Mai 2021, Une envie pressante.
Je regarde Marine s’habiller, aujourd’hui, je ne vais pas au boulot. Elle est quand même canon ma petite femme ! Je commence à me branler doucement sous les draps en la matant. Je me dis que je la baiserai bien avant qu’elle parte au boulot et d’un coup, j’enlève la couette et m’exhibe devant elle avec un petit sourire. Elle sursaute et éclate de rire, le regard fixé sur ma queue bien raide.
_ Et ben mon chéri... On a des envies ?
_ Hummmoui, j’ai envie de ton petit cul.
Elle pouffe de rire puis s’avance lentement vers moi. Elle se penche, saisit doucement mon sexe et le caresse avec tendresse. Elle se penche encore plus et le prend dans sa bouche. Je suis tétanisé. Elle me suce lentement puis recrache mon gland pour le lécher à petit coup de langue tout en me regardant avec un petit air coquin. Je suis totalement soumis et c’est d’une voix tremblante que je lui dis :
_ J’ai trop envie là... Viens !
Elle se redresse en riant et tout en esquivant ma main, recule pour m’échapper.
_ Non, non, non... Désolée mon chéri mais je ne peux pas me permettre d’être en retard ce matin, j’ai une réunion importante... On a pas le temps...
_ Pfff c’est trop dur...
_ Hi, hi, hi, c’est le cas de le dire.
De nouveau elle éclate de rire et je me recouvre de la couette d’un geste rageur.
_ Tu vois Fabien aujourd’hui ?
_ Ben non, pas plus que d’habitude. Il n’a rien à faire à l’agence, pourquoi tu me demandes ça ?
_ Pour rien, je me disais que peut-être il aurait pu te chauffer un peu et qu’on aurait pu...
Elle me coupe la parole :
_ Rhhhôôôô ça devient une obsession ! il m’envoie des messages presque tous les jours et toi t’arrêtes pas d’en parler aussi. T’es quand même pas en manque !
_ De toi, non... De nous trois ensemble, oui !
Tout en parlant, elle s’est rapprochée de moi inconsciemment et n’a pas fait attention à ma main se posant sur sa cuisse. Tout en la caressant doucement, je continue :
_ C’était quand même bien quand on était tous les trois, non ?
_ J’ai jamais dit le contraire mais on va pas vivre tous les trois ensemble non plus !
_ Pfff, n’importe quoi. C’est juste que son anniversaire, c’était il y a plus de deux mois... Je vois pas pourquoi on ne pourrait pas se programmer un petit truc ensemble dans les prochains jours, c’est tout !
Elle pouffe de rire et me répond :
_ Si je vous avez écouté, on remettait ça dès le lendemain...
Je la regarde droit dans les yeux avec un petit sourire.
_ Je suis sûr que tu en as envie toi aussi...
Soudain, elle se fige tout en me regardant. Je viens de remonter ma main et glisse un doigt sur sa culotte puis l’insinue sous la dentelle. Elle est trempée !
D’une voix rauque, je lui murmure :
_ Tu vois, tu mouilles quand je t’en parle...
Je caresse sa vulve du bout de mon doigt et je remarque sa bouche à peine entrouverte d’où s’échappe son souffle.
_ Je suis sûr que tu as envie de sa queue... Pas vrai mon ange... Lui te baisant pendant que je regarde...
D’un coup elle bondit en arrière afin d’échapper à ma main. Les joues rouges, elle se réajuste puis me regarde d’un air furibond :
_ Tu crois que tu peux m’avoir aussi facilement ?
Elle s’approche de son coté du lit, saisit son oreiller et me le lance au visage avant de sortir de la chambre. Elle se retourne :
_ C’est malin, on fait mieux comme préparation pour une réunion de staff... Tu es un sale type !
Puis elle s’en va, me laissant hilare au fond du lit. Quelques minutes plus tard, j’entends un « A ce soir, sale type ! » puis le bruit de la porte qui claque et c’est le silence.
Je reste un long moment à rêvasser avec des images bien précises dans la tête... Je connais ma coquine, je suis sûr qu’elle est partie frustrée. Pas possible de mouiller autant et de ne plus y penser ensuite. Je suis convaincu que j’aurai des nouvelles dans la journée !
La matinée s’écoule lentement. J’en profite pour faire quelques courses et vers 11h, je reçois enfin un message WhatsApp. Je sors mon portable de la poche et constate que C’est elle :
_ Coucou, tu es où ?
Je réponds immédiatement :
_ Je fais quelques courses, pourquoi ?
Petit temps mort...
_ Pffff ma réunion vient de se terminer. Je n’étais pas du tout concentrée sur le sujet... Avec tes bêtises de ce matin...
_ Ma pauvre chérie, suis vraiment désolé.
_ Menteur !
Je réponds par un Emoji riant aux larmes qui reste sans réponse pendant plusieurs secondes. J’attends la suite impatiemment car je suis sûr qu’il y en a une. Un nouveau message apparait enfin :
_ Fabien m’a envoyé plusieurs messages que je viens de découvrir en sortant de ma réunion.
_ Et ?
Nouveau silence radio. Une minute, deux, trois et :
_ Ben c’est la même chose que la semaine dernière... Il a très envie de moi et aimerait qu’on se retrouve tous les trois...
Bingo ! Je jubile et je sens déjà mes mains trembler.
_ Tu lui a répondu quoi ?
_ Rien, je n’ai rien répondu encore.
Je réfléchi, il faut que je prenne le relai... Je décide d’y aller franco :
_ Moi aussi j’en ai hyper envie et toi... Vu ta réaction de ce matin...
Petit silence. Puis un nouveau message.
_ Tu m’agaces... Je te laisse ! J’ai autre chose à faire qu’à écouter tes bêtises !
_ Tu es fâchée ?
Les minutes s’écoulent et toujours pas de réponses. Je me dirige vers la caisse tout en espérant entendre la notification d’un nouveau message. Je paie et je file sur le parking. Je charge la voiture et me mets au volant, déçu. Je me dis que c’est foutu, je vais devoir rentrer à la maison quand soudain, mon téléphone se manifeste.
_ Je n’y arrive pas.
Je lui réponds aussitôt avec fébrilité :
_ Tu n’arrives pas à quoi ?
_ Devines ! A bosser bien sûr !
Je décide de ne pas répondre. Elle doit cogiter, c’est sûr... Deux minutes plus tard :
_ Fabien vient de m’envoyer une photo... Tu devines de quoi !
J’éclate de rire dans la voiture. Si on me voit, on va me prendre pour un taré, c’est sûr.
_ (même Emoji riant aux larmes) De sa queue ?
_ Exactement... En pleine forme... Il est complètement fou. Il propose qu’on se retrouve chez lui entre midi et deux.
Gonflé le Fabien, il attaque fort ! Je reste silencieux, attendant la suite. Trente secondes plus tard :
_ Pffff, qu’est-ce que je lui réponds moi ?
Ca y est, le poisson est ferré ! Je sens comme une poussée d’adrénaline et me mets à trembler de partout. Je réponds prudemment :
_ Ben tu en penses quoi ? Tu en a envie ? ou pas...
_ Pfff forcément après ton traitement de ce matin... C’est du n’importe quoi...
Je ne réponds pas.
_ Je suppose que toi tu es partant !
Là, je réponds directe :
_ Complètement !
Petit silence... Surtout, ne pas la brusquer. Je souffle un grand coup pour me calmer.
_ Je n’ai pas beaucoup de temps, moi...
Je ne réponds toujours pas, attendant la suite avec une impatience croissante.
_ Tu veux qu’on se rejoigne chez lui ?
Alors là, je trépigne sur place. Je sens mon rythme cardiaque s’emballer et mon ventre se crisper. Ca sent carrément l’envie pressante là ! J’étais pratiquement sûr qu’elle pensait au sexe en partant ce matin. J’étais convaincu que cette journée était la bonne pour un petit moment de folie. Je remercie Fabien dans ma tête d’avoir achevé de la convaincre.
_ Ok ! Tu vois avec lui pour l’heure et tu me dis.
Le temps s’écoule er au bout de trois ou quatre minutes.
_ Midi trente chez lui. Le temps de sortir et de faire le trajet... J’ai l’impression d’être une prostituée prenant rendez vous avec un client dans l’urgence!
_ Mais non, juste une coquine qui a envie de prendre du bon temps devant son petit mari chéri...
Elle me répond avec le même Emoji que celui que je lui ai envoyé plus tôt.
C’est bon, je la sens chaude, prête pour une petite partie de sexe. Je suis sûr qu’elle est déjà toute excitée et que sa chatte est trempée. Ma coquine, ma chérie, ma petite salope adorée...
Fabien habite à une trentaine de minutes au sud de Clermont dans un petit immeuble, au troisième étage. Lorsque j’arrive à l’heure convenue, Marine m’attend dans le hall d’entrée. Elle me fait un léger sourire, les joues rouges. Sans dire un mot, lui attrape la main et l’entraine dans l’escalier.
Fabien est visiblement hyper excité. A peine a-t-il ouvert la porte qu’il nous attrape tous les deux par le bras pour nous attirer dans son appart. Il m’embrasse sur les joues puis se tourne vers Marine. Il se penche et sans hésiter pose un bisou sur les lèvres de ma belle qui ne se dérobe pas. Puis il nous entraine dans le salon. Une bouteille de vin trône sur la table basse. On s’assoit tous les trois sur le canapé, Marine au centre et nous nous retrouvons avec chacun un verre de vin dans la main. Un rouge bien corsé du Languedoc. Marine nous rappelle qu’elle n’a pas énormément de temps car elle a une réunion en début d’aprèm. On sirote nos verres et constatons que nous sommes d’accord. Les vins de cette région ont bien progressé ces dernières années... Fabien nous resserre un deuxième verre puis un troisième. La bouteille est vide et je regarde Marine qui a les joues de plus en plus rouge. Fabien pose sa main sur la cuisse de ma coquine et la caresse doucement. Elle relève la tête et lui dit en riant :
_ Dis-donc toi, mon mari est là quand même !
J’embraye aussitôt :
_ Le mari constate que tu ne le repousse pas non plus !
Elle pouffe de rire et pose sa main sur la bosse située au niveau de la braguette de Fabien. A son tour, elle le caresse lentement puis murmure :
_ Mais c’est tout gonflé ici...
Fabien pose son verre sur la table et tout en la regardant droit dans les yeux :
_ Tu as aimé ma photo ?
Elle répond aussitôt en faisant la moue :
_ Hummm oui, c’était... Original.
Sa main continue de masser doucement la bosse.
_ Mais tu préfères voir en vrai...
Marine pouffe de rire tandis que Fabien se lève. Il enlève son sweat puis, torse nu, déboucle sa ceinture. Lentement, il défait le bouton de son jean, descend la fermeture éclair de sa braguette, baisse son pantalon jusqu’aux chevilles et l’enjambe. Puis toujours en la regardant, il baisse lentement son caleçon, exhibant son sexe dressé, énorme, gonflé de sang.
Marine le fixe, un petit sourire au coin des lèvres. Fabien me jette un coup d’œil puis regarde de nouveau Marine.
_ Alors ? Ca te plait ?
Elle ne répond pas. Elle avance une main et s’empare des testicules qu’elle caresse délicatement.
_ C’est chaud...
Fabien avance son bassin, le souffle court. L’autre main de ma coquine s’envole pour s’emparer de la verge en érection. Elle la sert et commence à la branler lentement, très lentement. Pendant quelques secondes, elle poursuit ses caresses puis tourne la tête vers moi et tout en me regardant, s’avance sur le bord du canapé. Je retiens mon souffle pendant que mon cœur bat la chamade. Je regarde ma salope avancer sa tête pour s’approcher puis sortir sa langue et commencer à lécher la hampe de bas en haut. Elle recommence plusieurs fois tout en massant doucement les bourses, ses yeux toujours fixés sur moi. Je la sens provocante, joueuse, totalement relâchée.
Fabien respire de plus en plus fort, debout sur ses jambes tremblantes.
Marine continue de le lécher doucement puis ouvre la bouche et s’empare du gland qu’elle s’enfonce au fond de la gorge. Je m’approche pour mieux voir ma femme sucer la queue de notre ami... C’est tout simplement divin !
Elle le pompe lentement avec un petit bruit de succion, respirant difficilement par le nez. A mon tour, je me lève et me déshabille complètement. Je m’agenouille sur le canapé et tout en les observant, me branle doucement. Fabien me regarde, à son tour, balançant ses hanches au rythme de la fellation qu’il reçoit. Il finit par me sourire et d’une voix tremblante me dit :
_ Ca t’excite de voir ta femme me sucer ?
Cher, très cher complice, tu commences à bien me connaitre ! J’adore ce mec, il veut vraiment un partage sans limite et c’est tout simplement formidable. Un dialogue étrange s’engage entre nous tandis que Marine continue de s’occuper de son sexe avec application.
_ Oui... J’adore la voir avec un autre mec... Regarde comme elle aime ta queue...
Fabien ouvre la bouche, cherchant l’air. Le regard trouble il fixe ma main montant et descendant tout en serrant mon sexe.
_ J’ai trop envie de la baiser...
A mon tour, je cherche l’air. C’est terriblement excitant de parler ainsi. L’impact des mots crus, directs sans filtre, c’est absolument délirant. L’effet est d’autant plus violent que Marine ne proteste pas, semblant consentir à écouter notre délire. Je craignais qu’elle ne s’offusque, qu’elle trouve cela vulgaire ou stupide, qu’elle se sente humiliée mais non, elle ne dit rien. Serait-ce possible que chez elle aussi, les mots aient un effet dévastateur ?
La gorge nouée, je murmure :
_ Vas-y... je te l’offre... Tu peux la baiser... Elle n’attend que ça...
Sa réaction est terrible ! Plaquant sa main sur le front de Marine, il se recule brusquement, sortant sa queue de la bouche gourmande. Il reste immobile, les jambes tremblantes, haletant tandis qu’un peu de sperme s’écoule du bout de son gland.
Marine le regarde, le visage écarlate, sa poitrine se soulevant au rythme de sa respiration hachée.
Fabien se penche, saisit sa main :
_ Vient !
Elle se lève aussitôt et se laisse entrainer dans le couloir puis dans une pièce sombre. J’attrape mon portable et m’avance à mon tour pour entrer dans la chambre. Les volets sont fermés et j’allume la lumière afin de mieux voir ce qui va sans aucun doute arriver. Je vais enfin déguster ce spectacle fabuleux. Voir ma femme se faire baiser par un autre mec. Le truc que seul un mari candauliste peut apprécier à sa juste valeur !
Marine se tient debout, immobile tandis que Fabien la déshabille avec une sorte de gourmandise.
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Elle se retrouve entièrement nue et Fabien recule d’un pas pour mieux l’admirer. Je note avec satisfaction que sa queue se redresse lentement, il n’a donc pas totalement éjaculé tout à l’heure. Marine reste immobile, tournant juste la tête vers moi, un petit sourire sur les lèvres. Elle tremble un peu et je devine son excitation aussi intense que la nôtre. Fabien s’avance et l’attire contre lui, sa queue contre le ventre palpitant de ma coquine qui me regarde toujours. D’une voix toujours enrouée par l’émotion, Fabien murmure :
_ Tu veux lui montrer comme tu aimes ça ? Te faire baiser par un autre mec ?
Elle respire fort, la bouche ouverte. Je ne m’attends pas à ce qu’elle réponde mais je me trompe. Toujours en me fixant droit dans les yeux, elle répond d’une voix à peine audible :
_ Oui... Je sais qu’il a envie de voir sa petite femme se faire prendre devant lui...
Elle ne peut en dire plus. Fabien lui tourne la tête et plaque son visage contre le sien. Ils s’embrassent à pleines bouches. Jeux de lèvres, jeux de langues accompagnés de bruits de succion, je m’appuis contre le chambranle, anéanti, tremblant de tout mon corps, l’estomac crispé, asphyxié.
Fabien se redresse enfin, saisit Marine par les hanches et la fait pivoter pour la mettre dos au lit. Puis s’avance, l’obligeant à s’assoir sur le lit. Elle se laisse aller en arrière, s’allonge et remonte en rampant sur le dos vers le haut du lit. Elle le fixe dans les yeux et lentement, remonte ses cuisses en les ouvrants au maximum, lui offrant ainsi une vue d’une indécence incroyable sur sa vulve, brillante de cyprine. Trop, c’est trop intense pour lui, pour moi... Il s’avance à genoux et s’allonge entre les cuisses bien écartées. A mon tour, je monte sur le lit et me place sur le côté pour mater. Basculant sur le côté afin de m’offrir la meilleure vue possible, Fabien frotte sa bite entre les lèvres roses. Mon trouble est tel que je débande presque instantanément ! Ce n’est pas la première fois qu’une émotion trop forte provoque ce phénomène chez moi. Mais je m’en moque ! Je ne veux que regarder, voir ma chérie, ma gourmande prendre son pied avec la queue d’un autre.
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C’est terrible, j’ai du mal à rester sur mes genoux. Je regarde la bite bien raide s’enfoncer au cœur de la fleur écarlate puis ressortir puis s’enfoncer de nouveau. Machinalement, je pose une main tremblante sur les fesses de Fabien et à chaque fois qu’il rentre en elle, j’appui sur son cul pour l’enfoncer au maximum. C’est divin. D’une voix étouffée je l’encourage :
_ Ouiiii... C’est ça... Baise là bien profond...
Marine gémit, aspirant de grandes goulées d’air.
J’ai la vue qui se trouble, je bascule en mode vidéo et je film. Fabien fait le maximum pour me permettre de tout voir, tout filmer au plus près. Tenant mon appareil d’une main, je caresse les seins de ma petite chérie de l’autre pendant que notre complice continue de la baiser en douceur...
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Lentement, je sens mon sexe se redresser. Je pose mon appareil, j’ai assez de souvenir. J’ai trop envie de participer... Voyant cela, Fabien se met en appui sur ses deux bras. De nouveau, j’appui d’une main sur son cul à chacune de ses poussées. Je regarde son corps aller de plus en plus vite, ses fesses se contracter. Marine halète lâchant de petits grognements entrecoupés de râles plus profonds. Je me dis qu’elle doit avoir la chatte en feu et qu’en ce moment précis, elle m’a oublié, concentré uniquement sur le plaisir que lui procure le pilon de chair s’agitant en elle. Soudain, elle pose ses mains sur le dos de Fabien qui va et vient plus vite, plus fort. Les bruits de gorges se transforment en gémissements puis tout d’un coup, je vois ses mains se crisper puis griffer le dos de son amant. Le corps arqué, la tête rejetée en arrière, elle pousse un long cri. Elle joui, un orgasme ravageur entretenu par les coups de boutoir qui n’en finissent pas. A son tour, Fabien lâche une sorte de feulement, en appui sur ses bras tendu. J’imagine son sperme jaillissant par saccade de son gland, inondant le ventre de ma salope qui continue de gémir en tremblant de tout son être.
Je les observe, cherchant l’air, le cœur battant la chamade. Fabien roule sur le coté afin de laisser Marine récupérer. Je regarde sa queue qui débande lentement, gluante de sperme. Puis je regarde Marine qui tout en respirant fort, fixe ma bite bien raide.
Oui ! Moi aussi j’ai envie, envie de tringler une salope qui ne demande que ça... Sans doute a-t-elle deviné mon envie bestiale. Elle ne bouge pas, gardant ses cuisses bien ouvertes. Je me place lentement à genoux entre ses jambes. Je regarde sa vulve dégoulinante de sperme. J’ai trop envie de mélanger ma semence à la sienne. Je déguste cet instant magique ou l’excitation vous tord le ventre. Fabien se redresse sur un coude. A son tour il matte, amateur lui aussi de ce genre de spectacle... Je me mets en position, comme lui, en appui sur mes bras. J’avance mon bassin pour placer mon gland devant les grandes lèvres écarlates et d’une poussée, m’enfonce tout au fond de ma coquine. Elle pousse une sorte de hoquet puis remonte ses cuisses de chaque coté de mon corps pour enlacer mon dos de ses jambes. Elle me fixe droit dans les yeux et d’une voix rauque :
_ Ouiiii...Vas-y mon chéri... Montre lui toi aussi...
Je perds la boule. Une tempête, la sueur dégoulinante sous mes bras tandis que je la défonce en cadence. Viennent les cris, son bassin s’agitant comme des vagues, ses ongles plantés dans mon dos. Puis son ultime hurlement, son ventre agité par des spasmes incontrôlables tandis qu’elle joui encore. Et pour finir, mon lâché prise en dehors d’elle, je gicle en grognant comme un animal. Du sperme partout, sur sa chatte, son ventre, ses cuisses.
Je roule sur le côté, allongé près de ma chérie qui peine à retrouver son souffle. Fabien nous regarde avec un grand sourire. Il finit par se lever et file dans le couloir. On entend une porte qui s’ouvre, le bruit d’une douche puis le silence. Marine se soulève sur un coude, tournée vers moi. On se sourit, c’est tellement bon ce petit moment de calme juste après. Elle se penche, sa bouche est chaude, tendre, légère aussi... On déguste ce baiser d’amour avec délice.
Fabien réapparait et aussitôt ma chérie se redresse puis se lève pour disparaitre dans le couloir. Der nouveau le bruit de la douche.
Fabien est revenu avec ses fringues et se rhabille lentement en me regardant, tout sourire. Ce type est un vrai complice
_ Quel pied quand même de se retrouver tous les trois... Marine est trop...
J’éclate de rire. Il n’arrive pas à finir sa phrase. Je complète :
_ Bonne ? Bandante ?
A son tour il rit de bon cœur avant de poursuivre :
_ Tout ça à la fois !
Il se penche vers moi, confiant et chuchote :
_ Tu sais, je vous respecte vraiment, vous êtes des amis dont je me sens très proche... Et franchement... J’adore quand elle... Quand elle se lâche... C’est tellement rare une femme qui aime le sexe comme ça ! J’ai trop envie qu’on fasse plein de trucs ensemble.
Je le regarde et ne peux m’empêcher de lui sourire.
_ Ben nous aussi on t’aime bien ! Et je suis sûr qu’on fera plein de trucs ensemble comme tu dis.
On rit, heureux de ce petit moment de confidences réciproques. Puis il reprend son sérieux et tout en regardant ses pieds :
_ Il y a une chose que je me demande... Je peux te poser une question ?
_ Ben vas-y ! Pas de soucis.
Il hésite, se dandine puis se lance :
_ Ben je me dis que vous avez peut-être d’autres amis avec qui vous... Je veux dire que côté sexe, vous êtes quand même hyper libéré... Je voulais juste savoir s’il y avait d’autres mecs avec qui... Enfin, tu vois ce que je veux dire !
J’éclate de rire tout en me demandant si je dois tout lui dire ou non. Sur un ton de confidence, je lui jette :
_ Pourquoi ? Tu serais jaloux ?
Il pouffe de rire.
_ Pfff t’es con... Non, c’est juste pour savoir...
Je n’ai pas le temps de répondre, Marine revient dans la chambre, une serviette autour des reins.
_ Je me suis permise de t’emprunter une serviette.
_ Ah, heuuu, ben tu as bien fait ! J’aurai du te le proposer, excuses moi.
Marine se rhabille rapidement puis nous lance :
_ Il faut vraiment que je parte, je vais être en retard...
Elle se penche vers moi et dépose un petit bisou sur ma bouche.
_ A ce soir, mon chéri !
Puis elle se relève, se tourne vers Fabien qui la regarde, les bras ballant. Elle hésite une fraction de seconde puis se dresse sur la pointe des pieds et plaque sur sa bouche un petit baiser avant de lui dire ;
_ Merci, c’était... très agréable. Vraiment très agréable...
Elle l’embrasse de nouveau, les joues rouges puis s’enfuit dans le couloir. On entend la porte claquer puis de nouveau le silence s’installe.
A mon tour, je me lève et j’attrape la serviette de Marine et mes habits avant de me diriger vers la salle de bain. En sortant de la chambre, je lui lance :
_ Je prends une douche et après, je te dis tout, promis !
J’ai tout le temps de réfléchir pendant que l’eau chaude ruisselle sur mon corps. Je me sens détendu, confiant. Après tout, il a le droit de savoir.
Je retrouve Fabien dans le salon assis dans un fauteuil. Je m’installe devant lui et le fixe dans les yeux. Je rassemble mes idées et je me lance.
Je lui dis tout ! Tout sur nos débuts dans l’exhib. Je lui parle de mon côté voyeur mais aussi de mon désir croissant d’offrir Marine à d’autres partenaires. Je lui décris les hésitations de Marine découvrant peu à peu ses propres envies. Et pour finir, je lui avoue que ma petite femme se laissait volontiers prendre son petit cul mais pas sa chatte qui m’était réservée... Jusqu’à ce qu’on le rencontre, lui !
Il me regarde, figé, tentant visiblement de digérer tout cela. Je le laisse tranquille pendant qu’il assimile peu à peu toutes ces informations. Il finit par me sourire :
_ Tu veux dire que je suis le premier à... à la baiser pour de bon !
J’éclate de rire avant de lui répondre :
_ Ah non, désolé... Je ne connais pas celui qui l’a dépucelé.
A son tour il éclate de rire.
_ Pfff nonnnn, tu sais bien ce que je voulais dire !
_ Oui, oui, je sais... Ben oui, tu es le premier mec qui a pu véritablement la baiser devant moi, son mari. Les autres ne pouvaient que la sodomiser, c’est comme ça !
Il réfléchit avant de poursuivre :
_ Tu crois qu’elle serait d’accord pour que moi aussi je la baise par derrière ? J’ai jamais fait ça en fait !
On rit tous les deux, complices extrêmes...
_ Hummm, ça m’étonnerai qu’elle dise non. Elle aime assez ce genre de chose... En tous cas, tu pourras essayer, je suis sûr qu’elle ne t’en voudra pas !
De nouveau, je l’observe en train de cogiter. C’est sûr, il doit y avoir des dizaines de questions sans réponses tournant dans sa tête. Il regarde sa montre et sursaute :
_ Putain, j’aurai trop aimé qu’on discute encore de tout ça mais moi aussi, je dois y aller... C’est trop chiant !
Je lui réponds en riant :
_ Si j’avais deviné, je t’aurai dit de prendre ta journée, toi aussi.
On se lève et je lui sers chaleureusement la main. Pris d’une inspiration subite je me penche et l’embrasse sur la joue. Il me regarde, un peu surpris puis m’embrasse lui aussi ;
_ Merci, vous êtes trop chouettes tous les deux... Suis trop heureux de vous avoir rencontré.
_ Nous aussi, on est hyper content de t’avoir rencontré.
Je vais pour ouvrir la porte quand il pose sa main sur mon bras.
J’ai une dernière question...
_ Je voulais juste savoir si... si vous continuerai de voir d’autres mecs ou d’autres filles ou si vous vous contenterai juste de moi pour vos... vos petits jeux.
Là, je le sens troublé, très troublé. Je ne veux pas lui raconter de bêtises, surtout pas à lui.
_ Ecoute, Nous on aime bien ce genre de double vie. Toi, tu es notre complice ami, celui qui sera souvent avec nous pour passer de bons moments. Mais je ne vais pas te dire que tu seras le seul avec qui on partagera ce genre de chose, tu comprends ? Avec Marine, on aime bien les rencontres imprévus alors si les occasions se présentent, ben on en profitera, comme avant...
Il hoche la tête avant de me répondre avec un petit sourire :
_ Je comprends... En tous cas, si cela vous arrive, vous me raconterez ?
_ Noonnnn, tu vas devenir candau toi aussi !!!! Fait gaffe tu vas pousser Sophie à se faire sauter par un autre mec devant toi !
Là, il éclate de rire en me serrant le bras. Il finit par se calmer et chuchote :
_ Aucun risque... Malheureusement. Mais entre nous, je pense que ça me plairait assez de voir Marine avec d’autres mecs... Je ressentirai peut-être un truc comme toi... Je ne sais pas... Ca me ferait bizarre je pense de voir ça, va savoir.
_ Oui, va savoir !
Je le laisse sur le palier et descend l’escalier quatre à quatre. Je me dis que notre Fabien a bien évoluer lui aussi et que ce n’est peut-être pas fini. Moi, j’en suis ravi !