En réponse aux formidables aventures {
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@fredcandaule et
@Brigittecandaule et aux exploits multiples, variés et cocufiants de ce duo aussi remarquable dans les cabrioles candaulistes que dans les bandes dessinées. Voici donc deux poèmes, en miroir, pour le prix d'un, pour les anniversaires de Brigitte (le premier) et de Fred (le second).
Pour son anniversaire,
Mes très chers invités, je vous ai réunis
Pour donner du relief à la cérémonie.
Voici une journée qui sort de l’ordinaire,
Puisque ma femme fête son anniversaire.
Comme je vous sais tous gentilshommes galants,
Je puis taire de ma mie le total des ans.
Pour choisir son cadeau, pas le moindre tourment,
Puisque je lui offre la queue de son amant
Et de quelques amis. En guise de bougies,
Brigitte, de gros pieux, s’offrira une orgie.
Moi le mari cocu, c’est ma grande fierté
Que la toison cuivrée de sa féminité
Soit labourée, pour les plus grandes occasions,
Par d’autres que moi. Je la veux en pâmoisons,
Épouse libérée, éperdue de plaisir,
Ne sachant plus parler, mais seulement gémir.
Sur ces draps de lin, faites qu’elle se déchaîne ;
Usez de votre science, qu’elle soit fontaine.
Messieurs, servez-vous de vos bouches et de vos mains
Pour que ses beaux tétons jaillissent de ses seins.
Si fièrement de très belles cornes j’arbore,
J’ai le privilège, pour très longtemps encore,
De tirer le dernier coup du feu d’artifice
En déposant le final dans son orifice.
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Pour mon anniversaire,
Mon très cher invité, nous sommes réunis
Pour donner du relief à la cérémonie.
Voici une journée qui sort de l’ordinaire,
Puisque, moi, Fred, je fête mon anniversaire.
Comme je te sais un gentilhomme galant,
Je puis garder secret le total de mes ans.
Pas de tourment pour ce qui est de ton cadeau !
Comme toutes les fois, tu m’offres le plus beau.
En preux chevalier, souviens-toi de ton serment !
Sois plus qu’un invité, mais un parfait amant.
Et saches que si je me suis donné la peine
De te faire venir, c’est afin que les veines
De ta queue bandée fassent palpiter ma femme
Remplissant d’émotions et mon cœur et mon âme.
De mon anniversaire, tu es la bougie
Que soufflera ma chérie, en guise d’orgie.
Moi le mari cocu, c’est mon rêve éveillé ;
Que la toison cuivrée se retrouve émaillée
Par les longs filaments de ta chaude semence
Dont tu la gratifies en toutes circonstances.
Baise-la ! N’attends plus ! Fais qu’elle se déchaîne.
Use de ta science, fais jaillir sa fontaine !
Alors, sors ta bite des grandes occasions
Mon plus beau cadeau ? qu’elle soit en pâmoisons !
Et fais preuve d’esprit ! Si j’ai loué ce lieu,
C’est pour que tu la baises partout, pas qu’au pieu !
Si fièrement de très belles cornes j’arbore,
J’ai le privilège, pour très longtemps encore,
De tirer le dernier coup du feu d’artifice
En déposant le final dans ses orifice.
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