Suite… Cap d’Agde
Trouver un endroit tranquille pour poser le camping-car le soir n’est pas évident dans ce coin, surtout en Juillet. Nous avons fini par en dénicher un à une trentaine de bornes d’Agde. Un champ, à moitié en friche, entouré de haies, au milieu d’un paysage de vignes et de bosquets rachitiques. Un chemin d’accès d’environ 500m nous permettait d’envisager une nuit tranquille le premier soir.
Vers 22h, un bruit de moteur se fit entendre et un van se présenta dans l’entrée du champ. Un grand blond d’une trentaine d’année en descendit et vint nous voir. Tout sourire, il nous salua et nous demanda si nous l’acceptions pour voisin. Nous lui répondîmes que cela ne nous posait aucun problème.
Le lendemain, force fut de constater que l’endroit était vraiment calme et nous décidâmes que nous y reviendrions la nuit suivante en espérant que personne ne nous piquerait l’emplacement. Prenant notre petit déjeuner dehors, nous vîmes notre voisin nous saluer de son coin. Puis nous partîmes pour la plage naturiste du Cap d’Agde.
Bien que n’ayant jamais pratiqué le naturisme, nous fûmes tout de suite à l’aise. Il faut dire que si vous êtes habillé dans un endroit où tout le monde est à poil, c’est vous qui vous sentez mal.
La journée s’écoula lentement au rythme du bruit de la mer.
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17h, nous décidons de partir boire une bière en terrasse avant de se faire un petit restau.
La soirée se déroule super bien, bonne bouffe et petit rosé sympa, tout pour être heureux ! Je médite en regardant Marine. J’ai envie d’elle, envie de sexe... Je jette un coup d’œil sur ma montre, minuit, je souris en pensant que c’est l’heure des propositions malhonnêtes.
_ On fait quoi après le café? Il y a plein de club particuliers ici, ça te dit d’aller voir ce qu’il s’y passe?
Elle me regarde en faisant la moue.
_ Je ne sais pas... Suis pas sûr d’aimer ce genre d’endroit... Et en plus, je ne suis pas particulièrement bien habillée pour aller dans ce genre d’endroit... Il faudrait une tenue plus... osée, plus sexy. Là je fais un peu campagnarde en vadrouille, non ?
Je ris de bon cœur avant de poursuivre :
_ Ok, on rentre alors !
Elle pouffe de rire avant de me répondre :
_ Tu n’aurais pas envie de me sauter par hasard...
Je la regarde en riant :
_ Ca pourrait se faire, en effet... Tu en penses quoi ?
_ J’en pense que ça tombe bien... (silence). Dis, tu crois que pluson baise, plus on en a envie ?
De nouveau, j’éclate de rire.
_ Possible, je ne sais pas vraiment, pourquoi tu me demandes ça ?
_ Ben dès qu’on s’échappe tous les deux, c’est tous les jours qu’on s’envoie en l’air.
_ Hum... Et ça t’inquiète ?
_ Non, pas du tout. C’est simplement que je ne me sens pas vraiment dans mon état normal, c’est comme si j’étais en manque alors que ce n’est pas le cas, c’est étrange... Suis pourtant pas une nymphomane !
Je ne réponds pas, je pense à trop de choses. Ma coquine semble très ouverte à la discussion et cela me donne l’opportunité d’aborder un certain sujet.
Le café arrive. La serveuse se penche pour poser les tasses sur la table, m’offrant une belle vue sur son joli décolleté. Puis elle s’en va, son joli petit cul attirant mon regard.
_ Elle te plaît ?
Marine me regarde, un petit sourire espiègle au coin des lèvres.
_ Oups ; pardon... Je ne faisais que regarder.
_ J’aime bien quand tu regardes les autres jolies femmes... ça me fait tout drôle en fait.
_ Ah, tu vois ! Tu comprends mieux mon fantasme alors...
Elle se penche vers moi et murmure :
_ Oui et je suis sincèrement désolée si je ne me sens pas capable de t’aider à le réaliser, mon amour. Je t’ai déjà expliqué mon ressenti sur ce sujet...
_ Je sais, mon ange, c’est pas grave... En fait, je me disais qu’on pourrait peut être, non, que tu pourrais peut être aller un peu plus loin, si tu en as envie, bien sûr, faire des trucs avec d’autres mecs mais sans aller jusqu’à baiser... Je veux dire des choses plus superficielles qui nous exciterai beaucoup toi et moi.
Elle me regarde, les yeux plissés avec un sourire qui me semble moqueur.
_ Des choses plus superficielles que baiser... Tu entends quoi par là ?
Je me sens comme un collégien pris en faute et je réponds en bafouillant :
_ Ben, je... j’aimerai bien que si l’occasion se présente, tu... Enfin, tu pourrais te laisser embrasser sur la bouche ou te laisser caresser... ! Le genre de truc qui m’exciterai à mort tout en te procurant du plaisir à toi aussi mais qui resterai dans tes limites... Enfin... Je ne sais pas si je suis clair mais rien que d’y penser, Houlaaaaa... ça me rend dingue !
Elle se met à rire et d’un seul coup, je me sens mieux. J’avais peur qu’elle le prenne mal en fait !
Elle prend sa tasse et commence à siroter son café en m’observant, toujours avec ce fichu sourire.
_ Tu es sûr que ça t’exciterai si j’embrassai un autre type sur la bouche devant toi ? Ou qu’un mec me tripote et que j’en éprouve du plaisir ?
_ Quand je l’imagine, ça me fait drôle, comme tu disais tout à l’heure... En fait, j’en ai très envie. Tu sais, je me dis que si ça arrive et que ça me gêne, ben je le dirai et on arrêtera là. Ça ne sera pas plus grave que ça... Alors ? Tu en penses quoi ?
_ Je ne sais pas. Je me dis que j’ai de la chance d’avoir un mari qui m’autorise tout cela... Mais je ne sais pas si j’oserai faire ce genre de choses. Je suis consciente que cela ne serait qu’un jeu mais si je le fais, ce ne sera pas uniquement pour te faire plaisir, il faudra vraiment que j’en ai envie, moi ! Et là, c’est de toi dont j’ai envie...
Nous retrouvons notre petit coin tranquille, Marine descend pour me guider afin d’éviter une ornière. Je coupe le moteur.et au moment de couper les phares, je reste figé par un spectacle hallucinant. Ma coquine se déshabille lentement dans le faisceau de lumière. Puis, entièrement nue, elle prend la pose pendant quelques secondes. Juste le temps pour moi de saisir mon portable pour une photo souvenir très particulière...
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Elle avance vers moi, ouvre la portière coté passager et grimpe sur son siège en prenant immédiatement une position totalement obscène. Cuisses largement écartées, elle offre à mon regard son sexe béant.
Ses yeux descendent vers mon short et elle se met à rire.
_ Et bien qu’avons-nous là ? Une jolie bosse... Voyons voir si elle peut encore gonfler...
Elle pose sa main sur son ventre, près de sa chatte :
_ Serait-ce ceci la cause de votre malformation mon cher monsieur ?
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Puis lentement, le souffle soudain plus court, elle descend ses doigt sur le haut de sa vulve, près de son clitoris et l’entrouvre afin de s’offrir davantage tout en me regardant droit dans les yeux, provocante à l’extrême.
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Je bande comme un malade et dégluti péniblement tant j’ai la gorge serrée. J’avance une main tremblante et glisse un doigt dans sa chatte trempée.
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Immédiatement, elle pousse un long râle tout en penchant sa tête en arrière. Je commence à la branler lentement tout en m’accroupissant entre les deux sièges. Je penche ma tête en avant et commence à lécher sa vulve dégoulinante de son plaisir. Immédiatement, elle plaque une main sur ma nuque et se met à gémir. Elle est déjà au bord de la jouissance, semblable à une chienne en chaleur. Je lui dévore sa chatte, la léchant dans les moindres recoins. A chaque fois que je la sens au bord de l’orgasme, je m’arrête, le temps qu’elle se calme un peu puis je recommence jusqu’à ce qu’elle me supplie, haletante. Alors j’accélère, suçant, aspirant, léchant pendant que mon doigt s’active plus vite, toujours plus vite... Soudain, elle hurle, complètement tétanisée, serrant ma tête entre ses cuisses, comme dans un étau. Son corps agités de soubresauts se tord sur le siège tandis qu’elle me repousse de ses deux mains. Je la regarde lovée sur le siège, attendant que la tempête agitant son ventre se calme d’elle même. Il n’y a pas de plus beau spectacle à mes yeux...
Assis sur mon siège, je l’observe pendant de quelques minutes. Jamais je ne me lasserai de ce corps magnifique. Cette femme est fabuleuse et c’est la mienne !
Emergeant peu à peu du monde merveilleux du plaisir orgasmique, Marine me regarde de ses yeux hagards, elle semble totalement épuisée. Elle se redresse lentement puis reprenant peu à peu son souffle, elle baisse de nouveau les yeux sur mon short pour constater que je bande toujours autant...
_ Salaud ! Tu aimes ça me torturer, pas vrai ?
Je pouffe de rire sans répondre, satisfait de ma prestation. Elle s’avance et à son tour, se laisse tomber à genoux entre les deux sièges. Puis d’une voix rauque :
_ Sors ta queue ! A ton tour de me montrer...
Lentement je m’exécute, soulevant mon bassin, je baisse mon short et mon slip, exhibant mon sexe dressé. Elle s’en saisit immédiatement entre ses deux mains et dans un ricanement :
_ Toi aussi tu vas me supplier...
Penchant sa tête en avant, elle prend ma bite dans sa bouche et commence, à son tour, à me torturer... Ses mains serrés autour de ma verge s’active lentement puis plus vite puis plus lentement... Tout en me branlant, elle suce mon gland, l’aspire, en fait le tour avec sa langue, s’arrêtant sur le frein avant de se l’enfoncer tout au fond de sa gorge puis de le recracher pour le reprendre de nouveau. Sa bouche descend de temps en temps sur mes testicules pour les lécher puis les gober doucement avant de retourner prendre mon gland. Le manège dur de longues minutes. Dix fois je la prévient que je vais éjaculer car je sais qu’elle n’aime pas que je gicle dans sa bouche, préférant m’offrir son visage, son cou ou ses seins pour cela. Dix fois, elle s’arrête à temps, laissant retomber la pression tout en me regardant d’un air moqueur avant de reprendre son petit jeu. Je suis exténué, j’ai mal aux couilles tant j’ai envi de me vider et à mon tour, je la supplie de soulager, vaincu !
Elle pouffe de rire puis reprenant son sérieux, me fixant droit dans les yeux elle recommence à me sucer. Cette fois, je le sais, elle va me pomper jusqu’à me faire exploser... Il ne lui faut que quelques secondes pour m’amener de nouveau au bord de l’orgasme mais cette fois elle ne s’arrête pas. Sa main serré sur autour de ma bite me branle fermement tandis que sa bouche aspire mon gland tout en le serrant entre sa langue et son palais. J’ai beau la prévenir, elle me tient fermement et je comprends soudain qu’elle va m’offrir un merveilleux cadeau. Elle veut me garder dans sa bouche jusqu’au bout ! Et soudain je pousse un grand cri, j’ai l’impression d’exploser tel un volcan libérant sa lave sous pression. Marine continue de me sucer goulûment tandis que je vide à long jets, le ventre crispé. A mon tour, le corps tremblant, je cherche l’air, essoufflé comme si j’avais couru un marathon. Je regarde ma coquine, tout sourire se redresser attraper un mouchoir en papier dans le vde poche et recracher ma semence avant de s’essuyer les lèvres. Elle me regarde tendrement avant de murmurer :
_ Je crois qu’on va bien dormir mon chéri !
On rit de concert, heureux, tout en se relevant pour rejoindre la couchette arrière... Soudain, un bruit de moteur se fait entendre et une lueur de phares se devine à travers nos rideaux occultant. Discrètement, je jette un coup d’œil au dehors et constate le retour de notre voisin de la nuit précédente. Je me dis que lui aussi a du trouver ce coin suffisamment tranquille pour y revenir...