- 07 mars 2023, 19:12
#2696016
Merci pour vos conseils rassurants. Si je post encore des photos, soit je les floute si c'est du nu érotique, dans le cas contraire je ne les flouterai pas mais je ne les laisserai que peu de temps.
Je vais reprendre le récit des aventures de Victoire, elle est d'accord. mais elle m'a censuré les passages les plus scabreux, en riant et me disant "ça non, ça c'est trop intime, et ça c'est dégueulasse, je ne veux pas que tu parles de moi comme ça!".. etc.. Bon bon!..
Pour situer l'action je recopie la fin du post précédent.
"C’était notre dernier jour. Nous avons bouclé nos sacs et avons pris la route du retour, réconciliés et heureux. Jamais plus elle ne fut aussi pute que cet été-là ; elle estimait elle-même qu’elle avait exagéré ; je lui fis promettre de se comporter avec plus de décense, sa réputation pouvant en pâtir. J’ai même été jusqu’à en parler à son amant P.. qui m’a dit qu’il ferait en sorte qu’elle se calme.
Maintenant que son anniversaire de 30 ans approchait, je devais me consacrer aux préparatifs."
(Suite)
Le retour fut paisible. Nous en profitâmes pour esquisser les grandes lignes des festivités qui auraient lieu à la campagne. Nous avions trois semaines pour tout prévoir, établir la listes des invités, la famille jusqu’à quelle degré de cousinage, la tente, le traiteur… Et P ? avais-je demandé. Je m’en charge ..m’avait-elle répondu sans plus de commentaires. L’activité pendant la première semaine fut frénétique. Je devais tout organiser, planifier, réserver, inviter.. on ne se voyait que le soir, pas tous du reste, car lorsque je rentrais épuisé, je trouvais parfois un mot : Je passe la nuit chez P.., je rentrerai pour lever les enfants.. J’étais tellement épuisé que je n’aurais rien pu faire, mais ça m’excitait de savoir qu’à peine quelques jours après notre retour, elle avait déjà repris du service, preuve qu’elle était toujours aussi accro. Forcément P.. serait invité mais que pourraient-il faire au présence de tout ce monde ? A la fin de la deuxième semaine, tout était fin prêt, mais j’étais sur les rotules ! La troisième semaine fut calme, j’ai pu me reposer et avoir pour moi ma petite Victoire car son amant était parti en Bretagne pour la semaine. On avait parlé de nous, de lui, d’elle et lui. On avait fait l’amour gentiment, je l’avais fait jouir, elle était revenue totalement mienne, mais je lui disais qu’il manquait quelque chose, il manquait cette tension érotique, sensuelle que j’éprouvais avec jouissance et volupté lorsque je la savais chez son amant et qu’elle allait me revenir chaude et humide… Et elle avait ajouté en riant : « et le sperme séché sur ma touffe ? » Oui, ce sperme séché qui ne me plaisait qu’à moitié, je l’aimais mieux dans son ventre, retenu par un Tampax que je pouvais retirer le moment venu. Mais non, elle n’aimais pas le Tampax, elle trouvait que c’était dégoûtant quand je le sortais rempli de semence, on ne savait où le jeter. « Moi j’aime bien lui » dis-je.. « Si tu l’aime tant, dit-elle, tu n’as qu’a le sucer.. Beuurk ! Tu te souviens, je t’avais dit qu’il suffisait de me raser la touffe, comme ça il ne s’y collerait plus, mais il faudrait que ça repousse avant ma prochaine visite chez le gynéco, j’oserais pas me montrer avec un sexe rasé, qu’est-ce qu’il penserait ? » Ç’eut l’air de lui plaire. Elle décida de la raser, elle s’était renseignée auprès d’une amie qui l’avait fait et elle lui avait dit de commencer par couper les poils assez ras avec des ciseaux puis appliquer une crème dépilatoire, de la marque Vichy, c’est celle qui marche le mieux et la repousse dure plus longtemps.. Restait à acheter la crème ce qu’elle fit. Sur ces entrefaites, P.. lui a annoncé qu’il ne pourrait pas revenir pour la fête. Victoire n’a pas paru du tout désolée ; elle a dit .. « Puisque c’est ainsi, il se passera de dessert ! » ..Etait-ce elle le dessert ? On mit les enfants au lit, attendant qu’ils soient bien endormis pour procéder à l’opération: une serviette de bain fut placée sur notre lit, elle s’y étendit nue, les cuisses écartées, puis j’avais entamé la coupe de sa toison châtain clair avec des ciseaux en prenant bien soin de ne pas blesser ses grandes lèvres. Avec un petit aspirateur de table j’avais aspiré les poils coupés. En balayant son bas-ventre et le haut de ses cuisses, les vibrations l’ont fait gémir comme si j’avais appliqué un vibro… « Si tu continues tu vas me faire mouiller, et ça va pas le faire avec la crème!» Ne voulant pas risquer d’introduire cette crème à l’intérieur de son sexe, j’avais roulé plusieurs Kleenex en boudin que j’avais calé entre ses grandes lèvres ; ensuite avec une spatule je l’avais enduite d’une couche conséquente de cette crème Vichy, curieux de voir le résultat. Le mode d’emploi indiquait qu’il fallait attendre quelques minutes mais pas plus de dix ! puis rincer abondamment avec une douchette. Ce que nous fîmes après avoir enlevé le boudin en papier Kleenex imbibé de jus de sexe, car cette petite opération ne l’avait pas laissée insensible ; une fois séchée j’avais devant moi la fente toute lisse d’une ado, avec des lèvres bien ourlées et serrées l’une contre l’autre, sans rien qui dépassait. C’était magnifiquement bandant ! Lui écartant les cuisses j’y ai placé un miroir pour qu’elle puisse voir le travail.. « On dirait le sexe d’une gamine de quinze ans, vous n’allez pas avoir honte, vous deux, de baiser une mineure ? » Hé bien pas du tout en ce qui me concernait : je n’avais pas résisté, je l’avais pénétrée avec délice..
La fête fut un succès. Buffet abondant, champagne et rosé frappés, orchestre brésilien qui avait fait danser petits et grands presque toute la nuit, bref une réussite ! Nous étions bien bourrés ce qui nous avait mis KO jusqu’au lendemain midi, les enfants inquiets de ne pas nous voir avaient fait un petit déjeuner à leur façon : il y en avait partout ! Sans vouloir rien lui faire paraître, je m’inquiétais de savoir si et quand son amant reviendrait. Je n’avais pas dû attendre longtemps : Victoire m’annonça qu’elle l’avait eu au téléphone, qu’elle l’avait invité à passer le week-end avec nous (enfin avec elle..), qu’il arriverait vendredi prochain.. Eh bien voilà ! Nous serons trois.. sans compter les enfants dont ils faudrait tenir compte. Cette perspective m’a délicieusement excité et la nuit venue j’ai baisée Victoire avec une fougue qui déclencha un orgasme que je ne lui connaissait pas : était-elle aussi excitée que je l’étais à l’idée de retrouver son amant ?
(à suivre)