Juillet 2017... Toulouse
Je suis grognon ! C’est exactement comme je m’y attendais. Je ne connais personne et je ne me sens pas du tout concerné. Fin mars, juste après notre petite expérience dans une chambre d’hôtel à Montluçon, Marine avait reçu un mail d’une ancienne copine de FAC avec qui elle était restée en contact. Elle avait réussi à retrouver une grande partie de ceux qui formaient, à l’époque, une belle bande de copains. Elle organisait une séance retrouvaille près de Toulouse début Juillet. J’avais tout de suite vu que Marine était emballée par l’idée. Moi, beaucoup moins mais je n’avais rien dit. Outre le fait qu’en Juillet c’était l’occasion de faire une petite virée coquine à deux, j’étais sûr de m’emmerder à ce genre de truc... Ben voilà, c’est exactement ça, je m’emmerde. Bon tout le monde n’est pas encore arrivé, il en manque encore une dizaine en comptant les conjoints mais je ne vois pas pourquoi ça changerai quoi que ce soit au fait que je m’emmerde ! On sera 27 si j’ai bien compris, des couples et des célibataires, tout ce monde coincé dans la salle des fêtes d’un petit village situé à 30 bornes de Toulouse. Donc même pas moyen de s’échapper pour faire un tour en ville. Je me sens coincé et mon seul plaisir, c’est de voir Marine hyper contente de retrouver d’anciens amis. Elle a beau avoir fait les présentations, je ne me rappelle déjà plus de qui s’appelle comment. J’ai pas vraiment fait l’effort de mémoriser ça non plus !
Je fais le tour de la salle et de temps en temps je sors dehors, au soleil. Il y a un grand terrain arboré derrière la salle avec de petits sentiers où je pourrai me balader si le temps me parait long, c’est ma seule consolation. On a pris le camping car pour dormir et la grande majorité des autres ont réservé des gites dans le coin. On est samedi et théoriquement on part lundi sur la côte atlantique sans but précis, juste pour 2 jours. On doit rentrer jeudi car présence indispensable au boulot pour moi, la poisse !
Des nouveaux viennent d’arriver... Je les observe et fait la même constatation que pour la plupart des autres, ils font « vieux couple » bien installé dans la routine. Marine détonne un peu avec trois ou quatre autres femmes, habillées sexy. Quand aux mecs, rien de spéciale, déjà vieillissant dans leurs attitudes et leurs discours. Franchement, on est loin d’une ambiance festive et j’en ai rien à foutre de leurs problèmes respectifs dans leur boulot ou du nombre de leurs enfants et où ils en sont dans leur parcours scolaire...
Bon, je me secoue et j’essai de me raisonner un peu. C’est un weekend « nostalgie » pour Marine et je me dois de respecter ça au moins ! Je regarde la salle, spacieuse, claire, avec des tables en U pour le déjeuner et le diner car on va y passer la journée complète et même une partie de la nuit sans doute... J’ai cru comprendre que la bouffe venait d’un traiteur. Je fais de nouveau le tour des convives qui sont tous là maintenant. Je m’amuse à les détailler et à les « juger » au niveau de leur physique. Les célibataires, quatre nanas pas vraiment jolies et trois mecs, si je me souviens bien, dont un blond comme les blés plutôt beau gosse. Un qui s’entretient bien, c’est visible ! Chez les couples, deux femmes vraiment canons, des « que je baiserai bien si j’en avais l’occasion » et c’est tout ! rien d’autre à noter tant les autres sont « communs ». Bon ben voilà, j’ai fait le tour. Je me sers une bière à la tireuse en libre service et me tiens un peu en retrait. Les conversations m’ennuient, je n’ai aucun souvenir commun avec ces gens et pourtant je me sens fautif. Les conjointes et conjoints des autres « ex-copines-copains » sont dans le même cas que moi et semblent s’intégrer à la réunion. Finalement, ce doit être moi qui suis un vieux con !
J’en suis là de mes réflexions quand Je remarque Marine qui s’approche de moi, accompagné d’un des célibataires, le beau gosse...
_ Chéri, je te présente Max, ce doit être un des derniers que je ne t’ai pas encore présenté...
Je tends la main et répond avec une jovialité feinte :
_ Enchanté, moi c’est Patrice !
Le gars me donne une poignée de mains franche avec un grand sourire. Marine est sur le point d’ajouter quelque chose mais elle est happée par sa copine organisatrice qui l’embauche aussitôt pour un coup de main. On reste là avec le dénommé Max, ne sachant trop quoi dire. Finalement il attaque en me demandant où l’on vit, depuis quand je connais Marine et il en profite pour parler un peu plus de lui aussi. Apparemment le gars est un sacré coureur de jupon, il ne s’est jamais marié, préférant butiner de droite à gauche. Au bout de plusieurs minutes, on en vient à parler de rugby et le goût pour ce sport nous rapproche un peu plus, je me sens moins seul tout d’un coup. Je viens de me faire un pote ! L’heure de passer à table arrive enfin. Je me retrouve à coté d’un couple assez sympa. C’est elle qui était à la fac, lui vient de Bordeaux. Marine semble avoir pas mal de souvenirs avec la fille. J’écoute tout cela d’une oreille discrète. Certains s’interpelle d’une table à l’autre, d’autres parlent en petits groupes. La bouffe est correcte et le nombre de bouteille vide augmente rapidement. J’essaie de ne pas abuser, j’ai pas trop envie de picoler... Je rêvasse un peu, réfléchissant à l’endroit où on pourrait aller lundi. Un endroit avec une vie nocturne bien dense où on pourrait avoir des opportunités de rencontre. Je regarde Marine qui parle de plus en plus, elle rit beaucoup aussi et ses joues prennent une petite couleur rose que je connais bien. Son verre ne reste jamais plein longtemps... Le dessert arrive enfin suivi du café.
La copine organisatrice se lève et va mettre de la musique. Des groupes de discussion se forment. Je me lève et sors dehors, il est 16h30, un peu d’air me fera du bien. Je marche tranquillement vers un banc sous un magnifique platane. Le silence relatif est apaisant et je repars dans mes plans. A paine 10 minutes plus tard, Marine sors de la salle et regarde autour d’elle, visiblement à ma recherche. Elle m’aperçoit et viens directement vers moi.
_ Je te cherchais... Ca va ? Tu ne t’ennuis pas trop ?
Je ne vais pas lui gâcher ça.
_ Pas du tout, tes amis sont sympas mais là, il y avait trop de bruit, j’avais besoin de m’évader un peu !
Je lui fait un grand sourire pour finir de la rassurer.
_ Tu sais, ce ne sont plus vraiment des amis vu qu’on ne sait pas vu depuis plus de vingt ans pour la plupart...
_ Oui mais ça ne vous enlève pas le plaisir d’évoquer tous ces souvenirs...
Elle se penche vers moi et m’embrasse tendrement sur la bouche puis se redresse.
_ Tu es adorable.
Elle fait demi tour et repart vers la salle mais au bout de quelques pas, elle s’arrête, reste quelques secondes immobile puis revient vers moi.
_ Il y a un truc que je voudrais te dire...
Elle s’assoit sur mes genoux et sur un ton de confidence :
_ Tu sais le type que je t’ai présenté à la fin, Max... Ben à l’époque, il a couché avec la plupart des filles qui sont ici...
_ Noonnn, un vrai coq dans la basse court alors !
Elle pouffe de rire.
_ Il est pas mal et il parlait bien aux filles.
_ Je m’en doute... Et toi ? Tu as baisé avec lui, toi aussi ?
Silence.
_ Non... Ca a failli mais non.
_ Ben pourquoi ?
_ Il a essayé, un soir de sortie en me ramenant au campus. Je l’ai laissé m’embrasser et me... caresser. Mais quand il a voulu aller plus loin, j’ai dit non.
_ Tu en avais pas envie ?
De nouveau elle pouffe de rire.
_ Si, si, j’en avais même très envie mais bon, j’étais encore pleine de principes en ce temps là. Coucher avec lui à la première occasion, c’était pas mon truc, surtout qu’il se faisait pas mal de filles autour de moi. Je ne voulais pas être une de plus à son tableau de chasse.
_ Je vois... Et aujourd’hui ? tu le regrettes ?
_ Ben non, c’est loin tout ça, je m’en moque !
_ Il est toujours beau gosse, tu ne trouves pas ? En plus, célibataire...
_ Hi, hi, n’importe quoi... Il vit peut-être avec quelqu’un ?
_ Tu veux que je me renseigne ?
_ Pfff, ça va pas non ! Si j’avais su je ne t’aurais rien dit! Je vais rejoindre les autres, tu viens ou tu restes là ?
_ Hummm non ! Je vais rester un petit moment pour prendre l’air.
Je plaque sa bouche contre la mienne et l’embrasse avec ma langue. Elle me répond avec la même fougue puis se recule et se lève. Elle me regarde avec un grand sourire, fait demi-tour et repart vers la salle.
Je la suis du regard pensif. Si le type n’est pas trop con, je n’aurai peut-être pas à attendre qu’on soit sur la cote pour vivre un truc très excitant...
Je rentre de ma ballade après une heure de marche dans le parc, un vrai dédale de sentiers hyper agréable où j’ai croisé quelques familles en promenade avec les enfants. Je me sens bien, ma mauvaise humeur a disparu et je me dis que finalement, ce sera une journée agréable.
Je rentre dans la salle et me dirige vers la table portant la tireuse. Une petite bière fraiche me fait le plus grand bien. Certains jouent aux cartes, d’autres discutent. Il y a même un groupe de quatre qui jouent aux cartes. Je cherche Marine du regard et la trouve assise dans un coin. Elle discute avec un couple et me fait un petit signe de la main. Je me dirige vers les toilettes pour me laver les mains et lorsque je ressors, Elle est là, devant la porte. Elle me prend le bras, m’entraîne un peu à l’écart et me demande si j’ai fait une bonne ballade.
_ Oui, très sympa le coin, ça fait du bien de se bouger un peu... Et toi ? Toujours à évoquer les souvenirs
?
_ Oui, j’ai discuté avec pas mal de monde... C’était bien...
Elle me regarde avec un petit sourire au coin des lèvres. J’ai l’impression qu’elle a envie de me dire un truc et qu’elle cherche ses mots ! Elle m’entraine un peu plus à l’écart et me souffle :
_ Bon, faut aussi que je te dise... Il y en a un qui est venu me voir... Max.
Je suis immédiatement à l’écoute.
_ Au début on a parlé d’un peu de tout et... Hum... petit à petit il a fini par me parler de... Moi, enfin de lui et moi... A l’époque !
Elle me regarde, toujours avec un petit sourire. Je ne sais pas pourquoi mais d’un seul coup, je sens que j’ai plus chaud là. On est pourtant dans la salle, protégé du soleil brûlant du dehors mais c’est comme si la température avait monté brutalement.
_ Et ?
Elle pouffe de rire puis me répond, toujours à voix basse :
_ Ben ce mec, il est toujours célibataire et d’après ce que j’ai cru comprendre, il aime toujours beaucoup les femmes. Il s’esr fait un paquet de nana et pourtant, il se rappelle parfaitement le soir où il a essayé avec moi et que j’ai pas voulu... Je ne voulais pas le croire mais il a parfaitement décrit la tenue que je portais ce soir là. Il m’a glissé qu’à l’époque, il me trouvait... hyper bandante.
Elle rit de nouveau avant de continuer :
_ Et que d’après ce qu’il voyait, c’était toujours le cas aujourd’hui.
Elle se met à rire, sa main devant la bouche puis rajoute :
_ Je... Je l’ai un peu provoqué... Je lui ai dit, qu’effectivement, ceux qui avaient le privilège d’en voir un peu plus avaient ce genre de réaction!
Je la regarde, ébahi, je ,n’en reviens pas de son audace. On m’a changé, ma coquine ! J’ai comme l’impression qu’elle a envie de prendre la direction des opérations et c’est terriblement excitant. Je sens ma queue gonfler et tenter de se redresser dans mon jean toujours trop serré.
_ Heuu... Et il a dit quoi ?
_ Ben il m’a regardé bizarrement comme s’il cherchait à décoder ce que je venais de lui dire. Il a fini par me demander s’il y en avait beaucoup...
Elle se met à ritre de nouveau avant d’ajouter :
_ Je lui ai dit, un certain nombre... Et il m’a carrément demandé si je serai d’accord pour une ballade avec lui.
Là, je sens mon cœur s’emballer tandis qu’un filet de sueur dégouline sous mes bras et dans mon dos. Je la regarde sans vraiment y croire... Elle semble complètement libérée et franchement chaudasse. Je n’ai qu’à la suivre et en profiter un max, la soirée s’annonce hyper intéressante finalement !
Elle me fait un clin d’œil et me glisse ;
_ Je lei ai répondu : Pourquoi pas ! Mais je ne fais jamais rien sans mon mari... Et je l’ai planté la dessus !
Elle pouffe de rire avant de me faire un petit bisou sur la bouche et de me contourner pour aller à son tour aux toilettes.
Lorsqu’elle ressort, 5 minutes plus tard, je suis toujours là, immobile, ne sachant que faire ni que dire. Elle me dévisage, un sourire au coin des lèvres, puis baisse les yeux vers ma braguette. Elle se met à rire, regarde autour d’elle et voyant que personne ne nous regarde, plaque sa main sur la bosse déformant mon pantalon à cet endroit et la caresse pendant quelques secondes.
_ Hum, je vois... très intéressant, je connais ces symptômes et je sais comment vous soigner mon petit monsieur...
Je la regarde, sidéré. « mais qu’est-ce qui lui prend ? ». Je ne l’ai encore jamais vu dans cet état, aussi sûr d’elle. Elle semble planer. Certe, elle est visiblement un peu ivre, le vin y est sûrement pour beaucoup mais pas que ça, elle se lâche complètement...
Elle se met sur la pointe des pieds et me colle un autre petit bisou sur les lèvres avant de reculer d’un pas avec un grand sourire.
_ J’irai bien faire un tour moi aussi...
Elle tourne la tête dans toutes les directions et arrête son regard sur le dénommé Max, assis près de la table des joueurs de cartes. Il observe la partie avec intérêt, semble-t-il. Marine me regarde de nouveau et me fait un clin d’œil :
_ Tu veux bien que J’aille lui proposer de nous accompagner ?
Je suis incapable de réagir autrement que par un petit signe de tête.
Ma femme retrouvant un ex petit copain avec qui elle n’avait fait que flirter, vingt ans plus tôt, a visiblement envie de baiser avec lui, le truc de ouf !
Je reste là, toujours immobile, un peu déboussolé. Je la regarde se diriger vers la table et se pencher vers Max et lui glisser un truc à l’oreille. Il se redresse, se penche pour regarder dans ma direction. J’hésite et finis par lui adresser un grand sourire, que puis-je faire d’autre ? Il me répond de la même façon, se lève et suit Marine qui l’entraîne vers moi. Arrivée à ma hauteur, elle me saisit le bras et nous sortons.
Nous marchons le long des sentiers qui cheminent dans ce qui semble être un parc puis on atteint l’endroit où j’avais fait demi tour. Marine décide de continuer le long des champs vers une destination inconnue. Il fait chaud et heureusement, nous arrivons au bord d’un petit étang dons les bords sont plantés d’arbres dont l’ombre dispense une fraîcheur toute relative. L’aménagement du site laisse deviner que cet un endroit est prisé des promeneurs mais là, il est désert.
Je jette des petits coups d’œil discret vers Max en me demandant à quoi il pense en cet instant. Comment nous voit-il, Marine et moi ? A-t-il des envies lui aussi ? Un mec célibataire, coureur de jupons, doit sans doute connaitre ce genre de situation... Ou pas ! Finalement, alors que nous contemplons la surface brillante de l’étang, il surprend mon regard et me fait un sourire accompagné d’un clin d’œil. Oui, il a visiblement compris le genre de couple que nous formons, c’est évident. Il a tout de même le tact de faire comme si de rien n’était et semble attendre le bon vouloir de Marine, tout comme moi !
Elle contemple la surface de l’eau à nos cotés puis soudain nous dit :
_ Tournez-vous !
Surpris, on se regarde avec Max puis on obéit, regardant d’ans l’autre direction. J’entends un bruit de tissus froissé, un zip qu’on manipule puis plus rien. Quelques secondes s’écoulent et :
_ Vous pouvez vous retourner !
On s’exécute aussitôt et là, je manque m’écrouler sur le sol tant ma surprise est grande. Je me mets à trembler de tous mes membres, la gorge serrée par l’émotion.
Un bras en appui sur un tronc d’arbre, dans une position nonchalante, Marine nous observe, uniquement habillée de sa petite culotte. Sans hésiter, je sors mon portable pour la prendre en photo tant elle m’excite.
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Marine se comporte comme une vraie salope et j’adore ça. C’est géant !
Elle sourit, fait quelques pas puis se retourne, nous faisant admirer son joli petit cul... Sans se retourner, elle lance :
_ Alors Max ? Tu me trouves aussi bandante qu’autrefois ?
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Il me regarde, me fait un grand sourire puis un clin d’œil avant de répondre :
_ Non ! Tu es encore plus bandante aujourd’hui...
Il s’avance vers elle et se place dans son dos, tout près... Je m’avance à mon tour et les contourne pour me mettre face à eux. Max ne bouge pas et murmure assez fort pour que je l’entende :
_ C’est tout simplement superbe... On a envie de toucher tellement cela semble doux...
Marine pouffe de rire puis répond :
_ Toucher quoi ?
_ Tes seins, ton corps... Tout !
Sans un mot, elle saisit ses mains et les place d’autorité sur ses seins, un dans chaque main. Il se met aussitôt à les caresser, le souffle court. Je suis complètement hypnotisé par le spectacle de ma femme se faisant tripoté devant moi par un autre mec. Marine, toujours souriante, lui demande :
_ Ils te plaisent ?
Max ne dit rien, il continue de masser les deux beaux lobes gonflés par le plaisir puis descend une de ses mains dans le dos de Marine vers sa braguette. Marine saisit son autre main et la place plus bas, sur son ventre puis relève ses bras. La main de Max descend plus bas puis se glisse dans la petite culotte.
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Le sourire de Marine s’efface peu à peu. La bouche entrouverte, j’entends sa respiration accélérer nettement. La main a un mouvement de va et vient vertical. Il caresse sa chatte tout en défaisant sa braguette.
Enfin, il remet son autre main sur un sein tandis que son pantalon descend doucement.
Marine ondule légèrement des hanches tandis qu’il se colle à elle. Je devine sa queue, se frottant contre le cul de ma belle salope.
D’une voix hachée, elle murmure :
Il lui répond sur le même ton :
_ Je te trouve bien audacieux...
_ Les femmes aiment l’audace... tu ne me diras pas le contraire, pas vrai ?
Elle sourit en me regardant droit dans les yeux :
_ C’est vrai... En tous cas, je sens un truc bien dur dans mon dos... Je suppose que je peux te croire quand tu me dis que tu me trouves bandante...
Max se met à rire. Il se recule un peu et fait pivoter Marine pour qu’elle le regarde. Immédiatement, elle pose son regard sur la bite dressée devant elle.
_ Effectivement... Je n’ai plus aucun doute sur ton ressenti...
Elle relève les yeux et lui sourit avant d’ajouter :
_ Tu veux tout voir ?
_ Bien sûr que j’ai envie de voir... Ta... Ta chatte... Montre la moi s’il te plaît...
Elle me lance un petit coup d’œil avant de se pencher et d’enlever sa culotte.
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Puis elle s’avance vers l’arbre et s’y adosse langoureusement, prenant la pose.
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Max enlève son pantalon et son slip puis s’approche de moi et me glisse à voix basse :
_ J’en reviens pas comme elle a changé... Une vraie coquine maintenant, tu as su lui apprendre, chapeau !
Silence.
_ J’ai trop envie de la baiser... Tu permets ?
J’ai du mal à respirer et lui murmure d’une voix hachée :
_ J’adore la regarder se faire baiser par un autre mec... Tu commences et je prendrai le relai...
En disant cela, je me demande comment Marine va gérer sa condition, se faire prendre par derrière uniquement. Mais peut-être a-t-elle changé d’avis sur le sujet !
Il s’avance lentement vers Marine et se place de nouveau face à elle, sa queue dressée vers le ciel. Je suis sûr qu’elle va le sucer, elle adore ça. Je m’approche à mon tour pour ne rien rater du spectacle quand tout d’un coup, des bruits de voix nous avertissent que des gens approchent. Immédiatement, c’est la panique. Marine et Max se précipitent sur leurs vêtements et se rhabillent rapidement en pouffant de rire.
Puis ils viennent vers moi et tous les trois, nous faisons mine de contempler l’étang. Il était temps, un groupe de personnes déboule du chemin, ce sont tous des convives de notre assemblée qui nous reconnaissant viennent immédiatement nous rejoindre.