Châlon, suite 4...
J’ai du mal à garder les idées claires, je tremble de partout. J’ai envie de sexe, envie de voir ma femme s’éclater avec l’autre. C’est sans doute incompréhensible mais ça me tient au ventre. Au fond de moi, je suis sûr que Marine est dans un état d’excitation tel qu’elle aussi éprouve sans doute quelque chose de comparable à ce que je ressens. Jusqu’où est-elle prête à aller ? Que puis-je proposer en tant que maitre du jeu ? J’aimerai tant qu’elle se lâche, qu’elle se laisse aller pour qu’on puisse en profiter tous les trois.
J’hésite, mes pulsions sont là, bien présentes... Et puis à quoi bon en arriver là si je ne me lâche pas un peu moi aussi !
Puisque ça l’excite de s’exhiber pour nous faire bander, autant qu’elle continue alors ! Tout en regardant ma coquine, je lance d’une voix tremblante :
_ Tu as déjà vu une nana se masturber devant toi ?
J’entends Yohan déglutir bruyamment. Il pousse un grand soupir puis me répond :
_ Non ! Jamais ! Mais j’aimerai trop voir ça…
Sur un ton plus ferme, j’ose enfin :
_ Montre lui ma belle. Branle-toi !
La poitrine de Marine se soulève de plus en plus vite au rythme de sa respiration saccadée. Durant quelques secondes, elle ne bouge pas. Je devine l’affrontement entre un reste de pudeur et une envie sexuelle obnubilante. Et tout d’un coup, les joues rouges, avec des gestes mal assurés, elle se redresse puis glisse de nouveau au centre du lit où elle se laisse tomber en arrière, jambes légèrement ouvertes.
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Puis, tout doucement, elle pose ses mains de chaque coté de sa chatte sur ses cuisses et les écarte lentement, de plus en plus, jusqu’à nous offrir une vue magnifique de sa vulve luisante de désir.
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Elle reste ainsi durant quelques secondes afin de nous laisser le temps de bien en profiter. Puis, elle remonte une main et s’empare d’un de ses seins tandis que l’autre descend sur sa vulve. Lentement, elle commence à se caresser, glissant ses doigts entre ses grandes lèvres humides, fouillant délicatement l’entrée de son vagin avant de remonter titiller délicatement son clitoris. De nouveaux, les doigts descendent, s’introduisent un peu dans la fleur rouge écarlate avant de ressortir et remonter. L’autre main pétrit le sein gonflé par le plaisir, pinçant un peu le téton de temps en temps… Elle commence à haleter puis laisse échapper de petits gémissements tandis que les mains continuent de s’affairer.
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Le spectacle est grandiose ! Je suis sidéré par ce que ma coquine ose nous montrer. Je me dis qu’enfin, elle se lâche et c’est génial ! Je jette un coup d’œil sur Yohan qui tient toujours sa queue, immobile. Lui aussi est visiblement en extase devant ce qu’il voit…
La tension est insoutenable, je n’en peux plus de désir. J’étouffe, tant je sens ma poitrine comprimée par une émotion hors norme. Putain que j’ai envie de la voir baiser !
J’en peux plus ! Je grimpe sur le lit et me place à genoux à coté des cuisses largement ouvertes. D’un petit signe de tête, j’invite Yohan à me rejoindre et à se mettre face à cette chatte que j’ai tellement envie de partager. Marine a du mal à respirer, probablement excitée par tout ce qu’elle devine mais aussi toutes ses pulsions qu’elle n’a sans doute jamais osé avouer à personne. La bouche ouverte, elle cherche l’air comme un poisson hors de l’eau.