Juillet 2017... Toulouse suite3 et fin
La soirée est douce et on se sent bien dans le petit cocon discret qu’est la propriété de Max. Pas de voisins immédiats et une haie totalement imperméable aux regards. Entièrement nus, allongés sur des transats, on discute avec Max en sirotant nos bières. Marine n’est pas redescendue du camping car où elle s’est réfugiée pour se reposer il y a une heure environ. Max n’arrête pas de me parler du temps où il était étudiant, les copains, les filles... J’écoute avec attention et je finis par lui poser la question qui me turlupine depuis un petit moment :
_ Marine m’a dit hier que vous étiez sortis une fois ensemble... Il parait que tu te souvenais même de sa tenue... Tu as une sacrée mémoire ! Elle n’est pas ,rentrée dans les détails mais moi j’aimerai bien savoir. Tu peux me raconter ?
Il me regarde, un sourire au coin des lèvres, pensif. Puis il rigole et me répond enfin :
_ Ah oui, elle t’a parlé de ça ?
Silence
_ Tu veux savoir pourquoi je m’en rappelle si bien ? Ben c’est tout con. A l’époque, je me faisais pas mal de filles et je savais qu’elle faisait partie de celles qui ne jouaient pas à ces jeux là. Ca n’empêche pas qu’on avait sympathisé et j’arrêtais pas de lui demander « quand est-ce que tu m’accordes une soirée ? ». Elle me répondait toujours la même chose « même pas en rêve Don Juan ! ». C’était devenu un jeu entre nous. Je me foutais d’elle car elle s’habillait toujours en pantalon, même quand il faisait chaud. Je lui disais qu’elle devait être sacrément moche pour se cacher ainsi. Bref, on se chamaillait...
Silence, il semble plongé dans ses souvenirs et j’attends patiemment la suite.
_ Bon, juste avant la fin de notre année universitaire, un jour, je lui fais, en riant, la même proposition et là, bingo, elle me répond « quand tu veux ! ». J’étais tellement surpris qu’elle a éclaté de rire en voyant l’expression de mon visage. Bref, je lui ai donné rendez-vous pour le samedi soir suivant.
Quand je suis passé la prendre en voiture et que je l’ai vu sortir de son immeuble, là, elle m’a bluffé ! Canon, elle était canon ! Petite jupe noir et chemisier blanc avec un soutif noir que je voyais par transparence... Je te jure, elle était sacrément bandante...
Je ferme les yeux en tentant d’imaginer le tableau et je sens une petite crispation dans mon ventre. Je rouvre les yeux et lui lance :
_ Et ?
Il se met à rire avant de me répondre :
_ Ben je l’ai emmené au restau puis en boite pour danser. On a fini par s’embrasser et à ce moment là, je me suis dit que j’allais enfin pouvoir la baiser. J’en avais trop envie, t’imagines pas...
A mon tour de rire et lui dire :
_ Oh que si, je me doute...
On ne dit plus rien, chacun digérant ses pensées. Il reprend son récit avec une voix de confidence comme s’il craignait d’être entendu :
_ Ensuite, je l’ai ramené et sur le trajet du retour, je me suis arrêté dans une allée qui traversait un grand parc dans le campus. On s’est embrassé et j’en ai profité pour la caresser un peu partout, ses seins, ses cuisses... Elle se laissait faire donc j’ai vraiment cru que c’était gagné. J’ai défait son chemisier et baissé son soutien gorge pour lui masser les seins. Elle ne disait rien et continuait de me rouler des pelles. J’ai pris une de ses mains pour la poser sur ma braguette pour qu’elle sente ma trique et qu’elle me libère. Elle a commencé à me masser et croyant que je pouvais continuer mon exploration, j’ai glissé une main sous sa jupe, l’ai remontée et quand je l’ai posée sur sa chatte à travers sa culotte, elle s’est laissé caresser un peu puis tout d’un coup, elle m’a repoussé !
Elle était toute rouge et les yeux brillants elle m’a dit » Non ! je préfère qu’on en reste là, désolée. »
Putain, j’étais hyper excité et là, d’un seul coup, la douche froide. J’ai tout de suite compris que c’était inutile d’insister et je l’ai ramené chez elle et c’est tout.
_ Merde, je comprends que tu as du être sacrément frustré !
_ C’est le moins qu’on puisse dire... Mais bon, ça reste un bon souvenir quand même ! Et hier, quand je l’ai vu, je me suis dit « houa, elle est toujours aussi bandante ! ».
On se met à rire tous les deux en finissant nos bières. Il est cool ce mec et il me plait bien, dommage qu’il habite si loin de chez nous... Je le regarde et lui dit :
_ Oui mais ce coup-ci, tu l’as baisée !
_ Ouai et devant son mari en plus !
On rit de plus belle puis petit à petit on replonge chacun dans nos réflexions.
Au bout de quelques minutes, il reprend la conversation :
_ Franchement, je trouve formidable que vous vous éclatiez en couple comme ça, avec d’autres mecs. Ca fait longtemps que vous faites ça ?
_ Non, deux ans environ. C’est venu doucement, j’adore son côté exhib alors je l’ai poussée à se libérer sur ce plan là et puis petit à petit, elle s’est lâchée et j’en suis venu à avoir envie de la voir se faire baiser par un autre devant moi. Je ne sais pas pourquoi je suis comme ça mais je m’en fou, nous on adore jouer comme ça alors on s’éclate de temps en temps de cette façon.
_ Je vais te dire un truc, si on m’avait parlé d’elle avant de vous voir et qu’on m’ait demandé comment je l’imaginais aujourd’hui... Ben je l’aurai plutôt vu en mère de famille bien rangée, bien sage et bien conventionnelle. Mais certainement pas comme une... Libertine.
Je ris de bon cœur puis je me penche vers lui pour lui murmurer :
_ Mais tu ne te serais trompé qu’à moitié mon vieux ! Car en dehors de nos escapades, ma coquine redevient comme tu l’aurais imaginé, une maman bien comme il faut !
_ C’est ça, qui est dingue, je n’arrive pas à l’imaginer comme ça maintenant, surtout après le numéro qu’elle nous a fait tout à l’heure...
Je vais pour lui répondre quand la porte du camping car s’ouvre d’un coup pour laisser apparaitre Marine.
Elle nous repère immédiatement et se dirige vers nous d’un pas tranquille. Elle porte une sorte de tunique de coton a mailles très grossières donc très ajourées nous permettant de voir qu’elle ne porte rien dessous.
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Max la fixe des yeux et lui lance :
_ Tu peux te retourner s’il te plait ?
Elle lui sourit et s’exécute aussitôt, nous laissant admirer son cul que l’on devine facilement à travers la tunique.
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Puis elle se retourne et nous observe avec un sourire coquin.
_ Moi, au moins, je porte quelque chose... Même si c’est très léger...
Je lui lance d’un ton moqueur ;
_ Oui mais on ne voit pas bien si tu ne porte rien dessous... C’est pas net...
Elle se met à rire puis d’un seul coup, soulève sa tunique jusqu’en haut en disant :
_ Ben vous en avez la preuve maintenant !
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Puis elle laisse retomber l’ensemble et se dirige vers la table pour s’emparer d’une bière dans le seau de glace avant de venir s’assoir dans un troisième transat.
Max la dévisage un instant avant de lui lancer :
_ Tu sais qu’ici tu es à l’abri des regards... Tu n’es pas obligée de t’habiller...
_ C’est vrai. Un réflexe... Ceci dit, il y a vos regards à vous ! Ils en disent long...
Elle se met à rire en ajoutant :
_ Je me doute que je ne porterai pas ce truc toute la soirée...
Je ne peux m’empêcher de lui répondre :
_ Surement pas !
On rit tous les trois de concert, on est bien. Je somnole un peu en les écoutant évoquer leurs souvenirs d’étudiants. Max a du s’apercevoir que je n’étais plus vraiment avec eux et que je commencais à m’ennuyer un peu car soudain il lance :
_ Bon, c’est bien joli tout ça mais c’est l’heure de grignoter un peu !
Il se lève entre dans la maison par une grande baie vitrée grande ouverte, se dirige vers un comptoir où trône quelques bouteilles de vin. Il en débouche une et attrapant trois verres dans un placard, il les pose à coté de la bouteille en disant :
_ Tu veux bien faire le service, Marine ? Nous on va préparer le barbecue... Attention, moi le barbec, c’est sacré, au feu de bois, pas au gaz, un vrai de vrai ! Magrets de canard au menu, ça vous va ?
Quelle question ! Marine s’avance en souriant et debout devant le comptoir aligne les verres pour les remplir. Je l’observe en souriant et Soudain Max plaque sa main sur son cul et le pétrit doucement. Marine pousse un petit « oh ! » de surprise mais ne réagit pas plus que ça.
_ Ca va être dur de résister... Tu ne veux vraiment pas te mettre à poil ?
Elle se retourne et découvre en même temps nos deux bites commençant à se redresser. Elle éclate de rire :
_ Je ne pense pas que cela arrangerait les choses... Tes magrets risqueraient de ne pas sortir de ton frigo !
Max, bon joueur, retire sa main en riant et revient vers moi pour me dire :
_ Elle a raison, concentrons nous sur ce foutu barbecue.
Il jette un coup d’œil sur sa queue puis sur la mienne et murmure :
_ Mais je maintiens, ça va pas être facile.
Repas succulent, la viande grillée juste comme il faut, rosée au centre, juteuse, un régal ! Marine a préparé une petite salade pour l’accompagner. Tout est là, parfait, même le vin du sud ouest, excellent, qui nous chauffe doucement le ventre et nous amène lentement vers cet état d’euphorie si agréable... On rigole en parlant du film « la grande bouffe », un vieux film parlant d’une soirée décadente entre amis, une orgie. Max n’arête pas de solliciter Marine pour qu’elle enlève sa tunique et finalement, elle craque :
_ Bon, allez ! Tu me saoule avec ça !
Elle se lève se déshabille puis se rassoit, un sourire coquin sur les lèvres.
On la regarde sans rien dire et je sens ma queue se redresser lentement. Je devine une soirée, une nuit très agitée ! Max nous propose une glace pour le dessert, chocolat, il n’a que ça ! On accepte et il se lève pour aller les chercher. Il bande et passant près de la chaise de Marine, marque un temps d’arrêt afin de lui mettre sa bite devant elle. Elle éclate de rire, avance sa main et saisit le sexe et le branle un peu..
_ Hummm c’est un beau bâton mais je ne vois pas la glace...
Elle le relâche et le repousse en riant. Max repart vers un petit congélateur situé derrière le comptoir. Il farfouille dedans avant de revenir vers nous avec trois cornets qu’il nous distribue.
J’ai la queue hyper raide, ce petit jeu m’a littéralement déchiré le ventre et c’est d’une main tremblante que je m’empare de la friandise. On déguste la crème glacée lentement en silence. A quoi pensent-ils ? La question tourne dans ma tête et soudain, Max se met à rire doucement... Surpris, nous l’observons avec Marine, attendant qu’il nous explique. Il se lève et tout en nous regardant Marine, il fait couler un peu de glace fondue sur son gland. Puis il s’avance vers elle et place sa queue toujours en érection devant son visage.
_ Il y a de la glace maintenant... Tu veux pas la sucer ?
_ Rhhhôôôô mais c’est du grand n’importe quoi ça monsieur !
Elle tourne la tête vers moi en souriant puis saisissant délicatement le membre dressé d’une main, elle l’approche de sa bouche. Sortant sa langue, elle lape doucement la glace de bas en haut, plusieurs fois, tout autour. Ouvrant grand la bouche elle finit par le prendre entièrement et commence à le sucer. Posant sa main sur la nuque de Marine, Max ondule du bassin, le souffle court. Je suis totalement crispé de partout. Mon rytme cardiaque est en mode « alerte rouge ». Mon sexe me fait mal tant j’ai envie de baiser. Je frotte mes yeux plusieurs fois pour en chasser ce voile qui trouble ma vue. Impossible ^pour moi d’esquisser le moindre geste, je suis comme paralysé par l’excitation de dingue qui me ravage le corps.
Marine s’enfonce la queue profondément dans la gorge puis la ressort avant de replonger la tête en avant. Elle semble déguster cette bite comme un véritable dessert et je me dis qu’il va la baiser là, sur la table, devant moi ! Mais soudain elle se redresse, le regard floue et fixe Max qui tient à peine debout sur ses jambes tremblantes.
_ Elle est... Délicieuse...
Reprenant peu à peu ses esprits, Marine le repousse doucement puis se lève pour venir vers moi. Elle me sourit et me demande :
_ Ca va mon chéri ? Toi aussi tu as un beau bâton de glace ?
Je lui souris à mon tour :
_ Ben voui, moi aussi !
Elle rit plus fort et murmure :
_ Tu me montres ?
Je fais glisser ma chaise en arrière et m’écarte de la table. Toujours assis, j’écarte les cuisses tout en exhibant ma queue bien raide, toute rouge, gonflée de sang. Marine l’observe un moment puis s’agenouille entre mes jambes. Sa bouche s’approche de mon gland et l’avale d’un seul coup. C’est comme une décharge électrique dans mon ventre. Elle me suce, m’aspire, me dévore. Sa langue tourne autour de mon gland et c’est une véritable torture. Puis soudain elle s’arrête et se relève. De nouveau elle sourit puis se retourne et demande à Max de lui indiquer les toilettes et la salle d’eau pour prendre une douche et se rafraichir s’il le veut bien. Une fois partie, On s’observe, en silence, chacun cherchant ses mots. Je me lance :
_ Je crois qu’on va bien s’éclater.
Il hoche la tête en riant :
_ Sûrement ! Tu veux bien me la prêter ?
_ Héhé, plutôt deux fois qu’une... Elle est capable de s’occuper de deux mecs... Elle a dèjà fait...
Il me regarde, pensif :
_ Et ça t’excite énormément d’après ce que je vois.
On pouffe de rire puis il se retourne et s’avance dans le couloir. Il s’arrête devant une porte et me lance :
_ La chambre d’ami, c’est là... Si tu veux te reposer un peu avant d’attaquer les hostilités...
De nouveaux on rigole. On entend distinctement le bruit de la douche derrière une porte au fond du couloir. Max s’avance dans la chambre et ouvre en grand les volets pour faire entrer un peu d’air supposé plus frai maintenant qu’il commence à faire nuit. La douche vient de s’arrêter. Max s’avance vers la porte du fond, me laissant seul. Je l’entends demander à travers la porter :
_ Tu as trouvé les serviettes ou tu veux que je te montre...
Un silence puis le bruit d’une porte qui s’ouvre.
_ Ben ton placard est vide !
_ Ah oui, elles sont dans la panière de linge propre, j’ai pas eu le temps de les plier et de les ranger. Attends, je t’en donne une !
Puis de nouveau le silence... Qui se prolonge !
Je sors de la chambre et je m’avance à mon tour vers le fond du couloir. La porte de la salle de bain et grande ouverte et j’entends des chuchotements. J’avance ma tête pour jeter un coup d’œil et je reste figé.
Debout dos au lavabo, Marine branle doucement la bite de Max qui lui caresse les seins. Ils se parlent tout en se regardant droit dans les yeux.
_ Tu aimes ça faire bander les mecs, pas vrai ?
Leur respiration forte traduit leur excitation mutuelle et je tends l’oreille pour écouter la réponse de Marine.
_ Oui... Ca me plait bien.
_ J’ai trop envie de te baiser...
Leur bouche sont proches l’une de l’autre, trop proche. Elle se rejoigne et j’assiste à un baiser volcanique. Leur langue se mélangent, se cherchent, se lèchent les lèvres. Je regarde la main de Marine, crispée sur la bite de Max pendant que ce dernier descend sa main pour s’emparer de la petite chatte brune. Marine laisse échapper un gémissement et d’un mouvement presque brutal, Max la saisit aux hanches, la soulève et la pose assise sur le bord du meuble. Elle reste là, pantelante, le souffle court. Ses seins gonflés avec leur téton dressés suffisent pour me faire deviner son état d’excitation. Mais, le plus fou pour moi, c’est que la Marine que je vois maintenant s’est de nouveau transformée ! La dominante, la maitresse du jeu de la veille n’est ^plus là. Elle a laissé la place à la Marine soumise, celle que je connaissais déjà depuis longtemps. Je sens un filet de sueur couler le long de ma colonne vertébrale. Le voyeur que je suis ne veut rien perdre du spectacle qui se prépare. En cet instant, je suis persuadé que Max va réussir ! Il va abattre les dernières défenses, le dernier rempart, il va baiser ma salope, lui pénétrer sa chatte jusqu’au fond et elle va en redemander, j’en suis sûr ! Lentement je saisis ma bite et je commence à me branler...
_ Montre moi ta chatte comme tout à l’heure !
La voix de Max est beaucoup plus directive et maintenant je sais, je sais que c’est lui désormais le maitre du jeu. Elle vient d’opter pour le rôle de soumise, c’est flagrant. En bonne soumise, elle ne dit rien et, tête baissée, elle obéit !
Lentement, le buste bien droit, elle ouvre ses cuisses afin d’exposer sa vulve que je devine grande ouverte.
Max avance sa main entre les cuisses écartées. D’où je suis, je ne peux pas voir cet endroit et même si je peux le deviner, cela me rends fou. Quelle frustration ! J’ai envie de m’avancer et en même temps je me dis que je vais casser cet échange si excitant entre ma femme et son complice. Je continue de me branler en imaginant ses doigts visiter la jolie fleur rose écarlate.
Marine lâche une sorte de hoquet et tressaille. Relevant la tête, les yeux fermés, elle subit cette caresse qui visiblement l’amène au bord de l’orgasme. Max a du s’en rendre compte car je vois nettement sa main reculer. D’une voix rauque, il murmure :
_ Tu en as envie... Drôlement envie même... Tu as envie de ma queue pas vrai !
Marine souffle toujours aussi fort et ne répond pas. Il prend sa queue d’une main et avance son bassin. Ca y est ! Il va la baiser !!! Putain que c’est excitant, que c’est bon ! Je m’approche, tout près et je regarde ! Je vois le gland s’avancer vers la chatte offerte tandis que Marine respire avec difficulté. Elle penche la tête en avant comme si elle voulait voir elle aussi cette bite qui va la pénétrer, la tringler bien profondément.
Mais au moment où le gland entre en contact avec les grandes lèvres écarlates, d’une main elle saisit la queue et la redresse de façon à ce qu’elle vienne frotter contre sa vulve. Max continue son mouvement, comme si de rien n’était. Je le regarde onduler des hanches comme s’il la baisait. Nulle déception en moi, c’est déjà énorme ce que je vois là ! Marine, buste bien droit, tête rejetée en arrière, bouche grande ouverte, s’offre à celle de Max qui lui dévore les seins tout en frottant sa queue contre sa chatte.
Le jeu dur longtemps, longtemps. De temps en temps, Max s’écarte, me laisse sa place et me regarde tandis que je baise pour de vrai Marine, lentement, profondément. Puis lorsque je suis au bord du gouffre, prêt à jouir ou que je sens Marine au bord de l’orgasme, je laisse Max reprendre sa place. Finalement je finis par leur suggérer d’aller dans la chambre...
Hagarde, elle glisse sur le sol et on doit la retenir pour qu’elle ne tombe pas. Elle s’avance en chancelant derrière Max vers la chambre.
Le lit est là, grand, prêt à nous accueillir. Max s’y assoit, regardant Marine debout devant lui, tremblante. Je fais exprès de rester un peu en retrait dans l’embrasure de la porte, je veux que ce soit lui qui mène le jeu, j’ai envie de la voir se soumettre encore !
Il la regarde longuement, détaillant son corps puis me jette un coup d’œil, guettant un signe de ma part qui ne vient pas. De nouveau il la regarde droit dans les yeux et s’allonge sur le dos, jambes écartées. Il me jette un sourire de connivence et lui dit doucement :
_ Montre à ton mari comme tu aimes bien sucer une autre bite que la sienne…
Il a compris, j’adore ce mec ! Il sait, il sait ce que j’attends de lui et il le fait.
Marine hésite, tourne la tête vers moi et voyant mon état, se retourne vers Max et avance vers lui. Elle se laisse tomber à plat ventre entre ses cuisses et s’empare immédiatement de sa queue avec sa bouche. En quelques secondes, la chambre résonne de bruits de succion. Je m’appuis contre le montant de bois, j’ai la tête qui tourne, du mal à respirer, J’ai la gorge serrée et une boule au ventre. Je respire à grands coups pour lutter contre cette sensation presque désagréable de perte d’équilibre. Marine le dévore goulument, sa verge, son gland, ses bourses. Elle le lèche, le suce, l’avale, glissant sa langue jusqu’entre ses fesses pour bien le lécher dans les moindres recoins. Max, le ventre creusé, les bras remontés sous sa tête, souffle comme un marathonien. Je m’approche, les mains crispées sur mon portable que j’ai attrapé au passage avant de les rejoindre. Je suis au-dessus d’eux, au-dessus d’une belle salope qui se lâche complètement !
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Je regarde Max perdre peu à peu le contrôle. Marine le sent et cela l’excite encore plus, elle se démène comme une furie. Sa bouche est partout. Ses mains s’activent, caressant, branlant ce sexe qui lui donne tant d’envies. Je la vois glisser une main sous les fesses de Max qui dans une sorte de réflexe, relève ses jambes pour mieux s’offrir. Elle explore ses bourses de sa bouche tout en caressant son anus de ses doigts. Il gémit et soudain se redresse, à bout de résistance. Il repousse la tête de ma coquine qui le fixe, hagarde, les yeux fous. Je devine qu’elle aussi ne sait plus trop où elle en est.
Max l’attrape par les épaules et la tire vers lui, l’obligeant à s’allonger près de lui. Il se redresse sur ses genoux et la contemple quelques secondes avant de se mettre à quatre pattes au-dessus d’elle, tête bèche. Marine ouvre immédiatement ses cuisses et Max abaisse sa tête pour la dévorer à son tour tout en se faisant de nouveau sucer.
Je m’approche et prends une photo en gros plan de sa langue visitant la vulve bien ouverte.
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Mon dieu que c’est beau de voir cette langue visiter tous les plis de cette fente qui ne demande que cela.
La bouche pleine, Marine gémit, ondulant du ventre, écartant les cuisses au maximum pour mieux s’offrir à cette langue qui la rend folle. Elle se trouve dans cet état second ou plus rien ne compte, rien d’autre que le plaisir du corps.
Max n’en peux plus lui non plus, il se dégage en roulant sur le coté. Je monte sur le lit et me met sur elle à mon tour. Je la déguste pendant qu’elle me prend dans sa bouche. Encore de longues minutes à gémir, se frotter, lécher, sucer. Max a récupéré son souffle et nous observe. Finalement je roule sur le coté moi aussi afin de souffler un peu. Je suis allongé sur le dos, le ventre en feu, du brouillard plein la tête, les yeux fermés. La bête est en moi, je veux voir jouir la salope allongée à mes cotés qui reprends son souffle, elle aussi. J’ai envie de la tringler, de la baiser, de l’offrir à l’autre pour qu’il la baise lui aussi, bien à fond, envie de l’entendre crier sa jouissance, hurler son orgasme !
Soudain le lit se met à bouger et j’ouvre les yeux. Max se relève et tout en lui caressant les seins, demande à Marine de me chevaucher. Il veut la voir s’empaler sur ma queue. Sans rien dire, elle s’exécute en bonne soumise. Elle se place au-dessus de moi et saisissant ma bite pour la tenir verticale, elle abaisse son bassin et se la rentre doucement dans sa vulve. Putain que c’est bon ! Je plaque mes mains sur ses hanches et accompagne les mouvements de son bassin d’avant en arrière. Elle adore cette position. Je me dis que Max la baisera après moi, qu’il lui prendra le cul pendant qu’à mon tour je pourrai me rincer l’œil et ainsi de suite, jusqu’au bout de nos forces.
Marine se balance de plus en plus vite, de plus en plus fort et il est clair qu’elle va rapidement jouir si elle continue ainsi et moi aussi !
Soudain, Max s’avance à genoux dans le dos de Marine et la saisit par les épaules afin de l’immobiliser. Surprise, elle me regarde, haletante. Je regarde Max par-dessus l’épaule de ma coquine et le voit pousser le dos de celle-ci en avant pour l’obliger à se pencher vers moi, sa tête au-dessus de la mienne. Puis il se met à genoux derrière elle. Marine ferme les yeux et pose sa tête tout contre la mienne. Je sens son souffle sur mon oreille tandis que je regarde Max coller son visage entre ses fesses. Ma queue toujours au plus profond de son ventre, je ressens les contractions de son périnée tandis qu’il lui lèche l’œillet. Un petit « hummm » de satisfaction s’échappe de ses lèvres...
Max finit par se relever et murmure :
_ Cambre toi bien ! Je vais te baiser en même temps ! Suis sûr que tu vas aimer ça...
Marine redresse la tête et me regarde, un peu affolée. D’une petite voix tremblante :
_ Tu... tu veux dire vous deux en même temps ?
J’aperçois, du coin de l’œil, Max laisser échapper un filet de salive qui tombe entre les fesses bien ouvertes.
Je vois un de ses bras s’activer et Marine fermer les yeux en se mordant la lèvre inférieure. De nouveau elle laisse tomber sa tête contre la mienne et je l’entends me souffler :
_ Je... Je ne sais pas si... On n’a jamais fait ça... C’est... C’est trop compliqué...
Je tremble de partout tant je suis excité. Un truc de folie, un fantasme qui me trotte dans la tête depuis une éternité. Les rares fois où j’en avais parlé à ma bien aimée, elle en avait ri en en parlant comme d’une chose impossible. Un truc qui ne lui faisait pas particulièrement envie.
Je passe mes bras autour de ses épaules tandis que je donne de petits coups de rein pour aller et venir en elle.
_ Détend toi ma belle... Je suis sûr que tu va prendre ton pied... Ouvre bien ton petit cul...
Je regarde Max par-dessus les épaules de Marine et je devine qu’il lui masse doucement l’anus afin de le détendre pour le préparer à la pénétration. Elle lâche un petit gémissement et murmure :
_ Oh nooonnn, je...
Elle ne finit pas sa phrase et se raidit. Je reste immobile toujours au fond de son ventre et je regarde Max, à genoux et penché en avant. Il tient sa bite dans sa main et la plante tout doucement entre les fesses ouvertes de Marine. En appui sur un bras, sa position me semble assez inconfortable. Soudain, Marine laisse échapper une sorte de grognement suivi d’un hoquet. La respiration soudain bloquée, elle se laisse pénétrer lentement par la queue de Max.
Enfin, il se met doucement en mouvement et c’est tout simplement fantastique !
Ecrasé sous le poids de Marine, j’essaie de participer en donnant des coups de rein. La sensation est tout simplement extraordinaire car je sens le sexe de Max non loin du mien. En appui sur ses deux bras, il baise lentement ma coquine et j’essaie tant bien que mal de me synchroniser avec ses coup de queue. Marine respire de plus en plus fort et se met doucement en mouvement à son tour en ondulant de ventre. Elle gémit de plus en plus viten de plus en plus fort tandis que Max accélère peu à peu sa cadence. Ses coups deviennent plus forts, plus violents. Le bruit de claquement de ses testicules contre les fesses de Marine s’amplifie tandis que ma salope se met à grogner tout en s’agitant elle aussi de plus en plus vite. Je n’ai plus la force de soulever mon bassin et je me contente d’onduler, ma bite bien tendue dans son vagin.
La pièce résonne du bruit de forge qu’on laisse échapper sous l’effort et le plaisir qui nous ravage. Marine est déchainée. Ses gémissements se sont transformés en râles entrecoupés de feulements. Elle aussi s’est mise en appui sur ses coudes pour mieux bouger son ventre, mieux se balancer d’avant en arrière. Leurs mouvements se synchronisent naturellement et le spectacle de leur furie est tout simplement extraordinaire pour le candauliste que je suis. Ma femme se comporte en véritable salope, complètement livrée à ses sens les plus primitifs. Le visage crispé par l’effort, les yeux fermés, elle rugit comme une folle en se balançant d’avant en arrière, totalement incontrôlable. Chaque coup de rein de Max se transforme en un choc entre nos deux pubis, son clitoris s’écrasant contre la base de ma queue. Je sens les spasmes de ses muscles internes autour de ma bite et dans un éclaire de lucidité, je me dis que je ne vais pas pouvoir tenir longtemps à cette cadence...
Marine « craque » la première. Un orgasme d’une violence inouï ravage son corps. Tétanisée, les bras tendus, la tête rejetée en arrière, elle hurle littéralement tandis que son corps agité de soubresaut se cambre tel un arc. Je sens la fontaine inonder mon ventre et couler entre mes cuisses tandis que Max continue de la sodomiser comme un fou. J’explose presque en même temps que lui ! Je lâche un bruit de gorge ressemblant à un « rhhhaaaaa » tandis que je me vide en saccade tout au fond de ma salope qui s’effondre sur moi, à bout de souffle. Max, fiché au fond de son cul, toujours en appui sur ses bras tremblants, se vide lui aussi en ce que je devine être de longs jets de sperme.
Je ne sais plus vraiment comment on se retrouve allongé cote à côte, respirant comme si on venait de remonter à la surface après une longue plongée en apnée. Nous sommes littéralement épuisés. Je sens le drap complètement trempée sous mes fesses. Marine doit être toute collante de sperme entre ses cuisses et ses fesses mais nous sommes trop fatigués pour aller prendre une douche.
Machinalement, elle vient se blottir contre moi et je l’enlace de mes bras.
Je me réveille et je note aussitôt la lumière du jour filtrant au travers des volets entrouverts. Marine dort toujours, lovée contre moi par contre Max n’est plus là. Je sais qu’il bosse aujourd’hui mais est-il déjà parti ? Je regarde de droite à gauche et tombe sur un radio réveil, 8h30 ! Je n’en reviens pas !!!! Je me dégage doucement des bras de ma petite femme chérie et me lève en silence.
Max n’est plus là. Une bonne odeur de café me chatouille les narines. Sur la table, des bols, du pain, du beurre et de la confiture ainsi qu’une feuille de papier :
« Chers amis, Merci !!! Un énorme merci, pour ces moments merveilleux. Vous êtes tous les deux formidables et j’aimerai bien qu’on se revoit un jour. Je vous laisse donc mes coordonnées au cas ou vous aussi, vous en auriez envie.
Faites comme chez vous et bonnes vacances ! Amicalement, Max »
