Nous avions donc une semaine de congés en juin. Une semaine au programme flou. Candice savait son premier amant en itinérance, par chez nous, jamais trop loin de chez nous ... donc forcément j'organise séjour et visites en fonction en collectant difficilement les quelques informations indispensables.
Ayant eu le succès que l'on sait peu de temps avant avec son deuxième amant, elle ne s'emballe pourtant nullement. Elle tient toutefois à se montrer disponible. Et disponible pour Candice cela signifie sexy et joueuse, d'autant plus face à un défit quasi impossible.
Des le samedi, nous voici au point de départ de l'itinérance. Candice dans sa robe sa robe
classe-sexy-salope ... surtout avec mes dessous jaune cocu, n'est-cepas mon chéri comme elle aime la définir. Trois boutons seulement, un décolleté profond, en haut et en bas. Des talons ultra fin. Un sourire et regards assurés et acérés
L'accueil est chaleureux. Un tel divertissement dans leur attente du départ le serait à moins. Premiers échanges à demi mots au grand étonnement de Candice.
Profiter de l'instant présent ... de quoi sera fait demain ... toujours aussi belle ...Au fil de la journée nous les suivons de loin en loin. Toujours de petits signes échangés. Un point de passage technique devrait nécessiter un appui. Positionné en amont de leur passage, j'interviens. Il le remarque. Les faits plus que les paroles. Rendez vous pour les jours suivants. Candice pense possible de le capturer. Enfin, l'impossible n'est plus certain.
Sauf que le rdv du soir est impossible. Trop éloigné des voies d'accès civilisées. Pour nous préserver, j'emmène Candice visiter un lieu à découvrir et finir sur une note solaire et complice.
Évidemment, rentrés tard ce soir là, Candice demandera un long cunni à son chéri cocu. Son orgasme attester de ses pensées pour son amant
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
Notre histoire et nos jeux passés,
actuels et à venir sont
LA : Candice by SwedenSweden For Candice, notre présentation initiale, trace nos interrogations