-Tu as bien dormi ? lui demandais-je, en la prenant dans mes bras.
-Très bien, jusqu’à ce qu’il me réveil en me caressant les seins, et qu’il glisse ses doigts entre mes cuisses…, regarde je suis encore trempée ! dit-elle sortant sa main de dessous les draps… avec un grand sourire.
J’observais le bout des doigts humides de la coquine lorsqu’elle ajouta :
-Il revient ce soir…, je l’ai invité pour le week-end…
Elle porta ses doigts jusque sous mon nez avant de se lever pour aller à la douche.
Je la regardais alors se diriger nue vers la salle de bain, admirant ses courbes, l’odeur de son sexe encore bien présent en tête…
En arrivant au travail, Cédric vint à ma rencontre, et me dit fièrement :
- C’est bon, tu vas pouvoir coucher avec Sandra, j’ai rempli le contrat ! chuchota-t-il avec un grand sourire.
A moins que cela ne soit déjà fait !
- Si seulement…, j’ai pas eu le temps…, on verra ce soir ! lui dit-je en souriant à mon tour.
Et merci !
- Avec plaisir, si t’as encore besoin, je suis ton homme ! dit-il en réfléchissant.
Ou le sien ! ajouta-il riant de plus belle .
Je répondais en riant à mon tour, sauf que moi je riais jaune, Cédric s’amusait de la situation, et pour ne pas perdre la face, je jouais le jeu. En effet, cela ne m’amusait pas beaucoup de passer après l’amant de ma femme.
Plus tard, je croisais Cédric plusieurs fois dans la journée, comme si de rien était, relation de travail tout à fait normale, et rien n’aurait pu faire penser à quiconque que la femme du chef avait passé la nuit avec un employé.
Dans l’après-midi, je lui touchais deux mots sur le week-end.
- Sandra m’a dit que tu venais ce week-end…, tu viens quand ?
Il parut hésiter puis me dit :
- Sandra m’a dit que je pouvais venir à la débauche… On vient d’en reparler par SMS…
- Tu n’as pas de change à prendre ? lui demandais -je un peu interloqué…
- J’ai toujours du linge propre dans la voiture, ou au boulot, ça m’arrive souvent de ne pas rentrer, j’ai même un duvet et un matelas dans le coffre ! dit-il en souriant.
- C’est vrai que t’es célibataire, tu vis au jour le jour…, t’as prévu pour samedi soir aussi ?
- Oui ça va, en plus Sandra m’a dit que si il fallait elle ferait une lessive.
Samedi, nous sommes tous invité chez notre pote, vous vous souvenez ? Celui avec qui nous étions à la plage, la fois ou j’avais surpris une conversation entre lui et Cédric et que ce dernier avait donné dix sur dix à Sandra…, la conversation qui avais déclenché tout cela…
Toujours est-il que, ma femme avait invité son amant chez nous sans m’en parler avant ! Ils allaient se retrouver seuls une demi-heure ! Et j’apprenais ça par hasard… merde ! c’est frustrant !
Encore un flot de sentiments contradictoires, qui faisaient que je me retrouvais jalousement excité…
Bon résumons :
- Cédric était invité à la maison, dès la débauche pour le week-end.
- Il sera chez moi trente minutes avant moi, puisque nos horaires sont décalés.
- Il passera la nuit à la maison.
- Puis passera la journée du samedi avec nous.
- Nous l’emmènerons à notre soirée entre ami le samedi soir et nous dormirons sur place car il est fort probable que nous soyons un peu fatigués…
- Retour à la maison en fin de matinée, et je pense que nous garderons Cédric à manger pour le dimanche midi.
Bon programme !!!
15H15, Cédric quitta son poste pour aller à la douche en même temps que les autres collaborateurs, puis me lâcha un discret :
- A toute !
- A toute…
Trente minutes passent rapidement en générale, sauf lorsque votre femme est avec un autre homme chez vous, que ce dernier a pris pour fâcheuse habitude de coucher avec la maitresse de maison, et que celle-ci prend plus de plaisir à se retrouver nue avec lui qu’avec son propre mari…
Il est maintenant temp de partir en week-end, et en cette fin d’après-midi, j’ai vraiment hâte d’arriver à la maison.
Le portail automatique s’ouvrit sur la voiture de Cédric, qui était garé devant celle de Sandra. Je me rangeais sur l’herbe, et me hâta d’entrée dans la maison.
Je fis comme à mon habitude, et rentrais normalement chez moi, sachant bien que vu la chaleur, ils étaient à la piscine à boire une bière les pieds dans l’eau.
Ah non… Personne sur la terrasse.
Mon cœur se mit à battre la chamade à l’entrée du couloir. Des chuchotements venaient à mes oreilles…, provenant directement de la chambre conjugale.
Je me dirigeais alors vers eux et entrais le plus naturellement possible dans ma chambre.
C’est ainsi que je découvris sur mon lit, ma femme et notre ami entièrement nus. Sandra à quatre pattes, bien cambrée, recevait les coups de bassin que Cédric lui assénait, à genou derrière elle. Les deux mains bien agrippées aux hanches de la nymphette, mon pote avait le regard rivé sur le p’tit cul ainsi offert à ses yeux.
- Ciel mon mari !!! dit Sandra avec un large sourire, satisfaite de la surprise qu’elle m’avait préparé.
Je fis comme si tout était normal et avançais dans la pièce, essayant d’apprécier la situation sans montrer la moindre jalousie. Jalousie qui n’en était peut-être pas… au vu de la grosseur qui enflait subitement mon jean sous la ceinture.
Cédric, quant à lui, fut bien plus surpris que moi, se figea net ! Planté bien au chaud au fond du ventre de ma femme, il ne me regardait pas et semblait vraiment mal à l’aise…
Je m’approchais alors de Sandra pour l’embrasser à pleine bouche. C’est à ce moment que Cédric voulu sortir de son fourreau. Mais la coquine n’en avait pas fini, et d’une main le rattrapa pour le remettre à sa place ondulant du bassin.
Je massais un sein de la belle, puis, avec deux doigts lui attrapa le téton, pour le faire légèrement rouler entre mon pouce et mon index, avant de me relever leur annonçant que j’avais besoin d’une bonne douche.
Je les laissais donc à leur activité pour une douche bien mérité, et faire redescendre la pression.
La douche prise, j’appris en sortant de la douche que Cédric avait perdu tous ses moyens dès qu’il m’avait vu , contrairement à elle qui s’en était trouvée d’autant plus excité.
Pour le coup, j’étais plutôt heureux qu’il n’ait pas réussi à satisfaire mon p’tit amour.
Je vous passe les banalités de piscine, apéro, repas et allons directement au moment du couché, je pense que c’est ce que tout le monde attend !
La jolie Blonde se coucha la première. Au centre du lit, elle portait une nuisette noir en dentelle.