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par SwedenForCandice
#2564993
Il y a tant d'intensité dans le moment partagé qu'il est difficile de ne pas planer en visionnant chaque cliché souvenir. A suivre donc avec plaisirs <3 :x <3
Patrice63 a liké
par Patrice63
#2565031
Merci @SwedenForCandice , concernant les clichés souvenirs, Candice te permet d'en avoir pas mal non plus!
Nous avons beaucoup de choses en commun sur ce sujet. J'ai l'impression que nos "façons" de vivre le candaulisme sont similaires... ;)
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par curieuxdu95
#2569638
Et bien ...
après une absence du site de quelques mois, j'ai repris la lecture de ce merveilleux post, ... j'en suis au 30 oct, je me suis délecté des 3 précédents récits.
Je m'en délecte, qui n'aurait pas ce ressenti ??? !!! @Patrice63 , c'est magnifique, sublime, envoutant, troublant, et ça me fait rêver (égoïstement :x ) de pouvoir motiver ma femme à lui faire connaitre tout ceci !!!
Ces lectures sont vraiment profondément troublantes. Le récit, est vraiment juste, avec un peu de longueur, pour avoir le temps de se mettre dans l'émotion que de tels moments peuvent apporter, c'est subjuguant, envoutant, et me concernant, frustrant de ne pas vivre ces expériences !!! :x
C'est le summum de lecture, avec de l'érotisme, une transmission de la passion ressentie, des notions de sentiment, d'incertitude, de curiosité, et j'en passe.
Magnifique couple, magnifiques échanges, magnifique relationnel, magnifique passion. On ne peut que vous souhaiter d'arriver à réaliser vos souhaits avec l'intensité que vous méritez, d'autant plus qu'ils sont si bien couchés sur le clavier ! 0=) :x
par Patrice63
#2570351
Plus de Marine sur ce forum , je suis triste.

Mais si @philok , Elle est toujours là :x .
Juste une période difficile pour vous écrire...

Merci @curieuxdu95 et @curieuxCandau , vos commentaires sont très, très flatteurs et me touchent beaucoup.
Je m'en délecte, qui n'aurait pas ce ressenti ??? !!! @Patrice63 , c'est magnifique, sublime, envoutant, troublant, et ça me fait rêver (égoïstement :x ) de pouvoir motiver ma femme à lui faire connaitre tout ceci !!!

Je te souhaite très sincèrement d'atteindre ce but et de partager ce genre de jeux avec ta femme! Ce serait merveilleux pour vous deux...
par Patrice63
#2570352
Juillet 2017... Toulouse suite

Retour dans la salle, la ballade est terminée et grosse frustration en ce qui me concerne ! Je suis chaud bouillant. J’imagine des tas de choses, ma tête pleine d’image de Marine se faisant baiser par Max, debout contre un arbre... On aurait du aller plus loin pour être tranquille, c’était tellement bien parti.
Tout le monde s’agite autour de moi, une vraie ruche ! Je me lance dans la préparation de la soirée moi aussi, histoire de me changer les idées. On remet les tables en configuration repas puis le couvert et la bouffe qu’il faut aller chercher au frigo. On va manger les restes de midi, viande froide avec moutarde ou mayo accompagnée de chips. Le truc simple mais qui nous va bien et puis il reste du fromage et pas mal de bouteilles à vider. Max s’assoit au bout d’une branche du U formé par les tables et Marine m’entraîne pour qu’on s’assoit à ses côtés, elle entre nous deux. Mon autre voisin est le même qu’à midi avec qui j’ai un peu discuté sans vraiment nouer une relation quelque peu amicale. Les deux couples nous faisant face sont plutôt sympas et mettent de l’ambiance. Un peu plus loin, sur ma droite, en face, une femme plutôt attrayante… Bien faite, habillée sexy, elle nous jette de fréquents coup d’œil. Visiblement, nous l’intéressons. Je suis sûr que Max l’a baisée autrefois et qu’elle se doute de quelque chose nous concernant. Va savoir… Je me penche vers Marine et lui souffle mes soupçons à l’oreille. Elle pouffe de rire et à son tour me murmure :
_ Oui, c’est Corine, elle était réputée pour être facile à l’époque, si tu vois ce que je veux dire... On ne se fréquentait pas vraiment elle et moi. Mais j’ai discuté avec elle tout à l’heure, elle est plutôt cool.
Les discutions s’engagent, ça parle fort, ça s’interpelle, bref, tout le monde se lâche. Les verres se vident et tout en grignotant, je surveille Marine et Max, guettant l’instant où, forcément, l’un d’eux prendra l’initiative. Du moins, c’est ce que j’espère ! Mais rien ne se passe, je suis déçu. Je m’attendais à des attouchements discrets sous la table, des mains baladeuses mais rien de tout cela. J’en suis rendu à me dire que ni l’un ni l’autre n’ont envie de quoi que ce soit pour le moment et ça m’agace un peu… Dommage !
Je bois un peu trop sans doute car j’ai la tête qui tourne. Je décide donc de ralentir la cadence et de manger un peu plus. Ma coquine lève son verre plus qu’elle ne devrait aussi mais ne semble pas y prêter attention. Elle rit beaucoup et fort aux blagues de ceux qui nous font face. Je jette un coup d’œil du coté de Max et je remarque que lui aussi ne rechigne pas à se servir à boire. J’en suis là de mes réflexions quand baissant les yeux pour récupérer ma serviette tombée par terre, je remarque soudain la main de Max, posée sur la cuisse nue de Marine. D’un seul coup, je m’enflamme au fond de moi. J’ai la boule au ventre et mes mains se mettent à trembler. Je me penche, attrape ma serviette et tout en me relevant doucement, observe la main caresser la cuisse de ma chérie qui fait comme si de rien n’était. Je regarde à ma droite mais mon voisin, la tête tournée de l’autre côté, discute avec sa voisine. Il ne peut donc rien voir. Je m’écarte un peu de la table pour ouvrir un peu mon champ de vision. Max remonte sa main sous la jupe de Marine et semble la caresser plus haut, vers sa culotte. Je sens mon sexe se dresser et gonfler ma braguette. Putain j’ai la gorge nouée et mon excitation est au maximum. J’adore vivre cela, c’est tellement enivrant, encore plus que le vin !
Relevant les yeux, je constate que la dénommée Corine me regarde avec un léger sourire. Merde, c’est pas possible, elle ne peut rien voir ! Ou alors, elle devine tout en fonction de notre position. Je sais, pas et puis je m’en fou après tout. Je jette un nouveau coup d’œil rapide en bas, la main de Max est toujours sous la jupe sur le haut de la cuisse, ça se voit à la position de la bosse sous le tissu serré. Je me dis qu’il aimerait sans doute lui caresser sa chatte par dessus la culotte mais il est sûrement coincé… Tant qu’elle n’écartera pas ses cuisses pour le lui permettre.
J’ai hyper chaud et j’ai l’impression que tous ceux autour de moi peuvent entendre les battements de mon cœur. Je tente de m’intéresser à ce qui se dit autour de moi mais je n’y arrive pas. C’est comme un brouhaha dans un brouillard. Je me sens hyper frustré de ne pas pouvoir regarder à ma guise sous cette saloperie de table. Le plus discrètement possible je jette un coup d’œil. La main de Max ne bouge plus et j’imagine ce qu’il doit ressentir. La peau douce et chaude, le bord de la culotte peut-être… Soudain, il se penche vers Marine et lui dit un truc à l’oreille. Marine pouffe de rire en le regardant, comme s’il venait de lui raconter une blague. Puis reprenant son sérieux, elle mange une bouchée de viande, boit une gorgée de vin et se tourne vers moi avec un petit sourire. Elle se penche et me fait un petit bisou sur la bouche avant de me dire tout bas :
_ Il faut que j’aille aux toilettes.
Elle repousse sa chaise en arrière, se lève et se dirige vers le fond de la salle. Je regarde Max qui me fait un petit clin d’œil et me tend son verre pour que je le remplisse. Je saisi la bouteille devant moi et m’approche de lui. Il regarde autour de lui et me lance vite fait à voix basse :
_ Je lui ai demandé d’enlever sa culotte... Et je crois bien que c’est ce qu’elle est parti faire…
Je reste figé quelques secondes… La salope ! J’en suis encore plus excité, c’est complètement dingue. Je pose la bouteille sur la table et de nouveau il approche sa bouche de mon oreille comme si on voulait discuter en échappant au bruit ambiant qui est effectivement loin d’être négligeable.
_ Vu ce qu’il s’est passé tout à l’heure quand on était tous les trois, je crois comprendre comment vous fonctionnez… Je me trompe ?
_ Non, je pense que tu as deviné… Je suppose que vu ton expérience dans le domaine, tu as déjà vécu ce genre de situation…
Il me sourit avant de me répondre :
_ Oui et… Non ! Je t’expliquerai plus tard.
Je me redresse et lui fait un petit clin d’œil discret de connivence. Je me rassois à ma place, guettant le retour de ma coquine. Je jette un coup d’œil du côté de Corine mais elle semble captivée par ce qui se dit plus loin, de l’autre côté. Je regarde du coté des toilettes et vois Marine revenir, son chemisier semble un peu plus ouvert, un bouton supplémentaire de défait, mais son décolleté reste dans la norme, rien de choquant. Elle arrive près de sa chaise et je remarque son poing fermé. Elle s’assoit et discrètement ouvre sa main afin de me montrer sa petite culotte qu’elle passe aussitôt de l’autre côté afin de la donner à Max qui s’en empare immédiatement. Je relève la tête, les joues en feu. Je souffle un grand coup et tourne la tête vers ma droite. Mon regard croise aussitôt celui de Corine. Elle me fait un petit sourire tout en continuant de me fixer. De là où elle est, c’est impossible qu’elle ait vu quoi que ce soit mais je suis certain qu’elle a deviné qu’il se passait de drôle de chose sous la table. C’est sûr ! Je tourne la tête vers mon verre et le fini d’un trait. Je m’oblige à regarder le type en face de moi qui se lance dans le récit d’une blague. Je l’écoute avec attention bien que je la connaisse déjà. De nouveau un coup d’œil du côté de Corine… C’est bon, elle regarde ailleurs. Peut-être que je me fais des idées après tout ! Une main se pose soudain sur ma cuisse et la serre brièvement avant de se replacer près de son assiette. Marine écoute elle aussi la blague et soudain, tout en continuant de discuter avec ceux d’en face, sans me regarder, Elle pose discrètement sa main sur ma cuisse et la serre brièvement avant de la remettre sur la table. Sa façon de me prévenir qu’il se passe des choses pouvant m’intéresser et que j’aurai pu rater… Je jette un coup d’œil vers le bas et la voit s’écarter un peu du bord de la table pour me permettre de mieux voir. Je reste complètement scotché par ce qu’elle me dévoile. Sa jupe remontée au ras de sa chatte, les cuisses ouvertes, elle s’offre à la main de Max. Je sens le sang battre mes tempes et j’ai vraiment l’impression d’étouffer. Ma queue me fait un mal de chien dans mon jean bien serré. J’ai un mal fou à regarder ailleurs et je ne peux m’empêcher de jeter des coups d’œil sans doute trop fréquents mais c’est une vraie torture pour moi. Il la visite de ses doigts, c’est flagrant, sa position l’empêche de la doigter en profondeur mais il profite bien de son clito. Et l’effet devient perfectible. Marine pose sa main sur la mienne, sur la table, et me serre de plus en plus fort. Elle a beau faire semblant d’écouter le type d’en face, je remarque son souffle, plus fort, plus rapide et le pincement rythmé des ailes de son nez. Soudain, de son autre main passée sous la table, elle repousse celle de Max et serre les jambes, sans doute à bout de résistance. Elle tourne la tête vers moi, un sourire au coin des lèvres, plein de complicité. J’exulte, je n’ai qu’une envie, quitter cette table pour qu’on aille baiser tous les trois… Mais on ne peut pas, pas tout de suite, pas dans son état, pas dans NOTRE état ! Je bande comme un fou et Max aussi sans doute. On va devoir trouver un moyen de calmer tout ça.
Ce foutu repas s’éternise, j’en ai marre d’attendre et en plus, je crève de chaud. Je craque ! Je me lève et je file dehors prendre l’air. Il fait nuit mais la fraicheur n’est pas vraiment là. Je fais quelques pas sur le parking, essayant de calmer ma fébrilité en respirant profondément. Je suis là depuis à peine 5 minutes qu’un bruit de pas sur le gravier m’alerte. Je me retourne et découvre Max qui s’approche de moi. Il me rejoint et nous marchons quelques mètres. Je m’arrête et lui demande :
_ Tu voulais dire quoi tout à l’heure avec ton oui et non ?
Il se met à rire doucement avant de me répondre :
_ Tout à l’heure, quand Marine s’est mise à poil avec nous deux, j’ai tout de suite compris que tu étais le genre de type qui prend son pied à regarder sa femme se faire baiser devant lui par un autre mec. Par contre je ne sais pas si tu te contente de regarder…
Silence.
_ Non, en général, j’adore la partager avec l’autre…
Il hoche la tête puis poursuit :
_ Pour répondre à ta question de tout à l’heure, oui, j’ai participé à quelques trios… En club le plus souvent mais chez des couples qui reçoivent aussi de temps en temps.
Silence.
_ Mais vous, c’est différent et… Beaucoup plus excitant.
_ Ah ! Et pourquoi ?
_ Les autres étaient plutôt blasés… Les nanas plus proches de la poupée gonflable que de la fille vraiment chaude. Tu vois ce que je veux dire ? En fait, tous les couples que j’ai rencontrés pratiquaient ça depuis longtemps et assez souvent. Bon je ne dis pas que je ne prenais pas mon pied, hein ! Franchement, les nanas savaient y faire mais, comment dire, ça prenait du temps avant que leurs mecs démarrent, comme si l’excitation tardait à venir.
Silence. J’attends la suite de son discours.
_ Vous, c’est… beaucoup plus… Marine tremble de partout et toi, j’ai vu tout de suite que c’était pareil et que tu bandais dès le début.
Il se met à rire avant de continuer :
_ C’est comme si c’était nouveau pour vous alors que je me doute que vous avez déjà fait ce genre de jeu, non ?
Je ne dis rien, essayant de rassembler mes idées.
_ Oui, on l’a fait quelques fois… Mais on n’a pas souvent l’occasion en fait, juste quand on peut avoir un peu de temps libre sans les enfants.
Il hoche la tête en souriant.
_ J’ai donc du bol de tomber au bon moment, au bon endroit !
Je ris de bon cœur moi aussi.
_ C’est exactement ça.
On se regarde, presque complice. J’aime bien cette conversation finalement, elle me met parfaitement à l’aise et ce type est plutôt sympa. J’ai l’impression qu’il a pas mal roulé sa bosse dans le domaine du sexe et je suis curieux de le voir en action… J’en suis là de mes réflexions quand de nouveau des bruits de pas nous alertent. Nus nous retournons d’un même mouvement pour apercevoir Marine s’approcher de nous dans le noir.
_ Ah, vous êtes là ! Les autres se sont mis à danser et je vous cherchais.
Je lui prends la main avant de lui dire :
_ Parce que tu veux danser ?
_ Heu… Non, pas vraiment. Je… Je préfère prendre l’air… Comme vous…
Elle fixe Max en finissant sa phrase. Ce dernier lui sourit avant de répondre :
_ Oui, on est un peu plus tranquille ici. Dedans c’est trop bruyant pour moi.
Marine me regarde avant de lui répondre :
_ Bon ben… On marche un peu ?
Elle me tire par la main et nous nous dirigeons vers l’autre extrémité du parking, derrière la salle, vers notre camping car qui se trouve dans l’angle le plus éloigné en bordure d’un petit bois. Nous avions choisi cet emplacement pour être un peu à l’écart pour mieux dormir. nous n’avions absolument pas prévu le scénario qui prend peu à peu forme dans ma tête. L’endroit est vraiment sombre, sans lampadaire et on devine juste notre véhicule éclairé par un tout petit peu de lune. Marine s’arrête et se tournant vers Max :
_ C’est notre camping car, on l’utilise souvent dans ce genre d’occasion, pratique pour dormir, pas besoin de louer un gîte comme ça. En plus, on a prévu d’aller sur la côte après…
_ Je vois… C’est hyper pratique votre truc, je me suis souvent posé la question d’en acheter un ou non. Ca me tente bien…
On reste là quelques secondes dans le noir à contempler la masse plus sombre juste devant nous. Puis Marine me lâche la main et s’avance sur le chemin qui fait presque face au camion. Elle s’arrête au bout de quelques mètres et tourne un peu la tête pour nous lancer d’une petite voix:
_ Je crois qu’on a été interrompu tout à l’heure… Non ?
Max se rapproche de moi et j’entends son souffle s’amplifier. Je déglutis avec peine car ma gorge vient de se serrer et je sens mes jambes vaciller. Max lance :
_ En effet, on n’avait pas fini ce qu’on avait commencé.
Marine se retourne et dans un petit rayon de lune, elle commence à défaire les boutons de son chemisier. Je sens mon sexe gonfler de nouveau et mon cœur bondir dans ma poitrine. Lentement, elle défait la fermeture éclaire de sa jupe et la fait glisser sur le sol. Sans hésiter, elle ramasse ses vêtements et ses chaussures puis les lance vers nous. Elle se tient debout face à nous, entièrement nue.
Je regarde du côté de la salle au loin, juste éclairée sur le devant par deux lampadaires. Improbable que quelqu’un ait eu la même idée que nous. La route qui passe de l’autre coté du camping car est totalement déserte et dans la pénombre. Il est plus d’une heure du matin, sans personne d’autre que nous. J’ai envie d’un souvenir. Je prends mon portable et le met en appareil photo puis j’ouvre la portière côté conducteur et actionne la commande des phares. Max sursaute et fixe Marine qui dans le faisceau lumineux apparaît, totalement figée. Le temps de prendre la photo et j’éteins les phares.

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Immédiatement, un éclair de lucidité me fait comprendre la stupidité de mon geste. Bonjour la discrétion ! Je m’attends à des protestations de la part de mes deux coquins mais rien ! Ils sont visiblement déjà dans un autre monde... Lui, toujours figé, totalement fasciné par la vue qu’elle lui offre. Finalement, au bout de quelques secondes, il me jette un coup d’œil puis se retourne vers elle et commence à avancer dans sa direction.
Je ne reconnais plus ma femme... Elle le regarde, un petit sourire au coin des lèvres, presque provocante. L’alcool n’explique pas tout, impossible ! Elle, qui d’habitude a une attitude plutôt soumise dans ces circonstances, se tient droite, torse bombée.
Ca y est, il est face à elle, contre elle. Vite, je m’approche, les jambes en coton et constate qu’ils s’embrassent à pleine bouche. Leurs souffles mêlés, les bruits de succions de leurs lèvres, sa main pétrissant ses seins, tout est diaboliquement excitant pour moi. Je reste là à les contempler tout en défaisant ma braguette afin de soulager ma queue emprisonnée dans son carcan de tissu.
Soudain, Max se laisse glisser, à genoux, sa tête face à la chatte de Marine. Elle reste immobile, les bras ballant, les jambes légèrement écartées, le souffle court. Elle me regarde et me fait un sourire appuyé, elle semble tellement sûr d’elle. Je baisse les yeux et regarde Max approcher son visage de la petite toison brune. Il frotte sa bouche sur le sexe offert et Marine lâche son premier gémissement. Elle lève une de ses mains et la pose sur la tête de Max. Il la lèche, la suce, l’embrasse, ses deux mains plaquées sur les fesses de ma coquine, comme pour l’empêcher de s’échapper. Mais elle n’en a visiblement aucune envie. Elle ondule des hanches tout en écartant un peu plus ses jambes, respirant fort par sa bouche entrouverte. J’en veux plus, plus d’abandon de sa part, plus d’exhib. J’enlève mon tee-shirt et l’étale sur le sol. Je prends son chemisier et fait de même à côté. Marine se redresse un peu et dès que j’ai fini de lui préparer cette couche sommaire, elle repousse la tête de, Max en arrière en lui murmurant à voix basse :
_ Attends !
Surpris il la regarde s’assoir sur les habits étalés puis se mettre en appui sur ses coudes tout en écartant ses cuisses au maximum. Sa chatte s’offre à lui, grande ouverte, palpitante. Sans hésiter, il se penche en avant, sa tête entre les cuisses écartelées et reprend ce qu’il avait commencé. Marine, la tête penchée en arrière se laisse déguster en gémissant.
Rapidement, je finis d’enlever mon pantalon et mon slip puis je me laisse tomber à genoux à mon tour, près d’elle. D’une main, je saisis un téton, le pince brièvement avant de passer à l’autre. Je le fait rouler entre mon pouce et l’index tandis que de mon autre main, je me masturbe tout doucement. Max lèche sans discontinuer la vulve et le clitoris de Marine qui sous nos caresses commence à se tordre tout en laissant échapper des petits râles de plaisir. Lâchant ses seins, je plaque ma main sous sa nuque afin de lui immobiliser la tête en la tournant vers moi et de l’autre main, empoigne ma bite afin de la lui présenter sur sa bouche entrouverte. Ouvrant les yeux, elle découvre ma queue et sans hésiter, l’embouche. Pendant plusieurs minutes, elle me déguste. Je sens sa langue tourner autour de mon gland puis enfoncer sa bouche pour me prendre plus profondément dans sa gorge. Elle remonte, sort sa langue et tout en gémissant sous les coups de langue de Max, sort la sienne et me lèche doucement. Ma tige, mes bourses, mon gland, tout y passe.
Max se redresse, essoufflé et regarde Marine continuer de me sucer, de me pomper avec frénésie même. A son tour, il enlève son pantalon et son slip, exhibant une belle bite bien raide. Puis, il s’approche à genoux de l’autre côté de ma coquine. Sa queue se balance près de sa joue et à son tour, il se branle lentement.
Je me retire en arrière afin de dégager mon sexe de la bouche gourmande :
_ Regarde, tu en as une autre rien que pour toi…
Elle me sourit, tourne la tête du côté de Max et se retrouve la bouche contre sa tige dressée. En appui sur un seul coude, elle lève son autre main et fait coulisser doucement la peau le long de la hampe dressée.
Max la laisse faire quelques secondes puis murmure :
_ T’aimes la queue, toi… tu es trop… trop bonne…
Elle le regarde droit dans les yeux tout en continuant de le masturber doucement, un petit sourire au coin des lèvres. Je ne l’avais jamais vu aussi provocante, elle m’excite à mort et j’ai une furieuse envie de la donner à baiser, là maintenant !
Elle ouvre enfin la bouche et l’approche du gland gonflé de sang. Juste avant de l’engloutir elle murmure :
_ Humm, elle est toute chaude… Toute douce… J’ai trop envie de la… Goûter.
Puis elle gobe le gros mufle rouge et se l’enfonce profondément dans la gorge. Après plusieurs va et vient, elle le recrache et se met à le lécher lentement tout en le serrant entre ses doigts.

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C’est au tour de Max de souffler fort en lâchant un petit gémissement rauque de temps en temps. De sa main droite, il pétrit la poitrine gonflée de désir tandis que moi, je branle doucement la chatte toujours bien ouverte. Marine a visiblement du mal à résister au plaisir montant en elle. Mais je la surveille et dès que je la devine prête à jouir, je m’arrête, retire ma main et attends quelques secondes avant de recommencer. Max se maitrise parfaitement. Il se retire de la bouche gourmande de temps en temps afin de souffler un peu et Marine reprend ma bite. Pendant de longues minutes, elle nous suce lentement, l’un après l’autre, léchant nos testicules, aspirant nos glands comme une gourmandise. Cuisses grandes ouvertes, elle s’offre en même temps à nos mains et nos bouches. Nous sommes en sueurs, complètement livrés à nos instincts les plus primaires. Deux mâles en rut se partageant une femelle en chaleur…
Je perds la notion du temps, je suis incapable de penser, de réfléchir. Je ne vois que ses seins, sa chatte et nos queues, juste le plaisir brut, sauvage. L’envie de sexe et rien d’autre. Marine me suce pour la nième fois quand Max décide de passer à l’action. Au lieu de se pencher pour lui faire un nouveau cunni, il s’avance à genoux entre ses cuisses largement ouvertes. Se penchant sur le coté, il attrape son pantalon et sort d’une de ses poches un préservatif. Pas besoin d’être devin pour deviner ce qu’il s’apprête à faire. Il veut la baiser pendant qu’elle me suce ! Marine l’a vu elle aussi et compris son envie. Il n’a pas le temps d’aller plus loin que déjà, elle se recule, lâchant ma bite. Prenant appui sur ses mains elle s’écarte de lui pour se dégager. D’une voix basse essoufflée elle lui lance en le regardant droit dans les yeux.
_ Non ! Pas par là… Je… Je ne suis pas prête pour ça… Cette entrée est réservée à mon chéri !
Max la regarde, interdit ! au bout de quelques secondes, elle lui dit :
_ Par contre, si tu as envie de… l’autre côté…
Je regarde Max qui reste sans voix sous l’effet de la surprise. Elle reste immobile, attendant une réponse qui tarde à venir. Puis il sourit à son tour et d’une voix à peine audible :
_ Un peu que j’en ai envie… C’est pas courant une nana qui aime se faire baiser par derrière.
Je tremble de partout. Même à genoux j’ai du mal à ne pas tomber. En plus je sens que ma coquine est prête à bien des choses. Pendant quelques secondes, j’ai même cru qu’elle allait se laisser enfin baiser devant moi, prendre sa queue dans sa chatte… Mais non, elle avait encore les idées claires finalement ! Je déglutis et d’une voix tremblante :
_ Oh s’il te plait ma belle, laisse le juste frotter sa bite sur ta chatte, comme avec Julien, juste pour que je puisse regarder un peu…
Elle nous dévisage, l’un après l’autre puis avec un petit sourire, me répond :
_ D’accord mais c’est moi qui vais le faire…
Je ne sais que répondre et je regarde Max, immobile, attendant visiblement la suite.
Marine se relève et s’avançant vers Max, lui dit :
_ A ton tour de t’allonger…
Incroyable, elle donne des ordres, parfaitement sûr de son pouvoir. Je suis abasourdi et en même temps fou d’excitation. Max lui sourit et s’allonge lentement sur le dos. Marine le regarde et je devine une envie évidente chez elle, l’envie de jouer avec ce mec ! Sous mes yeux ébahis, elle se positionne debout au dessus de lui, juste au dessus de sa bite dressée. Puis, fléchissant les genoux, elle s’abaisse sur lui, posant sa vulve sur ses testicules. Le buste bien droit, elle garde la pose en me regardant avec un sourire de satisfaction. Max levant ses mains, s’empare de ses seins et commence à les pétrir doucement. Fermant les yeux, elle lâche un long soupir de satisfaction et commence à onduler des hanches, frottant sa vulve sur le membre bien raide. Max respire fort et je devine qu’il fait tout pour se maitriser. Lentement, elle se penche en avant, sans cesser d’aller et venir sur lui puis approche sa bouche de la sienne. Leurs lèvres se soudent dans un baiser torride. Leur langues se cherchent, se trouvent et s’emmêlent. Je suis en apnée totale.
L’illusion est parfaite ! J’ai l’impression qu’elle le baise et ça me rend fou de désir. Mes paupières tremblent et la sueur dégouline partout sur mon corps, je ruisselle ! Le bruit de leurs respirations hachées, plus fortes, montre tout le plaisir qu’ils prennent l’un et l’autre dans cette sorte de simulation. Je suis sûr et certain qu’ils vont finir par jouir tous les deux, juste en se frottant l’un contre l’autre. Max soulève son bassin afin de participer lui aussi et soudain, Marine se redresse, rouge écarlate, aspirant l’air comme si elle s’étouffait.
Elle me jette un regard trouble puis à voix basse murmure :
_ Si tu veux, je peux te montrer... Vraiment près… Juste un tout petit peu…
Puis regardant Max :
_ Jure moi que tu ne bougeras pas… Que tu n’essaieras pas de…
Il la regarde un moment et lui répond d’une voix à peine audible :
_ Ok, tu peux avoir confiance en moi… Mais après, je te prends ton cul… Je n’en peux plus d’attendre…
Elle rit doucement puis reprend son sérieux. De nouveau, elle me regarde, se lève et se tourne comme pour un 69. Puis elle s’accroupi de nouveau, glisse ses mains entre ses cuisses et saisit le sexe tendu pour le positionner à la verticale juste en face de sa vulve.
_ Juste pour vous... Pour que vous puissiez bien regarder…
Puis lentement, elle s’abaisse comme pour s’empaler. Dès que le gland entre en contact avec ses lèvres intimes, elle lâche la queue bien raide et se l’enfonce de quelques millimètres entre ses grandes lèvres puis reste immobile, haletante.
Je deviens complètement fou. Je saisis mon portable, la contourne pour mieux voir, par derrière, sous ses fesses bien écartées et prendre LA photo, celle qui immortalisera cet instant magique… Max, la tête relevée ne rate rien du spectacle qu’elle nous offre. Avec fébrilité, j’active la fonction avec flash, je la veux bien claire, bien nette, en gros plan ! Je me penche au dessus du torse de Max.

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Putain que c’est beau, que c’est excitant ! J’aimerai trop voir cette bite s’enfoncer dans son ventre, tellement la voir se faire enfin défoncer, baiser comme une salope là, juste sous mes yeux...
Max reste totalement immobile, un véritable exploit, un vrai gentleman ! Comment peut-il résister ? Un, deux, trois flash et Marine se soulève et se remet debout, le souffle court, haletante. Je me recule, j’ai trop envie de la prendre, j’en ai mal aux couilles.
Max se relève à son tour et sans plus attendre, enfile son préservatif sous nos yeux attentifs. Puis il saisit ma coquine par les hanches et la retourne pour qu’elle soit face à moi. Tout en me fixant droit dans les yeux, un petit sourire au coin des lèvres, elle se laisse tomber à genoux puis se met à quatre pattes, offrant son cul à notre complice si patient. A genoux lui, aussi, il s’avance entre les jambes écartées. Se penchant en avant, elle pose sa tête sur l’herbe, les reins bien cambrée, le cul bien ouvert. Je regarde Max laisser couler un filet de salive sur le petit œillet puis le masser lentement avec son majeur. Au bout quelques secondes, il recrache et introduit tout doucement son doigt en elle et commence quelques mouvements de va et vient. Marine commence à souffler plus fort. Ses cuisses semblent vibrer, agitées de tremblements nerveux. Soudain, d’une voix tremblantes, elle lance :
_ Vas-y, baise moi… J’en ai trop envie… Viens…
Sans plus attendre, Max sort son doigt, empoigne sa bite et approche son gland du cul totalement offert. Fasciné, je regarde son gland disparaître, millimètre par millimètre, avalé par le petit trou plissé. Je me branle doucement…
Je perds le peu de raison qu’il me restait. Un mec encule ma femme devant moi et elle aime ça cette salope ! Il va et vient, lentement, puis plus fort puis lentement. De temps en temps, il la tringle avec force faisant claquer ses couilles contre le haut de ses cuisses puis ralenti pour la baiser lentement, bien à fond. Ma femme aime ca ! Elle s’offre, en redemande, ondule du bassin d’avant en arrière pour l’aider à mieux la baiser. Elle gémit, grogne, feule, exprimant son plaisir sans aucune retenue. Je me penche au dessus de son dos et passe un bras sous son ventre. Je glisse ma main vers sa chatte... Sa vulve est trempée... Je glisse un doigt, caresse doucement son clitoris, le masse tout doucement en cadence avec les coups de queue de Max. Je regarde son membre bouger en elle, je suis aux premières loges ! Puis deux doigts dans sa vulve, profondément. Je cherche la petite zone plus rugueuse vers le haut et le frotte très lentement. Je la branle ainsi pendants de longues secondes. Dès que je sens son périnée se resserrer autour de mes doigts, je les retire, la laissant au bord de l’orgasme. Puis je recommence. Au bout de plusieurs minutes de torture, elle gémit plus fort et finit par nous supplier, visiblement à bout de force.
Je finis par relever la tête et regarder Max. Nos regards se croisent et sans prononcer un seul mot, nous nous comprenons. C’est le moment ! Il accélère un peu ses mouvements et va au plus profond, tout comme mes doigts. Marine gémit de plus en plus fort tout en balançant ses hanches d’avant en arrière, de plus en plus vite. Je sens sa chatte aspirer mes doigts les serrer par intermittences comme dans des spasmes. Soudain elle lâche une sorte de feulement tout en redressant sa tête. Elle crie ! L’orgasme qui la ravage est d’une violence inouïe ! Elle balance sa tête de droite à gauche en criant d’une voie rauque :
_ Oh oouuiiii... Encore... Encore... Encore...
Contractant son périnée, elle repousse littéralement mes doigts dans un spasme monstrueux avec une sorte de cri venant du fond de sa poitrine « Haannnnn !!! ». Elle tremble de partout, tétanisée sur ses bras tendus. C’est le moment que choisi Max pour jouir à son tour dans un grognement de bête. Il pilonne ce cul plusieurs fois puis reste immobile, tout au fond, tout son corps crispé, tendu comme un arc.
Il finit par se retirer lentement pour s’écrouler dans l’herbe près de Marine, haletante, cherchant son souffle comme après une épreuve de course à pied.
Je reste à genoux, assis sur mes talons. La tête penchée en arrière, le visage vers le ciel, je respire à grand coup afin de faire chuter mon rythme cardiaque. Je n’ai pas joui et pourtant je me sens épuisé, la tension nerveuse étant au maximum. Les yeux fermés je me repasse les dernières images, celles de la jouissance de Marine. Je ne sais pas combien de temps je garde cette position mais tout d’un coup, je sens une main se poser sur mon sexe toujours en érection. J’ouvre les yeux, Elle est là, devant moi, mon adorable coquine… Souriante, son regard exprime une sorte de lassitude. Elle se penche vers moi et couvre mon visage de petits bisous plein de tendresse. Sa bouche passant près de mon oreille murmure :
_ Merci… merci mon amoureux de me donner tout cela… A toi maintenant… Viens !
Sans me quitter des yeux, elle s’allonge sur le dos, prête à me recevoir. Je m’allonge sur elle et sens ses bras entourer mon torse. Je n’ai aucun effort à fournir pour la pénétrer tant elle est humide. Je m’enfonce en elle et l’entend pousser un petit « hummm » de satisfaction. Je la connais, je sais qu’elle peut jouir encore… Je commence à la baiser, lentement, concentré sur son plaisir. Je dois tenir, je dois me retenir, faire durer, je veux la faire crier à mon tour. Au bout de plusieurs minutes, je décèle les premiers signes révélateurs d’un plaisir croissant. Son bassin entre en mouvement parfaitement synchronisé avec mes coups de rein. Les yeux fermés, la bouche entrouverte, elle respire plus fort et laisse échapper des petits cris de gorge. Remontant ses cuisses, elle enveloppe mon corps de ses jambes afin de mieux s’offrir à la pénétration profonde. A chaque fois que j’écrase mon pubis contre le sien, elle lâche une sorte de petit hoquet. Je n’en peux plus ! J’accélère, plus vite, plus fort, plus profondément. Elle ouvre les yeux et son regard hagard, voilé par le plaisir, m’enlève le peu de lucidité qu’il me restait. Ses jambes se détendent et me libèrent. Je la pilonne, concentré sur un seul but, la faire jouir encore et encore. Un bruit de clapotis ponctue chacun de mes coups de boutoir. Et soudain, elle redresse sa tête, le coup crispé, la bouche grande ouverte, elle pousse un grand cri, un « haaaaaaaa ! ». Le corps tétanisé, le front plissé, elle reste immobile en se mordant la lèvre inférieure pendant que je me libère à mon tour au fond de son ventre.

Trop de fatigue, trop d’émotion, les nerfs à fleur de peau, je suis là, allongé depuis deux ou trois minutes, essayant de me calmer. Je me sens vidé, épuisé. A mes cotés, la respiration de Marine, allongée sur le dos, me laisse deviner qu’elle est dans la même situation. Plus loin, Max, assis sur l’herbe, nous contemple, un sourire au coin des lèvres.
Soudain, il se lève et s’approche de nous :
_ Je vous laisse, j’habite tout prêt… On se voit demain matin ? Pour ranger la salle…
Je souffle un grand coup avant de lui répondre :
_ Ok, pas de problème… A demain matin…
Il regarde sa montre et rit doucement :
_ Heu, on est déjà demain matin. A tout à l’heure plutôt !
Je lui souris et lève le pouce en signe d’approbation. Il hésite et finit par dire :
_ Je me disais que si vous voulez, quand on en aura terminé avec les autres… Vous pourriez venir chez moi… Enfin, c’est comme vous voulez…
Il fait demi-tour et s’éloigne nous laissant seuls dans la nuit.
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par canlib
#2570425
Cher @Patrice63
Il est de ces livres où on attend chaque été ou chaque hivers la sortie du prochain livre !
Il est de ces films où on attend la prochaine saga !
Ces feuilletons où on attend le prochain épisode ou la prochaine saison.

Avec Marine... C'est pareil...

On est parfois impatient de comprendre, de suivre ce qui va suivre, de savoir jusqu'où elle va aller, de comprendre comment (hum...) la jolie gentille chenille timide se développe en papillon salope devant les yeux de son mari qui rêve que ça aille plus fort encore !!! Plus loin !!!

On reçoit tellement avec ton récit !!! on reçoit tellement d'émotions... Que nous avons alors envie d'en donner en retour !!! En retour avec un commentaire et pas seulement un "like"...

Et ici... Tu as des éléments qui en font un épisode torride !
Ce jeu de mains... que tu ne vois pas !!! Tu devines, tu vois un peu, ... mais tu ne vois pas de près !!! Je ressens la frustration à travers tes mots !!!
Toi qui aimes frustrer ta femme, ton épouse, par ce doigté pour l'amener aux portes du plaisir... où tu t'arrêtes pour la frustrer et la garder à température...
Ne vois-tu pas qu'elle a fais de même, à SA manière en l'écoutant LUI pour aller retirer sa culotte aux toilettes... A SA demande... la ramener ainsi dans sa main...
Et ensuite... tu regardes ou pas... à toi de voir ou pas... mais elle se laisse doigté à tes côtés...
Elle joue avec ce playboy qui les a toutes baisées... sauf une...
Oh... L'oie un peu blanche n'est plus si blanche... Il commence à le découvrir... Il doit sembler ravi comme il l'explique de jouer avec un couple qui débute... Le bonheur des débuts...

Ce que j'aime dans ton récit ? C'est la manière dont elle s'est libérée !!! Elle n'est plus cette future catin innocente attaché dans les bois !!! Elle n'est plus aveuglée pour avoir certaines excuses... Non, elle voit tout, elle dirige même, elle provoque, elle joue en un mot la salope !
Et toi ? Tu rêvais d'une salope... Tu rêves d'une salope... Elle est là... devant toi, ton épouse...
Toi le ronchon qui ne voulait pas venir à cette soirée !!! Toi qui pensait devoir proposer un plan Q à ton épouse... sans savoir où le trouver...
Il est là devant toi ce plan Q !!! Un ancien camarade... qui va se régaler à jouer avec elle devant toi et avec toi... il a compris comment vous jouez !!! De plus, il semble avoir de l'expérience comme les couples comme vous...

Comment tu racontes son regard quand elle suce !!! C'est un truc si idiot... mais si excitant car une mère de famille timide qui n'est pas encore libérée... suce en fermant les yeux, sans regarder ni le mari ni l'homme... elle suce alors tout simplement...
Mais là... non... libérée... elle joue !!! Elle suce, elle lèche... elle regarde... elle provoque !!!
Tu dois bander à la voir ainsi !!!
Tu dois tout simplement aimer la laisser se libérer !!! Surtout ne rien faire ou provoquer qui la refroidirait !!! Je comprends tellement...

Et ton envie de la voir se faire baiser !!! Non... La catin fait comme la plus salope des salopes, madame préfère être enculée profondément !!!
C'est tellement rare... une salope qui demande à être enculée... Il ne va pas se gêner....

Un moment très fort pour moi... qui est tout à l'opposer ou presque...
Ici, miss donne sa chatte... Je ne fus pas le premier... elle la donne facilement... et peut prendre alors du plaisir dans de nombreuses positions...
Mais moi... Je rêve de la voir se faire enculer !!! Ouvrir l'oeillet...
Tiens... Ca me fait penser à ce que j'ai écrit dans la 3ème rencontre, moment si intense... que je regarde et regarde sur la vidéo... mais que je ne publierai plus que probablement pas...
Oui... J'aime ce moment où elle contrôle !!! Le même... sans capote !!!
Ce "danger"... surtout avec un Don Juan qui vous ne savez pas où il va butiner... il place son gland... A l'entrée... Et toi ? Tu vois ? Et au lieu de surtout contrôler que la roulette russe ne tire pas un coup, qu'il entre par accident... non... toi tu prends des photos !!! Surtout garder des souvenirs...
Je parie même que tu aurais aimé qu'il la pénètre là... à cru !!! Tant pis pour la capote !!! Qu'il entre dans sa caverne si humide !!! En une fois !!! Qu'elle se lâche...
Je te comprends tellement... tellement.... Des moments si forts... si fort !!! Si intense...
Je pense qu'on peut encore mieux apprécier et ressentir ce que tu écris quand on a déjà ressenti ces moments... on les revis par procuration !!! Tu ers fort !!! On peut alors ressentir tant d'émotions !!!

J'aime également comment tu parles de mettre tes doigts... Où appuyer à l'intérieur...
C'est exactement pareil ici !!! Un doigt ne suffit pas... Trois ? C'est parfois "trop" suivant la taille des doigts... Mais deux doigts lui donneront la fontaine, la feront jouir et crier !!! Exactement avec la technique tu emploies !!!
Tu mérites que je te montres en photos ce que je jeux dire... ou même une petite vidéo...

J'ai adoré votre récit... On a aborde envie de lire la suite... chez lui...
On se demande s'il se lachera encore plus chez lui... Dans une intimité...
Dans son lit ? Et... on se demande évidement si elle lui donnera encore son cul ou si elle te fera la surprise de se lacher et donner ce que tu rêves tant...

Mais surtout... au risque de frustrer certains lecteurs...
Prends ton temps !!! Tu donnes tellement de détails, de qualité... Ne bâcle pas !!!
Prends ton temps... Nous attendrons, nous serons au rendez-vous pour te lire !!!

MERCI !!! Vraiment merci !!!
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par curieuxdu95
#2570441
1000 merci, cette fin de récit est une tuerie, un délice !!!
Toujours avec autant de pertinence, la tournure des phrases, l'équilibre, les mots choisis rendent ce moment de lecture des plus agréable. En parcourant ces lignes, j'ai le regard qui avance avec curiosité, pour parfois les dévorer, mais surtout pas trop vite, je mets un peu de mesure, parfois je reprends la phrase lue trop vite... car il faut les déguster et les savourer!
Et c'est avec impatiente, mais, une réelle immense impatience que je vais attendre le prochain !
8-) :x
J'adore !!!
Patrice63 a liké
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par SwedenForCandice
#2570737
Quelle narration <3 <3 <3

Le soucis des détails dans les mots, les gestes, les regards, la clarté des ressentis et des complicités à deux, à trois, une ode aux plaisirs sexuels librement consentis et vécus.

Une des pépites du forum
par Patrice63
#2570774
Merci!!!! Merci pour tous ces compliments si flatteurs, merci pour votre gentillesse à vous tous qui nous suivent sur ce topic. Je suis très heureux de partager avec vous ces émotions si intenses. Il y a tellement de choses qui me submergent lorsque je me replonge dans nos souvenirs.
Merci @Dionysos06 pour tous ces beaux poèmes (et pas uniquement ceux que nous t'indpirons avec Marine).
Mrrci @canlib pour tes commentaires, tes partages si intenses en terme d'émotions. Ton vécu et tellement dense...
Merci @curieuxdu95 , @lasecondedepersonne , @curieuxCandau, @SwedenForCandice , @voyeurdu38 , @michpat , pour vos éloges qui me vont droit aux coeurs.
Merci aussi à tous ceux qui m'envoient un petit liké ou un simple petit mot, ils me motivent aussi pour continuer à m'appliquer. Retranscrire le plus fidèlement possible mon ressenti, mes émotions, mes envies... Des choses que nous avons tous en commun !
Aujourd'hui je mesure la chance énorme que nous avons eu avec Marine de pouvoir vivre tout cela. Et grâce à ce forum, nous le revivons un peu une deuxième fois!
J'aimerai aller plus vite pour partager avec vous tous ces confidences mais entre le boulot, la vie de famille (nous avons encore une fille à la maison) et les amis (qui ignorent tout de cette partie de notre vie), les créneaux pour écrire mais aussi lire les autres témoignages ne sont pas si nombreux...
Amitiés à vous tous :cuck:
michpat, curieuxCandau, Routard et 11 autres a liké
par Patrice63
#2570778
. Ce que j'aime dans ton récit ? C'est la manière dont elle s'est libérée !!! Elle n'est plus cette future catin innocente attaché dans les bois !!! Elle n'est plus aveuglée pour avoir certaines excuses... Non, elle voit tout, elle dirige même, elle provoque, elle joue en un mot la salope !
Et toi ? Tu rêvais d'une salope... Tu rêves d'une salope... Elle est là... devant toi, ton épouse...

Oui, @canlib , le contraste entre Marine-maman de la vie de tous les jours et Marine-coquine est monstrueux. Je ne comprends toujours pas comment elle peut faire pour basculer d'une personne à l'autre aussi facilement. C'est comme si elle avait un interrupteur caché :x . Je me dis souvent "si nos amis savaient, si la famille savait... Qu'elle surprise pour eux, ils ne voudraient, ils ne pourraient pas le croire.". Cela aussi, c'est excitant !Mzrine adore ce jardin secret.

. Oui... J'aime ce moment où elle contrôle !!! Le même... sans capote !!!
Ce "danger"... surtout avec un Don Juan qui vous ne savez pas où il va butiner... il place son gland... A l'entrée... Et toi ? Tu vois ? Et au lieu de surtout contrôler que la roulette russe ne tire pas un coup, qu'il entre par accident... non... toi tu prends des photos !!! Surtout garder des souvenirs...
Je parie même que tu aurais aimé qu'il la pénètre là... à cru !!! Tant pis pour la capote !!! Qu'il entre dans sa caverne si humide !!! En une fois !!! Qu'elle se lâche...

Houla si tu savais... Si vous saviez comme ce fut fort, intense, complètement fou! Elle est allée jusqu'au bout de son envie d'echib, sans limite, pour me rendre complètement dingue de désir. Elle a pris un plaisir inouï à faire cela, juste pour me "démolir"
J'en avais rien à faire du préservatif, juste l'envie pure de candauliste, voir cette queue rentrée lentement dans sa vulve totalement offerte. Mais non!, Elle a contrôlé et là, elle m'a vraiment montré sa force de caractère ! Comment a-t-elle pu résister ?
Mais quel pied pour moi de voir cela malgré une énorme frustration !
curieuxdu95, michpat, ella27 et 3 autres a liké
par pat45
#2570799
jolie Marine et que dire de ce récit comme si on y été
Merci Merci . Je dirais même encore encore
Magnifique
Heureux hommes que vos complices
Quel bonheur de suivre vos aventures
michpat, Patrice63 a liké
par Patrice63
#2571206
Merci @pat45 ,
. Heureux hommes que vos complices

En ce qui me concerne, je considère que le plus heureux des hommes dans tout cela, ben c'est moi... :x
Bon, je pense effectivement que nos partenaires y ont tous trouvé leur compte aussi ! :) :) :)
michpat, freebedon, freebedon et 3 autres a liké
par justindom1417
#2571448
Quel magnifique recits encore et toukours cette lecture nous plongent vraiment dans l'action on voit les mots se transformé en images
Patrice63 a liké
par Patrice63
#2571567
Merci @justindom1417 , j'aurai aimé avoir plus d'images pour illustrer tout cela mais pas facile pour moi de penser à prendre des photos dans ces moments là :x
par Patrice63
#2572264
Juillet 2017... Toulouse suite2

Je jette un coup d’œil à ma montre, 9h passé, pas trop de bruit dehors, juste quelques voitures qui passent sur la route. Marine est collée tout contre moi, sa tête sur ma poitrine comme à son habitude. On a beau être en dehors du sac de couchage, on a déjà chaud. Elle redresse sa tête et approche sa bouche de mon oreille pour me mordiller le lobe. Puis elle rit devant mon mouvement pour lui échapper. On est bien, détendu... Je la retourne à plat dos et me penche sur elle pour l’embrasser tendrement sur la bouche tout en attrapant un de ses seins avec une main pour le pétrir doucement. Elle se laisse faire tout en bombant le torse pour mieux s’offrir. Je pose ma tête près de la sienne tout en continuant de la caresser. J’ai envie de lui parler de Max et de sa proposition.
_ Tu en penses quoi, on va chez lui ou on file directement sur la côte cet aprèm ?
Elle tourne la tête de mon coté, visiblement surprise.
_ Ah! Je ne sais pas moi, tu as envie de faire quoi, toi ?
_ Heu... Non ! C’est toi qui décide, moi, je m’en fous.
Elle se met à rire puis me répond :
_ Ben voyons... Pourquoi je devrai décider seule ce genre de chose ?
Je ne dis rien, j’attends. Elle regarde le plafond et semble réfléchir, un sourire au coin des lèvres. Puis sans me regarder, elle lance :
_ Tu sais parfaitement comment ça va finir si on y va... pas vrai ?
Cette fois, elle me regarde en souriant d’un air moqueur. Je souris à mon tour, heureux de ce que je devine déjà concernant notre décision. Mais je continue de jouer l’innocent :
_ Et tu penses que ça finira comment ?
Elle me tire la langue puis répond tout bas :
_ Par une partie de jambes en l’air monsieur l’hypocrite !
_ Et... Tu en penses quoi ? Je veux dire... Tu en as envie... Comme hier ?
Elle ne sourit plus et me regarde droit dans les yeux pendant que je continue de lui masser lentement ses seins. Elle ferme les paupières puis me répond tout bas :
_ Je... Je ne sais pas. Je ne sais pas ce qui m’a pris hier. J’avais trop bu et il est beau mec mais il n’y avait pas que ça... J’avais envie de... De vous provoquer.
Ma queue se dresse lentement. J’approche ma bouche de son oreille, j’ai envie de lui faire avouer plus de choses intimes, plus de secrets coquins.
_ Tu as envie de sa queue ?
Elle glisse sa main entre nos deux corps et s’empare de mon sexe en érection. Elle me branle tout doucement et me répond dans un souffle ;
_ Oui... Et de toi aussi... Vous deux...
_ Moi j’ai envie de vous regarder encore. J’ai envie de le voir te baiser encore devant moi... Ca m’excite trop.
Tout en parlant, je lui pince un téton et j’entends son souffle s’accélérer tandis qu’elle me branle en serrant plus fort mon sexe.
Une voiture s’approche et se gare à coté de nous, puis une autre et encore une autre. Merde ! Ils se sont donnés rendez-vous à une heure précise pour s’occuper de cette saloperie de salle ! Ca me coupe dans mes envies et Marine aussi qui rit sous cape, c’est foutu pour ce matin. Je me relève, un peu contrarié. Je commence à attraper nos fringues posées sur la table. Marine fixe ma queue toujours dressées se balancer à chacun de mes mouvements.
_ Hummm dommage mon chéri... Finalement, ça répond à ta question !
Je la regarde, bouche bée. Elle continue avec un air narquois ;
_ On devrait aller chez lui.... Ne serait-ce que pour soulager cette tension que je devine chez toi...
Elle pouffe de rire en fixant toujours mon sexe qui ne faiblit pas dans sa raideur. Elle se fout carrément de moi et ça me rend immédiatement ma bonne humeur. Je lui jette ses vêtements en lui répondant :
_ Coté tension, tu auras ta dose, crois moi !
Elle rit en se levant pour ouvrir le placard contenant nos habits. Elle sort une culotte et soudain elle me lance :
_ Tu sais quoi ? Ben il a gardé celle d’hier...

On vient juste de commencer à nettoyer et ranger la salle que Max se pointe. Il fait le tour de ceux qui sont là, serrant la main des mecs et faisant la bise aux femmes. Il me rejoint en dernier et après m’avoir salué, m’aide à ranger les bouteilles vides dans un carton. Nous sommes suffisamment nombreux pour que le boulot avance vite. A midi, tout est terminé. On se regroupe dans un coin près d’une table où on a posé tout ce qui restait en boisson et bricoles à grignoter, pain, chips, fromage.... On improvise une sorte de pique nique en bavardant.
Avec Marine, on sirote un verre de vin rouge quand Max s’approche de nous et nous glisse :
_ Alors ? Vous faites quoi ? Vous venez chez moi ou vous partez ?
Je le regarde en faisant semblant d’hésiter. Un coup d’œil vers Marine qui me fait un léger sourire puis je le fixe dans les yeux et lui réponds :
_ Ben c’est gentil de nous inviter... On veut bien venir visiter et, si ça ne te dérange pas qu’on gare notre camping-car chez toi, on partira demain matin....
Un sourire illumine son visage et il nous répond du tac au tac :
_ Aucun soucis, ça ne me dérange absolument pas !
Il choque son verre contre les nôtres pour sceller notre accord puis s’éloigne vers un petit groupe de l’autre coté de la table. Marine me fait un rapide bisou sur la joue puis s’avance vers un couple non loin de nous. Je reste seul en me disant que finalement, ce petit week-end est une vraie réussite.

Je suis la voiture de Max, une petite Mercedes, pendant une bonne vingtaine de km avant d’entrer dans un petit village. On le traverse et à la sortie, il s’engage dans un chemin conduisant à une maison cachée derrière un petit bois. Un portail plein à ouverture électrique et nous voilà sur une allée de graviers finissant devant un double garage faisant face à une villa moderne avec de grandes baies vitrées. Le gazon est bien entretenu, le type aime visiblement que ce soit propre et ne manque pas de moyens pour cela.
Il nous fait visiter les lieux puis nous invite à nous assoir à l’ombre sous une tonnelle et nous apporte des bières fraiches. On discute de sa petite propriété et on apprend qu’il a un bon job qui paye bien et qu’il en profite. Il fini par nous parler de son petit péché, les voitures de sport... Il nous emmène voir dans son garage une japonaise d’un bleu rutilant.
Au fur et à mesure que le temps passe, je le vois jeter des regards de plus en plus fréquents vers Marine. Il faut dire que vu la chaleur, elle a choisi une petite robe très légère qui ne cache pas grand-chose de son anatomie. Je sais qu’elle aussi a remarqué ses coups d’œil et que sa nature exhib lui fait apprécier cela. Ses cuisses bien exposées, ses seins parfaitement visibles sous le tissu ultra léger, tout est fait pour attirer le regard de n’importe quel homme normalement constitué... Tout cela m’amène à ressentir une certaine fébrilité je guette la moindre initiative de leurs parts mais rien ne se produit ! Pire que ça, Max, tout en continuant de mater ma petite coquine, lui demande quels sont nos projets pour les jours à venir. Elle lui répond de manière évasive et Je commence à me dire que c’est peut-être à moi de provoquer certaines choses. Peut-être que Marine n’attend que ça, que je prenne l’initiative !
Je regarde machinalement autour de moi et tombe sur la japonaise bleue dans son garage grand ouvert. Et soudain, il me vient une idée pour orienter différemment la conversation. Le soleil se fait moins brulant en cette fin d’après midi, peut-être qu’une séance photo avec le bolide permettrait un certain relâchement. Je me décide et lance innocemment :
_ Elle est splendide, ta caisse !
Surpris, ils se taisent et me regardent tous les deux. Je continue en riant:
_ Mais on la voit pas bien, j’aimerai bien la voir au soleil....
Max se relève aussitôt :
_ Pas de problème. Je te la sors !
J’en étais sûr, il est trop fier de sa belle sportive. Je l’observe manœuvrer l’engin avec des ronflements virils quand Marine me demande :
_ Depuis quand tu t’intéresses aux voitures, toi ?
Je rigole doucement :
_ Depuis quelques minutes, mon amour.
Elle me regarde, visiblement dubitative. Max a mis fin aux rugissements mécaniques et revient vers nous. Je me lève et lui lance :
Tu ne trouves pas qu’il manque un truc pour la mettre plus en valeur... Tu sais dans les salons, il y a toujours une superbe fille à coté pour montrer deux belles carrosseries ensemble !
Il éclate de rire avec moi devant les yeux plissés de Marine. Je suis sûr que maintenant, elle a deviné mes intentions mais elle ne dit rien. Elle m’observe, un petit sourire au coin des lèvres.
On la regarde tous les deux avec Max et elle finit par sortir de son silence en riant :
_ C’est gentil de me comparer à ces superbes mannequins mais je suis quand même un peu plus ronde qu’elles !
Max s’avance vers elle :
_ Ca tombe bien, moi je préfère les petites rondeurs...
Ca y est ! C’est parti, je jubile intérieurement tandis que les premiers tremblements apparaissent au niveau de mes mains. Je n’ai plus qu’à les laisser faire. Je les observe comme deux combattants se faisant face, c’est déjà tellement excitant.
Marine ne bouge pas de son siège et se contente de fixer Max dans les yeux.
_ Tu veux dire que mes courbes ne dépareraient pas celle de ta voiture ?
_ Humm moui, c’est ça... L’ensemble serait sûrement magnifique à observer, Patrice a raison ! Reste à savoir quelle tenue mettrait le plus tes jolies formes en valeur... Et si tu en as !
Elle le regarde longuement, presque avec défi. Je sens qu’elle cogite et je ne doute pas une seule seconde qu’elle a envie de le surprendre, de nous surprendre. Sa nature exhib, son envie de nous provoquer, je frémis de tous mes membres rien que d’y penser. Mon sexe commence à se rappeler à mon bon souvenir en tentant de se redresser dans mon jean.
Soudain, Marine se lève et sans rien dire, s’avance vers la voiture dont elle fait lentement le tour en laissant sa main frotter la carrosserie rutilante. Puis elle s’arrête et ouvre les deux portières afin de regarder l’intérieur. Enfin, elle se tourne vers moi :
_ Bien ! On a la voiture... La fille... Le mec qui regarde... Il ne manque plus que le photographe !
D’un geste nerveux, je sors mon portable de ma poche arrière et active l’appareil photo. Je lève les yeux et lui fait un petit sourire de connivence.
_ Je suis prêt !
Elle tourne la tête vers Max et le plus naturellement du monde, enlève sa robe pour se retrouver juste en petite culotte. Puis elle se tourne vers la voiture, monte sur le capot puis s’allonge sur le toit dans une pose étudiée. J’en oublierai presque mon rôle de photographe ! Elle a osé, elle vient de passé en mode salope-exhib et c’est terriblement excitant. Je bande déjà et j’ai du mal à ne pas trop trembler pour prendre les photos. Prés de moi, j’entends Max souffler un grand coup et murmurer :
_ Putain ce qu’elle est bandante...

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Marine reste immobile comme si elle se faisait une petite séance de bronzage puis elle se redresse lentement, sûr de l’effet qu’elle produit sur nous. Elle se retourne et s’allonge de nouveau, cette fois sur le dos. Je m’approche et prends quelques photos.

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J’entends crisser les graviers, Max s’approche aussi pour mieux profiter du spectacle. Je regarde la poitrine de ma coquine se soulever amplement trahissant son excitation. J’ai la gorge serrée et je ruisselle de partout. Je ne sais pas combien de temps on reste là, sur nos jambes flageolantes à la regarder. Son ventre ondule au rythme de sa respiration, ses seins sont une invitation aux caresses, ses tétons... Comment résister à l’envie de toucher, de caresser, de pétrir, d’embrasser ! Soudain, elle se redresse et nous fixe, les paupières mi-closes. D’une voix légèrement tremblante elle murmure :
_ Est-ce que cela vous convient ?
Je ne dis rien, je veux rester simple spectateur pour le moment. Max lui répond, sur le même ton :
_ Tu es franchement bandante... Tu donnes envie de...
Silence puis elle se met à rire avant de poursuivre :
_ Envie de ?
_ Tu le sais très bien...
Elle sourit, sûr d’elle, en vraie maitresse du jeu.
_ J’aimerai bien une preuve quand même... Une preuve de ces envies...
Max dégluti avec difficulté et se tourne vers moi, hésitant. D’un geste ample, il enlève son teeshirt puis lentement, il défait son ceinturon, les boutons de son jean et le fait glisser sur ses chevilles. Glissant ses mains dans son slip, il le baisse doucement, exhibant sa queue dressée dans une érection parfaite. Il reste quelques instants immobile sous le regard gourmand de ma coquine.
_ Ca te suffit comme preuve ?
Elle lui souri et acquiesce en hochant doucement la tête. Puis elle me regarde, attendant visiblement que je fasse de même. Je m’exécute et me retrouve nu à mon tour dans le même état que notre complice. Elle nous observe en silence, l’un après l’autre. Max me pousse légèrement du coude et lance :
_ Ce n’est pas très juste, nous on n’a plus rien sur nous tandis que toi...
Elle pouffe de rire puis s’allongeant de nouveau sur le dos, elle glisse ses mains sous l’élastique de sa culotte et la glisse le long de ses jambes par petits saccades. Elle la fait passer autour de ses chevilles et la lance vers nous avant de se redresser, toute souriante.
_ C’est mieux comme ça ?
Max lui répond dans un murmure :
_ Beaucoup mieux !
Je poursuis :
_ Pour les photos, tu pourrai peut-être nous faire quelques poses...
Elle me regarde en se mordant la lèvre inférieure avec un petit air espiègle dans les yeux. Elle fait mine de réfléchir puis commence une sorte de show. Les positions se succèdent, toutes plus érotiques les unes que les autres. Elle se montre, s’exhibe, s’offre à nos regards hypnotisés. J’en oublie même de prendre les fameuses photos ! Finalement elle se redresse, assise sur le bord du toit de la voiture, une jambe sur le par brise arrière, l’autre pendante sur le côté. Son sexe, totalement exposé, focalise toute notre attention, comme s’il nous intait à venir le déguster. Marine le voit bien et s’ouvre un peu plus, provocante, un sourire au coin des lèvres. Max se branle tout doucement et d’une voix basse :
_ J’ai tellement envie de te baiser...
A mon tour je me caresse d’une main tandis que je lève l’autre pour prendre enfin quelques photos qui seront certainement floues mais qu’importe.
Elle nous fixe sans sourire maintenant, visiblement excitée par l’effet qu’elle produit sur nous, nous les mâles en rut n’ayant qu’une envie maintenant, baiser cette femelle en chaleur. Et soudain, avec une lenteur extrême, ma femme, mon épouse relève sa jambe et la plie pour poser son talon sur le bord du toit. Totalement écartelée, elle nous montre sa chatte dans une position d’une indécence incroyable. Sa poitrine se soulève au rytme de sa respiration haletante. Tout en elle exprime une tension sexuelle intense. Puis, en appui sur un bras dans son dos, elle remonte l’autre et pose sa main sur le haut de son sexe, comme pour mieux l’offrir. Enfin, elle bascule sa tête en arrière nous donnant ainsi une impression d’abandon total. Quelle magnifique salope ! Je la trouve tout simplement sublime ! Je respire un grand coup pour maitriser au mieux mes tremblements. J’ai la gorge tellement serrée que j’ai l’impression d’étouffer. Je ne sais pas ce qui m’excite le plus entre la position que nous offre Marine ou le regard halluciné de Max. Je lève mon portable comme s’il pesait deux kg et je prends deux ou trois photos.

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Je ne sais pas combien de temps elle reste immobile, nous donnant tout le temps nécessaire de la regarder, détaillant chaque partie de ce corps qui nous rend fou de désir.
Enfin, elle relève la tête pour nous observer et de nouveau avec un petit sourire de satisfaction, se laisse glisser sur le sol en prenant appui sur la portière arrière. Elle s’avance vers Max, totalement immobile, et tout en le fixant droit dans les yeux, pose sa main sur sa queue et la caresse lentement du bout des doigts. Elle avance son visage vers le siens et dépose rapidement un bisou sur sa bouche avant de le laisser pour venir vers moi. Elle me sourit et tout en se collant contre moi, m’embrasse à mon tour sur la bouche. Un baiser rapide, sur les lèvres juste avant de s’écarter pour se retourner vers la voiture. Elle s’avance sous nos yeux ébahis et monte sur la banquette arrière.
Nous somme là, pétrifiés, nous les mecs, complètement shootés, drogués, incapables du moindre geste, soumis. La salope nous tient en son pouvoir et elle en est parfaitement consciente !; Elle en profite, en use et en abuse en véritable maitresse du jeu. Un jeu qui n’en fini pas pour notre plus grande satisfaction à tous les trois...
Marine est visiblement dans son trip. Le plaisir de l’exhibition est inscrit dans ses gènes, c’est l’évidence.
De nouveau, elle s’allonge à plat dos, sur la banquette arrière. Ses jambes allongées prenant appui sur la portière opposée, elle laisse lentement pendre sa tête en arrière à l’extérieur de la voiture. De nouveau c’est l’extase pour nous.

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« Putain qu’elle donne envie ! ». C’est ce que je pense au fond de ma tête, dans un tout petit recoin où se cache un tout petit reste de conscience. Sa poitrine magnifique palpite sous nos yeux. Ses tétons bien dressés semblent tout durs et trahissent sans aucun doute pour moi l’excitation intense que doit ressentir ma belle coquine.
« Putain qu’elle donne envie ! ». C’est, sans aucun doute, ce que doit penser au fond de sa tête, Max ! Et il craque et le dit :
_ J’ai trop envie de ton cul...
A ces mots, elle se redresse, se rassoit sur la banquette et le regarde en riant. Puis elle sort de la voiture et remonte sur la banquette, à genoux. Elle se penche en avant et nous offre la plus belle vue qui soit sur ses fesses. Elle nous lance :
_ Tu parles de celui-là ?
La coquine est à fond dans la provocation. Quel contraste avec ses allures de soumission lors de nos précédentes rencontres, c’est tout simplement incroyable. De nouveau mon petit reste de conscience, je me dis « il faudra qu’on parle de ça plus tard ». Mais ce petit reste de conscience disparait d’un coup ! Marine écartant ses cuisses, glisse une de ses mains entre elles et pose le bout de son majeur sur l’entrée de sa vulve comme pour en interdire l’entrée alors que l’orifice juste au dessus demeure, lui, libre d’accès.

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C’est une véritable invitation ! Du moins c’est ce que Max en déduit... Il s’avance et pose ses mains sur le cul totalement offert. Il la caresse doucement, me jette un coup d’œil comme s’il cherchait mon accord que lui donne immédiatement d’un signe de tête. Je suis à bout moi aussi. J’ai trop envie de la voir se faire baiser. Elle a provoqué et maintenant elle va devoir assumer. Et son immobilité montre qu’elle n’attend que ça cette salope ! Fasciné je regarde Max laisser tomber avec précision de la salive sur l’orifice plissé bien offert entre les fesses ouvertes. D’un doigt il masse le petit trou plissé, doucement, pour le détendre. Mais en a-t-il besoin d’être détendu ? Ne l’est-il pas déjà ? Au bout de plusieurs seconde, il pose le bout de sa queue dans la raie bien ouverte et la frotte lentement de bas en haut. Marine ne bouge toujours pas mais on entend clairement son souffle saccadé. Soudain Max me jette un regard inquiet et murmure d’une voix basse :
_ Dans mon pantalon...
Je le regarde, surpris et comprends d’un coup, un préservatif ! Je me penche, fouille les poches et trouve l’objet. Je le lui donne et le regarde envelopper sa bite dans le caoutchouc. Punaise ! Je l’avais oublié ce truc ! Il aurait pu la baiser sans ce truc que cela ne m’aurait pas choqué.
De nouveau, il frotte sa queue contre le cul de ma bien aimée. De nouveau, il lui masse l’anus et de nouveau, finit par lui enfoncer un doigt, lentement, pour s’assurer qu’elle est prête à le recevoir. Et elle est prête ! Le petit gémissement qu’elle laisse échapper le montre clairement !
Fasciné, je regarde le gland caoutchouté s’appuyé sur l’endroit magique. Max tient sa bite fermement dans sa main pour qu’elle reste bien raide et l’enfonce tout doucement dans le puit serré de ma salope. Elle ne bouge pas, le souffle court et laisse entendre un petit râle du fond de sa gorge. Max s’enfonce jusqu’à la garde, son pubis tout contre les fesses. Je contemple ce magnifique spectacle dans un état second. J’ai comme un bourdonnement dans mes oreilles et la vue un peu trouble. Je me redresse et vacille sur mes jambes. Merde ! je vais tomber dans les pommes ? Ca tourne un peu et je me dirige vers l’autre coté en contournant l’arrière de la voiture. Je dois m’appuyer sur la carrosserie pour ne pas tomber. Je matche un peu comme un zombie, j’ai envie de sexe, envie de baiser, envie de voir ma salope se faire mettre et en redemander. J’ouvre la portière et me retrouve face à sa tête appuyée sur la banquette. Elle la redresse et me regarde, les yeux hagards. Elle est déjà en train de prendre son plaisir ! Elle se balance doucement d’avant en arrière sous les coups de reins du salaud qui l’encule. Je ne raisonne plus, je ne suis plus qu’un animal devant une chienne. Je monte à genou sur la banquette et me retrouve tout proche de Marine, ma bite près de son visage. Elle ne raisonne plus non plus. C’est comme un réflexe, elle ouvre la bouche et prend ma bite. Elle me suce le gland puis me pompe lentement au fur et à mesure que je m’enfonce dans sa bouche, pas trop profond quand même, pour ne pas l’étouffer. Il me reste quand même cette conscience, celle de prendre soin d’elle.
Je calque mes mouvements sur ceux de Max. Dès qu’il s’enfonce en elle, il la pousse en avant et elle gobe un peu plus ma queue. C’est un vrai délice. Cela dure, encore et encore. De temps en temps, j’offre mes bourses à lécher à ma coquine qui ne s’en prive pas tandis que sur un rythme toujours aussi lent et régulier, elle se laisse enculer profondément.
Le temps défile mais je n’en ai plus aucune conscience. Marine gémit, la bouche pleine. De là où je suis, je peux voir les mains de Max, bien ancrée sur ses hanches, Ses reins creusés, cambrée au maximum pour mieux s’offrir, mieux se donner, mieux le prendre en elle. A chaque fois que je sens que je vais craquer, je me retire de sa bouche pour laisser la tension retomber un peu. Je l’observe prendre son pied et c’est merveilleux. Je me dis que s’il le voulait, il pourrait sortir de son cul, enlever le préservatif et lui mettre sa bite dans sa chatte de salope. Je suis sûr que vu son état d’excitation, elle se laisserait faire... J’ai presque envie de lui dire, envie de lui chuchoter « baise lui sa chatte, vas-y ! ». Mais non, je ne peux pas faire un truc pareil, même si j’en crève d’envie, même si je ne maitrise plus grand-chose dans mes pensées. Il me reste l’essentiel, ce qui ne peut être déconnecté, même lorsque je laisse mon coté bestial prendre le pouvoir. Mon amour fou, notre complicité, mon respect, tout cela demeure dans le petit coin fortifié de ma conscience.
Lui prenant les cheveux sur sa nuque, je lui relève la tête pour lui donner de nouveau ma bite à sucer. Je remarque que Max accélère sensiblement sa cadence et la force de ses coups de reins. Marine gémit de plus en plus fort aussi et moi, j’en peux plus de me retenir. Oui, c’est bon, trop bon ! Nos corps se déchaînent, nos esprits sombrent peu à peu dans la folie. Max pilonne ce cul qui ne demande que ça. Marine ne gémit plus, elle grogne, elle râle. Je sors de sa bouche pour la laisser se libérer au maximum. Je me penche et constate que fidèle à son habitude dans cette position, elle se branle par en dessous. Soudain, c’est l’explosion, les deux en même temps ! Il pousse une sorte de feulement tandis que tétanisé, il reste enfoncé tout au fond du cul qui tremble devant moi. Ce salaud éjacule dans le cul de ma femme qui se branle frénétiquement dans un orgasme débridé. Elle ne cri pas, ne gémit pas, le bruit de gorge qu’elle nous offre est indescriptible. Et cela dure longtemps ! Elle s’effondre sur la banquette tandis que Max se recule, hors de ma vue. J’entends juste son souffle au dehors. Je suis là figé, contemplant la femme abandonnée, fatiguée qui récupère lentement, à plat ventre. Je me recule, descende de la voiture pour lui laisser plus de place. Elle murmure aussitôt :
_ Attends !
Elle reste un moment sans bouger puis se redresse lentement et s’assoit sur le bord du siège, les jambes au dehors.
_ Viens !
Je m’avance vers elle, ma bite tendue. Elle la prend entre ses mains, la caresse, la branle doucement puis l’embouche. Elle me suce, me pompe tout en malaxant mes testicules. De temps en temps elle me lèche, parcourant mon gland, ma hampe puis mes bourses avec sa langue avant de me reprendre en bouche de nouveau. Je suis à la limite, au bord de l’explosion. Je la supplie d’arrêter, lui dit que je vais partir qu’il faut qu’elle me recrache mais elle insiste, elle veut aller jusqu’au bout et je lâche tout !
J’éjacule dans sa bouche en longs jets. Ma queue se contracte par spasmes successifs pendant que Marine continue de me pomper avec un e sorte de rage. Elle finit par me lâcher et me regarde avec un petit sourire. Du sperme dégouline de ses lèvres et elle le recrache doucement devant moi.

La douche nous fait du bien, nous lave de la sueur mais aussi de la fatigue. Nous sommes tous les trois et on se marre. Max n’arrête pas de dire :
_ Putain, quelle spectacle tu nous as donné ! J’en reviens pas.
Et on rit.
On a faim aussi, Max nous annonce qu’il a de quoi nous rassasier, au barbecue, ça va être le top ! Il a de quoi manger, du vin et ensuite... Je me dis qu’ensuite, on sera prêt à remettre ça. Je ne suis pas rassasié et eux non plus, j’en suis sûr. En profiter un max, jusqu’au bout, c’est à ça que je pense pour la suite de la soirée qui débute.
damienlove, DANA, Heterobi11 et 37 autres a liké
par Odean
#2572279
Super récit illustré de superbes photos = un sans faute, Bravo
Et j'ai envie de dire "encore"...
Merci
Patrice63 a liké
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