Suite... Nîmes
Juillet et les colos, une belle invention les colos ! Six jours d’évasion (et oui, il faut garder des jours de congés) avec notre camping car, le pied. Le simple fait de vivre sans horaire et de pouvoir aller où bon nous semble quand on veut est un régal. Si on enlève le temps du trajet, deux jours et demi à Nîmes puis deux jours et demi au cap d’Agde. Avant de partir, j’avais émis l’idée d’une petite visite dans la capitale du libertinage en France, pour voir... Marine, pas vraiment convaincue, avait fini par accepter l’idée, par curiosité.Le vieux Nîmes est vraiment une très jolie ville. C’est notre dernier soir, demain on file au cap. Reposée, détendue, Marine se laisse aller appuyée contre mon bras tandis qu’on déambule dans les rues. Le restau était bien et avant de retourner au camping car, on a le temps de se faire une petite ballade nocturne. Cela fait bien une heure que l’on marche et j’avoue être un peu paumé à force de tourner et de retourner. Pas grave maps nous sauvera... La rue est animée, beaucoup de touristes profitant de la douceur nocturne. On passe devant une grande porte cochère entrouverte et curieux, je jette un coup d’œil entre les deux battants. Un porche donne accès à une petite cours intérieur. Je m’avance, entraînant ma miss avec moi, et découvre un escalier de pierres dans un angle. On grimpe et nous débouchons sur une sorte de terrasse donnant sur la rue en contrebas. L’escalier continue vers les étages supérieurs. La déco est superbe, très colorée que ce soit au niveau du sol en carrelage ou de la main courante de la balustrade dont les colonnes semblent couvertes de motifs en peinture émaillée.
Marine se penche et observe les gens passant dans la rue tout en étudiant un guide touristique afin d’essayer de trouver des indications concernant l’endroit où nous sommes. Je fais le tour de la terrasse puis revient vers elle. Mes yeux se posent sur son cul magnifique parfaitement moulé dans une mini jupe en jean. Je sais que dessous, elle ne porte rien, appliquant une de mes règles de sortie à deux. J’ai envie, envie de jouer...
_ Je ferai bien quelques photos particulières...Relèves ta jupe, j’ai envie de voir ton joli petit cul !
Elle pouffe de rire tout en gardant la position. Puis d’une main, elle remonte sa jupe, dévoilant ses fesses puis reprend la pose. Je me régale de cette vision de ma coquine qui visiblement est prête à jouer.
MG3.JPG
_ Tu pourrai écarter un peu les jambes ?
De nouveau, elle rit doucement tout en s’exécutant.
MG4.JPG
Je sens mon sexe se redresser doucement sous mon short. Heureusement, par esprit de solidarité, je ne porte pas de slip ce qui, en ce moment, est un réel avantage... Je me délecte de ce fabuleux spectacle en me disant que...
_ Tourne toi, je veux voir ta jolie petite chatte !
_ Rhhhôôôô... Et si quelqu’un arrive ?
J’ai la gorge soudainement sèche et mon cœur bat la chamade tant mon degré d’excitation vient de monter en flèche.
_ Ben il verra une jolie petite salope en pleine séance d’exhib...
J’ai parlé d’une voix basse, tremblotante, je me sens prêt à toutes les folies. Marine tourne la tête et m’observe, un sourire au coin des lèvres. Lentement, elle pivote sur elle-même, tenant sa jupe relevée d’une main afin de m’offrir la vue que je lui demande.
MG5.JPG
Je prends mon temps, je déguste ce moment intense. Mais j’en veux plus !
_ J’aimerai voir plus... ouvert... Accroupie, ce serait mieux, non ?
Marine me fixe, bouche entrouverte, son sourire a disparu. J’entends clairement son souffle plus fort mais aussi plus saccadé. Je devine que la coquine est là, envoyant la princesse dans un recoin caché de son cerveau.
Lentement, tout en me regardant droit dans les yeux, elle fléchi les genoux, glissant le long des piliers de la balustrade tout en gardant ses mains posées sur la main courante.
MG6.JPG
J’ai de plus en plus de mal à respirer. Je prends une photo...
_ Garde la pose et sors tes seins, montre moi tout !
Elle descend ses mains, tire son teeshirt vers le bas, dégageant sa poitrine aux mamelons dressés. Sublime, j’ai devant moi la plus magnifique coquine dont je puisse rêver !
MG7.JPG
Je glisse ma main vers mon short et le baisse afin de lui montrer Mon sexe en érection. Je m’avance lentement vers elle afin de lui donner à sucer, elle adore cela ma coquine. C’est alors qu’un bruit de pas dans la petite cour intérieure nous alerte. Immédiatement, nous nous relevons et prenons une attitude plus conforme à l’endroit où nous sommes. Fausse alerte, nous décidons quand même de reprendre notre promenade bien que notre excitation soit toujours bien présente. Arrivé en bas de l’escalier, nous traversons la cours déserte et entrons dans le proche sombre. Arrivée à la porte, je saisis les bras de Marine et l’attire doucement en arrière contre ma poitrine. De l’autre coté des grands panneaux de bois, on entend les gens passer en bavardant. Je l’embrasse sur la nuque tout en l’enveloppant dans mes bras. Glissant mes mains sous son teeshirt, je m’empare de sa poitrine et commence à la pétrir doucement. Ses seins sont chauds et bien fermes. Saisissant ses tétons entre mes doigts, je les pinces un peu afin d’en apprécier la dureté. Tête rejetée en arrière sur mon épaule, Marine gémit, la bouche entrouverte. Je ne réfléchi plus tant l’envie de sexe est intense en moi. Pivotant, je la dirige face au mur. Instinctivement, Marine tend ses bras devant elle et pose ses mains bien à plat en appuis sur la paroi de pierre. Je remonte son teeshirt sur ses épaules puis fait de même avec sa jupe sur ses hanches. Immédiatement, elle recule ses pieds tout en les écartant, prenant une position hyper cambrée, totalement offerte. J’entends sa respiration forte et rapide et devine dans la pénombre sa tête penchée en avant entre ses bras. Je deviens fou, incontrôlable.
_ T’as envie de te faire baiser... Envie d’une queue bien raide... pas vrai?
Tout en parlant, je glisse une main sous son torse et saisis un sein pour le palper tandis que de l’autre, je caresse ses fesses. Puis mes doigts s’égarent pour s’insinuer entre ses cuisses et remonter vers sa chatte. Sa vulve est trempée. A peine l’ai-je touchée qu’elle laisse échapper un gémissement. Je la sens prête, prête à tout pour être soulagée.
_ Allez ma belle, montre moi comme t’as envie d’être baisée, offre moi ton beau petit cul...
Je glisse un doigt dans sa fente et la branle lentement tout en baissant mon short de l’autre main. Marine se cambre au maximum et gémit de plus en plus fort. Et soudain, elle craque et finit par me supplier.
_ Oh oui, j’en ai trop envie, vient !
J’adore la voir ainsi, entièrement soumise au plaisir intense qui doit lui tordre le ventre. Je saisis ma queue et la glisse entre ses cuisses puis positionne mon gland sur sa vulve. Je saisis ses hanches et m’enfonce lentement dans sa chatte dégoulinante de son jus. Immédiatement, elle recule son bassin afin de se faire empaler le plus profondément possible en poussant un long râle de plaisir. Je me retire et commence lentement un mouvement de va-et-vient. Marine ondule des hanches et je dois la serrer fort pour lui imposer mon rythme. Je devine son envie extrême de jouir et me délecte de la torture que je lui inflige. J’ai envie de la soumettre, envie de lui dire tout ce qui me passe par la tête.
_ T’aimes ça te faire tringler comme une salope derrière une porte ? Réponds moi !
Haletante, elle finit par dire d’une voix saccadée :
_ Oh ouiiii... C’est trop bon...
_ J’ai envie de te donner à baiser à d’autres mecs... Je suis sûr que tu aimerais ça... Deux ou trois bites pour toi toute seule... On pourrait te faire jouir plein de fois...
Bouche fermée, elle gémit plus fort, essayant d’accélérer le rythme de mes pénétrations en bougeant son cul d’avant en arrière. J’insiste :
_ Tu aimerais pas te faire baiser devant moi par une autre queue ?
Dehors les gens continuent de passer, tout près de nous sans se douter un seul instant de ce qu’il se passe derrière les grandes portes. Soudain, dans un murmure à peine audible :
_ Oui, j’aimerai ça...
_ Tu aimerais quoi ?
_ J’aimerai... J’aimerai trop me faire baiser devant toi par un autre mec, lui sucer sa bite avant qu’il me la mette...
Ses paroles agissent comme un coup de fouet et je me déchaîne. Presque aussitôt, je vois Marine plaquer une main sur sa bouche pour étouffer un premier cri. Je me moque du fait qu’on pourrait nous surprendre, je n’ai plus qu’une pensée, continuer encore et encore à pilonner ce cul qui n’en finit pas de se convulser devant moi. Et soudain, je lâche tout, je sens mon sperme gicler tout au fond de son ventre alors qu’immobiles, nous crions à l’unissons notre jouissance.
Il nous faut un paquet de Kleenex entier pour essuyer les dégâts de notre coup de folie. On se rhabille rapidement puis on ouvre la porte pour se glisser parmi les passants, les joues en feu. Nous marchons main dans la main, heureux de notre complicité. Un peu plus loin nous nous arrêtons à la terrasse d’un bar afin de siroter une dernière bière.
_ Je t’adore ma princesse à moi !
Marine rigole doucement.
_ Tout à l’heure, je n’étais pas vraiment ta princesse...
A mon tour de rire. Elle poursuit sur le ton de la confidence en se penchant vers moi.
_ Une salope, je crois que c’est ça que j’étais pour toi, non ?
Je prends un air gêné et lui répond :
_ Oui, désolé mais j’aime t’imaginer comme ça dans ces moments là... Pardon mon ange.
_ Hummm, je ne sais pas si je vais te pardonner comme ça...
Puis après un bref silence, toujours d’une voix basse ;
_ J’avoue que ton petit jeu m’excite beaucoup donc je serais bête de ne pas en profiter. Ton fantasme ne me dérange pas... Tant qu’il reste un fantasme, bien entendu... Et... Moi aussi, je t’adore mon amour !
Je lui répond par un sourire en me disant qu'il reste trois jours... trois jours pour s'éclater encore!