- 18 mai 2017, 18:26
#2032311
Merci encore aux likers et participants !
Une autre étape cruciale pour le coup, vint alors que c'était elle qui partit en déplacement.
Son régulier lui dit qu'il la rejoindrait pour la baiser, chose qu'elle ne crût pas trop compte-tenu de la distance (+ de 600 km )
Mais je soir venu, ce dernier avait encore réussi à monter un bateau à sa femme et son employeur , pour monter niquer sa maîtresse sur Paris toute une nuit durant.
Ravie de cette bonne nouvelle pleine de promesse, mon épouse se laissa ouvertement inviter au restaurant, s'afficher en public à rouler des patins à ce géant, avant de l'inviter à passer la nuit dans sa chambre jusqu'au petit matin.
Seul, je trouva alors notre lit bien grand, même en me tripotant et essayant d'imaginer ce qu'elle pouvait bien faire au même moment...
Mais ce que je vous ai pas encore dit, c'est que son amant la harcelait pour ne plus prendre de capote, et que le moment était peut-être le bon
Bien sûr, des harcèlements de ce type l'avaient jusque là plus excitée qu'inquiétée, et je m'imaginais que peut-être, ce soir, je serais encore plus cocu que d'habitude s'ils franchissaient le pas
Je dus attendre le lendemain soir pour qu'à son retour, même très fatiguée, elle me lâche le morceau.
Elle me raconta que l'entrée dans sa chambre fût très chaude
Les deux amants fougueux se déshabillèrent, usèrent de préliminaires qu'ils n'avaient point besoins tant ils devaient être excités, jusqu'au moment où son mâle du soir lui affirma qu'il était encore temps de ne pas passer ce cap si elle le voulait, mais la chair est faible Ma femme ne pût que gémir pour toute réponse, alors qu'il avait déjà pointé son gros dard à l'entrée de sa chatte toute trempée. Et ce fût fait, le mari pouvait s'en retourner dans son grand lit, même la queue raide! j'étais cocu au plus haut point (ou presque )
Ils baisèrent alors comme des salopards jusqu'à n'en plus pouvoir. Après avoir éjaculé tout au fond à deux reprises, il ne pût assurer un troisième service complet, mais la fit jouir en puissance avec sa langue et avec ses doigts particulièrement agiles d’après les louanges qu'elle lui en fait
Elle m'avoua avoir inonder le matelas de mouille, des jets qu'elle n'avait encore jamais vu sortaient de sa chatte... Que devrais-je en dire ? Sinon que je n'y serais jamais arrivé .
Mais quelqu'un peut m'expliquer pourquoi un tel constat de cocufiage ne m'en rend que plus excité et amoureux, alors que cela passerait pour un drame pour tant d'autres ?
Une autre étape cruciale pour le coup, vint alors que c'était elle qui partit en déplacement.
Son régulier lui dit qu'il la rejoindrait pour la baiser, chose qu'elle ne crût pas trop compte-tenu de la distance (+ de 600 km )
Mais je soir venu, ce dernier avait encore réussi à monter un bateau à sa femme et son employeur , pour monter niquer sa maîtresse sur Paris toute une nuit durant.
Ravie de cette bonne nouvelle pleine de promesse, mon épouse se laissa ouvertement inviter au restaurant, s'afficher en public à rouler des patins à ce géant, avant de l'inviter à passer la nuit dans sa chambre jusqu'au petit matin.
Seul, je trouva alors notre lit bien grand, même en me tripotant et essayant d'imaginer ce qu'elle pouvait bien faire au même moment...
Mais ce que je vous ai pas encore dit, c'est que son amant la harcelait pour ne plus prendre de capote, et que le moment était peut-être le bon
Bien sûr, des harcèlements de ce type l'avaient jusque là plus excitée qu'inquiétée, et je m'imaginais que peut-être, ce soir, je serais encore plus cocu que d'habitude s'ils franchissaient le pas
Je dus attendre le lendemain soir pour qu'à son retour, même très fatiguée, elle me lâche le morceau.
Elle me raconta que l'entrée dans sa chambre fût très chaude
Les deux amants fougueux se déshabillèrent, usèrent de préliminaires qu'ils n'avaient point besoins tant ils devaient être excités, jusqu'au moment où son mâle du soir lui affirma qu'il était encore temps de ne pas passer ce cap si elle le voulait, mais la chair est faible Ma femme ne pût que gémir pour toute réponse, alors qu'il avait déjà pointé son gros dard à l'entrée de sa chatte toute trempée. Et ce fût fait, le mari pouvait s'en retourner dans son grand lit, même la queue raide! j'étais cocu au plus haut point (ou presque )
Ils baisèrent alors comme des salopards jusqu'à n'en plus pouvoir. Après avoir éjaculé tout au fond à deux reprises, il ne pût assurer un troisième service complet, mais la fit jouir en puissance avec sa langue et avec ses doigts particulièrement agiles d’après les louanges qu'elle lui en fait
Elle m'avoua avoir inonder le matelas de mouille, des jets qu'elle n'avait encore jamais vu sortaient de sa chatte... Que devrais-je en dire ? Sinon que je n'y serais jamais arrivé .
Mais quelqu'un peut m'expliquer pourquoi un tel constat de cocufiage ne m'en rend que plus excité et amoureux, alors que cela passerait pour un drame pour tant d'autres ?
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