Juillet 2017... Toulouse suite2
Je jette un coup d’œil à ma montre, 9h passé, pas trop de bruit dehors, juste quelques voitures qui passent sur la route. Marine est collée tout contre moi, sa tête sur ma poitrine comme à son habitude. On a beau être en dehors du sac de couchage, on a déjà chaud. Elle redresse sa tête et approche sa bouche de mon oreille pour me mordiller le lobe. Puis elle rit devant mon mouvement pour lui échapper. On est bien, détendu... Je la retourne à plat dos et me penche sur elle pour l’embrasser tendrement sur la bouche tout en attrapant un de ses seins avec une main pour le pétrir doucement. Elle se laisse faire tout en bombant le torse pour mieux s’offrir. Je pose ma tête près de la sienne tout en continuant de la caresser. J’ai envie de lui parler de Max et de sa proposition.
_ Tu en penses quoi, on va chez lui ou on file directement sur la côte cet aprèm ?
Elle tourne la tête de mon coté, visiblement surprise.
_ Ah! Je ne sais pas moi, tu as envie de faire quoi, toi ?
_ Heu... Non ! C’est toi qui décide, moi, je m’en fous.
Elle se met à rire puis me répond :
_ Ben voyons... Pourquoi je devrai décider seule ce genre de chose ?
Je ne dis rien, j’attends. Elle regarde le plafond et semble réfléchir, un sourire au coin des lèvres. Puis sans me regarder, elle lance :
_ Tu sais parfaitement comment ça va finir si on y va... pas vrai ?
Cette fois, elle me regarde en souriant d’un air moqueur. Je souris à mon tour, heureux de ce que je devine déjà concernant notre décision. Mais je continue de jouer l’innocent :
_ Et tu penses que ça finira comment ?
Elle me tire la langue puis répond tout bas :
_ Par une partie de jambes en l’air monsieur l’hypocrite !
_ Et... Tu en penses quoi ? Je veux dire... Tu en as envie... Comme hier ?
Elle ne sourit plus et me regarde droit dans les yeux pendant que je continue de lui masser lentement ses seins. Elle ferme les paupières puis me répond tout bas :
_ Je... Je ne sais pas. Je ne sais pas ce qui m’a pris hier. J’avais trop bu et il est beau mec mais il n’y avait pas que ça... J’avais envie de... De vous provoquer.
Ma queue se dresse lentement. J’approche ma bouche de son oreille, j’ai envie de lui faire avouer plus de choses intimes, plus de secrets coquins.
_ Tu as envie de sa queue ?
Elle glisse sa main entre nos deux corps et s’empare de mon sexe en érection. Elle me branle tout doucement et me répond dans un souffle ;
_ Oui... Et de toi aussi... Vous deux...
_ Moi j’ai envie de vous regarder encore. J’ai envie de le voir te baiser encore devant moi... Ca m’excite trop.
Tout en parlant, je lui pince un téton et j’entends son souffle s’accélérer tandis qu’elle me branle en serrant plus fort mon sexe.
Une voiture s’approche et se gare à coté de nous, puis une autre et encore une autre. Merde ! Ils se sont donnés rendez-vous à une heure précise pour s’occuper de cette saloperie de salle ! Ca me coupe dans mes envies et Marine aussi qui rit sous cape, c’est foutu pour ce matin. Je me relève, un peu contrarié. Je commence à attraper nos fringues posées sur la table. Marine fixe ma queue toujours dressées se balancer à chacun de mes mouvements.
_ Hummm dommage mon chéri... Finalement, ça répond à ta question !
Je la regarde, bouche bée. Elle continue avec un air narquois ;
_ On devrait aller chez lui.... Ne serait-ce que pour soulager cette tension que je devine chez toi...
Elle pouffe de rire en fixant toujours mon sexe qui ne faiblit pas dans sa raideur. Elle se fout carrément de moi et ça me rend immédiatement ma bonne humeur. Je lui jette ses vêtements en lui répondant :
_ Coté tension, tu auras ta dose, crois moi !
Elle rit en se levant pour ouvrir le placard contenant nos habits. Elle sort une culotte et soudain elle me lance :
_ Tu sais quoi ? Ben il a gardé celle d’hier...
On vient juste de commencer à nettoyer et ranger la salle que Max se pointe. Il fait le tour de ceux qui sont là, serrant la main des mecs et faisant la bise aux femmes. Il me rejoint en dernier et après m’avoir salué, m’aide à ranger les bouteilles vides dans un carton. Nous sommes suffisamment nombreux pour que le boulot avance vite. A midi, tout est terminé. On se regroupe dans un coin près d’une table où on a posé tout ce qui restait en boisson et bricoles à grignoter, pain, chips, fromage.... On improvise une sorte de pique nique en bavardant.
Avec Marine, on sirote un verre de vin rouge quand Max s’approche de nous et nous glisse :
_ Alors ? Vous faites quoi ? Vous venez chez moi ou vous partez ?
Je le regarde en faisant semblant d’hésiter. Un coup d’œil vers Marine qui me fait un léger sourire puis je le fixe dans les yeux et lui réponds :
_ Ben c’est gentil de nous inviter... On veut bien venir visiter et, si ça ne te dérange pas qu’on gare notre camping-car chez toi, on partira demain matin....
Un sourire illumine son visage et il nous répond du tac au tac :
_ Aucun soucis, ça ne me dérange absolument pas !
Il choque son verre contre les nôtres pour sceller notre accord puis s’éloigne vers un petit groupe de l’autre coté de la table. Marine me fait un rapide bisou sur la joue puis s’avance vers un couple non loin de nous. Je reste seul en me disant que finalement, ce petit week-end est une vraie réussite.
Je suis la voiture de Max, une petite Mercedes, pendant une bonne vingtaine de km avant d’entrer dans un petit village. On le traverse et à la sortie, il s’engage dans un chemin conduisant à une maison cachée derrière un petit bois. Un portail plein à ouverture électrique et nous voilà sur une allée de graviers finissant devant un double garage faisant face à une villa moderne avec de grandes baies vitrées. Le gazon est bien entretenu, le type aime visiblement que ce soit propre et ne manque pas de moyens pour cela.
Il nous fait visiter les lieux puis nous invite à nous assoir à l’ombre sous une tonnelle et nous apporte des bières fraiches. On discute de sa petite propriété et on apprend qu’il a un bon job qui paye bien et qu’il en profite. Il fini par nous parler de son petit péché, les voitures de sport... Il nous emmène voir dans son garage une japonaise d’un bleu rutilant.
Au fur et à mesure que le temps passe, je le vois jeter des regards de plus en plus fréquents vers Marine. Il faut dire que vu la chaleur, elle a choisi une petite robe très légère qui ne cache pas grand-chose de son anatomie. Je sais qu’elle aussi a remarqué ses coups d’œil et que sa nature exhib lui fait apprécier cela. Ses cuisses bien exposées, ses seins parfaitement visibles sous le tissu ultra léger, tout est fait pour attirer le regard de n’importe quel homme normalement constitué... Tout cela m’amène à ressentir une certaine fébrilité je guette la moindre initiative de leurs parts mais rien ne se produit ! Pire que ça, Max, tout en continuant de mater ma petite coquine, lui demande quels sont nos projets pour les jours à venir. Elle lui répond de manière évasive et Je commence à me dire que c’est peut-être à moi de provoquer certaines choses. Peut-être que Marine n’attend que ça, que je prenne l’initiative !
Je regarde machinalement autour de moi et tombe sur la japonaise bleue dans son garage grand ouvert. Et soudain, il me vient une idée pour orienter différemment la conversation. Le soleil se fait moins brulant en cette fin d’après midi, peut-être qu’une séance photo avec le bolide permettrait un certain relâchement. Je me décide et lance innocemment :
_ Elle est splendide, ta caisse !
Surpris, ils se taisent et me regardent tous les deux. Je continue en riant:
_ Mais on la voit pas bien, j’aimerai bien la voir au soleil....
Max se relève aussitôt :
_ Pas de problème. Je te la sors !
J’en étais sûr, il est trop fier de sa belle sportive. Je l’observe manœuvrer l’engin avec des ronflements virils quand Marine me demande :
_ Depuis quand tu t’intéresses aux voitures, toi ?
Je rigole doucement :
_ Depuis quelques minutes, mon amour.
Elle me regarde, visiblement dubitative. Max a mis fin aux rugissements mécaniques et revient vers nous. Je me lève et lui lance :
Tu ne trouves pas qu’il manque un truc pour la mettre plus en valeur... Tu sais dans les salons, il y a toujours une superbe fille à coté pour montrer deux belles carrosseries ensemble !
Il éclate de rire avec moi devant les yeux plissés de Marine. Je suis sûr que maintenant, elle a deviné mes intentions mais elle ne dit rien. Elle m’observe, un petit sourire au coin des lèvres.
On la regarde tous les deux avec Max et elle finit par sortir de son silence en riant :
_ C’est gentil de me comparer à ces superbes mannequins mais je suis quand même un peu plus ronde qu’elles !
Max s’avance vers elle :
_ Ca tombe bien, moi je préfère les petites rondeurs...
Ca y est ! C’est parti, je jubile intérieurement tandis que les premiers tremblements apparaissent au niveau de mes mains. Je n’ai plus qu’à les laisser faire. Je les observe comme deux combattants se faisant face, c’est déjà tellement excitant.
Marine ne bouge pas de son siège et se contente de fixer Max dans les yeux.
_ Tu veux dire que mes courbes ne dépareraient pas celle de ta voiture ?
_ Humm moui, c’est ça... L’ensemble serait sûrement magnifique à observer, Patrice a raison ! Reste à savoir quelle tenue mettrait le plus tes jolies formes en valeur... Et si tu en as !
Elle le regarde longuement, presque avec défi. Je sens qu’elle cogite et je ne doute pas une seule seconde qu’elle a envie de le surprendre, de nous surprendre. Sa nature exhib, son envie de nous provoquer, je frémis de tous mes membres rien que d’y penser. Mon sexe commence à se rappeler à mon bon souvenir en tentant de se redresser dans mon jean.
Soudain, Marine se lève et sans rien dire, s’avance vers la voiture dont elle fait lentement le tour en laissant sa main frotter la carrosserie rutilante. Puis elle s’arrête et ouvre les deux portières afin de regarder l’intérieur. Enfin, elle se tourne vers moi :
_ Bien ! On a la voiture... La fille... Le mec qui regarde... Il ne manque plus que le photographe !
D’un geste nerveux, je sors mon portable de ma poche arrière et active l’appareil photo. Je lève les yeux et lui fait un petit sourire de connivence.
_ Je suis prêt !
Elle tourne la tête vers Max et le plus naturellement du monde, enlève sa robe pour se retrouver juste en petite culotte. Puis elle se tourne vers la voiture, monte sur le capot puis s’allonge sur le toit dans une pose étudiée. J’en oublierai presque mon rôle de photographe ! Elle a osé, elle vient de passé en mode salope-exhib et c’est terriblement excitant. Je bande déjà et j’ai du mal à ne pas trop trembler pour prendre les photos. Prés de moi, j’entends Max souffler un grand coup et murmurer :
_ Putain ce qu’elle est bandante...
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Marine reste immobile comme si elle se faisait une petite séance de bronzage puis elle se redresse lentement, sûr de l’effet qu’elle produit sur nous. Elle se retourne et s’allonge de nouveau, cette fois sur le dos. Je m’approche et prends quelques photos.
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J’entends crisser les graviers, Max s’approche aussi pour mieux profiter du spectacle. Je regarde la poitrine de ma coquine se soulever amplement trahissant son excitation. J’ai la gorge serrée et je ruisselle de partout. Je ne sais pas combien de temps on reste là, sur nos jambes flageolantes à la regarder. Son ventre ondule au rythme de sa respiration, ses seins sont une invitation aux caresses, ses tétons... Comment résister à l’envie de toucher, de caresser, de pétrir, d’embrasser ! Soudain, elle se redresse et nous fixe, les paupières mi-closes. D’une voix légèrement tremblante elle murmure :
_ Est-ce que cela vous convient ?
Je ne dis rien, je veux rester simple spectateur pour le moment. Max lui répond, sur le même ton :
_ Tu es franchement bandante... Tu donnes envie de...
Silence puis elle se met à rire avant de poursuivre :
_ Envie de ?
_ Tu le sais très bien...
Elle sourit, sûr d’elle, en vraie maitresse du jeu.
_ J’aimerai bien une preuve quand même... Une preuve de ces envies...
Max dégluti avec difficulté et se tourne vers moi, hésitant. D’un geste ample, il enlève son teeshirt puis lentement, il défait son ceinturon, les boutons de son jean et le fait glisser sur ses chevilles. Glissant ses mains dans son slip, il le baisse doucement, exhibant sa queue dressée dans une érection parfaite. Il reste quelques instants immobile sous le regard gourmand de ma coquine.
_ Ca te suffit comme preuve ?
Elle lui souri et acquiesce en hochant doucement la tête. Puis elle me regarde, attendant visiblement que je fasse de même. Je m’exécute et me retrouve nu à mon tour dans le même état que notre complice. Elle nous observe en silence, l’un après l’autre. Max me pousse légèrement du coude et lance :
_ Ce n’est pas très juste, nous on n’a plus rien sur nous tandis que toi...
Elle pouffe de rire puis s’allongeant de nouveau sur le dos, elle glisse ses mains sous l’élastique de sa culotte et la glisse le long de ses jambes par petits saccades. Elle la fait passer autour de ses chevilles et la lance vers nous avant de se redresser, toute souriante.
_ C’est mieux comme ça ?
Max lui répond dans un murmure :
_ Beaucoup mieux !
Je poursuis :
_ Pour les photos, tu pourrai peut-être nous faire quelques poses...
Elle me regarde en se mordant la lèvre inférieure avec un petit air espiègle dans les yeux. Elle fait mine de réfléchir puis commence une sorte de show. Les positions se succèdent, toutes plus érotiques les unes que les autres. Elle se montre, s’exhibe, s’offre à nos regards hypnotisés. J’en oublie même de prendre les fameuses photos ! Finalement elle se redresse, assise sur le bord du toit de la voiture, une jambe sur le par brise arrière, l’autre pendante sur le côté. Son sexe, totalement exposé, focalise toute notre attention, comme s’il nous intait à venir le déguster. Marine le voit bien et s’ouvre un peu plus, provocante, un sourire au coin des lèvres. Max se branle tout doucement et d’une voix basse :
_ J’ai tellement envie de te baiser...
A mon tour je me caresse d’une main tandis que je lève l’autre pour prendre enfin quelques photos qui seront certainement floues mais qu’importe.
Elle nous fixe sans sourire maintenant, visiblement excitée par l’effet qu’elle produit sur nous, nous les mâles en rut n’ayant qu’une envie maintenant, baiser cette femelle en chaleur. Et soudain, avec une lenteur extrême, ma femme, mon épouse relève sa jambe et la plie pour poser son talon sur le bord du toit. Totalement écartelée, elle nous montre sa chatte dans une position d’une indécence incroyable. Sa poitrine se soulève au rytme de sa respiration haletante. Tout en elle exprime une tension sexuelle intense. Puis, en appui sur un bras dans son dos, elle remonte l’autre et pose sa main sur le haut de son sexe, comme pour mieux l’offrir. Enfin, elle bascule sa tête en arrière nous donnant ainsi une impression d’abandon total. Quelle magnifique salope ! Je la trouve tout simplement sublime ! Je respire un grand coup pour maitriser au mieux mes tremblements. J’ai la gorge tellement serrée que j’ai l’impression d’étouffer. Je ne sais pas ce qui m’excite le plus entre la position que nous offre Marine ou le regard halluciné de Max. Je lève mon portable comme s’il pesait deux kg et je prends deux ou trois photos.
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Je ne sais pas combien de temps elle reste immobile, nous donnant tout le temps nécessaire de la regarder, détaillant chaque partie de ce corps qui nous rend fou de désir.
Enfin, elle relève la tête pour nous observer et de nouveau avec un petit sourire de satisfaction, se laisse glisser sur le sol en prenant appui sur la portière arrière. Elle s’avance vers Max, totalement immobile, et tout en le fixant droit dans les yeux, pose sa main sur sa queue et la caresse lentement du bout des doigts. Elle avance son visage vers le siens et dépose rapidement un bisou sur sa bouche avant de le laisser pour venir vers moi. Elle me sourit et tout en se collant contre moi, m’embrasse à mon tour sur la bouche. Un baiser rapide, sur les lèvres juste avant de s’écarter pour se retourner vers la voiture. Elle s’avance sous nos yeux ébahis et monte sur la banquette arrière.
Nous somme là, pétrifiés, nous les mecs, complètement shootés, drogués, incapables du moindre geste, soumis. La salope nous tient en son pouvoir et elle en est parfaitement consciente !; Elle en profite, en use et en abuse en véritable maitresse du jeu. Un jeu qui n’en fini pas pour notre plus grande satisfaction à tous les trois...
Marine est visiblement dans son trip. Le plaisir de l’exhibition est inscrit dans ses gènes, c’est l’évidence.
De nouveau, elle s’allonge à plat dos, sur la banquette arrière. Ses jambes allongées prenant appui sur la portière opposée, elle laisse lentement pendre sa tête en arrière à l’extérieur de la voiture. De nouveau c’est l’extase pour nous.
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« Putain qu’elle donne envie ! ». C’est ce que je pense au fond de ma tête, dans un tout petit recoin où se cache un tout petit reste de conscience. Sa poitrine magnifique palpite sous nos yeux. Ses tétons bien dressés semblent tout durs et trahissent sans aucun doute pour moi l’excitation intense que doit ressentir ma belle coquine.
« Putain qu’elle donne envie ! ». C’est, sans aucun doute, ce que doit penser au fond de sa tête, Max ! Et il craque et le dit :
_ J’ai trop envie de ton cul...
A ces mots, elle se redresse, se rassoit sur la banquette et le regarde en riant. Puis elle sort de la voiture et remonte sur la banquette, à genoux. Elle se penche en avant et nous offre la plus belle vue qui soit sur ses fesses. Elle nous lance :
_ Tu parles de celui-là ?
La coquine est à fond dans la provocation. Quel contraste avec ses allures de soumission lors de nos précédentes rencontres, c’est tout simplement incroyable. De nouveau mon petit reste de conscience, je me dis « il faudra qu’on parle de ça plus tard ». Mais ce petit reste de conscience disparait d’un coup ! Marine écartant ses cuisses, glisse une de ses mains entre elles et pose le bout de son majeur sur l’entrée de sa vulve comme pour en interdire l’entrée alors que l’orifice juste au dessus demeure, lui, libre d’accès.
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C’est une véritable invitation ! Du moins c’est ce que Max en déduit... Il s’avance et pose ses mains sur le cul totalement offert. Il la caresse doucement, me jette un coup d’œil comme s’il cherchait mon accord que lui donne immédiatement d’un signe de tête. Je suis à bout moi aussi. J’ai trop envie de la voir se faire baiser. Elle a provoqué et maintenant elle va devoir assumer. Et son immobilité montre qu’elle n’attend que ça cette salope ! Fasciné je regarde Max laisser tomber avec précision de la salive sur l’orifice plissé bien offert entre les fesses ouvertes. D’un doigt il masse le petit trou plissé, doucement, pour le détendre. Mais en a-t-il besoin d’être détendu ? Ne l’est-il pas déjà ? Au bout de plusieurs seconde, il pose le bout de sa queue dans la raie bien ouverte et la frotte lentement de bas en haut. Marine ne bouge toujours pas mais on entend clairement son souffle saccadé. Soudain Max me jette un regard inquiet et murmure d’une voix basse :
_ Dans mon pantalon...
Je le regarde, surpris et comprends d’un coup, un préservatif ! Je me penche, fouille les poches et trouve l’objet. Je le lui donne et le regarde envelopper sa bite dans le caoutchouc. Punaise ! Je l’avais oublié ce truc ! Il aurait pu la baiser sans ce truc que cela ne m’aurait pas choqué.
De nouveau, il frotte sa queue contre le cul de ma bien aimée. De nouveau, il lui masse l’anus et de nouveau, finit par lui enfoncer un doigt, lentement, pour s’assurer qu’elle est prête à le recevoir. Et elle est prête ! Le petit gémissement qu’elle laisse échapper le montre clairement !
Fasciné, je regarde le gland caoutchouté s’appuyé sur l’endroit magique. Max tient sa bite fermement dans sa main pour qu’elle reste bien raide et l’enfonce tout doucement dans le puit serré de ma salope. Elle ne bouge pas, le souffle court et laisse entendre un petit râle du fond de sa gorge. Max s’enfonce jusqu’à la garde, son pubis tout contre les fesses. Je contemple ce magnifique spectacle dans un état second. J’ai comme un bourdonnement dans mes oreilles et la vue un peu trouble. Je me redresse et vacille sur mes jambes. Merde ! je vais tomber dans les pommes ? Ca tourne un peu et je me dirige vers l’autre coté en contournant l’arrière de la voiture. Je dois m’appuyer sur la carrosserie pour ne pas tomber. Je matche un peu comme un zombie, j’ai envie de sexe, envie de baiser, envie de voir ma salope se faire mettre et en redemander. J’ouvre la portière et me retrouve face à sa tête appuyée sur la banquette. Elle la redresse et me regarde, les yeux hagards. Elle est déjà en train de prendre son plaisir ! Elle se balance doucement d’avant en arrière sous les coups de reins du salaud qui l’encule. Je ne raisonne plus, je ne suis plus qu’un animal devant une chienne. Je monte à genou sur la banquette et me retrouve tout proche de Marine, ma bite près de son visage. Elle ne raisonne plus non plus. C’est comme un réflexe, elle ouvre la bouche et prend ma bite. Elle me suce le gland puis me pompe lentement au fur et à mesure que je m’enfonce dans sa bouche, pas trop profond quand même, pour ne pas l’étouffer. Il me reste quand même cette conscience, celle de prendre soin d’elle.
Je calque mes mouvements sur ceux de Max. Dès qu’il s’enfonce en elle, il la pousse en avant et elle gobe un peu plus ma queue. C’est un vrai délice. Cela dure, encore et encore. De temps en temps, j’offre mes bourses à lécher à ma coquine qui ne s’en prive pas tandis que sur un rythme toujours aussi lent et régulier, elle se laisse enculer profondément.
Le temps défile mais je n’en ai plus aucune conscience. Marine gémit, la bouche pleine. De là où je suis, je peux voir les mains de Max, bien ancrée sur ses hanches, Ses reins creusés, cambrée au maximum pour mieux s’offrir, mieux se donner, mieux le prendre en elle. A chaque fois que je sens que je vais craquer, je me retire de sa bouche pour laisser la tension retomber un peu. Je l’observe prendre son pied et c’est merveilleux. Je me dis que s’il le voulait, il pourrait sortir de son cul, enlever le préservatif et lui mettre sa bite dans sa chatte de salope. Je suis sûr que vu son état d’excitation, elle se laisserait faire... J’ai presque envie de lui dire, envie de lui chuchoter « baise lui sa chatte, vas-y ! ». Mais non, je ne peux pas faire un truc pareil, même si j’en crève d’envie, même si je ne maitrise plus grand-chose dans mes pensées. Il me reste l’essentiel, ce qui ne peut être déconnecté, même lorsque je laisse mon coté bestial prendre le pouvoir. Mon amour fou, notre complicité, mon respect, tout cela demeure dans le petit coin fortifié de ma conscience.
Lui prenant les cheveux sur sa nuque, je lui relève la tête pour lui donner de nouveau ma bite à sucer. Je remarque que Max accélère sensiblement sa cadence et la force de ses coups de reins. Marine gémit de plus en plus fort aussi et moi, j’en peux plus de me retenir. Oui, c’est bon, trop bon ! Nos corps se déchaînent, nos esprits sombrent peu à peu dans la folie. Max pilonne ce cul qui ne demande que ça. Marine ne gémit plus, elle grogne, elle râle. Je sors de sa bouche pour la laisser se libérer au maximum. Je me penche et constate que fidèle à son habitude dans cette position, elle se branle par en dessous. Soudain, c’est l’explosion, les deux en même temps ! Il pousse une sorte de feulement tandis que tétanisé, il reste enfoncé tout au fond du cul qui tremble devant moi. Ce salaud éjacule dans le cul de ma femme qui se branle frénétiquement dans un orgasme débridé. Elle ne cri pas, ne gémit pas, le bruit de gorge qu’elle nous offre est indescriptible. Et cela dure longtemps ! Elle s’effondre sur la banquette tandis que Max se recule, hors de ma vue. J’entends juste son souffle au dehors. Je suis là figé, contemplant la femme abandonnée, fatiguée qui récupère lentement, à plat ventre. Je me recule, descende de la voiture pour lui laisser plus de place. Elle murmure aussitôt :
_ Attends !
Elle reste un moment sans bouger puis se redresse lentement et s’assoit sur le bord du siège, les jambes au dehors.
_ Viens !
Je m’avance vers elle, ma bite tendue. Elle la prend entre ses mains, la caresse, la branle doucement puis l’embouche. Elle me suce, me pompe tout en malaxant mes testicules. De temps en temps elle me lèche, parcourant mon gland, ma hampe puis mes bourses avec sa langue avant de me reprendre en bouche de nouveau. Je suis à la limite, au bord de l’explosion. Je la supplie d’arrêter, lui dit que je vais partir qu’il faut qu’elle me recrache mais elle insiste, elle veut aller jusqu’au bout et je lâche tout !
J’éjacule dans sa bouche en longs jets. Ma queue se contracte par spasmes successifs pendant que Marine continue de me pomper avec un e sorte de rage. Elle finit par me lâcher et me regarde avec un petit sourire. Du sperme dégouline de ses lèvres et elle le recrache doucement devant moi.
La douche nous fait du bien, nous lave de la sueur mais aussi de la fatigue. Nous sommes tous les trois et on se marre. Max n’arrête pas de dire :
_ Putain, quelle spectacle tu nous as donné ! J’en reviens pas.
Et on rit.
On a faim aussi, Max nous annonce qu’il a de quoi nous rassasier, au barbecue, ça va être le top ! Il a de quoi manger, du vin et ensuite... Je me dis qu’ensuite, on sera prêt à remettre ça. Je ne suis pas rassasié et eux non plus, j’en suis sûr. En profiter un max, jusqu’au bout, c’est à ça que je pense pour la suite de la soirée qui débute.
. Je me dis souvent "si nos amis savaient, si la famille savait... Qu'elle surprise pour eux, ils ne voudraient, ils ne pourraient pas le croire.". Cela aussi, c'est excitant !Mzrine adore ce jardin secret.
