Suite et fin Cap d’Agde...
Je sors du camping-car et aperçois immédiatement le van. Les stores sont baissés, le type doit encore dormir comme Marine. Je me prépare un café puis m’installe dehors sur une chaise pliante. Je repense à notre fin de soirée et me dis que je suis le plus chanceux des mecs ! Combien de types rêvent d’avoir une femme comme la mienne ? Les images défilent dans ma tête et immédiatement, je sens mon sexe se redresser. On part cet après-midi et je ne sais pas combien de temps nous allons devoir attendre avant de pouvoir s’éclater de nouveau. Je me console en me disant que ma princesse sera là et que nous ferons l’amour tendrement, passionnément. Elle jouera son rôle d’épouse parfaite, de maman parfaite et cela contribuera à rendre notre prochaine escapade encore plus délirante, plus chaude, plus folle...
J’en suis là de mes réflexions quand la porte de la cellule s’ouvre laissant passer ma jolie coquine. Son teeshirt noir moule parfaitement ses seins libres de tout soutien-gorge et c’est sublime.
_ Bien dormi ma belle ?
Elle s’étire en baillant :
_ Ca va, un peu courbaturée mais ça va... C’est notre dernier jour... Je n’arrive pas à croire que demain, je serai au boulot !
Puis elle remonte dans la cellule où je l’entends se préparer à son tour un café.
Une heure plus tard, elle part faire une ballade à pied, pour profiter encore un peu l’air méditerranéen qu’elle me dit. Moi, je préfère bouquiner, 0 part les vignes et de petits bosquets, il n’y a pas grand-chose à voir dans le coin.
Je ne sais pas depuis combien de temps je suis plongé dans une étrange histoire de voyage dans le temps quand j’entends la porte coulissante du van s’ouvrir. Je lève la tête et aperçois le type me faire un grand signe de la main en guise de bonjour. Je lui réponds de la même manière avant de replonger dans mon histoire.
Le temps s’écoule et soudain, j’entends des bruits de pas. Je lève la tête et regarde le mec s’approcher de moi. Trente cinq ans environ, bien bâti, il présente bien et à l’air sympa au premier regard.
_ Bonjour ! Excusez-moi mais vous n’auriez pas un peu de pain à me donner, j’en ai plus et moi, sans le pain, je suis foutu !
Je souris tout en regardant ma montre, 11h45.
_ Mais pas de soucis, on doit pouvoir vous dépanner... Je n’avais pas vu l’heure... C’est le moment de boire l’apéro, non ? Et comme ma femme m’a lâchement abandonné, on pourrait peut-être le boire ensemble, non ?
Le type me fait un grand sourire en me tendant la main :
_ Avec plaisir ! Moi, c’est Cédric !
_ Et moi, c’est Patrice.
Il a l’air cool le Cédric et il me plait bien. On installe la table de camping à l’ombre de l’auvant avec trois chaises et je sors une bouteille de Pastis. Un truc qu’on ne boit jamais d’habitude mais là, dans le sud, pour rester dans l’ambiance, Marine en a acheté une bouteille, alors....
Un glaçon dans chaque verre et beaucoup d’eau pour moi car cet aprèm, je dois prendre le volant. Cédric me dit que lui, il reste encore une semaine dans le secteur. Nous venons juste de trinquer et de boire la première gorgée quand Marine arrive et nous regarde en souriant. Cédric se lève et tout en s’inclinant, se présente tel un gentleman. Marine semble apprécier et lui répond d’un petit hochement de tête :
_ Enchantée, moi, c’est Marine.
Puis se tournant vers moi/
_ La même chose pour moi s’il te plaît !
Nous rions tous les trois, le courant passe bien. La discussion s’engage et rapidement, nous passons au tutoiement d’un commun accord. Cédric vient de Toulouse, il est marié depuis douze ans et père de deux enfants. On discute de tout et de rien, de nos métiers respectifs, de nos loisirs. Le temps s’écoule lentement. Pendant tout ce temps, j’observe Marine à la dérobée et constate que ses seins pointent magnifiquement sous son teeshirt. Je me dis que c’est sans doute pour cela que Cédric la regarde en priorité lorsqu’il parle...
Je finis par jeter un coup d’œil sur ma montre et m’aperçoit qu’il serait temps de se bouger :
_ Et si nous mangions tous les trois ! Tu ne vas pas mangé tout seul dans ton coin, non ?
Il hésite, jette un coup d’œil du coté de Marine en disant la formule habituelle dans ce genre de situation :
_ Non... Je ne veux pas vous déranger, j’étais juste venu pour un peu de pain.
Marine se met à rire et lui répond :
_ Ca je ne savais pas ! Mais Patrice a raison, reste manger avec nous, tu ne nous déranges absolument pas ! Par contre, c’est pâte jambon blanc ! Je ne cuisine jamais en vacance.
_ Ben merci alors ! C’est super sympa de votre part.
Marine se lève et se dirige vers le camping car. Je note que Cédric mate son joli petit cul bien moulé dans sa petite jupette.
Repas succinct, certes, mais bien arrosé, du moins pour eux, car moi, je suis sensé conduire d’ici peu... Le rosé bien frai fait des ravages. Marine a les joues roses et parle beaucoup mais Cédric n’est pas en reste, lui aussi parle beaucoup et surtout, il mate ma coquine de plus en plus ouvertement. Intérieurement, je jubile et je commence à avoir ce petit tiraillement caractéristique en bas de mon ventre...
Nous venons de finir notre dessert à base de fruits quand Marine lui demande :
_ Tu nous parles de ta femme mais elle n’est pas avec toi, elle bosse pendant que tu es en vacance ?
Cédric reste un moment silencieux, semblant chercher ses mots. Puis il se lance :
_ Bon, je vais vous confier un truc mais c’est uniquement parce que je suis sûr que cela va rester entre nous vu qu’on ne se connait pas et qu’on ne se reverra sans doute jamais.
Nouveau silence.
_ En fait je viens seul ici tous les ans pendant une semaine pour me détendre. Comment vous dire... Il se trouve qu’avec Cathy, nous avons un arrangement depuis environ cinq ans. Nous nous sommes rencontrés jeunes, très jeunes et... Pas facile de vous expliquer... Nous avons décidé de nous octroyer chacun une semaine par an de liberté totale pour éviter une certaine routine.
Marine lui répond la première :
_ Tu veux dire que toi et ta femme, vous acceptez que chacun de votre coté, vous... Vous fassiez des rencontres ?
_ Oui. Je sais qu’en ce moment, elle est peut-être en train de s’envoyer en l’air avec un autre et elle aussi, sait que j’en profite de mon coté... Je m’éclate sur les plages naturistes le jour et le soir, je visite les clubs un peu particuliers... le monde libertin si vous voyez ce que je veux dire.
Marine le regarde, un petit sourire sur les lèvres :
_ Ah ouiiii, je vois...
_ Désolé, je peux comprendre que cela vous choque mais...
_ Pas du tout !
Je poursuis en riant :
_ Moi, je ne suis pas du tout choqué, j’ai horreur des bien-pensants. Si votre couple fonctionne bien comme ça, c’est le principal !
Marine enchaîne sur le même ton :
_ Peut importe la manière, le principal c’est qu’effectivement, vous trouviez dans ce mode de fonctionnement un moyen de rendre votre couple plus épanoui...
Cédric nous regarde l’un après l’autre, visiblement soulagé :
_ Alors là, je peux dire que je suis bien tombé avec vous, vous êtes supers tous les deux. J’avais un peu peur de votre jugement en fait. Bien qu’entre nous, si vous aviez fait la gueule, j’en aurai rien eu à faire !
On éclate de rire tous les trois puis Marine poursuit :
_ Et bien nous, on se fait de petites ballades sans les enfants de temps en temps, ça fait du bien ! Et là, on a voulu essayer un peu le naturisme, par curiosité.
_ Je sais, je vous ai vu hier sur la plage...
_ Ah bon ? Je n’ai donc plus de secrets pour toi, tu m’as vu dans le plus simple appareil !
Cédric me regarde, visiblement prudent. Je lui fais un petit sourire afin de lui montrer que je suis très à l’aise avec cela et absolument pas jaloux.
_ J’étais trop loin pour bien voir en détail mais ce que j’ai vu était... très attrayant !
Marine pouffe de rire avant de répondre :
_ Merci pour le compliment, comme tu peux le voir, nous ne sommes pas choqués par le monde dont tu parlais tout à l’heure même si nous ne pratiquons pas ce genre d’échange...
Elle hésite avant d’ajouter d’une petite voix :
_ Mais il y a d’autres plaisirs et nous, nous apprécions beaucoup celui des yeux...
Elle rougit de sa propre audace et j’adore ça. Je ne pensais pas qu’elle oserait ce genre de discussion, elle m’épate ! L’effet du rosé, sans aucun doute, je suis aux anges.
Sur ce, Marine propose un café et devant notre approbation, se lève, contourne la table et grimpe, d’un pas mal assuré me semble-t-il, dans le camping-car.
Cédric la suit des yeux avec de la gourmandise dans le regard.
Je me penche vers lui et lui murmure :
_ Elle te plait ?
Il se tourne vers moi et me regarde, un peu surpris, tout en souriant :
_ Aucun homme ne pourrait répondre par la négative à ta question. En fait, je trouve que ta femme est franchement bandante ! Excuse ma franchise mais j’ai l’impression que tu fais parti de ces mecs qui ne sont pas jaloux... Je me trompe ?
Je ricane doucement en le regardant droit dans les yeux :
_ Non, ça ne me gêne pas du tout que tu me dises cela, bien au contraire...
Je réfléchi et me dis qu’après tout, il n’y a aucun risque avec un inconnu. Pourquoi ne lui ferai-je pas certaines confidences. La situation commence à m’exciter sérieusement en fait.
_ Pour tout te dire, j’ai hyper envie de la voir avec un autre mec, ça m’excite d’y penser, c’est comme ça ! Des mecs comme ça, tu dois en rencontrer souvent dans tes clubs, non ?
_ Je dirai même que la majorité des mecs que je croise dans ces endroits sont comme toi !
_ Mouaiii... Le seul problème, c’est que Marine, bien que très libérée sur le sexe, refuse de franchir certaines barrières. Elle adore l’exhib et quand on est tous les deux, elle se transforme en une vraie salope, t’imagine pas... Mais elle ne veut pas aller plus loin, Elle veut bien se montrer à poil devant d’autres hommes mais c’est tout.
Cédric hoche lentement la tête :
_ Je vois... Je comprends mieux ce qu’elle voulait dire par le plaisir des yeux...
Il réfléchi un peu puis ajoute :
Tu sais, j’ai déjà rencontré des gens dans les clubs qui m’ont dit qu’au début, madame était plutôt réticente mais avec le temps... Je peux te dire qu’aujourd’hui, elle se rattrape !
Nous rions comme deux vieux potes. J’ai trouvé un confident, c’est génial !
Marine revient avec une cafetière fumante. Elle s’avance entre nous deux et se penche pour attraper son verre situé de l’autre coté de la table et le mettre près des deux autres. Puis elle commence à verser lentement le café brûlant dans le premier verre. Pris d’une inspiration subite, je pose ma main sur sa jupe et commence à lui caresser les fesses. Cédric, la tête penchée en arrière, m’adresse un petit sourire et fait de même. Marine sursaute et s’arrête de verser le café. Elle tourne la tête vers moi, les sourcils froncés.
_ Hey ! Qu’est-ce qui vous prend ?
Je la regarde en souriant :
_ Quand on a un si joli cul, il faut assumer ma belle !
En même temps, je me dis « ça passe ou ça casse ». Elle détourne le regard, penche la tête en avant vers la cafetière fumante qu’elle tient toujours et dans un murmure :
_ Rhhôôôô, vous exagérez quand même... Vous pourriez peut-être me demander mon avis...
Son avis, je le connais immédiatement, il me suffit de scruter son visage tandis qu’elle continue de verser le café dans les verres. Elle n’esquisse pas le moindre geste pour nous repousser et mon excitation monte d’un cran. Je sens mon short se tendre sous l’effet d’une poussée dirigée vers le haut. Je me dis que si je ne tente rien maintenant, il risque de se passer beaucoup de temps avant de rencontrer une situation similaire.
Je descends ma main, saisit le bord de sa jupe et la remonte lentement, dévoilant ses fesses nues puis ses hanches. Cédric profite du spectacle et fini par poser de nouveau sa main sur les fesses offertes.
Le bruit sec de la cafetière se posant sur la table montre la surprise de Marine mais celle-ci n’esquisse toujours pas le moindre geste pour nous arrêter. Cédric caresse ce cul avec délice, connaisseur, il glisse un doigt dans la raie serrée et le remonte jusque sur les reins de ma coquine qui instinctivement se cambre. Je sens ma gorge se serrer et mon ventre se crisper. J’ai du mal à respirer et je me mets à trembler de partout. Il me regarde et me fait un clin d’œil :
_ Madame ne porte pas de culotte... c’est de très bon goût...
Je regarde le visage de Marine, appuyée sur la table, les bras tendus, les mains bien à plat. Les yeux fermés, elle se mord la lèvre inférieure, visiblement en proie à une excitation intense qu’elle cherche à maitriser. Je me penche en arrière pour regarder la main de Cédric malaxer doucement les fesses rondes de ma femme, un vrai délice. Soudain, Cédric pose ses mains sur les accoudoirs de sa chaise puis il soulève ses hanches afin de la reculer. Ensuite, saisissant Marine par les hanches, il l’attire vers lui, l’obligeant à s’assoir de côté sur ses genoux. Marine pousse un petit cri de surprise et de nouveau, les sourcils froncés, me jette un regard inquiet. Instinctivement, je lui réponds par un sourire appuyé d’un clin d’œil pour la rassurer. Cédric pose une de ses mains sur sa cuisse tandis que de l’autre, il lui caresse la nuque. Ma coquine semble se détendre et fermant les yeux, se laisse caresser sans broncher. Le tableau est pour moi sublime, je vis pleinement une partie de mon fantasme et c’est merveilleux.
Lentement, Cédric approche le visage de Marine près du sien. Je m’arrête de respirer et regarde La bouche de Cédric s’approcher de celle de ma femme. Au dernier moment, elle tourne légèrement la tête afin d’échapper au baiser sur la bouche. Il l’embrasse sur la joue puis dans le cou, plusieurs fois, avant de revenir sur la joue. Je remarque alors la chair de poule sur les cuisses de ma douce et devine les frissons parcourant son corps. Cédric tente une nouvelle fois de s’emparer de la bouche de Marine qui cette fois, ne se dérobe pas... Je suis en apnée totale ! Je vois la langue de Cédric caresser les lèvres de ma coquine qui après quelques secondes, entrouvre sa bouche afin de se laisser visiter. Puis Ils s’embrassent à pleine bouche, leurs langues se cherchent, s’emmêlent puis se séparent avant de se retrouver. Ils se dévorent mutuellement la bouche dans un baiser torride.
Fasciné, je regarde la main de Cédric remonter le long de la cuisse puis se glisser sous la jupe déjà bien remontée et soudain, tout en continuant de l’embrasser, Marine descend sa main et bloque celle de Cédric. Visiblement, certaines barrières sont toujours là mais après tout, peu m’importe, c’est déjà fabuleux pour moi d’assister à un tel spectacle. Cédric n’insiste pas, il remonte sa main et la pose sur la peau nue du ventre de ma coquine, entre la jupe et le bas du teeshirt. Puis, toujours en continuant de s’embrasser goulûment, il remonte sa main sous le teeshirt, entraînant celui-ci et dénudant la poitrine magnifiquement gonflée par le plaisir. Je vois nettement ma coquine tressaillir lorsqu’il s’empare d’un de ses seins. Je retiens ma respiration, guettant une réaction qui... ne vient pas. Les doigts de la main s’emparent d’un téton dressé, visiblement tout dur, et le pince légèrement avant de l’abandonner pour pétrir doucement les beaux lobes à la peau si douce. Durant quelques secondes, Marine se laisse tripoter en prenant visiblement plaisir à cela puis de nouveau, sa main vole vers celle de Cédric et l’enlève de sa poitrine. Les joues écarlates, elle se relève, debout sur ses jambes tremblantes, elle s’avance et viens s’assoir sur mes genoux pour se blottir contre moi, la tête au creux de mon épaule, le souffle court.
Je remarque immédiatement l’énorme bosse sous le short de Cédric, impossible qu’elle ne l’ait pas senti !
Je sens ma coquine se calmer peu à peu et respirer plus calmement. Puis elle approche sa bouche de mon oreille et me murmure « Je t’aime ». J’en suis tout ému et je lui répond la même chose afin de la rassurer.
Pour détendre l’atmosphère, je lance d’une voix faussement ennuyée :
_ Merde, le café va être froid avec vos bêtises !
Le rire est sans doute la meilleure thérapie contre la gêne. Nous l’appliquons sans modération.
Une fois le café bu, nous débarrassons la table, il est bientôt l’heurte de partir... Une fois le matériel plié et rangé dans la soute, il ne reste qu’une serviette de bain étalée sur l’herbe pour sécher.
Je regarde Cédric et constate que son érection est encore visible, comme la mienne d’ailleurs... Je tourne la tête du coté de Marine et constate qu’elle a suivi mon regard et qu’elle sourit légèrement. J’ai envie d’un dernier petit coup de folie avant de quitter notre ami :
_ Comme il n’a pas pu toucher, peut-être... peut-être que... tu pourrais lui montrer... Enfin si tu veux, bien sûr ma belle...
_ Lui montrer quoi ?
Ma coquine se fait taquine et pour moi, ce n’est que du bonheur...
_ Tu le sais bien.
Cédric nous regarde, un grand sourire sur les lèvres. Puis d’une petite voix :
_ Madame, cela complèterait ce qui restera sans nul doute pour moi un merveilleux souvenir !
Marine pouffe de rire puis se dirige vers la serviette. Soudain sans se retourner, elle nous lance :
_ Et moi ? Je pourrai voir aussi ?
Puis elle s’allonge sur le dos sur la serviette et soulevant son bassin, remonte sa jupe afin de s’exhiber.
D’un commun accord, nous baissons nos shorts afin de satisfaire la belle coquine. Je m’accroupi face à Marine afin de faire une petite photo souvenir de ce moment fabuleux.
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Je regarde Cédric, debout à mes coté, fixer la chatte totalement offerte et lui demande si ça le gêne que je prenne une petite photo de sa queue, en souvenir. Il rit et prend la pause, sa bite bien dressée.
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Puis je me tourne de nouveau vers Marine et lui murmure :
_ Ecarte encore plus ma belle, fait le bander un max !
Elle s’exécute lentement et je prends la dernière photo souvenir avant de me relever.
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Cédric empoigne sa queue et commence à se masturber lentement tout en s’approchant de ma coquine toujours allongée, les yeux fixés sur lui. Il s’arrête près d’elle, et lui demande :
_ J’ai envie que tu me regarde gicler... Dit moi où ?
Elle le regarde droit dans les yeux et lentement remonte son teeshirt sur son ventre. Puis d’une voix sourde :
_ Là, sur mon ventre, tous les deux... Mais je ne vous touche pas...
Cédric se laisse tomber à genoux et je fais de même, de l’autre coté de Marine, face à lui. Il ne nous faut que quelques secondes pour jouir à longs jets sur l’endroit indiqué sous le regard de Marine qui sourit largement en frottant notre sperme sur son ventre à l’aide de ses doigts. Une dernière folie qui restera à jamais gravée dans nos mémoires, ça je peux l’affirmer !
Des adieux brefs, Marine donne un dernier petit baiser furtif sur la bouche de Cédric puis nous prenons la route, encore fébriles, retour à la vie de famille tranquille pour plusieurs mois avant la prochaine récréation...
Je jette un coup d’œil vers ma femme adorée qui dort sur son siège. Je me dis que sa progression durant ce petit séjour a été fulgurante et je reprends espoir... Finalement, rien n’est joué, en prenant son temps, je suis sûr qu’un jour... Elle craquera, elle finira par se laisser baiser devant moi par un autre, j’en suis sûr... Je me sens super bien, c’est cool de vivre avec une mutante (lol) capable de se transformer à la demande, soit princesse, soit coquine-salope, le pied !