Avril 2019, transition...
Je sors du camping car, il fait chaud, vraiment chaud pour un moi d’Avril. Même si on est dans le sud, près de Narbonne, le temps est estival ! Marine a pris un pliant pour aller s’installer de l’autre coté de la haie et je me dis que je ferai bien une petite série de photos vue qu’elle m’a clairement montré qu’elle n’avait pas de culotte, comme d’habitude lorsqu’on s’octroie quelques jours tous les deux. Depuis le moi de Mai de l’année dernière, rien, pas une seule petite rencontre depuis Max. En Juillet, ambiance compliquée, notre ainée devant partir pour ses études du coté de Paris. Il a fallu ruser pour lui trouver de quoi se loger, une vraie galère... Puis le moi d’Août en famille et ensuite, une fin d’année un peu morose, Marine devant s’habituer à l’absence de notre fille chérie.
Autant dire qu’elle n’avait pas la tête à ça ! Mais depuis quelques temps, je la sens plus réceptive au sexe. On fait l’amour plus souvent et elle redevient plus joueuse dans nos petits moments d’intimité.
Je cherche mon portable pour faire ces photos et de nouveau, mes pensées dérivent un peu. Je pense à cette chose qui est en train de prendre forme pour moi, ce truc qui me gonfle de joie à chaque fois que j’y pense. Je devrai plutôt dire à la personne qui va, j’en suis sûr, me permettre d’atteindre le graal !
Il est arrivé discrètement, doucement dans notre vie. La première fois qu’elle m’en a parlé, c’était lors du trajet pour aller dans le Cantal retrouver Max. Je n’y avais pas trop prêté attention alors. Elle m’avait juste parlé de ce nouveau collègue de travail, Fabien...
Au début, elle m’en parlait de temps en temps puis au fil du temps, de plus en plus souvent. Fabien par ci, Fabien par là, j’ai fini par comprendre qu’il prenait de plus en plus de place dans l’environnement de Marine.
Souvent en déplacement, il est commercial, il vient la voir à chaque retour pour établir ses notes de frais et discuter, boire un café, manger parfois au restau le midi. Bref, une relation amicale au boulot se développait.
Trente six ans, plutôt beau gars, il est marié depuis sept ans et a un fils de six ans. Fin Novembre, il est passé à la maison suite à une invitation de Marine qui tenait à me présentait ce bon copain dont elle me parlait si souvent. On a tout de suite bien accroché tous les deux. Un type vraiment sympa qui m’a paru très décontracté. Nous nous sommes revus plusieurs fois chez nous et en février, il a fini par nous inviter à diner chez lui. Repas très conventionnel où nous avons fait la connaissance de Sophie, son épouse... Plutôt jolie mais très réservée. Mal habillée, ensemble jupe petit pull gris tout triste et une conversation beaucoup trop sérieuse à mon goût, je ne me suis pas vraiment senti à l’aise. Un vrai contraste entre eux deux, Fabien, rieur, plaisantant beaucoup et Sophie, guindée, souriante mais très en retrait, un peu absente.
Depuis qu’ils se sont rencontrés, Marine me dit tout, relate ses moindres conversations avec lui. Rien de bien particulier mais il y a dix jours environ... Ils ont discuté de leur couple respectif, Marine lui confiant que nous étions très complices sans rentrer dans les détails, bien sûr. Lui, il a fini par lui avouer que coté sexe, ce n’était pas la joie avec Sophie qui n’était pas vraiment portée sur la chose. Là, je me suis montré beaucoup plus intéressé par leur conversation. J’ai demandé des précisions mais visiblement, Fabien n’en a pas dit plus. Pourquoi lui a-t-il dit cela ? Serait-il en manque ? Peut-être que ma chère épouse l’intéresse ? C’est étrange, depuis ce jour là, je ressens certaines crispations dans mon bas ventre... Chaque matin de la semaine, je me suis davantage intéressé aux tenues qu’elle choisissait pour partir au boulot. Fabien n’avait pas de déplacement prévu hors du département donc ils se voyaient tous les jours. J’ai tout fait pour la pousser à s’habiller sexy, jupe courte, chemisier léger, très léger !
Et tous les soirs, je guettais ses petits comptes-rendus de sa journée. Finalement, c’est vendredi soir, le dernier jour avant notre départ pour notre petite virée que ce que j’espérais est arrivé.
_ Ah au fait, j’ai reçu un compliment pour ma tenue vestimentaire aujourd’hui...
_ Ah oui ?
Elle a rigolé avant de me lâcher :
_ Fabien m’a dit que j’étais très jolie. Il m’a dit qu’il me trouvait très sexy.
_ Tu m’étonnes ! Et comme il est sûrement en manque vue ce qu’il t’a avoué l’autre fois, il a carrément dû te trouver bandante !
_ Rhhhôôôôô... Tu es bête ! C’était gentil, c’est tout...
Je n’avais pas répondu, je ne voulais pas aller trop vite, je venais de lui injecter sa première dose de venin. Celle qui d’après mon plan, maintenant très clair, devais l’amener à voir Fabien comme autre chose qu’un simple collègue-ami de boulot. En tout cas, moi, je voulais qu’il soit autre chose !
Je récupère enfin mon portable et je descends du camping-car pour aller jeter un coup d’œil de l’autre coté de la haie. Le spectacle est à la hauteur de mes espérances. Allongée sur un transat, ma coquine me laisse découvrir ses jolies cuisses entrouvertes me donnant une vue splendide sur sa chatte.
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Immédiatement, je sens mon sexe se raidir dans mon short. Je regarde aux alentours mais il n’y a personne, pas le moindre voyeur en vue, dommage... Je m’avance un peu et enlève mon short pour être plus à l’aise. M’ayant entendu, Marine redresse la tête pour m’observer sous son chapeau de paille et me faire un beau sourire avant de baisser de nouveau la tête. La coquine doit avoir des envies elle aussi, je suis comblé. Mon excitation monte d’un cran. La gorge serrée, le souffle court, je m’avance encore un peu et je décide de jouer mon jeu favori...
_ Ecarte plus... montre la moi bien ouverte... Elle me fait trop envie...
Le visage à moitié caché par le rebord de son chapeau, elle obéit lentement, très lentement. Elle commence par faire glisser les bretelles de sa petite robe afin de dénuder ses seins puis elle écarte ses cuisses afin de m’offrir son sexe entrouvert, les lèvres bien apparentes.
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Je sais que la suite va être terrible ! Je la devine salope jusqu’au bout des ongles et je commence à avoir de sérieuses difficultés pour respirer. Je tremble de partout et je sens bien que ma raison s’échappe. Cela fait trop longtemps que je ne l’ai pas vu dans cet état et ça me rend presque dingue tellement j’ai envie de la baiser. C’est d’autant plus fort que je la sens dans le même état que moi.
Je pose mon portable dans l’herbe et me laisse tomber à genoux entre ses jambes. Je me penche en avant, approche ma bouche de sa vulve et murmure :
_ Je suis sûr que tu as envie de te faire baiser...
Je sors ma langue et commence à la lécher. Immédiatement, je sens sa main se poser sur ma tête et entends son premier gémissement. J’ai à peine commencé qu’elle ondule du ventre en appuyant sur ma nuque. Je la devine folle d’excitation, pleine d’une envie quasi bestiale de se faire prendre. Je lèche ses lèvres, entre ma langue dans sa vulve trempée puis la ressort pour descendre lui lécher son œillet puis remonte. Je prends les lèvres dans ma bouche pour les sucer, les aspirer, les dévorer. Pendant de longues minutes, je la maintiens au sommet de la vague, au bord de la jouissance. Elle souffle, gémit et finit par me lancer d’une voix rauque :
_ Baise-moi ! J’en ai trop envie... Vas-y baise moi!
Je me redresse, attrape mon portable et me remet debout, ma bite tendue devant elle. Elle redresse la tête et m’observe, le regard voilé en cherchant son souffle.
De nouveau, elle me supplie :
_ Viens ! Baise-moi, allez viens !
Je prends ma queue dans ma main et lentement je me branle devant elle. Elle fixe mon sexe de ses yeux gourmand et murmure :
_ Pourquoi tu ne viens pas me la mettre ?
Je continue à me masturber et lui réponds à voix basse :
_ Pas tout de suite... Vas-y... Branle toi aussi, montre moi comment tu fais pour te doigter...
Elle hésite quelques secondes puis descend doucement ses mains sur son ventre. Sa main gauche se pose sur sa toison tandis que la droite continue son chemin vers sa vulve. Finalement, elle enfonce son majeur tendu au cœur de la fleur rouge grande ouverte. A son tour, elle se branle lentement devant moi.
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Je mobilise le peu de lucidité qui me reste pour placer mon « attaque » :
_ Je suis sûr que ça te plairait qu’un autre mec te regarde, là, maintenant...
Elle ne répond pas, respirant fort tout en continuant de se masturber. Je sais que lorsqu’elle est dans un tel état, elle peut entendre beaucoup de choses et que cela augmente son excitation.
_ Moi... J’aimerai bien que Fabien soit là... Pour te regarder...
Silence, elle continue ses gestes lents de va et viens.
_ Je me dis qu’il ferait comme moi... Tu pourrais voir sa queue bien raide...
Pour toute réponse, elle remonte sa main droite et descend sa gauche pour de nouveau se doigter profondément.
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Bouche grande ouverte, elle happe l’air, comme si elle était au bord de l’asphyxie. Je continue de lui injecter mon venin :
_ Je suis sûr qu’il rêve de te baiser... Frustré comme il est, il doit se branler en pensant à toi... Avec ta petite jupe... Il a du mater ton cul en se disant « putain que j’ai envie de la baiser ».
Marine halète maintenant et ses mouvements se font plus rapides. Elle va jouir mais je ne veux pas, pas comme ça, pas encore !
Je me laisse de nouveau tomber à genoux entre ses cuisses. Je prends sa main et l’enlève de son sexe pour la poser plus haut, sur sa toison. C’est moi, le maitre du jeu et je veux le faire durer.
De nouveaux je la lèche doucement, lui arrachant un gémissement. Puis je me redresse et avance doucement ma main, paume vers le haut. Je tends mon majeur et l’enfonce doucement dans sa vulve toujours bien offerte. Remontant doucement sa main gauche sur son sein, Marine commence à le masser pendant que je la branle lentement.
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_ Je suis sûr que tu as envie de sa queue... Tu aimerais bien le sucer, pas vrai ? Et la sentir dans ta chatte aussi... ca t’excitait de le voir te mater ton cul au boulot ?
Elle gémit de plus en plus fort. Ses doigts pincent son téton tout en le tirant. Son autre main masse son clitoris tandis que je continue de la doigter doucement, en profondeur :
_ J’ai trop envie de te donner à baiser à ce type. Je veux que tu lui offre ton cul mais aussi ta chatte... Je veux voir sa bite s’enfoncer d ans ta chatte pour bien te baiser... Suis sûr que tu en as autant envie que moi...
Tout en parlant, j’accélère le mouvement de mon doigt. Je sens les muscles de son vagin se serrer autour dans des spasmes de plus en plus violents. Je sors mon doigt, saisit ma queue et avance mon bassin pour placer mon gland entre les lèvres de sa vulve. D’un coup de rein je m’enfonce tout au fond de son ventre. Elle lâche une sorte de feulement et se redresse d’un coup afin de m’entourer de ses bras et placer ses mains sur mes fesses pour appuyer et m’aider à m’enfoncer encore plus. Le chapeau est tombé, elle me fixe de ses yeux fous ; la bouche grande ouverte. Je commence à la baiser lentement puis de plus en plus vite. Elle gémit de plus en plus fort et tout en secouant ses hanches d’avant en arrière comme une folle.
_ Avoue que tu as envie de baiser avec lui.
Silence, je ralenti.
_ Avoue le...
D’une voix hachée, à peine audible :
_ Oui... J’en ai envie... Oui... Baise-moi... J’en peux plus...
J’accélère ma cadence, un brouillard devant les yeux. Je pilonne cette chatte avec un bruit de clapotis. Fou de désir, je la tringle comme la salope qu’elle est en ce moment. Je sens l’explosion approcher, ma sève monter du fond de mon ventre. Elle hurle la première et je l’imite presque aussitôt en me vidant tout au fond de ce corps magnifiquement consentant. Marine s’agite comme une furie, folle de plaisir, elle veut faire durer. Son bassin se balance d’avant en arrière, nos deux pubis se cognant en cadence. Soudain elle lâche un dernier râle et se laisse aller en arrière sur le transat. Essoufflée, elle a du mal à respirer et me fait un peu peur. Mais non, tout va bien, elle reprend vie lentement, les yeux grand ouvert tourner vers le ciel d’un bleu éclatant.
Il nous faut un bon moment pour revenir à un état « normal ». Je suis allongé dans l’herbe près du transat, réfléchissant à tout ce que je lui ai dit. Mon venin va-t-il agir ? J’attends calmement qu’elle me dise quelque chose. Je suis sûr que ça cogite déjà dans sa tête...
J’écoute le bruit des insectes dans l’herbe puis j’observe une fleur non loin de ma tête. J’attends.
Elle se tourne vers moi et me sourit. Je me sens soulagé.
_ C’était... C’était vraiment bien ! Je t’aime.
Son compliment me touche beaucoup, j’en suis tout chamboulé.
_ Moi aussi, je t’aime... Très fort !
Elle continue de sourire avant d’ajouter.
_ Tu sais, pour Fabien... C’était... Excitant toutes ces choses que tu as dites mais... C’est pas réaliste.
Zut, je me sens refroidi tout d’un coup.
_ Ben, pourquoi ?
Elle hésite puis se lance :
_ Ben je le vois presque tous les jours au boulot... C’est pas possible... Je ne me vois pas avoir ce genre de relation avec un collègue de travail... Si ça se sait, tu imagines ? Et en plus, il est marié.
Je la regarde, cherchant mes mots.
_ Pfff, on s’en fou qu’il soit marié, c’est à lui de gérer ça si il accepte le jeu ! Quand au boulot, il part tout le temps en déplacement et quand il sera là ben vous serez sages, surtout que j’ai pas trop envie que vous fassiez des trucs sans que je sois là pour en profiter...
_ Mais c’est un ami maintenant, même toi, tu le considère un peu comme un copain alors, non, je ne pourrai pas faire ça avec lui.
_ Tu avais dit que tu ne pourrais baiser qu’avec un mec en qui tu aurais pleinement confiance, un ami justement... Ben, ça y est, on a une solution.
Silence, mon venin agirait il ?
_ C’est n’importe quoi... Je... Je ne me vois pas du tout me faire baiser par lui ! Il... Il est cool, on s’entend bien mais c’est tout !
_ Ca n’empêche pas qu’il a sûrement ders envies te concernant. Quand un mec dit à une femme que la sienne n’est pas top au lit et qu’après il dise à cette même femme qu’il la trouve sexy... Ben ça veut dire qu’il cogite à ton sujet, crois moi !
Elle me regarde en silence. Au bout de quelques secondes de réflexion, elle murmure :
_ C’est... C’est complètement improbable ton truc. J’ai sept ans de plus que lui, il pourrait trouver mieux... Et moi... Moi, je le trouve bien, physiquement, mais c’est tout, ça ne va pas plus loin...
_ Pas plus loin ? Ose dire que tu n’imaginais pas tout ce que je te disais tout à l’heure et que tu n’as pas joui en pensant à lui...
Je décide d’arrêter la discussion. Mon venin commence à faire effet, j’en suis certain maintenant. Je dois me contrôler, surtout ne pas brusquer les choses.