De suite un nouvel amant relativement régulier pris le relais (c'est plutôt ma femme qui l'a pris, mais bon . La distance les fit se rencontrer une fois par mois peut être en moyenne.
Mais plus jeune et monté comme un talonneur de rugby athlétique, ma femme pris beaucoup de plaisir avec une complicité partagée entre nous trois.
Une amitié pris naissance, au point qu'il venait parfois à la maison pour partager une bonne table, du bon vin et ma femme évidemment.
Les premières fois où elle n'était pas prête à ce que j'assiste fut mémorable
: n'y tenant plus, j'ai le souvenir de les voir monter dans la chambre dés le repas pris pendant que je rangeais, et un vacarme INFERNALE commença
D'abord des craquements de mon lit et du plancher bois que n'avais jamais entendu, puis des gémissements d'une femme prenant incontestablement son pied , qui ne pouvait être que la mienne (
), et enfin des râles de son amant qui devait la besogner comme une brute ...
Le son d'un film porno dans ma maison ! Jamais je n'avais entendu cela avant en réel.
Autant je fus choqué, autant je bandais et ne pus résister longtemps à me soulager comme je pouvais en crevant d'envie de voir ce qu'il se passait vraiment derrière la porte de ma chambre, mais dû attendre que ma femme vienne me voir dans la chambre d'amis avec du foutre plein les seins. Elle s'empressa de le faire lécher avant de s'empaler sur ma queue comme une mort de faim
J'étais aux anges...
Mais la suite me parut bien cruelle, bien que très excitante quand j'y repense: elle retourna voir notre complice en me souhaitant de passer une bonne nuit
La maison en raisonna longuement à nouveau comme une locomotive à plein régime. La nuit me fût TRES longue, et réussi tout de même à m'endormir à force de m'astiquer alors que des gémissements plus feutrés sortaient encore de la chambre conjugale...
Puis le réveil
... Quel souvenir qu'au lieu de la sonnerie habituelle, d'entendre sa femme gémir une énième fois en essayant justement de ne pas faire bruit. On ne sait plus si c'est la réalité, ou un rêve
Je ne pus m'empêcher de m'approcher de la porte dans le couloir d'où venait cette douce mélodie, en m'astiquant comme un bon cocu bien sûr, pour m'apercevoir que les amant se parlaient à mots bas pendant leur accouplement : "t'aime ça salope ! "
"elle est bonne ta queue..."
Ma femme était vraiment différente alors. une étape brutale aussi excitante vous l'aurez compris, qu'inquiétante .
Je me rendais compte que 20 ans de vie commune avaient rendu nos pratiques sexuelles monotones par rapport à ce que pouvaient lui donner ses amants surexcités de se la taper.
Une douce sensation de devenir cocu, mot que je ne supportais absolument pas à l'époque
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