- 28 juin 2012, 22:13
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Une suite au récit de nos aventures... les Zamoureux décideront ou non d'illustrer ce récit.
Premiére partie :
Le couple qui m'attendait résidait prés de Namur. Nous avions convenus que je les préviendrai quelques minutes avant à mon arrivée, afin qu'ils laissent la porte entrouverte. Ce qui était le cas : en arrivant je n'eus qu'à la pousser pour entendre, venant de la salle de bain, l'eau qui coulait dans la douche. La dame était nue, se savonnant. Me saisissant du gant, je me mis à la frotter doucement en veillant à n'oublier aucune partie de son corps.
Puis, me mettant nu à mon tour, je la rejoignis dans la baignoire, afin de nous savonner mutuellement ; tandis que par la porte restée ouverte, son compagnon ne ratait rien du spectacle.
Madame, adossée au mur posa le pied droit sur le rebord de la baignoire, me donnant accès à son mont de vénus. M'agenouillant, tout en l'embrassant de son à son nombril, et de son nombril à son bas-ventre, j'atteignis son entre-cuisse pour y glisser ma langue. Je l'entendis soupirer alors que ma langue écartait les lèvres de sa vulve pour la pénétrer. Durant de long instant je fis rouler son petit bouton, quand, éloignant ma bouche de son sexe, elle mit fin à la douce torture.
Elle craignait de jouir trop vite, et demandait une pause.
Après avoir pris longuement notre temps pour nous sécher, nous avons quitté, simplement drapés d'un drap, la salle de bain pour la chambre, ou monsieur nous attendait.
Madame s'est alors couchée sur le lit afin que je lui fasse un massage au lait hydratant.
Progressivement, mes caresses se firent plus précises.
L'excitation venant, madame passa de passive à active.
D'abord avec sa main, qui saisit mon sexe en érection, le massant, jouant du doigt sur l'extrémité de mon gland. Puis, se tournant pour en approcher ses lèvres, elle goba mon pénis. La bouche serrée autour de mon gland, je pouvais sentir sa langue qui en jouait.
Dans son coin, au pied du lit, monsieur se masturbait et s'excitait à la vision de mon sexe qui entrait et sortait de cette bouche qui, ce matin même, l'embrassait encore !
Durant de longues minutes, madame m'honora d'une de ces fellations que l'on oublie pas de sitôt.
Puis, la recouchant sur le dos, je me plaçais face à elle. Elle s'était saisie d'un préservatif. C'était le signe de son désir.
Jambes repliées sur son ventre, cuisses impudiques écartées, sa fleur rose s'offrait à mon sexe. Mon gland posé dessus, glissait sur son clitoris en de lents mouvements. Puis, n'y tenant plus, je m'enfonçais en elle.