Suite...
Je n’en peux plus. Marine, à quatre pattes devant moi m’offre une vue imprenable sur son cul magnifique. Lentement, elle glisse une main sous son ventre puis entre ses cuisses et la remonte vers sa vulve. D’un doigt léger, elle se caresse tout doucement son clitoris puis doucement, introduit son majeur au cœur de la magnifique fleur rouge. Le doigt entame un lent mouvement de va et viens durant quelques secondes puis ressort et retourne vers le clitoris.
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Vu ma position, je ne vois pas son visage mais j’entends son souffle, de plus en plus fort, de plus en plus saccadé. Je devine son excitation aussi intense que la mienne. J’ai moi aussi du mal à respirer, la gorge serrée dans un étau. Le spectacle est grandiose. Soudain, Marine se redresse puis se retourne pour me faire face. Bouche entrouverte, le souffle court, elle m’observe au travers de ses paupières mi closes. Son regard descend lentement pour s’arrêter sur ma braguette. Je devine son désir, son envie presque animale. Ma raison vacille, ce n’est plus Marine que je vois mais une femme avide de sexe et à mon tour je laisse la bête s’emparer de mon âme.
Je me lève et défais le bouton de mon pantalon que j’enlève aussitôt. Je m’avance vers elle et baisse mon slip puis me redresse, exhibant ma queue en érection face à son visage. Aussitôt elle s’en empare d’une main et approche sa bouche. Je sens son souffle tout chaud sur mon gland puis ses lèvres se poser et parcourir mon sexe en une douce caresse. Le supplice dure plusieurs secondes puis elle ouvre la bouche et sors sa langue et le jeu recommence, parcourant la hampe puis mes bourses avant de remonter lentement. Enfin elle s’arrête, lève la tête pour me regarder droit dans les yeux avant de se pencher de nouveau. Cette fois, elle me prend entièrement, goulument… Elle me dévore, me suce profondément tout en me branlant de sa main. Je ferme les yeux et retiens mon souffle, je dois tenir, ne pas défaillir, pas maintenant… Et au moment où je vais céder, Elle s’arrête et se redresse pour me dévisager sans lâcher mon sexe qu’elle tient toujours dans sa main. Elle me fixe avec une lueur d’arrogance, de défi, sûre d’elle, sûre de son pouvoir sur moi. Mais la bête en moi me dit qu’il est temps, temps de montrer que c’est moi qui dirige. J’ai envie de la soumettre à son propre plaisir, je veux l’entendre supplier !
Je pose ma main sur sa poitrine, pétris doucement ses deux lobes gonflés par l’excitation. Marine ferme les yeux, déjà soumise. Je saisis ses mamelons durcis par le plaisir, les pinces délicatement. Elle se redresse, bombe le torse et laisse échapper un petit gémissement. Je la pousse en arrière sur le lit, saisis ses cuisses et les ouvre largement. Sa vulve est là, brillante de désir. A mon tour je me penche afin de la déguster comme un fruit bien mûr dont on lèche le jus. Au bout de quelques secondes, elle gémit, halète, cherchant l’air tout en se cambrant par soubresauts, avide de ma bouche. Sa main plaquée sur ma nuque tente de me retenir dès que ma langue s’échappe de ses pétales dégoulinant de sève. Finalement, elle fini par le dire, toute fierté disparue, vaincue. Elle me supplie de la prendre qu’elle n’en peut plus, qu’elle a trop envie de me sentir en elle. J’insiste, je la veux brisée, soumise…
Je me redresse et la regarde happer l’air à grand coup comme si elle venait de courir. J’ai envie de la baiser par derrière et le lui dit ! Car pour nous, en cet instant, après cette mise en scène si particulière, il n’est pas question de faire l’amour. Il y a des moments où l’amour se met en retrait devant le plaisir purement bestial du sexe.
Elle se retourne et se met à quatre pattes devant moi, jambes écartées, totalement offerte. J’avance ma main, caresses les lèvres de son sexe d’un doigt. Elle se cambre et gémit de nouveau. Je prends ma queue, la place contre sa vulve et m’enfonce dans ce puit qui m’aspire. Immédiatement, elle se met à onduler du bassin au rythme de cette danse si particulière, la danse du sexe consentie par deux êtres avides l’un de l’autre.
Très vite, Marine se met à gémir de plus en plus fort et je sens autour de ma hampe les spasmes annonciateurs de sa jouissance. Je m’enfonce plus profondément et accélère un peu le rythme et brutalement, la tempête se déchaine… Tétanisée par la jouissance, Marine se met à crier tout en agitant furieusement son bassin d’avant en arrière puis se fige, tétanisée par la jouissance. A mon tour, je me libère au plus profond de son ventre totalement anéanti par l’intensité de ce que nous venons de vivre.
J’ouvre un œil et constate qu’il fait jour. Je me demande comment nous avons eu la force d nous glisser sous les draps après ce qu’il faut bien appeler un moment de folie. J’enlace ma princesse et constate qu’elle porte toujours sa jolie culotte fendue mais n’a plus sa peruque. Elle ouvre un œil et me sourit avant de m’embrasser tendrement sur la bouche.
_ Alors ? Elle t’a plu ma copine d’hier soir ?
_ J’avoue que oui, désolé ma chérie mais elle est aussi bien roulée que toi. Et comme elle n’a pas arrêté de m’allumer… Je n’ai pas pu résister…
_ Quoi ? Ne me dit pas que vous avez… Vous avez baisé ?
_ Oui, mais c’est toi que j’aime et je m’en fou de ta copine ! C’était juste un moment d’égarement, je te le jure !
_ Ah oui ? Ben je vais devoir réfléchir à ce que je vais pouvoir faire pour me venger alors !
_ Comme te mettre à poil devant d’autres mecs ?
_ Hummm oui, c’est une bonne idée, pourquoi pas…
Elle pouffe de rire en se serrant contre moi. Au bout d’un moment, elle se lève et va dans la salle de bain. J’entends le bruit de la douche et je repense au camionneur, à la chatte de ma coquine bien exposée dans la voiture. Mes pensées dérivent lentement et je revis la soirée, Marine s’exhibant sans retenue, ses cris lorsqu’elle a joui... J’adore la regarder jouir, c’est pour moi le plus beau spectacle qu’elle puisse m’offrir. Etant parfois femme fontaine et multi-orgasmique, je suis bien servi pour me régaler de ces visions. De nouveau je repense à l’excitation de ma coquine s’exhibant devant le conducteur du poid-loud... Mes pensées dérivent... Et s’il avait été avec nous hier soir... Marine ondulant sous nos caresses, moi ouvrant ses cuisses afin de l’offrir au type prêt à la baiser devant moi. Immédiatement je sens mon sexe se redresser lentement. « Houlà, quelle drôle d’idée ! C’est du délire ! ». Je culpabilise un peu mais je sens bien que le mal est fait. L’idée me bouleverse et vient de s’installer dans ma tête pour de bon.
A suivre...