par opheliejulien - 03 août 2022, 16:19
- 03 août 2022, 16:19
#2637685
Tout d’abord, les présentations d’usage
Je suis Julien, j’ai 46ans, je suis en couple depuis bientôt trois ans avec Ophélie qui a, elle, 40 ans. D’elle, que dire…. Elle est belle, très belle, nous sommes un couple amoureux et vous imaginez bien que j’aurai l’occasion de parler d’elle en détails.
Plantons le décor maintenant.
Il est 21 h .Je suis dans un café sympa d’un quartier sympa d’une ville sympa.
Je suis arrivé il y a une heure environ dans ce café en compagnie d’Ophélie et depuis une demi-heure, je suis seul à ma table, l’attendant, car, depuis une demi-heure, elle est partie avec le jeune homme avec lequel nous avions rdv, jeune homme qui est serveur dans ce café, jeune homme qui ne travaillait pas ce soir, jeune homme qui habite juste au-dessus de ce café.
Bref, pour faire simple, la nouvelle femme de ma nouvelle vie s’envoie en l’air avec un éphèbe métis de 25 ans juste au-dessus de moi et moi, je l’attends sagement.
Comment j’en suis arrivé là ? Je pourrais appeler ce texte« glissement progressif vers le candaulisme » ou « chronique d’un cocufiage annoncé » tellement les évènements se sont enchainés inexorablement vers cette situation
Mais le titre le plus judicieux serait « Il ne m’a jamais dit oui, mais il ne m’a jamais dit non ». C’est la phrase que nous a sortie Ophélie, tout à l’heure. Au moment où son futur amant et elle me quittaient pour rejoindre l’appartement du cocufieur, ce dernier m’a (enfin ) adressé la parole en me demandant si j’étais vraiment ok, et donc, ma chérie, juste avant de m’embrasser, nous a sorti cette sentence : « il ne m’a jamais dit oui mais il ne m’a jamais dit non ».
Et ils disparurent, main dans la main pour… « une ou deux heures » m’a-t-elle dit. Je parierai pour deux. Je la connais
Alors, dans quel état je me trouve là, seul dans ce café, hésitant à me commander un troisième whisky à la jolie serveuse, qui a bien compris qu’… il se passait quelque chose. Elle a bien vu un couple, Ophélie et moi, arriver main dans la main et vu aussi cette superbe brune partir du café main dans la main avec son collègue serveur.
J’ai lu de nombreux témoignages ici d’hommes dans ma situation. Alors oui, ce que je ressens, cela ressemble à ça. Un mélange de frustration, de jalousie, d’excitation et je l’avoue, d’admiration. Je suis dans un espèce de « subspace », un état liquide, gazeux où d’une minute à l’autre, je peux avoir envie de monter dans cet appartement, défoncer la porte et arrêter les frais ou désirer juste rester là, attendre, espérant la revoir vite, belle et épanouie. Bref, je bande.
J’ai surtout l’impression que les choses m’échappent. Oui, c’est moi qui lui aie évoqué cette possibilité, qu’elle puisse coucher avec un autre homme, oui c’est moi qui aie proposé quelques situations ambiguës. Par exemple, un jeu un peu particulier, dans lequel nous arrivons séparément dans un café. Sa beauté fait en sorte qu’au bout de quelques minutes, elle sera abordée par un homme. Le jeu consistait à ce qu’elle, justement, joue le jeu, se laisse draguer, allume, sous mes yeux puis… se retire et me rejoigne.
Oui c’est moi qui ait proposé que lorsque nous faisions l’amour, nous rejouions des scènes de sexe de son passé qu’elle avait connues et qu’elle m’appelle par le prénom de l’amant de l’époque.
« Encore une petite heure, mon chéri…. ??? Ne t’inquiète pas, je t’aime »
Le texto vient de tomber. Je suis pétrifié ; j’ai peur, je re bande…je vais commander un troisième whisky, tourbé et sans glaçons le whisky. La jolie serveuse a un petit sourire contrit, elle a compris Quelque part cela m’énerve mais… me ravit.
Ophélie est une quadra magnifique (vous comprendrez que je suis subjectif) Je suis un homme qui a du charme, j’ai eu la chance de connaitre de jolies femmes mais comment dire….avec elle, je change de standing. Il y a une expression que je n’apprécie pas tout le temps mais qui résume la situation : « elle est au-dessus de mes moyens », « trop belle pour moi ».Comme beaucoup d’hommes dans cette situation, j’ai eu tendance à fantasmer sur le fait qu’elle couche avec d’autres, certainement pour exorciser cette peur que cette femme qui adore séduire, qui considère que son physique n’est pas une malheur mais une chance, voire une arme, me trompe un jour.
Elle est une femme, comme je l’ai dit, très belle, intelligente, élégante, très… attentive et tendre dans la vie de tous les jours, mais elle peut se transformer en garce ultime au détour d’une phrase. Beaucoup d’hommes sur ce site reconnaitront qu’il n’y a rien de plus fascinant qu’une garce qui vous aime. J’imagine que certaines femmes se reconnaitront.
Quand nous sommes arrivés dans ce café, pour ce rdv avec le garçon qui prend possession de son corps actuellement, elle était…..collée contre moi, je sentais sa chaleur s’évaporer par tous les pores de sa peau. Puis, au fur et à mesure de la discussion avec son amant, discussion à laquelle je n’ai que peu participé, je l’ai sentie s’éloigner de moi, se rapprocher de lui, être de plus en plus intime avec lui. Elle était assise à côté de moi, et à un moment, elle a choisi de s’assoir à côté de lui. Peu à peu, un autre couple s’est formé devant moi, il a commencé par lui toucher la cuisse, naturellement, comme moi, je pourrais le faire. Leurs mains se sont mêlées, l’intimité s’est installée, je n’étais que spectateur, je bandais. Je voulais aussi me révolter, mais je ne pouvais pas. Les premiers baisers se sont échangés, je voulais faire respecter certaines règles, je ne pouvais pas. Je bandais
Oui, j’avoue, ils sont beaux ensemble, cela me révolte, me ravit et me fait bander
Le temps passe
« J’arrive tout de suite ».
Effectivement, elle arrive, un peu échevelée, un peu trop de rouge aux joues. Avant de me rejoindre, elle échange quelque paroles avec la jolie serveuse, je ne savais pas qu’elles se connaissaient, elles rigolent. Elle me rejoint, m’embrasse, le gout de sa bouche est différent, un peu plus…. caoutchouteux, ce n’est pas désagréable.
« Je suis crevée, mon chéri, on rentre ? » ?
Elle est belle
Je suis Julien, j’ai 46ans, je suis en couple depuis bientôt trois ans avec Ophélie qui a, elle, 40 ans. D’elle, que dire…. Elle est belle, très belle, nous sommes un couple amoureux et vous imaginez bien que j’aurai l’occasion de parler d’elle en détails.
Plantons le décor maintenant.
Il est 21 h .Je suis dans un café sympa d’un quartier sympa d’une ville sympa.
Je suis arrivé il y a une heure environ dans ce café en compagnie d’Ophélie et depuis une demi-heure, je suis seul à ma table, l’attendant, car, depuis une demi-heure, elle est partie avec le jeune homme avec lequel nous avions rdv, jeune homme qui est serveur dans ce café, jeune homme qui ne travaillait pas ce soir, jeune homme qui habite juste au-dessus de ce café.
Bref, pour faire simple, la nouvelle femme de ma nouvelle vie s’envoie en l’air avec un éphèbe métis de 25 ans juste au-dessus de moi et moi, je l’attends sagement.
Comment j’en suis arrivé là ? Je pourrais appeler ce texte« glissement progressif vers le candaulisme » ou « chronique d’un cocufiage annoncé » tellement les évènements se sont enchainés inexorablement vers cette situation
Mais le titre le plus judicieux serait « Il ne m’a jamais dit oui, mais il ne m’a jamais dit non ». C’est la phrase que nous a sortie Ophélie, tout à l’heure. Au moment où son futur amant et elle me quittaient pour rejoindre l’appartement du cocufieur, ce dernier m’a (enfin ) adressé la parole en me demandant si j’étais vraiment ok, et donc, ma chérie, juste avant de m’embrasser, nous a sorti cette sentence : « il ne m’a jamais dit oui mais il ne m’a jamais dit non ».
Et ils disparurent, main dans la main pour… « une ou deux heures » m’a-t-elle dit. Je parierai pour deux. Je la connais
Alors, dans quel état je me trouve là, seul dans ce café, hésitant à me commander un troisième whisky à la jolie serveuse, qui a bien compris qu’… il se passait quelque chose. Elle a bien vu un couple, Ophélie et moi, arriver main dans la main et vu aussi cette superbe brune partir du café main dans la main avec son collègue serveur.
J’ai lu de nombreux témoignages ici d’hommes dans ma situation. Alors oui, ce que je ressens, cela ressemble à ça. Un mélange de frustration, de jalousie, d’excitation et je l’avoue, d’admiration. Je suis dans un espèce de « subspace », un état liquide, gazeux où d’une minute à l’autre, je peux avoir envie de monter dans cet appartement, défoncer la porte et arrêter les frais ou désirer juste rester là, attendre, espérant la revoir vite, belle et épanouie. Bref, je bande.
J’ai surtout l’impression que les choses m’échappent. Oui, c’est moi qui lui aie évoqué cette possibilité, qu’elle puisse coucher avec un autre homme, oui c’est moi qui aie proposé quelques situations ambiguës. Par exemple, un jeu un peu particulier, dans lequel nous arrivons séparément dans un café. Sa beauté fait en sorte qu’au bout de quelques minutes, elle sera abordée par un homme. Le jeu consistait à ce qu’elle, justement, joue le jeu, se laisse draguer, allume, sous mes yeux puis… se retire et me rejoigne.
Oui c’est moi qui ait proposé que lorsque nous faisions l’amour, nous rejouions des scènes de sexe de son passé qu’elle avait connues et qu’elle m’appelle par le prénom de l’amant de l’époque.
« Encore une petite heure, mon chéri…. ??? Ne t’inquiète pas, je t’aime »
Le texto vient de tomber. Je suis pétrifié ; j’ai peur, je re bande…je vais commander un troisième whisky, tourbé et sans glaçons le whisky. La jolie serveuse a un petit sourire contrit, elle a compris Quelque part cela m’énerve mais… me ravit.
Ophélie est une quadra magnifique (vous comprendrez que je suis subjectif) Je suis un homme qui a du charme, j’ai eu la chance de connaitre de jolies femmes mais comment dire….avec elle, je change de standing. Il y a une expression que je n’apprécie pas tout le temps mais qui résume la situation : « elle est au-dessus de mes moyens », « trop belle pour moi ».Comme beaucoup d’hommes dans cette situation, j’ai eu tendance à fantasmer sur le fait qu’elle couche avec d’autres, certainement pour exorciser cette peur que cette femme qui adore séduire, qui considère que son physique n’est pas une malheur mais une chance, voire une arme, me trompe un jour.
Elle est une femme, comme je l’ai dit, très belle, intelligente, élégante, très… attentive et tendre dans la vie de tous les jours, mais elle peut se transformer en garce ultime au détour d’une phrase. Beaucoup d’hommes sur ce site reconnaitront qu’il n’y a rien de plus fascinant qu’une garce qui vous aime. J’imagine que certaines femmes se reconnaitront.
Quand nous sommes arrivés dans ce café, pour ce rdv avec le garçon qui prend possession de son corps actuellement, elle était…..collée contre moi, je sentais sa chaleur s’évaporer par tous les pores de sa peau. Puis, au fur et à mesure de la discussion avec son amant, discussion à laquelle je n’ai que peu participé, je l’ai sentie s’éloigner de moi, se rapprocher de lui, être de plus en plus intime avec lui. Elle était assise à côté de moi, et à un moment, elle a choisi de s’assoir à côté de lui. Peu à peu, un autre couple s’est formé devant moi, il a commencé par lui toucher la cuisse, naturellement, comme moi, je pourrais le faire. Leurs mains se sont mêlées, l’intimité s’est installée, je n’étais que spectateur, je bandais. Je voulais aussi me révolter, mais je ne pouvais pas. Les premiers baisers se sont échangés, je voulais faire respecter certaines règles, je ne pouvais pas. Je bandais
Oui, j’avoue, ils sont beaux ensemble, cela me révolte, me ravit et me fait bander
Le temps passe
« J’arrive tout de suite ».
Effectivement, elle arrive, un peu échevelée, un peu trop de rouge aux joues. Avant de me rejoindre, elle échange quelque paroles avec la jolie serveuse, je ne savais pas qu’elles se connaissaient, elles rigolent. Elle me rejoint, m’embrasse, le gout de sa bouche est différent, un peu plus…. caoutchouteux, ce n’est pas désagréable.
« Je suis crevée, mon chéri, on rentre ? » ?
Elle est belle