- 27 févr. 2019, 15:37
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Acte II
Cela fait un bon moment que Diane et moi sommes unis, que nous ondulons lentement et savourons sans un mot la douce chaleur de ma queue qui va et vient en elle.
Son cocu nous observe en silence, dans sa tenue féminisée de circonstance (nuisette, string, bas et porte-jaretelles). Pour l'occuper utilement, je lui ai ordonné de nous prendre en photo. J'ai précisé qu'il devait le faire avec mon téléphone, et non pas avec le sien, car je veux que ce soit moi qui détienne les clichés, et non pas lui. S'il est sage, je lui accorderai la faveur de lui en envoyer quelques uns. Mais pour les images comme pour les actes, c'est moi qui décide quoi, quand et comment.
Diane rompt le silence. "Camille, viens me lécher pendant qu'Etienne me prend !".
Elle apprécie beaucoup la stimulation du clitoris pendant la pénétration, son cocu va pouvoir se rendre utile. Diane le fait s'allonger sur le canapé, et vient se placer au-dessus de lui en 69. Je plonge ma queue dans la bouche de Camille pour lui faire sentir le goût du plaisir de sa Maîtresse, puis je la prends en levrette.
De temps en temps je lance quelques coups de reins vigoureux, mais le plus souvent je la baise doucement, lentement, car elle aime sentir chaque étape de la progression de ma bite au plus profond de son intimité. Pas une parole n'est prononcée. On n'entend que les bruits de succion de Camille et le claquement de mon bassin sur les fesses de Diane, qui rythme ses gémissements.
Cette position est particulièrement excitante, car elle participe symboliquement à la mise de chacun à sa place. Camille donne du plaisir à sa Maîtresse, mais personne ne s'occupe de lui. Dans le même temps, il assiste au plus près à ma prise de possession de Diane. Ma queue va et vient en elle juste sous ses yeux, et entre en contact avec sa langue tandis qu'il lèche le clitoris. Pour couronner le tout, mes couilles viennent frotter sur son visage. Il est témoin de ma virilité, aussi active que la sienne est cadenassée.
Tout cela m'excite tellement, que je dois marquer parfois un temps d'arrêt pour être sûr de ne pas éjaculer trop vite. Bien sûr, la position serait idéale vis-à-vis du cocu, mais je veux attendre encore et faire durer cette situation. Et comme Diane ne manifeste pas de désir d'abréger cette phase, je la fais durer pour notre plus grand plaisir à tous les trois (car je ne doute pas que le cocu en est bien heureux lui aussi).
Malgré tout, au bout d'un moment, je décide qu'il est temps de changer de lieu et de nous diriger vers la chambre pour nous installer plus confortablement que sur le canapé. Je vous raconterai bientôt cet acte III…