- 18 févr. 2022, 15:27
#2591745
Pour les amateurs de confidences...
De salope honteuse à coquine assumée...
Avant de me marier, j’aimais jouer de l’effet que je pouvais produire sur les hommes, surtout s’ils étaient plus âgés. Un cache-cœur bien échancré sur une poitrine de jeunette peut faire des ravages chez un professeur, un collègue, un patron tourmenté par le retour d’âge…
Je soignais donc ma tenue en toutes circonstances, au travail comme en soirée, oscillant savamment entre une mise de petite bourgeoise bon teint, tailleur strict ou robe élégante, et celle d’une petite allumeuse, maquillée dans des tons provocants et veillant à toujours ouvrir un bouton de chemisier en trop…
En vacances, parmi mes oncles, cousins et amis, je minaudais dans des maillots faussement sages, soigneusement choisis pour mettre en relief un arrogant 85D. "Obligée" de remettre sans cesse en place mes seins rebelles dans des bonnets évidemment trop petits d’une taille, je défiais avec une innocence affectée les
os raplaplats de mes tatas, cousines et concurrentes potentielles !
Après moult tentatives infructueuses de domestiquer mes imposantes mamelles, je finissais en monokini, non sans avoir copieusement enduit mon torse de monoï, tout en jaugeant au travers de mes Ray Ban l’attrait de la gent masculine pour mes appâts… Je piégeais à coup sûr !
La majorité à peine atteinte, j’ai pris un plaisir un peu malsain et décadent à salir mon image de petite bourge, en m’abandonnant à mes conquêtes du moment au vu de tous, en me laissant aller, l’alcool aidant, entre les bras de garçons queutards pour avilir la petite fille sage que je ne voulais plus être.
Par goût de l’ostentation au moins autant que par désir, je suis devenue "celle qui couche le premier soir", enfreignant les règles hypocrites d’un milieu où les femmes devaient se préserver jusqu’au mariage. Il était admis que les hommes "de nos familles" puissent se faire la main sur des salopes avant de convoler avec une vierge ou réputée telle en justes noces… Je choisis donc de m’offrir à des salauds.
Durant ces temps de débauche, ce qui me procurait les sensations les plus fortes, c’était de me laisser caresser, lécher et parfois prendre dans une voiture au retour d’une soirée, avec la délicieuse angoisse d’être surprise sur le fait…
Après quelques années de turpitudes, j’ai jugé qu’il était grand temps de me ranger. J’ai adopté à mon tour l’uniforme de la bonne épouse et ai voulu rompre avec ce passé compromettant. Je pensais y être parvenue mais avec l’usure du temps et les accidents de la vie, le masque de la femme sans désirs ni fantasmes s’est fissuré. Mon besoin de séduire, de jouer avec le feu, de m’encanailler, a ressurgi avec fracas.
Au début, je n’ai pas voulu l’admettre. Je me défendais contre moi-même. Mais cette lutte était destructrice. Alors j’ai décidé de m’accepter, avec mes instincts, mes envies, mes besoins charnels, mes vices… Depuis plusieurs mois, j’explore donc mes limites. Je m’habille de façon provocante. Mes décolletés se creusent, mes jupes raccourcissent, mes talons se haussent…
J’arbore des chaînes de cheville, des bagues de pied, des pendants d’oreille qui frôlent des épaules dénudées. Je vais dans des soirées mondaines habillée dans un style chic mâtiné d’un sex-appeal outrancier… et j’adore provoquer l’émoi des mâles ainsi que la jalousie de leurs compagnes.
Là où, il y a encore un an, j’allais accoutrée d’une robe noire rigoriste couvrant réglementairement mes cuisses, je vais aujourd’hui vêtue d’un chemisier transparent voilant à peine mes dentelles, d’une jupe fendue, de sandales à plateforme.
Et j’allume ainsi de manière éhontée jeunes et vieux, avec une nette préférence pour les matures. Je joue de mon regard, mi-pute, mi-soumise, je ris à gorge déployée… ce qui a pour effet d’attirer irrésistiblement autour de moi une cour de mâles tentant de rivaliser de charme et d’humour.
Où est-ce que cela va me mener ?

De salope honteuse à coquine assumée...
Avant de me marier, j’aimais jouer de l’effet que je pouvais produire sur les hommes, surtout s’ils étaient plus âgés. Un cache-cœur bien échancré sur une poitrine de jeunette peut faire des ravages chez un professeur, un collègue, un patron tourmenté par le retour d’âge…
Je soignais donc ma tenue en toutes circonstances, au travail comme en soirée, oscillant savamment entre une mise de petite bourgeoise bon teint, tailleur strict ou robe élégante, et celle d’une petite allumeuse, maquillée dans des tons provocants et veillant à toujours ouvrir un bouton de chemisier en trop…
En vacances, parmi mes oncles, cousins et amis, je minaudais dans des maillots faussement sages, soigneusement choisis pour mettre en relief un arrogant 85D. "Obligée" de remettre sans cesse en place mes seins rebelles dans des bonnets évidemment trop petits d’une taille, je défiais avec une innocence affectée les

Après moult tentatives infructueuses de domestiquer mes imposantes mamelles, je finissais en monokini, non sans avoir copieusement enduit mon torse de monoï, tout en jaugeant au travers de mes Ray Ban l’attrait de la gent masculine pour mes appâts… Je piégeais à coup sûr !
La majorité à peine atteinte, j’ai pris un plaisir un peu malsain et décadent à salir mon image de petite bourge, en m’abandonnant à mes conquêtes du moment au vu de tous, en me laissant aller, l’alcool aidant, entre les bras de garçons queutards pour avilir la petite fille sage que je ne voulais plus être.
Par goût de l’ostentation au moins autant que par désir, je suis devenue "celle qui couche le premier soir", enfreignant les règles hypocrites d’un milieu où les femmes devaient se préserver jusqu’au mariage. Il était admis que les hommes "de nos familles" puissent se faire la main sur des salopes avant de convoler avec une vierge ou réputée telle en justes noces… Je choisis donc de m’offrir à des salauds.
Durant ces temps de débauche, ce qui me procurait les sensations les plus fortes, c’était de me laisser caresser, lécher et parfois prendre dans une voiture au retour d’une soirée, avec la délicieuse angoisse d’être surprise sur le fait…
Après quelques années de turpitudes, j’ai jugé qu’il était grand temps de me ranger. J’ai adopté à mon tour l’uniforme de la bonne épouse et ai voulu rompre avec ce passé compromettant. Je pensais y être parvenue mais avec l’usure du temps et les accidents de la vie, le masque de la femme sans désirs ni fantasmes s’est fissuré. Mon besoin de séduire, de jouer avec le feu, de m’encanailler, a ressurgi avec fracas.
Au début, je n’ai pas voulu l’admettre. Je me défendais contre moi-même. Mais cette lutte était destructrice. Alors j’ai décidé de m’accepter, avec mes instincts, mes envies, mes besoins charnels, mes vices… Depuis plusieurs mois, j’explore donc mes limites. Je m’habille de façon provocante. Mes décolletés se creusent, mes jupes raccourcissent, mes talons se haussent…
J’arbore des chaînes de cheville, des bagues de pied, des pendants d’oreille qui frôlent des épaules dénudées. Je vais dans des soirées mondaines habillée dans un style chic mâtiné d’un sex-appeal outrancier… et j’adore provoquer l’émoi des mâles ainsi que la jalousie de leurs compagnes.
Là où, il y a encore un an, j’allais accoutrée d’une robe noire rigoriste couvrant réglementairement mes cuisses, je vais aujourd’hui vêtue d’un chemisier transparent voilant à peine mes dentelles, d’une jupe fendue, de sandales à plateforme.
Et j’allume ainsi de manière éhontée jeunes et vieux, avec une nette préférence pour les matures. Je joue de mon regard, mi-pute, mi-soumise, je ris à gorge déployée… ce qui a pour effet d’attirer irrésistiblement autour de moi une cour de mâles tentant de rivaliser de charme et d’humour.
Où est-ce que cela va me mener ?

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