Mars 2017... Montluçon, suite.
Je donne mon nom au réceptionniste qui en échange me tend les clés de notre chambre. A peine dans le couloir, je sors mon portable pour indiquer à Julien le code d’entrée pour la porte extérieur et le numéro de notre chambre.
La pièce n’est pas très grande et totalement impersonnelle comme souvent dans les hôtels. Une petite salle d’eau dans un coin, le lit, une petite table ? une chaise et une télé accrochée au mur. Marine pose son sac gibecière dans la salle de bain puis vient me rejoindre en s’asseyant sur le bord du lit à mes côtés. Cinq minutes plus tard, Julien entre à son tour et referme la porte derrière lui. Un bref coup d’œil à la pièce et il s’avance vers la table pour y déposer deux bouteilles d’eau. Puis il nous rejoint et s’assoit de l’autre côté de Marine. Pendant quelques secondes, nous faisons mine de nous intéresser à la déco, deux cadres ringards, un vase posé sur la table, un grand rideau occultant aux couleurs criardes. Marine prend la parole :
_ Pas terrible comme style.
Julien lui répond :
_ Pas grave, on ne va pas y vivre...
Nous rions ensemble. Puis c’est le silence et je me pose la question « Comment s’y prend-t-on dans ces moments là ? ». Je ne me vois pas en train de dire « Bon, allez, on baise ? ». Je pense que Marine doit se dire la même chose et je suis gêné pour elle. J’en suis là de mes réflexions lorsque Julien lève sa main et la pose sur la cuisse de Marine en lui murmurant :
_ Tu as dit tout à l’heure que tu avais les yeux bandés en juillet dans ce petit bois... Tu as aimé ça ?
Tout en parlant, sa main caresse doucement la cuisse qui ne bouge pas. Marine tourne la tête vers lui et le regarde avec un petit sourire.
_ C’était... Amusant... Et... assez excitant. Je ne savais pas à qui appartenait...
Petit silence.
_ Les mains ?
Elle rit avant de répondre :
_ Oui... entre autres choses...
_ Quelles choses ?
Elle ne rit plus. Julien continue de la caresser en remontant sa main de plus en plus haut. Je les observe, le cœur battant, une boule au creux de l’estomac. Je déglutis avec peine tant j’ai la gorge serrée. J’attends la suite...
Marine finit par répondre :
_ Les mains... Les bouches...
Julien ne la lâche pas des yeux. Sa tête légèrement penchée vers celle de Marine qui reste totalement immobile, en appui sur ses deux bras tendus posés en arrière sur le lit. Leurs bouches ne sont qu’à quelques centimètres l’une de l’autre. Julien continue d’une voix sourde :
_ Leurs sexes...
Marine ne dit rien et le fixe toujours droit dans les yeux. Lentement, je regarde la main de Julien se glisser entre les cuisses puis remonter lentement vers le haut, sous la jupe. Soudain, Marine tressaille et expire fortement d’un coup. Lentement elle ouvre un peu plus ses cuisses puis ferme les yeux. Sa respiration se fait plus saccadée et je devine que Julien visite sa chatte de ses doigts. N’y tenant plus je saisis le bas de sa jupe et le remonte doucement sur son ventre. Je ne m’étais pas trompé ! A mon tour, je glisse ma main entre ses cuisses et en tire une vers moi afin de l’ouvrir davantage. Puis je remonte vers les boutons de son chemisier et les défais un à un tout en regardant le majeur de Julien s’enfoncer dans la vulve ruisselant de ma salope. Lentement il commence à la masturber tandis que j’écarte les pans du chemisier, dévoilant la poitrine dressée aux tétons en érection. Je les masses lentement, saisit un téton entre mon pouce et l’indexe et le pince délicatement sous les yeux de Julien qui ne rate rien du spectacle.
Marine laisse échapper un petit gémissement, bouche entrouverte, yeux fermés, elle s’abandonne au plaisir sans aucune retenue. Lentement, Julien se penche et pose ses lèvres sur celles de Marine. Je vois leurs langues sortir et se trouver. Le bruit de succion de leur baiser ne laisse aucun doute sur leurs envies respectives.
J’ai la tête qui tourne un peu et souffle un grand coup pour chasser cet étourdissement. D’une main tremblante et moite, je continue de caresser ses seins et de l’autre, défais mon ceinturon puis mon pantalon. J’ouvre enfin ma braguette, laissant plus de place à mon sexe en érection. Je suis totalement hypnotisé par la main de Julien qui s’active doucement et soudain, Marine recule sa tête pour mettre fin à leur baiser puis elle saisit la main de Julien et la retire d’entre ses cuisses. Respirant fort, elle ouvre les yeux et lui murmure :
_ Doucement... Je... Ca va beaucoup trop vite là...
_ Ok ma belle... Tu es superbe... vraiment ! Difficile de résister à la tentation.
Marine, les joues écarlates, tourne la tête vers moi, baisse les yeux sur mon sexe en érection puis me regarde dans les yeux en me souriant avant de se retourner vers Julien :
_ Qui te demande de résister...
Puis elle se lève et se dirige, chancelante, vers la porte en balançant sont petit cul moulé dans sa jupe. Elle éteint la lumière principale et va ensuite vers la tête du lit pour allumer une petite lampe de chevet, plongeant la pièce dans une douce pénombre. Elle se retourne et sans un regard pour nous, entre dans la salle de bain en refermant la porte derrière elle.
Je suis sidéré par son aplomb. Elle qui, pas plus tard qu’hier, doutait encore de ses envies !
Je me lève et tout en regardant Julien, me déshabille. Il se lève à son tour et en fait de même.
Sa queue, de bonne taille, bien raide, se balance à chacun de ses mouvements. Il se rassoit sur le lit et je me penche vers lui pour lui demander :
_ Ca t’ennui si je prends quelques photos souvenir.
Il hésite puis avec un sourire :
_ Je m’en fou à condition que je ne sois pas dessus... Je ne voudrai pas me retrouver sur le net... Dans ma situation, ce serait compliqué à expliquer à ma femme, tu comprends ?
Je sens bien que ce n’est pas la peine de discuter. Pas la peine de lui parler de floutage ou de prise de dos, il est visiblement pas près pour ce genre de truc.
_ Ok, juste elle alors...
_ Ca marche... merci !
Entre temps, je note qu’on a débandé tous les deux. Je lui en fais la remarque et lui reparle de sa mésaventure lors de son premier rendez-vous et on part en fou rire.
_ Rassure toi, aucun risque ce coup-ci, elle est beaucoup trop excitante. Elle donne trop envie de la...
Silence. Je finis pour lui :
_ Baiser ?
On ne rit plus.
_ Oui ! Elle à l’air d’aimer ça et c’est vraiment trop bon...
Sa queue commence à se redresser tout comme la mienne. Je me penche vers lui et murmure :
_ Ca m’excite à mort de la voir se faire prendre par un autre, j’adore ça. Tu dois trouver cela étrange, non ?
_ Pas du tout, j’ai l’habitude de ce genre de situation, t’es pas le premier à prendre plaisir à mater sa femme se faire baiser par un autre. Ca ne me choque pas.
Soudain la porte de la salle de bain s’ouvre et Marine entre dans la pièce, vêtue d’une petite nuisette en tissu satiné de couleur rouge. Elle nous observe un court instant avec un léger sourire en coin, semble hésiter puis s’avance vers moi et me tend un masque de la même couleur que la nuisette. Julien se lève et sort de son sac une bouteille d’eau qu’il porte à ses lèvres pour en avaler deux grandes gorgées. Pendant ce temps, je place le masque sur le visage de ma coquine et lui passe le lien élastique autour de la tête en lui murmurant :
_ Tu es sûr que tu le veux ?
_ Oui. Je sais que ce genre de truc vous excite, vous les mecs.
Je pouffe de rire.
_ Il n’y a pas que les mecs... Toi aussi, non ?
A son tour elle rit en sourdine. Puis elle m’attrape le bras, en aveugle, et le serre très fort. Ma femme, ma coquine, ma salope, comme je l’aime en cet instant magique !
Je me recule doucement, l’abandonnant debout au bord du lit. Je me décale un peu pour leur laisser un peu de place et m’assois sur le lit. Je regarde Julien s’approcher doucement de Marine. Il pose sa main sur sa tête et lui caresse les cheveux puis de son autre main, il la pousse en arrière afin de la faire assoir sur le bord du lit.
Bras ballant, elle reste immobile. Julien s’avance vers elle, sa queue tendue vers le visage de ma coquine. Lui maintenant la tête d’une main, il avance son bassin de manière à poser son gland sur la joue de Marine qui sursaute légèrement. Elle remonte une main le long de la cuisse de Julien, atteint ses bourses qu’elle caresse du bout des doigts puis remonte le long de la verge jusqu’au gland qu’elle caresse à son tour.
Elle finit par empoigner sa bite et frotte ses lèvres sur le gland tandis que de son autre main, elle masse doucement ses testicules. Julien, les yeux fixé sur elle, respire de plus en plus fort. De ses mains il fait tomber le haut de la nuisette, les bretelles justes retenues par les bras de Marine qui continue son exploration. Puis il s’empare de ses seins et les malaxe doucement.
Je suis en apnée total ! Comme si j’avais peur que le bruit de ma respiration interrompe ce spectacle qui me scie le ventre. Je regarde le visage de Julien penché en avant pour voir ce que fait Marine et j’en profite pour prendre discrètement mon portable posé près de moi. Je l’avais positionné sur vidéo, je veux un souvenir de ce moment si intense ! La pénombre de la pièce m’aide un peu et je me dis que Julien est trop focalisé sur son plaisir pour s’occuper de ce que je fais. Je pose le portable sur le lit près de ma cuisse, prêt à le dissimuler sous un teeshirt qui traine là, aux cas où...
Marine embrasse le gland puis descend le long de la verge jusqu’aux couilles qu’elle lèche un peu avant de remonter en le léchant du bout de la langue. Julien laisse échapper un long soupir, toujours debout, bien campé sur ses jambes. Elle pose sa langue sur le gland et en fait le tour, titillant le frein. La salope est une experte, elle déguste cette bite comme il se doit ! Au bout de quelques secondes de ce petit jeu, elle embouche enfin la queue bien dressée. De sa main, elle le branle lentement tout en le suçant. De son autre main, elle malaxe délicatement les bourses. Pendant de longues minutes, elle dévore cette bite avec gourmandise, totalement dans le jeu. Plus d’interrogation, plus de questions, la salope a pris le contrôle de sa tête, de son ventre.
My Movie.mp4
Je finis par pousser le portable discrètement plus loin dans mon dos, je verrai plus tard le résultat. Là, j’ai envie d’en profiter, j’ai envie de partager ma femme avec lui !
Je m’approche d’elle, le corps tremblant, les mains moites. J’écoute le bruit de succion de sa bouche et je regarde de près le gland humide de salive à chaque fois qu’elle le sort d’entre ses lèvres avant de le reprendre profondément dans sa gorge. Je me sens presque mal, ne sachant que faire pour soulager cette tension insupportable qui me comprime la poitrine et me tord le ventre. Je me lève et me place à côté de Julien. J’approche mon sexe du sien, j’ai envie d’offrir à cette salope deux bites à sucer. J’ai envie de la soumettre comme une esclave sexuelle...
Pendant de longues minutes, Marine nous suce avec application, l’un après l’autre tout en nous branlant. A tour de rôle, nous balançons nos bassins d’avant en arrière tout en lui, maintenant la tête afin de bien lui enfoncer dans la gorge nos queues bien raide. Pas une seule fois elle ne se dérobe, même lorsque nous l’obligeons à essayer de prendre nos deux glands en même temps dans sa bouche trop petite. Sa langue nous butine, insatiable, affamée. Je suis le premier à stopper le jeu. A bout de résistance, prêt à éjaculer, je m’écarte et m’assois sur le bord du lit, tremblant de partout. Julien me rejoint presque aussitôt en se tenant la queue, lui aussi est visiblement à la limite de l’explosion. On se regarde en cherchant notre souffle. Marine ne bouge pas, haletante, assise bien droite.
J’ai la bouche sèche. Je me lève et attrape la bouteille d’eau tandis que Julien fait de même avec la sienne. Nous buvons quelques gorgées puis je m’approche de Marine et la fait boire à son tour. L’alcool désinhibe mais déshydrate aussi... Je pose la bouteille sur la table et sous les yeux de Julien, prends mon portable. Je le regarde droit dans les yeux et lui lance d’une voix forte :
_ Tu veux la voir complètement à poil ?
Il me sourit et me répond sur le même ton :
_ J’en ai trop envie...
Julien me fait un clin d’œil, comprenant le jeu de rôle que je viens de commencer. D’un signe de tête, je lui indique l’interrupteur mural pour avoir plus de lumière puis je m’approche de Marine et lui dit :
_ Je veux que tu lui montre tout... Tu aimes ça, pas vrai ? T’aimes ça leur montrer tes seins, ta chatte, ton cul...
Marine respire fort. Sa poitrine monte et descend au rythme d’une excitation que je devine intense.
Je caresse ses seins puis ses cuisses puis je me penche pour lui parle à l’oreille à voix basse :
_ J’ai trop envie de te donner à baiser... Suis sûr que tu en as envie aussi...
Elle ne répond pas mais je sens bien à son souffle que je la chauffe un max. La salope à vraiment pris le pouvoir sur la princesse !
_ Vas-y ma belle... Montres-nous...
Je me redresse et recule, prêt à photographier le show.
Marine se lève à son tour et à tâtons, monte sur le lit. Assise sur ses talons, elle dégage ses bras des bretelles de sa nuisette et la laisse tomber sur son ventre, exhibant sa magnifique poitrine à nos regards. Ses seins sont gonflés par le désir, bien fermes et ses tétons parfaitement dressés semblent nous inviter à les sucer.
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Au bout de quelques secondes, Elle se laisse aller en arrière et se retrouve allongée sur le dos, les cuisses bien écartées. Julien commence à se branler, les yeux rivés sur la chatte bien exposée. Marine remonte un de ses bras et place sa main sous un de ses seins comme si elle nous l’offrait en prime. La pause est parfaite et j’ai du mal ;à me concentrer pour la photographier. J’ai une envie folle de me branler moi aussi, envie de gicler sur elle, en elle...
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Je sens la sueur ruisseler dans mon dos, sous mes bras. J’ai le cœur en mode panique et n’arrive plus trop à réfléchir. Je perds un peu la raison et des envies quasi bestiales envahissent mes pensées.
J’en veux plus, plus d’exhib, plus de lâcher prise !
_ Montre lui mieux... lèves tes cuisses et ouvre les bien à fond !
Bouche entrouverte, la tête rejetée en arrière, La coquine place ses mains sous ses genoux et remonte ses cuisses au maximum en les écartant. Haletante, elle nous offre une vue d’une indécence totale sur sa vulve et son petit trou plissé.
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Julien jubile. Le souffle court il se branle sans retenue et murmure :
_ Mon dieu que tu es belle... J’ai trop envie de...
Son excitation est presque palpable et finit de me rendre fou. Je pose le portable et me branle à mon tour tout en regardant Julien s’accroupir sur le lit entre les cuisses toujours relevées. Puis il se penche et commence à dévorer le sexe de ma coquine. Il lèche son cul et sa vulve comme un affamé. Je m’approche pour mieux voir et ne perd pas une miette du spectacle. De temps en temps, il saisit les grandes lèvres écarlates dans sa bouche et les suce comme une friandise avant d’enfoncer sa langue bien tendue au cœur de la fleur rouge vif. Puis, tout en lui léchant le clitoris, il enfonce un doigt dans sa vulve et la branle doucement arrachant des gémissements de plus en plus fort à Marine qui a visiblement du mal à garder le contrôle. A chaque fois qu’elle va jouir, elle pose sa main sur la tête de Julien pour le garder en elle mais il se redresse et s’arrête quelques secondes pour qu’elle souffle un peu. Une vraie torture pour elle qui n’en peux plus de rester au bord de l’orgasme.
Il se redresse enfin, à bout de souffle et me laisse sa place pour que puisse continuer ce qu’il a si bien commencé. A mon tour je déguste son nectar, du bout de la langue puis à pleine bouche. A mon tour je la torture sans la moindre pitié, guettant le moment propice ou je dois m’interrompre afin de l’empêcher de chavirer dans la jouissance.
Je finis par me relever moi aussi, la laissant pantelante, gémissante, suppliante...
Je regarde Julien qui tremble de tous ses membres en continuant de la fixer. Je ne vois que l’envie primaire, l’envie bestiale du mâle devant une femelle en chaleur... Je me tourne vers Marine et lui dit d’une petite voix :
_ Mets toi à quatre pattes... Montres nous ton cul, ma belle!
Elle laisse lentement tomber ses cuisses sur le lit puis se retourne à plat ventre avant de prendre la position que je lui demande. Je la sens prête, prête à se faire baiser, prête à se faire prendre son petit cul devant moi. J’ai envie qu’elle le montre, envie de la voir demander.
_ Montre lui où tu veux sa queue !
Elle reste immobile quelques secondes puis glisse une main entre ses cuisses et la remonte afin d’indiquer d’un doigt son anus.
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Je m’appuis sur la table, les jambes en coton. Tournant la tête vers Julien, je lui fais un petit sourire complice et d’un signe de tête, lui montre la voie.
Il monte doucement sur le lit et prend un préservatif sur le chevet. Je ne l’avais pas vu et pris dans l’action, j’avais oublié ce détail si important... Il l’enfile sur sa, queue bien raide puis se positionne à genoux entre les jambes écartées. Marine ne bouge pas, prête à s’offrir. Quelle folie ! Un vrai moment d’extase pour le candau que je suis. Je regarde Julien lécher l’anus de Marine afin de bien le lubrifier puis il se redresse et crache un peu de salive sur son gland caoutchouté puis le place sur l’anus en avançant son bassin. Immédiatement, elle creuse les reins, se cambrant au maximum. Tout en maintenant les hanches de Marine bien en place d’une main, de l’autre il empoigne sa bite et l’enfonce lentement dans l’œillet totalement offert.
Marine reste statufiée tandis qu’il la pénètre aussi loin qu’il peut. Puis, saisissant ses hanches, il commence alors de lents allers-retours...
C’est d’une intensité rare, je frissonne rien qu’en fixant sa bite coulisser dans le cul de ma coquine qui visiblement apprécie. Elle commence à faire le même mouvement que lui avec son bassin afin de venir à sa rencontre à chaque coup de queue. Je m’avance face à elle et lui pose mon gland sur sa bouche entrouverte. Immédiatement, elle le prend dans sa bouche et commence à me pomper. C’est trop bon, deux hommes fous de désir se partageant une femme qui ne demande que ça ! Je me penche en avant et enlaçant son torse, je m’empare de ses seins que je masse doucement. Elle gémit de plus en plus fort, de plus en plus fréquemment.
Mais je sais qu’elle ne jouira pas ! Je sais qu’elle a besoin qu’on s’occupe de sa chatte et de son clito en même temps. Le fait d’être sodomiser accentue son plaisir mais ne déclenche pas d’orgasme en elle. A chaque fois que je la prends ainsi, elle se masturbe en même temps pour jouir. Je perds la notion du, temps. Combien de secondes, de minutes avant qu’à bout de souffle et de résistance, Julien se retire lentement pour ne pas, jouir. Il me regarde, un petit sourire au coin des lèvres. J’ai compris, en se relayant, elle n’en aura que plus de plaisir, plus de désir, plus de folie... Je me glisse à sa place et à mon tour, la pénètre lentement. Mais je ne choisis pas le même endroit, moi j’ai le droit de la visiter plus bas, entre les jolies lèvres roses gorgées de sang.... Marine adore être prise en levrette ! Aussi vais-je doucement car je sais qu’elle peut jouir très rapidement dans ces conditions là. Elle se met immédiatement en mouvement, ondulant tout en se balançant d’avant en arrière. Elle gémit puis lâche de petits bruits de gorge, comme des grognements de plus en plus sourds. A mon tour, je m’arrête et me retire, je la sens prête à jouir. Elle est tellement chaude, tellement prête à se donner. Je la regarde, tremblante, toujours immobile, attendant visiblement notre bon vouloir, soumise...
Je repasse devant elle, m’allonge sur le dos sous le regard médusé de Julien. Puis j’enlève le masque de Marine car je veux qu’elle comprenne ce que je veux faire. Lentement, je me glisse sous elle en position pour un 69. Elle écarte ses bras pour me laisser passer. Au passage je dépose des bisous, sur sa bouche, ses seins, son ventre puis me retrouve face à sa chatte, la tête entre ses cuisses. Je sors ma langue et lape sa vulve trempée tout en levant les yeux vers Julien. Nos regards se croisent et d’un hochement de tête, il m’indique qu’il sait. Il sait ce dont j’ai envie. Lentement, il se repositionne à genoux entre les cuisses de Marine. Tout en continuant de la lécher je regarde la queue de Julien s’approcher puis s’insinuer entre les fesses, juste au-dessus de mon front. Je suis au première loge pour voir cette queue superbement tendue s’enfoncer dans le cul de ma femme. C’est hallucinant, je ne maitrise plus vraiment mes émotions d’autant plus que tout en s’offrant à la sodomie, Marine commence également à me sucer. Un truc de fous. Même dans mes rêves les plus débridés, je n’avais jamais imaginé une telle situation. Je respire du mieux que je peux par le nez mais j’ai la sensation d’étouffer. Mes mains remonte vers ses seins et je les malaxe de plus en plus fort, pinçant ses tétons pendant que sa bouche laisse échapper de petits cris étouffés. Julien va et vient et ses testicules frottent mon front à chacun de ses mouvements.
Ma lucidité s’estompe, ma raison n’est plus, je deviens un mort de faim, faim de sexe, faim de baise. Je n’ai plus qu’un seul but, jouir et faire jouir la salope qui se tortille au-dessus de moi. Combien de temps ? Combien de temps passons nous à nous faire du bien tous les trois avant l’explosion ? Avant notre petite mort à tous les trois...
Marine gémit, ma bite dans la bouche, suçant comme une folle tout en subissant les coups de boutoirs de Julien, de plus en plus fort, de lus en plus vite. Je lèche sa chatte du mieux que je peux, enfonçant ma langue dans sa vulve, suçant son clitoris, me délectant de son jus intimes. Le bruit de succion de ma bouche sur sa vulve se superpose à celui de la queue de Julien allant et venant dans l’anus situé à quelques centimètres de mon visage.
Marine lâche des « hans » à chaque coup de bite et Je sens le moment venir.
Soudain, elle se met à me pomper comme une folle tout en criant la bouche pleine pendant que Julien la pilonne comme un comme un enragé. J’explose !
Je ne me soucie plus de rien d’autre que cela, j’éjacule dans sa bouche qui continue de me pomper, assoiffée de mon sperme qu’elle semble avaler au fur et à mesure. Soudain elle se redresse et lâche une sorte de petit jappement puis elle se cambre au maximum en lâchant un grand cri tandis que son corps se met à trembler avec une intensité inouïe. La salope jouie ! Par toutes les fibres de son corps elle extériorise un plaisir immense en appui sur ses bras tendus. J’ai le visage inondé, Marine se fait fontaine dans un lâcher prise total ! Julien lâche à son tour un grognement sourd venant du fond de la gorge, du fond du ventre. Sa queue totalement enfoncée dans l’anus de Marine, il ne bouge plus, le ventre agité de spasmes, comme le mien...
Je ne sais plus comment nous nous retrouvons tous les trois allongés côte à côte, le corps couvert de sueur. Marine essaie de reprendre pied mais a toujours du mal à respirer. J‘ai l’impression d’avoir couru un marathon tant je me sens faible, les jambes en coton. Julien n’est guère mieux et fait lui aussi des efforts pour calmer son rythme cardiaque...
Au bout de ce qui me semble être une éternité, Marine se lève, et se dirige en chancelant vers la porte de la salle d’eau qu’elle referme derrière elle, encore quelques secondes puis on entend le bruit de la douche.
Tout en enlevant son préservatif plein de sperme, Julien tourne la tête vers moi et me sourit :
_ C’était... C’était... Houaaaa....
_ Fantastique ! Pour moi c’était Géant !
_ Oui, c’est ça... Franchement génial ! Elle est... Merveilleuse ! Ta femme est merveilleuse. Je n’ai pas souvenir d’avoir rencontré une nana qui soit aussi... sensuelle quand elle s’éclate, vraiment !
Je pouffe de rire avant de répondre :
_ J’espère qu’il n’y avait pas trop de chambres occupées autour de nous...
Julien se met à rigoler en sourdine.
_ Ben si vous croisez des gens dans le hall, demain, qui vous regarde avec insistance, vous saurez pourquoi !
Marine revient avec une serviette nouée autour de sa poitrine et je file à mon tour prendre une bonne douche.
Lorsqu’à mon tour je ressors, Julien prend immédiatement ma place, laissant Marine seule sur le lit, entièrement nue, sa serviette posée sur le dossier de la chaise. Nous nous glissons sous les draps et je l’embrasse avec fougue sur la bouche afin de lui montrer que je l’aime toujours aussi fort. Elle se met sur le coté et se colle immédiatement à moi pour un petit câlin plein de tendresse.
Quelques minutes plus tard, Julien nous rejoint après avoir éteint la lumière et s’allonge de l’autre côté de ma petite coquine. Le bruit de leur souffle régulier m’indique rapidement qu’ils se sont endormis et je reste là, seul à me rejouer le film dans ma tête. Putain, quelle nuit ! je suis hyper bien dans ma peau...