- 05 juil. 2022, 17:08
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Merci encore pour tous vos messages ! Les commentaire concernant Lou lui sont tous transmis.
Voici la fin de ce premier récit. Il m'en reste d'autres à partager, en espérant avoir bientôt l'occasion d'en écrire de nouveaux... Peut-être lors de nos prochaines vacances au Cap ?
Suite >>>
Dans la pénombre, on devine les corps qui s’emboitent, coulissent les uns contre les autres, se serrent, s’étreignent et jouissent au rythme de va et vient souvent nerveux. Alors que nous passons, je regarde rapidement trois femmes prises en levrette. Un classique dans ces lieux d’exhibition ou être prise peut aussi parfois dire être soumise. La levrette est une des toutes premières étapes de la soumission, de l’abandon de soi à un autre. Une façon de s’offrir complètement en confiant à l’autre son anatomie autant que son bien-être. A cet instant ces femmes sont belles même si je ne crois pas avoir pu distinguer à aucun moment leur visage.
Au détour d’un couloir, Lou croise une femme. Une Asiatique. Jolie. Derrière elle son homme. Les deux filles commencent à se toucher, s’embrasser. L’homme glisse une main ici ou là. Lou se laisse faire. Je m’approche. La jeune femme s’interroge : « Vous êtes ensemble ? ». Lou répond, « oui c’est mon mari ». Une alcôve se libère juste à côté, nous nous y engouffrons tous les quatre. Le couple explore le corps de Lou, l’embrasse. Je glisse une main vers la petite poitrine en pointe de l’Asiatique. Elle me regarde, me tend ses lèvres, je l’embrasse tout en laissant mes mains se perdre sur elle.
Lou se penche sur elle, la travaille de ses doigts habiles. Elle effleure le clitoris, glisse des doigts fins à l’intérieur et découvre une intimité serrée parfaite pour y accueillir une queue et donner du plaisir. Elle penche la tête, utilise la langue. Je pose ma main sur sa tête, la poussant légèrement, pour l’inviter à lécher sa compagne de jeu. Elle s’y attèle, avec soin. Je la regarde tout en glissant mes doigts entre ses lèvres humides, en titillant son clitoris.
Son homme s’est placé près de sa tête afin qu’elle le prenne dans sa bouche. Ses va et vient le long de cette belle queue sont hypnotiques. L’homme m’invite à prendre sa place. Il se glisse derrière Lou et la travaille de ses doigts tout en attrapant ses seins. Pour lui, la vue est somptueuse.
L’Asiatique me branle. Je regarde en même temps ma femme la lécher et l’homme caresser les fesses de Lou. C’est un ballet magnifique. L’Asiatique m’invite à lui baiser la bouche. Je m’active, m’enfonce profondément entre ses mâchoires. Douce et ferme à la fois. Je sens ma queue s’enfoncer en elle longuement et avec délectation. Je sens son odeur. Forte, musquée, presque entêtante. Je songe alors à l’odeur de Lou. Unique. Délicieuse. Réconfortante.
Changement de configuration. Je change de position, Lou aussi. L’homme glisse deux doigts en elle. Elle me jette un regard lourd de sens. Elle aime ce qu’il est en train de lui faire. Je regarde la femme que je surplombe, me glisse en elle et commence à la baiser. L’homme pénètre aussi ma femme. L’endroit est exigu, inconfortable, mais nos amants sont attentifs, doux et doués. L’Asiatique gémit, pousse des petits cris, bouge son bassin, lève les bras. Elle aussi offerte. Elle semble jouir. Son homme jouit aussi. Je me retire, enlève le préservatif et m’introduis en Lou. Pour la sentir. De l’intérieur. Belle. La soirée touche à sa fin.
Quatre queues pour une seule soirée. Dehors, il pleut. Il fait nuit. Pas encore froid. Le taxi ne tarde pas. On échange quelques mots sibyllins en présence de ce témoin inopportun mais nécessaire. Retour au bercail.
Il est tard. La nuit bien avancée. Je me perds dans le regard de Lou qui semble heureuse. « Mission accomplie. Je peux cocher la case » me lâche-t-elle. Je lui souris. Elle n’a pas joui. On se rattrapera quelques heures plus tard. Au lit, je lui dis souffle « prends ton jouet et fais-toi jouir ». Elle acquiesce. Le moment dure. Elle explose. Me regarde. Me dit « je veux bien que tu me mettes deux doigts, ou autre chose ». Cela sera autre chose alors. Elle jouit à nouveau intensément. Moi aussi. Longuement. Au fond d’elle. Là où j’aime être. Au plus près de ma femme.
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