un femme sage, un femme coquine, le rêve
Hâte de voir toutes les tenues sexy portées pas madame
- 01 févr. 2021, 10:38
#2498046
Le début de cette histoire est aussi sublime que Marine sur ces photos et j'avoue que dans tes écris @Patrice63 on ressent tous l'amour et l'admiration que tu portes à Marine. Y a pas à dire les auvergnats sont vraiment des gens de bonne compagnie
- 01 févr. 2021, 11:25
#2498060
Merci pour tous ces compliments hyper sympa. Les auvergnats vous saluent tous!
J'espère sincèrement comvaincre Marine de participer à ce petit jeu de confidences. Elle le fait déjà en validant mes écrits qui commencent à l'amuser et surtout la touche du fait des souvenirs évoqués. Après avoir vu toutes les précautions que je prenais pour préserver notre anonymat, elle me donne carte blanche pour les photos.
Elle a beaucoup ri après que certains d'entre vous la juge digne de représenter l'aubvergne sur ce forum
J'espère sincèrement comvaincre Marine de participer à ce petit jeu de confidences. Elle le fait déjà en validant mes écrits qui commencent à l'amuser et surtout la touche du fait des souvenirs évoqués. Après avoir vu toutes les précautions que je prenais pour préserver notre anonymat, elle me donne carte blanche pour les photos.
Elle a beaucoup ri après que certains d'entre vous la juge digne de représenter l'aubvergne sur ce forum
- 02 févr. 2021, 21:32
#2498504
Suite…
Juillet 2014, première escapade particulière, à Lyon.
Au moment de monter dans la voiture, nous sentons déjà au fond de nous un début d’excitation lié au petit côté « interdit » de ce que nous allons vivre. Nous rions du fait que sans doute peu de couples mariés réservent une chambre d’hôtel dans le seul but de faire l’amour. Marine me dit qu’elle se sent un peu comme une prostituée avant un rendez vous avec un client et se sent toute émoustillée…
Le trajet commence et Elle essaie de deviner notre destination. Autoroute direction Lyon, elle pense que nous allons nous arrêter à Thiers et trouve l’idée sympa. Je ne dis rien. Passé Thiers, elle est très heureuse, pour elle, je l’emmène à Saint Etienne ! Elle a beau m’interroger, je tiens bon, elle ne saura rien.
Rouler sur l’autoroute, pour moi, c’est chiant ! Le régulateur gère l’allure et cela devient vite monotone. De temps en temps je jette un regard vers les cuisses de Marine et je maudis ceux qui ont accordé aux femmes le droit de porter des pantalons, surtout des jeans bien serré qui laisse deviner sans voir. Depuis quelque temps j’ai aussi dans l’idée de proposer à ma princesse quelques sorties exhib dans des lieux publiques ou dans la nature, bref ailleurs que chez nous. Je suis sûr qu’elle est prête pour cela, il suffit juste de lui suggérer… Je pars dans des scénarios invraisemblables et les km défilent. Marine écoute la radio en somnolant légèrement et soudain poussé par une impulsion découlant de mes rêveries, je me dis que peut-être qu’on pourrait agrémenter notre fin de voyage, au moins jusqu’à Saint Etienne, après, la circulation étant beaucoup plus dense avec des ralentissements... Ce sera plus compliqué.
Tout en fixant la route, je me lance.
_ Tu ne te sens pas trop serrée dans ton jean ?
Elle me regarde, visiblement surprise de ma question.
_ Pourquoi tu me demandes ça ?
_ Ben je me disais que si c’était le cas, il te suffit de l’enlever.
J’appuis mon commentaire par un petit clin d’œil. Elle devine enfin le but de ma question et sourit.
_ Rho tu exagères quand même !
Je lui souris et fait mine de me concentrer sur la route en sachant très bien que dans sa tête, ce n’est plus le calme plat. Il ne lui faut pas plus de deux minutes pour se décider. Elle défait sa ceinture de sécurité, soulève son bassin, défait le bouton de son jean et baisse la fermeture éclair. Puis elle fait glisser le jean sur ses cuisses, les chevilles et l’enlève. Elle se retrouve en petite culotte. Mon excitation a nettement grimpé et en ce qui me concerne, je me sens vraiment très serré dans mon jean ! Il faudrait toujours prévoir un pantalon plus ample en cas de risque d’érection !
Je jette des coups d’œil sur ses cuisses, sa culotte et je me dis que peut-être… Je me contorsionne pour attraper mon portable et discrètement le met en mode photo pendant qu’elle regarde par la vitre de sa portière.
C’est bon, pas de coup de volant intempestif et je suis prêt.
_ Ce serait dommage de ne pas se mettre complètement à l’aise, non ?
Elle tourne la tête vers moi et me sourit de nouveau.
_ ça ne te suffit pas ?
_ Ton confort me préoccupe vraiment tu sais !
Nous rions ensemble et c’est tellement agréable de sentir sur la même longueur d’onde.
Soudain elle redevient sérieuse et fait la moue.
_ C’est qu’on n’est pas tout seul mon amour, difficile de passer inaperçue ici, surtout vis-à-vis des camions.
Je fais mine de réfléchir pendant quelques secondes avant de me lancer.
_ Et alors, tu aiguayeras un peu leur journée à ces pauvres gars, ils ne doivent pas avoir souvent l’occasion de se détendre derrière leur volant…
_ Nonnnn, tu parles sérieusement là ?
_ Oui, je crois que ça me plairait beaucoup que tu fasses un truc de ce genre. Mais uniquement si tu en as envie, bien sûr !
Je respire un grand coup afin d’arrêter le petit tremblement qui agite mes mains. Mon sexe compressé dans mon jean commence à me gêner terriblement mais je m’en fou.
_ Je ne sais pas si… enfin, faut oser quand même ! et puis ils vont me prendre pour qui ?
_ On s’en fou, ils ne feront que mater une inconnue et c’est tout !
Elle hésite avant de répondre.
_ Mais et toi ? ça ne te fait rien que d’autres mecs puissent me regarder… là ?
Je souris.
_ Si ! ça m’excitera ! Et tu sais parfaitement que cela ne changera pas le regard que moi je porte sur toi, tu es et tu seras toujours ma princesse.
Elle me fait un tout petit sourire avant de répondre.
_ Merci mon ange… Mais quand même…
_ Ecoute, je ne veux pas t’obliger à quoi que ce soit, c’est toi qui décides. Mais si tu en as envie, alors vas-y, ce n’est qu’un jeu et moi je suis ok. je pense que tu seras autant excitée que moi, c’est tout mon amour.
De nouveau je fais mine de me concentrer sur ma conduite mais je sais parfaitement que dans sa tête, c’est une véritable tempête qui est en train de se déchaîner. Le temps passe et me paraît long. Mon cerveau est aussi en ébullition, et je commence à me dire que je suis peut-être allé un peu trop vite lorsque soudain, le regard fixé droit devant elle sur la route, elle soulève de nouveau son bassin. J’ai à peine le temps de diriger discrètement mon portable poser sur mes genoux qu’elle commence à faire glisser lentement sa culotte sur se cuisses. Intérieurement, je jubile.
Elle se rassoit afin de baisser sa culotte jusqu’aux chevilles et l’enlève. Elle se redresse et la balance devant mon nez avant de la jeter sur la banquette arrière. Son petit minou taillé court mais bien visible s‘expose maintenant à tous les regards venant d’en haut, fourgons, poids lourds…
J’ai le souffle court tant je me sens excité et le rythme de sa respiration sortant de sa bouche légèrement entrouverte m’indique qu’elle est dans le même état que moi.
Nous ne parlons plus, figés dans une attente qui me semble interminable. Je commence à me dire que je n’ai vraiment pas de bol, aucun camion sur cette saloperie d’autoroute aujourd’hui !
Soudain mon cœur fait un bon dans ma poitrine, là, à l’horizon… Je jette un coup d’œil sur Marine qui resserre instinctivement ses cuisses. Elle aussi l’a vue…
Je me positionne derrière la semi et jette un coup d’œil dans mon rétro. Une voiture assez proche puis d’autres plus loin. Je pourrai donc agir dès que nous serons doublés par la plus proche.
_ Tu sais, tu devrais… enfin si tu es toujours partante, tu devrais t’ouvrir plus… Et tu sais, derrière tes lunettes de soleil, tu ne risque rien…
Elle ne répond pas, la voiture nous double et je déboite aussitôt, les autres étant encore loin. Mon cœur bat la chamade. Arrivé au niveau de la cabine du tracteur, je stabilise ma vitesse afin de rester à sa hauteur et baisse la vitre côté passager. Pendant quelques secondes je pense que c’est foutu, elle n’osera pas le faire. Et puis lentement, je vois ses cuisses s’écarter et s’ouvrir au maximum dans une posture délicieusement obscène. Marine offre au chauffeur du camion une vue superbe sur sa petite chatte. Je l’entends murmurer :
_ Il ne nous a pas vus, il ne regarde pas… Tu es trop en retrait.
Dans mon rétro, les voitures approchent rapidement et ne vont pas tarder à nous rattraper. Alors j’accélère légèrement et je balance deux petits coups de klaxon. D’où je suis, je ne peux voir que Marine et soudain elle tressaille.
_ Il… il me regarde.
_ Alors vas-y ! Montre lui bien ta jolie petite chatte ma belle…
J’ai à peine fini de parler que le chauffeur klaxonne à son tour. Les voitures arrivant derrière moi, j’accélère pour me rabattre devant le poids lourd. Nous avons immédiatement droit à de multiples appels de phares du poids lourd et je vois dans mon rétro le chauffeur nous faire signe, le pouce levé, tout sourire.
_ On dirait bien qu’il a apprécié !
Marine me regarde, les joues rouges et tout sourire pendant qu’une horde de voitures nous doublent. Je regarde ma princesse et lui demande :
_ Et toi… tu as aimé ?
Elle hésite un peu et fini par murmurer un petit oui.
_ Tu veux recommencer ?
_ Non ! Non… C’est trop dangereux. Je ne préfère pas.
Je sens clairement la panique dans sa voix et décide d’en rester là. C’est déjà énorme, je suis toujours, moi aussi, sous le choc émotionnel. Je bande comme un malade. Je ne pensai pas que je pourrai être autant excité du fait que ma femme montre son sexe à un inconnu ! Immédiatement d’autrtes idées me traversent la tête. Je souffle un grand coup pour me calmer.Un panneau annonce la proximité du dernier péage, il était temps ! Marine le voit et sans rien dire renfile sa culotte et son pantalon en se contorsionnant.
Je voudrai préciser que cette conversation, malgré le temps passé, est très, très proche de celle que nous avons réellement eue. Une ou deux phrases, quelques mots diffèrent sûrement un peu mais ce souvenir est tellement fort que j’ai mémorisé un maximum de choses, soyez en convaincus.
Nous n’avons jamais recommencé ce type de jeu, en roulant. Beaucoup trop compliqué avec la circulation trop dense et c’est vraiment dangereux mais on ne regrette pas de l’avoir fait une fois !
Juillet 2014, première escapade particulière, à Lyon.
Au moment de monter dans la voiture, nous sentons déjà au fond de nous un début d’excitation lié au petit côté « interdit » de ce que nous allons vivre. Nous rions du fait que sans doute peu de couples mariés réservent une chambre d’hôtel dans le seul but de faire l’amour. Marine me dit qu’elle se sent un peu comme une prostituée avant un rendez vous avec un client et se sent toute émoustillée…
Le trajet commence et Elle essaie de deviner notre destination. Autoroute direction Lyon, elle pense que nous allons nous arrêter à Thiers et trouve l’idée sympa. Je ne dis rien. Passé Thiers, elle est très heureuse, pour elle, je l’emmène à Saint Etienne ! Elle a beau m’interroger, je tiens bon, elle ne saura rien.
Rouler sur l’autoroute, pour moi, c’est chiant ! Le régulateur gère l’allure et cela devient vite monotone. De temps en temps je jette un regard vers les cuisses de Marine et je maudis ceux qui ont accordé aux femmes le droit de porter des pantalons, surtout des jeans bien serré qui laisse deviner sans voir. Depuis quelque temps j’ai aussi dans l’idée de proposer à ma princesse quelques sorties exhib dans des lieux publiques ou dans la nature, bref ailleurs que chez nous. Je suis sûr qu’elle est prête pour cela, il suffit juste de lui suggérer… Je pars dans des scénarios invraisemblables et les km défilent. Marine écoute la radio en somnolant légèrement et soudain poussé par une impulsion découlant de mes rêveries, je me dis que peut-être qu’on pourrait agrémenter notre fin de voyage, au moins jusqu’à Saint Etienne, après, la circulation étant beaucoup plus dense avec des ralentissements... Ce sera plus compliqué.
Tout en fixant la route, je me lance.
_ Tu ne te sens pas trop serrée dans ton jean ?
Elle me regarde, visiblement surprise de ma question.
_ Pourquoi tu me demandes ça ?
_ Ben je me disais que si c’était le cas, il te suffit de l’enlever.
J’appuis mon commentaire par un petit clin d’œil. Elle devine enfin le but de ma question et sourit.
_ Rho tu exagères quand même !
Je lui souris et fait mine de me concentrer sur la route en sachant très bien que dans sa tête, ce n’est plus le calme plat. Il ne lui faut pas plus de deux minutes pour se décider. Elle défait sa ceinture de sécurité, soulève son bassin, défait le bouton de son jean et baisse la fermeture éclair. Puis elle fait glisser le jean sur ses cuisses, les chevilles et l’enlève. Elle se retrouve en petite culotte. Mon excitation a nettement grimpé et en ce qui me concerne, je me sens vraiment très serré dans mon jean ! Il faudrait toujours prévoir un pantalon plus ample en cas de risque d’érection !
Je jette des coups d’œil sur ses cuisses, sa culotte et je me dis que peut-être… Je me contorsionne pour attraper mon portable et discrètement le met en mode photo pendant qu’elle regarde par la vitre de sa portière.
C’est bon, pas de coup de volant intempestif et je suis prêt.
_ Ce serait dommage de ne pas se mettre complètement à l’aise, non ?
Elle tourne la tête vers moi et me sourit de nouveau.
_ ça ne te suffit pas ?
_ Ton confort me préoccupe vraiment tu sais !
Nous rions ensemble et c’est tellement agréable de sentir sur la même longueur d’onde.
Soudain elle redevient sérieuse et fait la moue.
_ C’est qu’on n’est pas tout seul mon amour, difficile de passer inaperçue ici, surtout vis-à-vis des camions.
Je fais mine de réfléchir pendant quelques secondes avant de me lancer.
_ Et alors, tu aiguayeras un peu leur journée à ces pauvres gars, ils ne doivent pas avoir souvent l’occasion de se détendre derrière leur volant…
_ Nonnnn, tu parles sérieusement là ?
_ Oui, je crois que ça me plairait beaucoup que tu fasses un truc de ce genre. Mais uniquement si tu en as envie, bien sûr !
Je respire un grand coup afin d’arrêter le petit tremblement qui agite mes mains. Mon sexe compressé dans mon jean commence à me gêner terriblement mais je m’en fou.
_ Je ne sais pas si… enfin, faut oser quand même ! et puis ils vont me prendre pour qui ?
_ On s’en fou, ils ne feront que mater une inconnue et c’est tout !
Elle hésite avant de répondre.
_ Mais et toi ? ça ne te fait rien que d’autres mecs puissent me regarder… là ?
Je souris.
_ Si ! ça m’excitera ! Et tu sais parfaitement que cela ne changera pas le regard que moi je porte sur toi, tu es et tu seras toujours ma princesse.
Elle me fait un tout petit sourire avant de répondre.
_ Merci mon ange… Mais quand même…
_ Ecoute, je ne veux pas t’obliger à quoi que ce soit, c’est toi qui décides. Mais si tu en as envie, alors vas-y, ce n’est qu’un jeu et moi je suis ok. je pense que tu seras autant excitée que moi, c’est tout mon amour.
De nouveau je fais mine de me concentrer sur ma conduite mais je sais parfaitement que dans sa tête, c’est une véritable tempête qui est en train de se déchaîner. Le temps passe et me paraît long. Mon cerveau est aussi en ébullition, et je commence à me dire que je suis peut-être allé un peu trop vite lorsque soudain, le regard fixé droit devant elle sur la route, elle soulève de nouveau son bassin. J’ai à peine le temps de diriger discrètement mon portable poser sur mes genoux qu’elle commence à faire glisser lentement sa culotte sur se cuisses. Intérieurement, je jubile.
Elle se rassoit afin de baisser sa culotte jusqu’aux chevilles et l’enlève. Elle se redresse et la balance devant mon nez avant de la jeter sur la banquette arrière. Son petit minou taillé court mais bien visible s‘expose maintenant à tous les regards venant d’en haut, fourgons, poids lourds…
J’ai le souffle court tant je me sens excité et le rythme de sa respiration sortant de sa bouche légèrement entrouverte m’indique qu’elle est dans le même état que moi.
Nous ne parlons plus, figés dans une attente qui me semble interminable. Je commence à me dire que je n’ai vraiment pas de bol, aucun camion sur cette saloperie d’autoroute aujourd’hui !
Soudain mon cœur fait un bon dans ma poitrine, là, à l’horizon… Je jette un coup d’œil sur Marine qui resserre instinctivement ses cuisses. Elle aussi l’a vue…
Je me positionne derrière la semi et jette un coup d’œil dans mon rétro. Une voiture assez proche puis d’autres plus loin. Je pourrai donc agir dès que nous serons doublés par la plus proche.
_ Tu sais, tu devrais… enfin si tu es toujours partante, tu devrais t’ouvrir plus… Et tu sais, derrière tes lunettes de soleil, tu ne risque rien…
Elle ne répond pas, la voiture nous double et je déboite aussitôt, les autres étant encore loin. Mon cœur bat la chamade. Arrivé au niveau de la cabine du tracteur, je stabilise ma vitesse afin de rester à sa hauteur et baisse la vitre côté passager. Pendant quelques secondes je pense que c’est foutu, elle n’osera pas le faire. Et puis lentement, je vois ses cuisses s’écarter et s’ouvrir au maximum dans une posture délicieusement obscène. Marine offre au chauffeur du camion une vue superbe sur sa petite chatte. Je l’entends murmurer :
_ Il ne nous a pas vus, il ne regarde pas… Tu es trop en retrait.
Dans mon rétro, les voitures approchent rapidement et ne vont pas tarder à nous rattraper. Alors j’accélère légèrement et je balance deux petits coups de klaxon. D’où je suis, je ne peux voir que Marine et soudain elle tressaille.
_ Il… il me regarde.
_ Alors vas-y ! Montre lui bien ta jolie petite chatte ma belle…
J’ai à peine fini de parler que le chauffeur klaxonne à son tour. Les voitures arrivant derrière moi, j’accélère pour me rabattre devant le poids lourd. Nous avons immédiatement droit à de multiples appels de phares du poids lourd et je vois dans mon rétro le chauffeur nous faire signe, le pouce levé, tout sourire.
_ On dirait bien qu’il a apprécié !
Marine me regarde, les joues rouges et tout sourire pendant qu’une horde de voitures nous doublent. Je regarde ma princesse et lui demande :
_ Et toi… tu as aimé ?
Elle hésite un peu et fini par murmurer un petit oui.
_ Tu veux recommencer ?
_ Non ! Non… C’est trop dangereux. Je ne préfère pas.
Je sens clairement la panique dans sa voix et décide d’en rester là. C’est déjà énorme, je suis toujours, moi aussi, sous le choc émotionnel. Je bande comme un malade. Je ne pensai pas que je pourrai être autant excité du fait que ma femme montre son sexe à un inconnu ! Immédiatement d’autrtes idées me traversent la tête. Je souffle un grand coup pour me calmer.Un panneau annonce la proximité du dernier péage, il était temps ! Marine le voit et sans rien dire renfile sa culotte et son pantalon en se contorsionnant.
Je voudrai préciser que cette conversation, malgré le temps passé, est très, très proche de celle que nous avons réellement eue. Une ou deux phrases, quelques mots diffèrent sûrement un peu mais ce souvenir est tellement fort que j’ai mémorisé un maximum de choses, soyez en convaincus.
Nous n’avons jamais recommencé ce type de jeu, en roulant. Beaucoup trop compliqué avec la circulation trop dense et c’est vraiment dangereux mais on ne regrette pas de l’avoir fait une fois !
- 02 févr. 2021, 21:59
#2498509
merci pour ce partage
sergio a liké
notre histoire: http://www.forum-candaulisme.fr/viewtopic.php?p=2443875#p2443875
en rose, c'est la miss qui écrit
en rose, c'est la miss qui écrit
- 03 févr. 2021, 07:36
#2498535
Désolé pour la longueur.... Je revis ce que j'écris.
Je vais mettre plus de photos dorénavant et essayer de faire des épisodes plus courts.
Je vais mettre plus de photos dorénavant et essayer de faire des épisodes plus courts.
- 03 févr. 2021, 13:50
#2498626
@Patrice63 c'est un très bon début qui donne vraiment envie d'en savoir plus, ta femme est vraiment belle
- 03 févr. 2021, 14:17
#2498641
3 pages très bien écrites qui ne demandent qu'à continuer ... Mme est très belle et nous nous reconnaissons bien dans votre petit jeu automobile
Vite la suite ...
Vite la suite ...
SwedenForCandice, sergio a liké
le topic de Madame Talons25 : http://www.forum-candaulisme.fr/madame-talons25-t59639.html
bas nylon, talons hauts ... pour notre plaisir
bas nylon, talons hauts ... pour notre plaisir
- 03 févr. 2021, 23:52
#2498818
vivement la suite
Jeune amant dominant et endurant accompagné ou non de sa petite soumise pour jeux à 4 mains avec vos chéries (Voici le post perso de ma jeune Fifie : http://www.forum-candaulisme.fr/viewtopic.php?p=1898991#p1898991)
- 04 févr. 2021, 22:29
#2499147
Suite…
Arrivés à l’hôtel à 18h35, nous sommes dans les temps. Marine n’en revient toujours pas d’être à Lyon. Elle semble à la fois ravie et hyper excitée. Nous montons nos bagages dans la chambre et aussitôt, ma princesse me demande de sortir pour la laisser se préparer tranquillement. Elle ne veut surtout pas que je regarde le contenu de sa valise… Je descends donc au bar de l’hôtel et commande une bière pour passer le temps. J’en profite également pour me repérer pour le restaurant puis la discothèque. 19h15, un SMS m’avertit que madame est prête et que je peux donc venir. Je remonte vers la chambre et la trouve assise nonchalamment dans l’escalier. Elle porte une petite robe noire qui m’a toujours fait de l’effet. L’ensemble lui va à ravir.
Le temps d’entrer dans notre chambre, de passer vite fait sous la douche et de m’habiller à mon tour, nous voilà parti pour le restaurant.
L’endroit est agréable, nous sommes placés à une table dans une petit patio encore exposé au soleil. Nous commandons un apéritif, bière pour moi (la deuxième) et kir pour madame. Madame qui se lève aussitôt pour aller aux toilettes. Déjà ? Je n’en reviens pas… Cinq minutes plus tard, Marine revient, un petit sourire au coin des lèvres. La serveuse la suit de près avec nos boissons qu’elle pose sur la table avant de repartir. Je vais pour prendre mon verre quand Marine :
_ Attends !
Je la regarde, étonné. Elle jette un coup d’œil autour d’elle puis me tend un petit objet plat de la taille d’une carte de crédit que je reconnais aussitôt. C’est la télécommande d’un œuf vibrant qu’on a acheté plusieurs mois auparavant. Je dois avoir l’air particulièrement idiot sous l’effet de la surprise car elle éclate de rire en me regardant. Elle prend son verre, le lève et me dit :
_ A cette soirée que je veux rendre inoubliable mon amour.
Je n’en reviens pas de la transformation de ma princesse. Serait-elle devenue plus coquine que je ne le pensais… Je me remémore ses premiers stripteases, hésitante, presque gênée et là, j’ai devant moi une créature magnifique qui semble sûre d’elle. Mon dieu, quelle transformation et que j’ai du bol de vivre avec elle…
Nous commençons le repas et j’attends un bon moment pour entamer ma vengeance. J’actionne discrètement la télécommande. Marine sursaute et me regarde avec un petit sourire. J’active plusieurs fois le bouton de recherche des fréquences vibratoires en comptant jusqu’à trouver celle qui lui faisait le plus d’effet lorsque nous l’avions essayé. Elle se raidit et ferme les yeux, le souffle court. J’arrête le système. Marine respire un grand coup, se penche vers moi et murmure :
_ Je ne me souvenais pas que c’était aussi... Aussi violent comme effet. C’est une vraie torture ce truc !
Je pouffe de rire et lui réponds sur le même ton de la confidence :
_ Je ne sais pas, j’ai du mal à imaginer.
_ Salaud ! Tu n’as qu’à imaginer qu’on te suce sous la table et tu auras un aperçu..
_ Humm, on pourrait demander à la serveuse peut-être
Elle me lance un regard assassin et me donne un petit coup de pied. Je riposte en déclenchant de nouveau l’instrument de torture…
Nous continuons le repas en mélangeant moments de rire, de confidences sensorielles et de courte torture. Au moment du dessert, j’actionne pour la sixième fois le bouton de la télécommande et cette fois-ci, laisse courir le temps. Marine se trémousse sur sa chaise et me fixe de plus en plus suppliante. Petit à petit, son souffle s’accélère au travers de sa bouche légèrement entrouverte. Je la regarde jeter des coups d’œil de plus en plus affolés autour d’elle. Soudain elle se mord la lèvre inférieure en fermant les yeux, ses mains crispées sur le bord de la table. Elle a visiblement du mal à contenir un orgasme et j’ai pitié d’elle, je stoppe l’instrument machiavélique. Elle ouvre les yeux et me fixe, le souffle court. J’en profite alors pour instaurer un odieux chantage :
_ J’arrête à une condition ! Tu enlèves ta culotte, là, tout de suite et tu me la donnes par dessus la table.
Je maudis d’avoir uniquement des jeans trop serrés, mon sexe gonflé me fait mal et je me demande combien de temps je vais tenir avant de chercher une occasion de le libérer…
Lentement, sans un mot, elle se redresse, et après s’être assurée que personne ne regarde vers nous, je devine qu’elle soulève ses fesses afin de faire glisser sa culotte. Pendante quelques secondes, elle se trémousse sur sa chaise. Je devine ses mains qui s’activent et enfin, d’un geste rapide elle me tend sa culotte roulée en boule. Je m’empare du petit morceau de dentelle et devine un corps dur à l’intérieur, l’œuf ! Je porte l’ensemble à mon nez avant de le glisser dans ma poche. Ça sent bon, une odeur musquée de femme toute chaude.
_ Tu triches !
_ Désolée mais je n’en peux plus...
_ Ok... (Je souris) En compensation, tu devras t’en passer pour la suite de notre sortie dans le club.
_ Nonnn, tu plaisantes là !
_ Pas du tout ma belle, je te veux sans culotte au milieu de plein de mecs.
_ Pfff tu es fou, je vais devoir faire hyper gaffe et franchement ça me fait peur ton truc.
_ Mais non, ta robe est suffisamment serrée, cela ne crains rien.
Elle me fait une grimace mais je ne suis pas dupe, je sais qu’elle adore notre jeu.
_ J’aimerai trop photographier ta chatte sous la table...
A son tour elle pouffe de rire. Elle plisse ses yeux et je sens le piège.
_ Ben tu me rends ma culotte alors !
Je hausse les épaules.
_ Hummm non ! Tant pis pour la photo.
Nous mangeons notre dessert puis commandons deux cafés. Marine me regarde en souriant, l’air espiègle. Soudain elle regarde autour d’elle puis recule légèrement sa chaise.
_ Prend la ta photo, mais dépêche toi !
Je suis aux anges. Je sors mon portable et prend plusieurs photos au jugé, sans voir. Je vérifie et souris. Je garde la plus réussie que je lui montre. Elle pouffe de rire, heureuse de son coup.
Arrivés à l’hôtel à 18h35, nous sommes dans les temps. Marine n’en revient toujours pas d’être à Lyon. Elle semble à la fois ravie et hyper excitée. Nous montons nos bagages dans la chambre et aussitôt, ma princesse me demande de sortir pour la laisser se préparer tranquillement. Elle ne veut surtout pas que je regarde le contenu de sa valise… Je descends donc au bar de l’hôtel et commande une bière pour passer le temps. J’en profite également pour me repérer pour le restaurant puis la discothèque. 19h15, un SMS m’avertit que madame est prête et que je peux donc venir. Je remonte vers la chambre et la trouve assise nonchalamment dans l’escalier. Elle porte une petite robe noire qui m’a toujours fait de l’effet. L’ensemble lui va à ravir.
Le temps d’entrer dans notre chambre, de passer vite fait sous la douche et de m’habiller à mon tour, nous voilà parti pour le restaurant.
L’endroit est agréable, nous sommes placés à une table dans une petit patio encore exposé au soleil. Nous commandons un apéritif, bière pour moi (la deuxième) et kir pour madame. Madame qui se lève aussitôt pour aller aux toilettes. Déjà ? Je n’en reviens pas… Cinq minutes plus tard, Marine revient, un petit sourire au coin des lèvres. La serveuse la suit de près avec nos boissons qu’elle pose sur la table avant de repartir. Je vais pour prendre mon verre quand Marine :
_ Attends !
Je la regarde, étonné. Elle jette un coup d’œil autour d’elle puis me tend un petit objet plat de la taille d’une carte de crédit que je reconnais aussitôt. C’est la télécommande d’un œuf vibrant qu’on a acheté plusieurs mois auparavant. Je dois avoir l’air particulièrement idiot sous l’effet de la surprise car elle éclate de rire en me regardant. Elle prend son verre, le lève et me dit :
_ A cette soirée que je veux rendre inoubliable mon amour.
Je n’en reviens pas de la transformation de ma princesse. Serait-elle devenue plus coquine que je ne le pensais… Je me remémore ses premiers stripteases, hésitante, presque gênée et là, j’ai devant moi une créature magnifique qui semble sûre d’elle. Mon dieu, quelle transformation et que j’ai du bol de vivre avec elle…
Nous commençons le repas et j’attends un bon moment pour entamer ma vengeance. J’actionne discrètement la télécommande. Marine sursaute et me regarde avec un petit sourire. J’active plusieurs fois le bouton de recherche des fréquences vibratoires en comptant jusqu’à trouver celle qui lui faisait le plus d’effet lorsque nous l’avions essayé. Elle se raidit et ferme les yeux, le souffle court. J’arrête le système. Marine respire un grand coup, se penche vers moi et murmure :
_ Je ne me souvenais pas que c’était aussi... Aussi violent comme effet. C’est une vraie torture ce truc !
Je pouffe de rire et lui réponds sur le même ton de la confidence :
_ Je ne sais pas, j’ai du mal à imaginer.
_ Salaud ! Tu n’as qu’à imaginer qu’on te suce sous la table et tu auras un aperçu..
_ Humm, on pourrait demander à la serveuse peut-être
Elle me lance un regard assassin et me donne un petit coup de pied. Je riposte en déclenchant de nouveau l’instrument de torture…
Nous continuons le repas en mélangeant moments de rire, de confidences sensorielles et de courte torture. Au moment du dessert, j’actionne pour la sixième fois le bouton de la télécommande et cette fois-ci, laisse courir le temps. Marine se trémousse sur sa chaise et me fixe de plus en plus suppliante. Petit à petit, son souffle s’accélère au travers de sa bouche légèrement entrouverte. Je la regarde jeter des coups d’œil de plus en plus affolés autour d’elle. Soudain elle se mord la lèvre inférieure en fermant les yeux, ses mains crispées sur le bord de la table. Elle a visiblement du mal à contenir un orgasme et j’ai pitié d’elle, je stoppe l’instrument machiavélique. Elle ouvre les yeux et me fixe, le souffle court. J’en profite alors pour instaurer un odieux chantage :
_ J’arrête à une condition ! Tu enlèves ta culotte, là, tout de suite et tu me la donnes par dessus la table.
Je maudis d’avoir uniquement des jeans trop serrés, mon sexe gonflé me fait mal et je me demande combien de temps je vais tenir avant de chercher une occasion de le libérer…
Lentement, sans un mot, elle se redresse, et après s’être assurée que personne ne regarde vers nous, je devine qu’elle soulève ses fesses afin de faire glisser sa culotte. Pendante quelques secondes, elle se trémousse sur sa chaise. Je devine ses mains qui s’activent et enfin, d’un geste rapide elle me tend sa culotte roulée en boule. Je m’empare du petit morceau de dentelle et devine un corps dur à l’intérieur, l’œuf ! Je porte l’ensemble à mon nez avant de le glisser dans ma poche. Ça sent bon, une odeur musquée de femme toute chaude.
_ Tu triches !
_ Désolée mais je n’en peux plus...
_ Ok... (Je souris) En compensation, tu devras t’en passer pour la suite de notre sortie dans le club.
_ Nonnn, tu plaisantes là !
_ Pas du tout ma belle, je te veux sans culotte au milieu de plein de mecs.
_ Pfff tu es fou, je vais devoir faire hyper gaffe et franchement ça me fait peur ton truc.
_ Mais non, ta robe est suffisamment serrée, cela ne crains rien.
Elle me fait une grimace mais je ne suis pas dupe, je sais qu’elle adore notre jeu.
_ J’aimerai trop photographier ta chatte sous la table...
A son tour elle pouffe de rire. Elle plisse ses yeux et je sens le piège.
_ Ben tu me rends ma culotte alors !
Je hausse les épaules.
_ Hummm non ! Tant pis pour la photo.
Nous mangeons notre dessert puis commandons deux cafés. Marine me regarde en souriant, l’air espiègle. Soudain elle regarde autour d’elle puis recule légèrement sa chaise.
_ Prend la ta photo, mais dépêche toi !
Je suis aux anges. Je sors mon portable et prend plusieurs photos au jugé, sans voir. Je vérifie et souris. Je garde la plus réussie que je lui montre. Elle pouffe de rire, heureuse de son coup.
- 04 févr. 2021, 23:26
#2499154
très beau début de soirée .
tout ceci me remémore de très bon souvenir. A quelques détail prés je pourrais croire que vous narrez un de nos jeux que nous avons vécu à plusieurs reprises
tout ceci me remémore de très bon souvenir. A quelques détail prés je pourrais croire que vous narrez un de nos jeux que nous avons vécu à plusieurs reprises
- 05 févr. 2021, 13:47
#2499297
Merci à vous de nous suivre. Ce partage me comble car il m'oblige à entrer dans le monde fabuleux des souvenirs et je redécouvre des photos qui me rappellent des petites choses "croustillantes" . J'espère partager avec un maximum de gens cette excitation particulière que seuls les plaisirs du sexe peuvent nous procurer...
- 08 févr. 2021, 17:16
#2499974
Suite...
Je paie l’addition et rejoins Marine dans la voiture. Je m’assois derrière le volant et jette un coup d’œil à ma coquine. Elle semble perdue dans ses pensées...
_ Un problème ? Ma princesse !
Elle me regarde avec un petit sourire.
_ Non, pas vraiment, juste des réflexions qui me prennent un peu la tête.
Je me penche vers elle et l’attire contre moi.
_ Racontes !
_ Pfff, je ne sais pas trop ce qu’il m’arrive en fait... Je veux dire toutes ces choses que tu me demandes et que je fais alors que je ne m’en croyais pas capable. Ca m’excite terriblement en fait et cela me fait un peu peur en même temps. Je me dis que tu ne me regarderas peut-être plus de la même façon. Que tu vas croire que je suis devenue une salope et que... Bref j’ai du mal à m’y retrouver.
Je l’embrasse tendrement avant de lui répondre.
_ je suis un sacré veinard alors !
Elle me jette un regard en coin.
_ Pourquoi tu dis ça ?
_ Ben je vis avec deux nanas en même temps, une belle princesse tendresse et une jolie coquine ! C’est le rêve de tous les mecs !
Elle pouffe de rire.
_ Sérieusement, j’ai l’impression de découvrir une partie de moi-même à bientôt quarante ans, c’est troublant quand même !
_ Franchement, c’est pas vraiment nouveau. Il me semble que tu aime bien nos petites séances de striptease et que tu connais bien ton pouvoir sur moi dans ces moments là, non ?
_ Pfff, c’était avec et pour toi uniquement! La nuance est quand même importante, non ?
_ Ben si ça peut te rassurer, c’est la même chose pour moi et j’ai treize ans de plus que toi...
_ Précises !
_ Je suis toujours hyper amoureux de ma belle princesse mais je découvre qu’elle peut se transformer en une jolie coquine parfois et ça m’excite à mort de te voir montrer tes... tes trésors à d’autres mecs!
_ Alors comme ça, ça t’excite de voir d’autres mecs me mater !
_ Ben voui et toi ? ca ne t’excite pas peut-être de faire bander d’autres mecs...
Elle détourne le visage et fixe la rue devant elle.
_ Tu crois que le type du camion s’est mis à bander juste en me voyant ?
_ Non, peut-être pas, c’était trop rapide, mais ça a du le gratouiller un peu quand même et dans d’autres circonstances, avec plus de temps, n’importe quel mec banderai en voyant ce que tu lui à montré.
Elle se mit à rire, nerveusement, un rire masquant un sentiment de gêne évident. Je devinais le conflit envahissant ses pensées les plus intimes. Les nouvelles perspectives liées à une excitation évidente face à ses barrières morales qui visiblement commençaient à vaciller.
Je décidais d’enfoncer le clou :
_ Ecoute mon ange, cela fait 12 ans qu’on vit ensemble et je t’aime comme au premier jour. Pour moi, tu étais et tu resteras ma princesse quoi qu’il arrive. Mais parfois, tu es aussi, depuis quelques temps, ma belle coquine et j’adore cette facette de ta personnalité. J’assume mes envies coquines avec toi, il te suffit juste de faire la même chose pour toi. Il faut profiter de la vie tant qu’on le peut, lâche toi et laisse tomber toutes ces conneries de morale qui régissent notre société hypocrite !
De nouveau, elle se tourne vers moi mais cette fois son sourire me montre que dans sa tête, les barrières ne vacillent plus, elles sont tombées !
Je démarre la voiture et me concentre sur le GPS, direction le night club. Je ne peux m’empêcher de jeter un coup d’œil vers sa poitrine et ses tétons déformant le mince voile du haut de sa robe.
Tout en continuant de regarder devant elle, je l’entends pouffer de rire avant d’ajouter :
_ Ils sont suffisamment visibles ?
A mon tour j’éclate de rire.
Et elle en profite pour changer de chaussures.
Je ne suis pas vraiment fan des discothèques mais celle-ci n’est pas mal. La musique est variée et surtout, la clientèle n’est pas trop jeune, je l’ai choisi pour cela en me fiant à des commentaires sur internet. L’endroit regorge de jolies femmes, la plupart habillées sexy. Il y a un bar dans un coin et des tables avec des tabourets tout autour de l’espace de danse. Même si l’ambiance est bonne, au bout de deux heures, je fini par squatter l’une d’elle. Un bon poste d’observation pour regarder Marine danser (elle adore ça) et surtout un type qui depuis notre entrée ne la quitte pas des yeux. Elle n’est pas la seule à attirer les regards, loin s’en faut. Moi-même, je me régale de tous ces jolis culs bien moulés dans des jeans, des robes ou bien des jupes hyper serrés. Certaines ont également opté pour une poitrine libre de tout soutien gorge ce qui est un vrai régal pour les yeux. Mais sans doute que Marine est son genre, en tous cas, le mec fait tout pour danser près d’elle. Je dirai qu’il a la trentaine et pas trop mal physiquement. Lorsque j’en ai parlé à ma petite coquine, elle a ri et répondu
_ Je sais, j’ai vu.
Nous avons plaisanté sur le coté excitant de la situation et fini par nous mettre d’accord sur un petit défi. Marine doit tout faire pour amener son admirateur à l’inviter à danser malgré le fait que ce dernier ait parfaitement vu que j’étais là !
Depuis lors ma jolie coquine se déhanche devant le type dès qu’elle en a l’occasion. Je sirote une énième bière en me disant que c’est foutu, le gars n’a pas les couilles de se lancer. La musique vient de basculer sur un tempo plus calme, un slow. Marine se dirige vers moi
_ Désolée, suis pas assez allumeuse sans doute...
_ Non ma belle, c’est lui qui n’a pas de couilles, c’est tout.
Elle pouffe de rire et je l’entends murmurer :
_ J’aimerai bien rentrer à l’hôtel maintenant... J’ai une petite surprise pour toi.
_ Ok, on s’en va !
Elle récupère son sac et nous nous dirigeons vers la sortie. Une fois au volant, j’allume le GPS, direction l’hôtel. J’essai de me concentrer mais c’est compliqué, je me répète sa dernière phrase pleine de promesse « J’ai une petite surprise pour toi ». Je me rappelle la dernière fois où j’ai eu droit à une petite séance coquine et rien que d’y penser, je sens mon sexe gonfler dans ce putain de jean trop serré...
Je paie l’addition et rejoins Marine dans la voiture. Je m’assois derrière le volant et jette un coup d’œil à ma coquine. Elle semble perdue dans ses pensées...
_ Un problème ? Ma princesse !
Elle me regarde avec un petit sourire.
_ Non, pas vraiment, juste des réflexions qui me prennent un peu la tête.
Je me penche vers elle et l’attire contre moi.
_ Racontes !
_ Pfff, je ne sais pas trop ce qu’il m’arrive en fait... Je veux dire toutes ces choses que tu me demandes et que je fais alors que je ne m’en croyais pas capable. Ca m’excite terriblement en fait et cela me fait un peu peur en même temps. Je me dis que tu ne me regarderas peut-être plus de la même façon. Que tu vas croire que je suis devenue une salope et que... Bref j’ai du mal à m’y retrouver.
Je l’embrasse tendrement avant de lui répondre.
_ je suis un sacré veinard alors !
Elle me jette un regard en coin.
_ Pourquoi tu dis ça ?
_ Ben je vis avec deux nanas en même temps, une belle princesse tendresse et une jolie coquine ! C’est le rêve de tous les mecs !
Elle pouffe de rire.
_ Sérieusement, j’ai l’impression de découvrir une partie de moi-même à bientôt quarante ans, c’est troublant quand même !
_ Franchement, c’est pas vraiment nouveau. Il me semble que tu aime bien nos petites séances de striptease et que tu connais bien ton pouvoir sur moi dans ces moments là, non ?
_ Pfff, c’était avec et pour toi uniquement! La nuance est quand même importante, non ?
_ Ben si ça peut te rassurer, c’est la même chose pour moi et j’ai treize ans de plus que toi...
_ Précises !
_ Je suis toujours hyper amoureux de ma belle princesse mais je découvre qu’elle peut se transformer en une jolie coquine parfois et ça m’excite à mort de te voir montrer tes... tes trésors à d’autres mecs!
_ Alors comme ça, ça t’excite de voir d’autres mecs me mater !
_ Ben voui et toi ? ca ne t’excite pas peut-être de faire bander d’autres mecs...
Elle détourne le visage et fixe la rue devant elle.
_ Tu crois que le type du camion s’est mis à bander juste en me voyant ?
_ Non, peut-être pas, c’était trop rapide, mais ça a du le gratouiller un peu quand même et dans d’autres circonstances, avec plus de temps, n’importe quel mec banderai en voyant ce que tu lui à montré.
Elle se mit à rire, nerveusement, un rire masquant un sentiment de gêne évident. Je devinais le conflit envahissant ses pensées les plus intimes. Les nouvelles perspectives liées à une excitation évidente face à ses barrières morales qui visiblement commençaient à vaciller.
Je décidais d’enfoncer le clou :
_ Ecoute mon ange, cela fait 12 ans qu’on vit ensemble et je t’aime comme au premier jour. Pour moi, tu étais et tu resteras ma princesse quoi qu’il arrive. Mais parfois, tu es aussi, depuis quelques temps, ma belle coquine et j’adore cette facette de ta personnalité. J’assume mes envies coquines avec toi, il te suffit juste de faire la même chose pour toi. Il faut profiter de la vie tant qu’on le peut, lâche toi et laisse tomber toutes ces conneries de morale qui régissent notre société hypocrite !
De nouveau, elle se tourne vers moi mais cette fois son sourire me montre que dans sa tête, les barrières ne vacillent plus, elles sont tombées !
Je démarre la voiture et me concentre sur le GPS, direction le night club. Je ne peux m’empêcher de jeter un coup d’œil vers sa poitrine et ses tétons déformant le mince voile du haut de sa robe.
Tout en continuant de regarder devant elle, je l’entends pouffer de rire avant d’ajouter :
_ Ils sont suffisamment visibles ?
A mon tour j’éclate de rire.
Et elle en profite pour changer de chaussures.
Je ne suis pas vraiment fan des discothèques mais celle-ci n’est pas mal. La musique est variée et surtout, la clientèle n’est pas trop jeune, je l’ai choisi pour cela en me fiant à des commentaires sur internet. L’endroit regorge de jolies femmes, la plupart habillées sexy. Il y a un bar dans un coin et des tables avec des tabourets tout autour de l’espace de danse. Même si l’ambiance est bonne, au bout de deux heures, je fini par squatter l’une d’elle. Un bon poste d’observation pour regarder Marine danser (elle adore ça) et surtout un type qui depuis notre entrée ne la quitte pas des yeux. Elle n’est pas la seule à attirer les regards, loin s’en faut. Moi-même, je me régale de tous ces jolis culs bien moulés dans des jeans, des robes ou bien des jupes hyper serrés. Certaines ont également opté pour une poitrine libre de tout soutien gorge ce qui est un vrai régal pour les yeux. Mais sans doute que Marine est son genre, en tous cas, le mec fait tout pour danser près d’elle. Je dirai qu’il a la trentaine et pas trop mal physiquement. Lorsque j’en ai parlé à ma petite coquine, elle a ri et répondu
_ Je sais, j’ai vu.
Nous avons plaisanté sur le coté excitant de la situation et fini par nous mettre d’accord sur un petit défi. Marine doit tout faire pour amener son admirateur à l’inviter à danser malgré le fait que ce dernier ait parfaitement vu que j’étais là !
Depuis lors ma jolie coquine se déhanche devant le type dès qu’elle en a l’occasion. Je sirote une énième bière en me disant que c’est foutu, le gars n’a pas les couilles de se lancer. La musique vient de basculer sur un tempo plus calme, un slow. Marine se dirige vers moi
_ Désolée, suis pas assez allumeuse sans doute...
_ Non ma belle, c’est lui qui n’a pas de couilles, c’est tout.
Elle pouffe de rire et je l’entends murmurer :
_ J’aimerai bien rentrer à l’hôtel maintenant... J’ai une petite surprise pour toi.
_ Ok, on s’en va !
Elle récupère son sac et nous nous dirigeons vers la sortie. Une fois au volant, j’allume le GPS, direction l’hôtel. J’essai de me concentrer mais c’est compliqué, je me répète sa dernière phrase pleine de promesse « J’ai une petite surprise pour toi ». Je me rappelle la dernière fois où j’ai eu droit à une petite séance coquine et rien que d’y penser, je sens mon sexe gonfler dans ce putain de jean trop serré...