Je lui avais soufflé. Sous ses yeux de voyeur, parfois interloqués, j’ai appris à baiser. A baiser sans problème. A baiser librement. Trop librement pour lui. Mais on n’est jamais assez libre. En fait, pas de critique à faire. Je baise comme lui. Je baise comme un homme. Du plus dur au facile, je tente tous les coups. Mais chez une fille, la pêche est bien meilleure. Il le savait aussi. Il l’a vite constaté. A l’entrée du harem, ce fut bien vite l’embouteillage. Tout le monde voulait baiser sa femme. Tout le monde voulait baiser une maghrébine. On se refilait l’adresse. Les côtes. Les commentaires. Les pratiques. Les adjectifs. Je trouvais cela normal. Quasi valorisant. Je publiais des photos. Je découvrais un nouveau monde et tout ce monde me découvrait. Me déshabillait. Me pénétrait. Ils jouissaient de mon corps. De la douceur de ma peau et de mes origines. Mais je n’étais pas contre. Je jouissais aussi. Je jouissais beaucoup. Rebelle, je me vengeais. Je ne sais combien d’hommes m’ont baisée de la sorte. A l’époque, j’étais en chasse. Il suffisait d’un peu d’audace et j’en étais humide. Une fois humide, plus rien à faire. C’était plus fort que moi ? Cet exhibitionnisme au goût de Liberté, envahissait mes tripes. Mes fesses. Mon sexe. Cambrée, je devançais. J’acquiesçais à tout rompre. Je voulais être libre. Je voulais être prise. Prise femelle. A la moindre introduction, fut-ce un doigt, je gloussais. Je gémissais. Je jouissais. J’étais heureuse. Heureuse des jouissances faciles. Bien trop heureuse que pour comprendre l’immoralité de certains rapports. Mais qu’importe. Pourquoi m’en excuser. Pour avoir jouis de chaque côté du fil rouge, je sais combien l’interdit est stimulant. Combien il procure des sensations nouvelles. Combien j’aime tromper mon mari.
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Modifié en dernier par SmilyNadia le 11 juin 2010, 23:30, modifié 1 fois.
maxernst a liké