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#2695833
C'est dommage en effet de flouter le visage de Victoire mais on peut la comprendre. J'ose penser que tout ce qui est dit et montré ici reste ici. Quoiqu'il en soit ce sera toujours un plaisir de te lire et d'admirer les photos de ta belle, même sans en apprécier l'intégralité.
Au plaisir
michpat a liké
#2695958
Ooh my God!!! J'espère que mes huit petits enfants ne vont pas tomber sur leur grand mère...
J'ai été imprudent! Je pensais naivement que ce site était sécurisé et que les photos ne pouvaient le quitter!! C'est bien dommage de ne plus voir les physionomies de nos chéries sans risquer qu'elles soient détournées vers un usage indésirable ou même scabreux! Quoi de plus beau que l'expression d'une femme lorsqu'elle exprime sa jouissance!
#2696016
Merci pour vos conseils rassurants. Si je post encore des photos, soit je les floute si c'est du nu érotique, dans le cas contraire je ne les flouterai pas mais je ne les laisserai que peu de temps.

Je vais reprendre le récit des aventures de Victoire, elle est d'accord. mais elle m'a censuré les passages les plus scabreux, en riant et me disant "ça non, ça c'est trop intime, et ça c'est dégueulasse, je ne veux pas que tu parles de moi comme ça!".. etc.. Bon bon!..

Pour situer l'action je recopie la fin du post précédent.

"C’était notre dernier jour. Nous avons bouclé nos sacs et avons pris la route du retour, réconciliés et heureux. Jamais plus elle ne fut aussi pute que cet été-là ; elle estimait elle-même qu’elle avait exagéré ; je lui fis promettre de se comporter avec plus de décense, sa réputation pouvant en pâtir. J’ai même été jusqu’à en parler à son amant P.. qui m’a dit qu’il ferait en sorte qu’elle se calme.
Maintenant que son anniversaire de 30 ans approchait, je devais me consacrer aux préparatifs."

(Suite)
Le retour fut paisible. Nous en profitâmes pour esquisser les grandes lignes des festivités qui auraient lieu à la campagne. Nous avions trois semaines pour tout prévoir, établir la listes des invités, la famille jusqu’à quelle degré de cousinage, la tente, le traiteur… Et P ? avais-je demandé. Je m’en charge ..m’avait-elle répondu sans plus de commentaires. L’activité pendant la première semaine fut frénétique. Je devais tout organiser, planifier, réserver, inviter.. on ne se voyait que le soir, pas tous du reste, car lorsque je rentrais épuisé, je trouvais parfois un mot : Je passe la nuit chez P.., je rentrerai pour lever les enfants.. J’étais tellement épuisé que je n’aurais rien pu faire, mais ça m’excitait de savoir qu’à peine quelques jours après notre retour, elle avait déjà repris du service, preuve qu’elle était toujours aussi accro. Forcément P.. serait invité mais que pourraient-il faire au présence de tout ce monde ? A la fin de la deuxième semaine, tout était fin prêt, mais j’étais sur les rotules ! La troisième semaine fut calme, j’ai pu me reposer et avoir pour moi ma petite Victoire car son amant était parti en Bretagne pour la semaine. On avait parlé de nous, de lui, d’elle et lui. On avait fait l’amour gentiment, je l’avais fait jouir, elle était revenue totalement mienne, mais je lui disais qu’il manquait quelque chose, il manquait cette tension érotique, sensuelle que j’éprouvais avec jouissance et volupté lorsque je la savais chez son amant et qu’elle allait me revenir chaude et humide… Et elle avait ajouté en riant : « et le sperme séché sur ma touffe ? » Oui, ce sperme séché qui ne me plaisait qu’à moitié, je l’aimais mieux dans son ventre, retenu par un Tampax que je pouvais retirer le moment venu. Mais non, elle n’aimais pas le Tampax, elle trouvait que c’était dégoûtant quand je le sortais rempli de semence, on ne savait où le jeter. « Moi j’aime bien lui » dis-je.. « Si tu l’aime tant, dit-elle, tu n’as qu’a le sucer.. Beuurk ! Tu te souviens, je t’avais dit qu’il suffisait de me raser la touffe, comme ça il ne s’y collerait plus, mais il faudrait que ça repousse avant ma prochaine visite chez le gynéco, j’oserais pas me montrer avec un sexe rasé, qu’est-ce qu’il penserait ? » Ç’eut l’air de lui plaire. Elle décida de la raser, elle s’était renseignée auprès d’une amie qui l’avait fait et elle lui avait dit de commencer par couper les poils assez ras avec des ciseaux puis appliquer une crème dépilatoire, de la marque Vichy, c’est celle qui marche le mieux et la repousse dure plus longtemps.. Restait à acheter la crème ce qu’elle fit. Sur ces entrefaites, P.. lui a annoncé qu’il ne pourrait pas revenir pour la fête. Victoire n’a pas paru du tout désolée ; elle a dit .. « Puisque c’est ainsi, il se passera de dessert ! » ..Etait-ce elle le dessert ? On mit les enfants au lit, attendant qu’ils soient bien endormis pour procéder à l’opération: une serviette de bain fut placée sur notre lit, elle s’y étendit nue, les cuisses écartées, puis j’avais entamé la coupe de sa toison châtain clair avec des ciseaux en prenant bien soin de ne pas blesser ses grandes lèvres. Avec un petit aspirateur de table j’avais aspiré les poils coupés. En balayant son bas-ventre et le haut de ses cuisses, les vibrations l’ont fait gémir comme si j’avais appliqué un vibro… « Si tu continues tu vas me faire mouiller, et ça va pas le faire avec la crème!» Ne voulant pas risquer d’introduire cette crème à l’intérieur de son sexe, j’avais roulé plusieurs Kleenex en boudin que j’avais calé entre ses grandes lèvres ; ensuite avec une spatule je l’avais enduite d’une couche conséquente de cette crème Vichy, curieux de voir le résultat. Le mode d’emploi indiquait qu’il fallait attendre quelques minutes mais pas plus de dix ! puis rincer abondamment avec une douchette. Ce que nous fîmes après avoir enlevé le boudin en papier Kleenex imbibé de jus de sexe, car cette petite opération ne l’avait pas laissée insensible ; une fois séchée j’avais devant moi la fente toute lisse d’une ado, avec des lèvres bien ourlées et serrées l’une contre l’autre, sans rien qui dépassait. C’était magnifiquement bandant ! Lui écartant les cuisses j’y ai placé un miroir pour qu’elle puisse voir le travail.. « On dirait le sexe d’une gamine de quinze ans, vous n’allez pas avoir honte, vous deux, de baiser une mineure ? » Hé bien pas du tout en ce qui me concernait : je n’avais pas résisté, je l’avais pénétrée avec délice..
La fête fut un succès. Buffet abondant, champagne et rosé frappés, orchestre brésilien qui avait fait danser petits et grands presque toute la nuit, bref une réussite ! Nous étions bien bourrés ce qui nous avait mis KO jusqu’au lendemain midi, les enfants inquiets de ne pas nous voir avaient fait un petit déjeuner à leur façon : il y en avait partout ! Sans vouloir rien lui faire paraître, je m’inquiétais de savoir si et quand son amant reviendrait. Je n’avais pas dû attendre longtemps : Victoire m’annonça qu’elle l’avait eu au téléphone, qu’elle l’avait invité à passer le week-end avec nous (enfin avec elle..), qu’il arriverait vendredi prochain.. Eh bien voilà ! Nous serons trois.. sans compter les enfants dont ils faudrait tenir compte. Cette perspective m’a délicieusement excité et la nuit venue j’ai baisée Victoire avec une fougue qui déclencha un orgasme que je ne lui connaissait pas : était-elle aussi excitée que je l’étais à l’idée de retrouver son amant ?
(à suivre)
#2696139
Un anniversaire réussi. Un premier rasage interessant qui a du se renouveler au vue des sensations. Un amant de retour pour un week-end et après quelques jours sans se voir........
La suite va être chaude.
#2696398
Celui qu’elle attendait avec une impatience non feinte se faisait attendre. Victoire était de plus en plus excitée, elle me voulait tous les soirs aussi performant que je l’avais été quelques jours avant. Nous baisions la nuit, pendant la sieste, dans la nature aussi…J’étais en quelque sorte son « sparring partner », je la préparais en vue d’un challenge sexuel avec son amant. Elle voulait être au top ! Le vendredi matin, elle était si excitée rien qu’à l’idée de le voir débarquer que l’air vibrait ! C’était trop, je n’avais plus envie de la prendre. Pour la satisfaire j’ai branché un gros vibro Hitachi à tête arrondie servant à détendre la musculature mais pas que : il est fourni avec des coiffes en plastique souple à excroissances à introduire dans le sexe, pour se donner du bon temps ! Victoire étant curieuse de nature se laissa faire : le résultat fut immédiat. Aussitôt introduit avec un peu de gel dans son vagin j’ai activé l’engin, elle a poussé un gémissement puis s’est mise à haleter à cadence accélérée tout en émettant des petits cris de jouissance. « C’est trop fort, c’est trop fort.. » disait-elle, mais j’ai persisté jusqu’à ce qu’elle ait un bel orgasme bien sonore ! Epuisée Victoire s’est endormie. La laissant se reposer j’ai décidé d’aller faire un tour en forêt avec les enfants (dont un sur le dos !) histoire de prendre du recul et de la laisser gérer son agitation. A notre retour, soulagement : il était arrivé, traînant en remorque sa moto de trial. Victoire, apaisée après le « traitement » que je lui avais appliqué, était aux petits soins pour lui, au point que ça en devenait gênant ! Lui ayant fait comprendre de lui « lâcher les baskets »car ça risquait de l’indisposer, j’ai proposé malgré l’heure tardive d’aller faire un tour, chacun sur sa moto (nous étions des trialistes). Direction l’étang de F.. à une dizaine de km . Ayant placé les enfants à jouer chez un voisin, nous avons sauté en selle, Victoire en croupe avec P.. sur sa Bultaco munie d’une selle longue, moi sur mon Ossa à selle courte. Nous partîmes à travers champs et bois, il faisait merveilleusement doux.. Victoire entourait de ses bras le corps de son amant, la tête appuyée de côté sur son dos. Nul doute qu’elle pensait déjà à la nuit qu’ils passeraient ensemble, tout comme moi.
C’est un assez vaste étang de plusieurs hectares avec une petite île en son centre. Un ponton de rondins de bois s’avance vers l’eau profonde. Laissant là les motos, P.. décide de se baigner malgré l’heure tardive et nu, plonge dans l’eau sous le regard admiratif de Victoire… « Il est beau, non ? J’ai envie de le rejoindre ».. me dit-elle en le regardant avec envie. Mais dis-je, « tu n’as pas de maillot !»..« Ben lui non plus ! ». Mais en raison de l’heure tardive, des enfants à récupérer et d’autres mauvaises raisons, je l’avais dissuadée d’aller le rejoindre. « On reviendra demain, promis » dis-je.. Déjà P.. sortait de l’eau, ruisselant. Victoire se précipita pour essuyer son corps au moyen de sa jupe ; du coin de l’oeil je la vis, une fraction de seconde seulement, lui passer la main sur le sexe et lui soupeser les testicules. Sacrée coquine, tu ne manqueras jamais aucune occasion ! Le soleil disparaissant derrière de grands arbres, nous chevauchâmes nos engins pour un retour rapide à la maison. L’air chaud et sec de cette fin d’après-midi acheva de sécher les deux amants, tout comme il laissa présager une suite tout aussi chaude.
J’allai récupérer les enfants pendant que P.. et Victoire étaient censés s’occuper du dîner ; l’un était tombé à vélo et s’est fait mal, l’autre semblait faire de la fièvre.. Ça allait compromettre la soirée ! Revenus à la maison, rien n’était préparé, ils étaient enlacés sur notre lit : je sifflai la fin de partie, « tout le monde descend ». J’ai soigné les bobos de l’un pendant que Victoire prenait la température de l’autre. Peut-être une petite insolation ? P.. a préparé les pâtes sauce tomate, le dîner fut expédié en vitesse et les petits mis au lit. Hélas ça ne dure pas : la petite fiévreuse se mit à pleurer et sa mère monta s’en occuper. Je restai avec P.. ; comme deux vieux amis nous parlions de son séjour en Bretagne et d’autres choses que nous avions en commun, mais en homme discret rien ne fut dit sur sa relation intime avec mon épouse. Pourtant j’aurais aimé aborder le sujet avec lui mais je n’avais pas osé… Victoire semblait s’être endormie au côté de la petite, mais après une heure, celle-ci se remit à pleurer. « Faut-il appeler un docteur s’emporte-t-elle », manifestement frustrée de voir que sa nuit allait être gâchée. Je la calme, « ça ne doit pas être bien grave ». Elle remonta pour la surveiller alors que la petite pleurait toujours, et s’endormit près d’elle. Beaucoup plus tard, tous étant endormis, Victoire me rejoignit., ce que j’ai apprécié. Nous finîmes la nuit dans les bras l’un de l’autre, mais en la baisant je sentais bien que son esprit était ailleurs..
PetitPisseux, gullihom, maxou501 et 10 autres a liké
#2696429
Voila un chapitre qui évoque un moment de la vie réelle ou tout ne se passe pas comme prévu.

Pour la satisfaire j’ai branché un gros vibro Hitachi à tête arrondie servant à détendre la musculature mais pas que : il est fourni avec des coiffes en plastique souple à excroissances à introduire dans le sexe, pour se donner du bon temps ! Victoire étant curieuse de nature se laissa faire :

Tu ne manquais pas d'idée, ni de bons accessoires.

Je restai avec P.. ; comme deux vieux amis nous parlions de son séjour en Bretagne et d’autres choses que nous avions en commun, mais en homme discret rien ne fut dit sur sa relation intime avec mon épouse. Pourtant j’aurais aimé aborder le sujet avec lui mais je n’avais pas osé…

Pourtant il ne devait pas ne pas savoir que tu savais. Il n'a pas osé t'en parler, toi non plus.... Quel dommage car tu aurais pu être plus inclus dans leur relation.
elianeetserge a liké
#2696572
M’étant réveillé tard, le lit était vide, Victoire n’est pas là. Les enfants jouaient dans leur chambre, seuls. Par la porte laissée légèrement entr’ouverte j’entendis qu’elle était conversation avec P... Tout en frappant j’ai poussé le battant, elle était là en petite nuisette, allongée sur le lit, laissant plus que deviner sa nudité. Sans la moindre gêne, pivotant sur elle-même, elle se leva en dévoilant le haut de ses cuisses et la moitié de ses fesses, et sortit.. « Je vais prendre une douche, tu viens me savonner ? ». Pensant que cette invite s’adressait à moi à tout, je l’y ai accompagnée. Elle en rit encore : elle avoua que ce n’était pas moi qu’elle voulait avoir avec elle sous la douche, mais lui bien sûr ! «Idiot, tu as été le plus rapide, malheureusement ! » Après avoir pris le petit déj, la petite n’ayant plus de fièvre, Victoire déclara vouloir retourner à l’étang et y passer la matinée. Elle confia les deux petits à leurs grands-parents pour la journée, et nous voilà en selle sur les deux trials. Cheveux au vent Victoire rayonnait (les casques n’étaient pas encore obligatoire), agrippée à son pilote et amant. On roula lentement dans les bois, l’air est encore frais mais la chaleur arrive. Voilà l’étang et son ilot ; les lieux étaient déserts, je n’y ai jamais rencontré personne. La baignade était tentante mais il faisait encore frais. Allongés sur le ponton nous jouissions de la chaleur du soleil. Victoire s’installa entre mes jambes en se servant de mon torse comme dossier. P.. alluma un joint qu’il partagea avec nous. On parla de pêche et de poissons, mais je sentais que ce n’est qu’un prétexte. Soudain P.. se leva et déclara qu’il allait au jus. Pas de maillots. P.. se déshabilla déjà et queue fièrement dressée, marcha sur le ponton, descendant dans l’eau. Victoire clama « moi aussi j’y vais » .. elle retira son tee shirt, découvrant ses seins, dégrafa sa jupe et se retrouva en petite culotte. En pensant à sa fente épilée, je lui dis mezzo voce : « gardes ta petite culotte, ça me gêne qu’il te voit épilée» « Non mais, t’es ridicule ! Ça fait un an qu’on baise ensemble, tu penses s’il connaît mon anatomie.. ! Et j’ai pas envie de remettre un slip mouillé ». Elle la retira et plus nue que nue, alla le rejoindre au bout du ponton en se dandinant des fesses. Je la trouvais très belle, et je réalisai subitement que ça m’excitait beaucoup qu’elle se montre à lui, impudique. .. Il l’attendait dans l’eau ; Victoire s’accroupit puis se laisse glisser face à lui. Il la saisit par la taille et la prit dans ses bras; elle lui entoura le corps de ses cuisses avant de la laisser glisser dans l’eau. L’idée de la queue raidie de P.. comprimant le bas-ventre de ma chérie me fit fantasmer.. Victoire nageait une brasse vigoureuse, suivie de près par son amant. En tendant le bras il lui agaçait de la main l’entre-jambe. Elle se mit à protester en poussant des cris : « Arrête, je vais couler si tu continues » J’hésitais à me mettre à l’eau à mon tour, je ne voulais pas venir troubler ce jeu amoureux qui s’amorçait et m’excitait fort. Ils ont nagés jusqu’à l’ilot qu’ils devaient contourner pour revenir, mais je ne les vis pas réapparaître ; « ils font probablement une pose à l’abri des regards » pensais-je. Pour en avoir le cœur net je me mis à l’eau et nageai dans une autre direction mais qui me permettrait de voir de loin ce qu’ils faisaient. L’eau était délicieuse et j’en profitais pour nager sur le dos, lorsque je les aperçus… Victoire appuyait les deux mains à la berge pendant que P.. la pénètrait en la tenant par les hanches… mais je n’étais pas le seul à les mater : j’aperçus sur la rive opposée un homme qui ne perdait rien de la scène, d’autant moins qu’il les regardait avec une paire de jumelles ! Il les braqua sur moi quelques instants et j’en profitai pour lui faire signe en levant le pouce ; il me répondit pareil, par complicité. Ayant vu ce que je voulais voir, je revins vers le ponton pour me préparer à accueillir Victoire. L’eau fraîche avait réduit mon sexe à son minimum ce qui me désola. Pour ne pas risquer une comparaison que je savais être en ma défaveur depuis la scène de la piscine, j’enfilai mes jeans. Assis au bout du ponton je perçus deux petits cris. C’était elle j’en suis sûr. J’attendis quelques minute, les appelant, la réponse fuse : « oui oui on arrive ! » Tu nageais sur le dos et la vue de tes deux seins dépassant à la surface de l’eau comme deux mines magnétiques m’excita. P.. te faisait avancer en te poussant les pieds, avec une vue imprenable sur ton entrejambe.. .
N’ayant que mon Tee-shirt en guise de serviette je m’en servis pour t’essuyer le dos, les cuisses, le ventre et en profitai pour introduire, comme par accident, deux doigts dans sa fente – « Mais diiiis, t’as pas fini non ? »- : elle était ouverte, mouillée, et ça glissait ! « S’est-il passé quelque chose là-bas derrière l’île ? ». Elle me regarda par dessous en me disant « Non ! tu crois ? » P..se rhabilla de son côté ; mais comment faisait-il, malgré l’eau froide, pour que sa queue resta si imposante ? Il est circoncis comme moi mais son gland rouge-violacé me paraissait hors norme ; heureusement je n’avais pas eu à souffrir de comparaison. Retour à la maison. Sieste l’après-midi ; j’étais dans la chambre et t’attendais, j’avais envie de toi. P.. était couché dans le gazon dans le jardin. De la fenêtre je la voyais le rejoindre et s’allonger près de lui. Il la faisait rire en la taquinant. Victoire se passait de moi quand il était là, je n’existais pas. D’humeur contrariée teintée de jalousie, je préfèrai partir plutôt que de les espionner : j’allai faire un tour à moto en forêt pour trouver des champignons. Personne ne demanda où je allais et je ne dis rien. Le temps chaud était à l’orage. Des nuages arrivaient : c’est sûr que ce serait pour ce soir. Je revins avec quelques champis. Elle dessinait avec la gamine, le garçon roulait à vélo sur le tennis, et P.. lisait sur la terrasse. « Où étais-tu ? » me demande-t-elle. Je répondis vaguement en bredouillant. « Tu es de mauvaise humeur ? ». Non, j’étais dans un trip mi-jaloux, mi-excité, je ne m’expliquais pas bien ce que je ressentais, mais il y avait beaucoup d’érotisme dans l’air. Je me doutais bien qu’elle voudrait coucher avec lui cette nuit et je me demandais comment elle allait s’y prendre, cette petite coquine ! On prépara les champis avec des toasts. On but du vin, un peu trop ! On mangea peu, les enfants étaient fatigués et difficiles. Déjà des éclairs luisaient à l’horizon. Dehors il faisait lourd, mais ça semblait fraîchir un peu; on sortit pour en profiter. Il allait pleuvoir, le ciel était très menaçant. Victoire alla mettre les enfants au lit pendant que P.. m’aida à ranger. On parla comme si de rien n’était, comme deux amis que nous étions. « Je vais peut-être repartir ce soir » dit-il sans trop y croire; en m’étonnant moi-même je m’entendis le lui déconseiller, et insister pour qu’il passe la nuit ici, en pensant à toi.
PetitPisseux, mika007, gullihom et 20 autres a liké
#2696636
Un vrai délice de lire le détail des interactions entre chacun, tes ressentis aux teintes mêlées. Indéniablement, Victoire maîtrise à merveille l'eau et le feu candauliste <3 :x <3

J'aime bien aussi les éléments de contexte qui donnent une patine au récit. Bravo.
michpat, olch, sergio a liké
#2696731
merci @trestigres pour toutes ces histoires et merci de continuer à poster quelques photos. Après, je trouve que certaines photos ne sont pas forcément dérangeantes si c'est clairement expliqué. On peut effectivement retrouver à certain moment des photos intimes de parents et grand parents quand ceux ci partent rejoindre les anges. Quand on tombe sur des lettres d'amour en rangeant leurs affaires et des fois on tombe sur quelques anciennes photos sur lesquelles mamie pose nue, à 25 ans dans une crique déserte. Et la on se dit qu'elle était belle, qu'elle a su profiter de la vie, que Papi (ou un autre ?) lui a donné du plaisir qu'elle a rendu.
Je ne trouve pas ça si indécent.
Mais peut etre que les nouvelles générations ne comprennent pas cela et après, bien évidement, si ce sont des enfants, c'est compliqué.
Mais voila mon avis :)
maxou501, Wysiwyg a liké
#2696838
familleplage a écrit :merci @trestigres pour toutes ces histoires et merci de continuer à poster quelques photos. Après, je trouve que certaines photos ne sont pas forcément dérangeantes si c'est clairement expliqué. On peut effectivement retrouver à certain moment des photos intimes de parents et grand parents quand ceux ci partent rejoindre les anges. Quand on tombe sur des lettres d'amour en rangeant leurs affaires et des fois on tombe sur quelques anciennes photos sur lesquelles mamie pose nue, à 25 ans dans une crique déserte. Et la on se dit qu'elle était belle, qu'elle a su profiter de la vie, que Papi (ou un autre ?) lui a donné du plaisir qu'elle a rendu.
Je ne trouve pas ça si indécent.
Mais peut etre que les nouvelles générations ne comprennent pas cela et après, bien évidement, si ce sont des enfants, c'est compliqué.
Mais voila mon avis :)


Oh que votre commentaire me fait plaisir! J'y répondrai plus tard, je doius m'en aller . Encore merci
gullihom, michpat, sergio et 1 autres a liké
#2696916
- "Quoi, qu'est-ce qu'il a dit sur les photos ?"
- "Il les floute !"
- "Il les floute ? Oh flute !!! Moi j'aimais bien le visage de Victoire.
Et au fait, il a donné des nouvelles comment va-t-elle ?"

Merci de vos partages...
#2696937
Je pris un bain tiède pendant que P.. prenait une douche; Victoire lui apporta une serviette et s’attarda un peu ; je les entendis rire. J’imaginai un instant qu’elle se serait jointe à lui sous la douche, mais non, elle revint près de moi : laissant tomber sa robe sur ses pieds elle était nue en dessous ; aussitôt elle se plongea dans l’eau. J’aime bien prendre le bain avec elle. Lui savonnant le dos, les fesses, le ventre, je lui fis une petite caresse de mes doigts sur sa fente épilée mais elle me repoussa; « Pas ce soir !». Bon bon… Je pensais bien qu’ on n’aurait pas fait l’amour ce soir, mais j’avais l’impression de te préparer pour ton amant ! Elle sortit. Je la regardais nue, ruisselante, elle était belle ! Son mont de Vénus était gonflé et ses lèvres lisses, épaisses, saillantes. Elle s’enroula dans la grande serviette, puis sèche, enfila une petite nuisette raz de la touffe (qu’elle n’avait plus !), très sensuelle. Elle s’apprêta à sortir mais hésita, elle désirait me dire quelque chose… Et là, elle lâcha: « Je peux aller dire bonsoir à P.. ? ». Nous y voilà ! Ne sachant que dire de plus que : « c’est juste un bonsoir, ou bien c’est plus que ça ? » Elle répondit « c’est le cadeau d’anniversaire qu’il m’avait promis, c’est pour ça qu’il est venu…alors tu veux bien ? » Puis elle ajouta dans un souffle .. » le vrai cadeau, c’est de me féconder, j’ai même arrêté de prendre ma pilule, mais je ne me sens pas prête à ça!»… Hallucinant ! Et que répondre alors que j’ai très envie de l’avoir pour moi ? Je passai sur l’idée saugrenue de fécondation, ce n’était pas le moment de discuter de cette folie. « OK, mais ne reviens pas trop tard, pas plus tard que minuit…» ; « je verrai » me dit-elle, en m’embrassant du bout des lèvres. « Mais en tout cas reviens avant que les enfants se réveillent! ». »Promis ». Je croyais rêver !!! Qu’avais-je fait !! J’étais d’accord pour qu’elle couche avec son amant dans la chambre voisine de nos enfants !! J’avais subitement le cœur qui battait à grands coups. J’étais ému et heureux pour toi, envieux, un peu jaloux mais surtout très excité à l’idée qu’elle allait se donner corps et âme à lui . Ce n’est pourtant pas la première fois puisque vous étiez amants depuis un an ! Et ce n’est pas non plus la première fois que cela se passe chez nous. J’étais désemparé, je ne savais que faire ; c’est sûr, je ne dormirais pas tant que tu ne seras pas revenue. Et cette folle idée de fécondation? Ruisselant, je me suis emballé dans la serviette et sortis sans faire de bruit ; j’écoutai à la porte, vous parliez mais n’entendais pas ce que vous disiez. La petite fenêtre coulissante donnant sur l’escalier était restée ouverte, et assis sur une marche, l’oreille au aguets je vous ai entendu parler de la journée et du bain dans le lac.. « Pourquoi il n’est pas venu se baigner avec nous ? » dit P... « Je crois qu’il ne voulait pas de comparaison désavantageuse, surtout que lui, dans l’eau froide, il devient tout petit petit». Puis P.. dit: « en tout cas c’est sympa de prêter sa nana! ». Elle: « j’ai permission de minuit, mais extensible jusqu’à 7h ! » ; Elle rit ! « Et s’il avait refusé ? » Elle : « je serais quand même venue, j’aurais attendu qu’il dorme, comme on avait fait chez toi en Provence». Tiens tiens ! C’était donc bien convenu à l’avance ! Il y avait eu d’abord mon ami L.., puis P.. avec un ami et puis moi : quatre hommes pour une femme, et tout ça en une nuit !
Il ne faisait pas nuit noire que déjà l’orage approchait. J’avais entendu du bruit et cru qu’elle allait sortir ; je me précipitai dans la chambre des enfants ; par la petite fenêtre de côté je vous voyais de profil sur le balcon, regardant les éclairs ; quelques grosses gouttes tombaient : il était à côté d’elle, nu, et l’enserrait contre lui. Il lui fit passer la nuisette par dessus la tête, se plaça derrière elle et l’enserra dans ses bras, les mains coiffant les seins en les frottant doucement. Je savais que l’orage était un aphrodisiaque pour elle. Un lent mouvement marqua son corps, elle devait frotter ses fesses sur sa queue, je le voyais bien, parce qu’il la tenait maintenant par les hanches et accompagnait le mouvement. J’étais excité un max’ et je voulais voir la suite. J’allai jusqu’à la porte de la chambre pour l’entrouvrir et faire le voyeur ; l’excitation me rendit imprudent : je m’avançai audacieusement sur ce maudit plancher qui craquait, jusqu’à la porte-fenêtre, masqué par le rideau. Je voyais tout: il fléchit les jambes et elle, cambrant le corps, saisit sa queue dressée, la guidant vers ses fesses ; elle se pencha en avant, agrippant la balustrade pendant que d’une poussée du bassin il la pénétra. Commença un lent va-et-vient mais elle l’interrompit en plaquant les mains sur ses fesses pour qu’il resta au plus profond d’elle, bien remplie, sans bouger. Elle renversa la tête, il en profita pour l’embrasser dans le cou. Elle lui tendit ses lèvres et ils s’embrassèrent fougueusement, provoquant chez moi une crise de saine jalousie teintée d’excitation. Il pleuvait vraiment fort maintenant, elle avait l’air d’aimer ça : elle leva la tête pour recevoir la douche sur sa figure. Je me retirai prudemment dans la chambre des enfants en regardant par la fenêtre. La pluie augmentant, vous êtiez rentrés trempés. Nue, elle sortit de la chambre, alla chercher une grande serviette dans la salle de bain ; je me cachai prudemment en pensant qu’elle pourrait bien venir voir si les enfants n’étaient pas découverts. Mais non, elle avait autre chose en tête ; en revenant emballée dans la serviette, elle laissa négligemment la porte entr’ouverte. Je savais que ça allait me faire mal, mais l’excitation était la plus forte : sous mes yeux, P.. l’avait pénétrée, là sur la terrasse, et ça allait continuer au lit ! Ça me faisait bander dur, je dégoulinais d’envie.. Je ne savais pas comment j’allais encaisser. Je revins dans notre chambre et me mis sur le lit en essayant de me calmer un peu . Mais n’y résistant pas, je sortis et me mis à écouter. Je l’entendis gémir doucement ; furtivement je vins derrière la porte sans oser la pousser. Par le trou de la serrure, comme il y avait peu de lumière, je ne devinais que des parties de corps : Je voyais P.. de dos, à genoux sur le lit, elle avait les fesses en l’air « en levrette » ; je poussai très doucement la porte et glissai un oeil : c’était une première ! Je ne l’a vais jamais vue en train de se faire prendre : il la tenait par les hanches et la pilonnait en faisant claquer son ventre sur ses fesses qui vibraient à chaque poussée. Elle couinait comme une lapine chaque fois qu’il s’enfonçait en elle. « Laisses-moi venir sur toi, j’aime mieux » ; vite, je battis en retraite mais revins aussitôt : maintenant elle le chevauchait comme elle aimait bien le faire avec moi. Si j’entrouvre la porte un peu plus, pensais-je, je ne serai pas vu. Je la poussai doucement et glissai un regard. Les éclairs se succédaient et illuminaient ses fesses rondes d’une lumière blafarde . Elle dansait sur sa queue nue et luisante qui allait et venait, il la tenait par les hanches et l’aidait dans le mouvement. Une onde parcourait ses fesses chaque fois qu’elle s’empalait à fond sur lui.. Elle se pencha en arrière et de la main gauche lui saisit les couilles ; il fit « aaah » Elle s’inclina sur lui ; je ne voyais pas ses seins, mais il devait sucer ou pincer ses tétons car elle réagissait par des petits cris. Puis elle se coucha sur lui et la vision de la pénétration dans son corps de cette queue épaisse et cramoisie, enserrée par ses lèvres gonflées me mit au comble de l’excitation ; j’avais le cœur qui cognait comme un fou ! Il prenait ses fesses, les pétrissait de ses mains. Il la pilonna de plus en plus vite, elle gémit de plus bel. J’allai prudemment fermer la porte des enfants. Un éclair suivit d’un fracas effroyable provoqua une coupure de courant plongeant la scène dans le noir ! Frustration! Heureusement les éclairs se succédèrent révélant leurs ébats. Je restai un bon moment scotché à la fente de la porte. Ses rapides coups de queue lui arrachaient des gémissements coupés de sanglots ; je l’entendais dire dans un souffle : «oooh, encoore, encooore.. plus fort !» : mais elle ne se lâcha pas complètement, par crainte des enfants. Elle allait jouir, je la connaissais, ça n’allait pas tarder. Un cri, ça y était ! Mais il continua, elle ne gémit plus, elle hulula doucement. En se couchant sur lui, comprimant ses seins sur sa poitrine elle lui dit : « viens toi aussi, là, dans mon ventre, féconde-moi, c’est mon fantasme! » mais il répondit « non pas encore» ; « mais tu m’as épuisée.. » ; « mais on a à peine commencé »
Les éclairs luisaient parfois longuement, illuminant la scène! Il la bascula sur le côté et je dus me retirer précipitamment, de peur d’être vu. J’attendis un peu puis tentai un œil ; à ce moment un long éclair illumina son corps. J’eus juste le temps de voir qu’elle était sur le ventre, cuisses écartées, je voyais sa fente béante, son vagin dilaté… Que c’était beau ! Il allait la prendre par derrière, mais sans lumière, je devinai plus que je ne vis la suite. Je l’entendis pousser un gémissement sourd, comme un hmpf !, signifiant qu’il s’était enfoncé en elle. L’éclair suivant me le montra. Il la prenait en chevauchant sa cuisse gauche; la cadence était rapide, je voyais ses couilles s’agiter en tout sens. L’obscurité revenue, j’entendis un bruit de clapotis, de succion et de claquement sur les fesses : c’était très évocateur ce que l’obscurité me cachait. Plusieurs éclairs se succédèrent, je n’en pouvais plus de la regarder se faire baiser A chaque éclair je voyais sa queue une fois à fond, une fois dehors. elle ne disait rien, pas un gémissement, silence complet. Le tonnerre roulait au loin. La lumière revint au moment où, ressortant trop, sa queue sortit ; plaintivement tu as dit: « oh non, encore, encore,… oui, comme ça ! » pendant qu’il la refourrait. A force de suivre l’action j’avais passé toute la tête par la porte ; je me retirai un peu pour rester dans l’ombre. Il continua à bourrer sa chatte à coups de queue, j’entendais quelques « han » chaque fois qu’il s’enfonçait à fond en elle tout en lui donnant des claques sonores sur les fesses. Il accéléra la cadence, sentant peut-être qu’il venait ; un éclair suivi d’un formidable coup de tonnerre éclatèrent ; la foudre était tombée tout près sans pour autant couper le courant ; j’eus peur que les enfants ne se mettent à pleurer, interrompant les ébats. Mais non, ils dormaient !. Les roulements du tonnerre n’en finissaient pas : soudain, cambrant le dos en prenant appui sur ses mains, redressant la tête, les jambes tendues, de toutes ses forces elle exhala un brame profond, sauvage, bestial, une fois, deux fois, trois fois pendant que le tonnerre roulait. Je n’avais jamais entendu exprimer sa jouissance de façon aussi animale ! Son orgasme provoqua celui de son amant qui poussa un grognement sonore et se vida au fond de son ventre comme une bête sauvage. J’étais au comble de l’excitation et mon cœur battait à toute vitesse. Je bandais très dur, j’avais une furieuse envie de prendre la place de P.. .. Il bascula sur le côté et l’attira contre lui, sa main gauche saisissant un sein, le bras droit entre ses cuisses, la main sur le mont de vénus. Essoufflé il dit quelque chose que je n’entendis pas mais que je devinai ». Essoufflée elle aussi, répondis : « non.. jamais ». « Même avec ton mari ? » Elle gémit : «non, jamais,, c’est la première fois…, y’a que toi P.., y’a que toi qui me fait jouir comme ça… peut-être même que tu m’en as fait un ! Très excité et ému par ce que je venais de voir et d’entendre, je me sentis très envieux de son amant qui avait réussi à provoquer chez elle un orgasme aussi puissant, et à la fois j’étais heureux qu’elle ait éprouvé un tel plaisir. J’avais très mal aussi : je n’étais pas à la hauteur de ce mâle dominant, son expérience, ses mensurations, votre complicité… font que je n’étais pas dans la même catégorie que lui : je me suis senti hors jeu !. J’étais complètement désemparé. J’avais à la fois honte de mater ma femme au lit avec son amant, excité de la voir baisée par lui, et heureux pour elle de l’avoir vue jouir comme jamais elle n’a joui avec moi. Qu’est ce qui faisait que j’éprouvais autant de plaisir ? Est-ce que j’arriverais encore à la satisfaire après ce que j’avais vu et entendu ? Se contenterait-elle encore de ma queue qui aurait du mal à la remplir comme elle l’a été sous mes yeux, et avec quel résultat ? Je restai dans le lit ; j’étais si perturbé qu’il était hors de question de dormir. Je laissai la porte ouverte espérant qu’elle allait revenir rapidement. Mais l’attente se prolongea ; elle ne vint pas à la salle de bain comme je l’espérais. Il était onze heures et je n’avais pas sommeil. Je voulus aller les espionner, c’était plus fort que moi ; la porte était telle que je l’avais laissée ; la lampe de chevet était allumée et je vous voyais enlacés, nus : vous dormiez entortillés dans le drap, c’étais émouvant ! Revenus à la chambre, j’essayai de lire sans comprendre ce que je lisais. J’attendais qu’elle aille à la salle de bain puis qu’elle vienne me retrouver. Je voulais la prendre à mon tour ; je sais qu’elle n’aimait pas que je la pénètre après lui, qu’elle ne me sentirait pas trop, et puis que son esprit était encore avec lui. Mais je devais reprendre possession de son corps et me plonger dans son vagin si doux quand elle a été prise par un autre : ça aussi c’est plus fort que moi. Comme je n’arrivais pas à lire, j’essayai d’écrire sous forme de brèves notes ce que je venais de voir et d’entendre. Il était presque minuit, j’entendis quelques bruits provenant d’une des chambres ; je me précipitai pour intercepter un enfant qui voudrait aller faire pipi, mais c’était le silence de ce côté. Ce furent de légers grincements de lit que j’entendis : vous remettiez ça, c’est sûr ! Je glissai un œil par la fente de la porte, vous étiez en « petites cuillères », il était en elle et la tenait fermement par les hanches pour l’attirer à lui et la pénétrer plus profondément. Elle avait replié les cuisses contre son ventre et gémissait doucement : « encore, encore ! ».. Je voyais cette queue épaisse et luisante qui coulissait entre ses lèvres en lui bourrant le sexe, ses doigts caressant son clitoris. Je n’arrivais plus regarder, je n’aurais plus supporté de la voir jouir encore ; je revins dans la chambre, épuisé et anéanti, envahis par un plaisir intense mais déconcertant..
#2696967
@trestigres tout simplement somptueux, extraordinaire, fascinant, incroyablement puissant d'émotions violents et contradictoires. La nature autour de vous, apaisante puis violente, l'orage qui électrise les amants et les rend encore plus beaux et sexuellement magiques. Et les photos de Victoire complètent et illustrent du bien ces récits. Qui ne deviendrait pas fou d'envies et de désirs pour elle ?
sergio a liké
#2696971
Dionysos06 a écrit :@trestigres tout simplement somptueux, extraordinaire, fascinant, incroyablement puissant d'émotions violents et contradictoires. La nature autour de vous, apaisante puis violente, l'orage qui électrise les amants et les rend encore plus beaux et sexuellement magiques. Et les photos de Victoire complètent et illustrent du bien ces récits. Qui ne deviendrait pas fou d'envies et de désirs pour elle ?


OUi je le fus aussi: fou! je n'étais pas le seul! Et à vous lire, si vous l'aviez connue à cette époque vous en auriez été aussi: fou!
Je laisserai ces photos jusqu'à dimanche soir, après elle seront supprimées..
Danimendu, Dionysos06, michpat et 2 autres a liké
#2696981
Superbes photos, très belles dans un environnement aquatique notamment. Et superbes récits aussi, qui nous font vivre ces épisodes presque comme si on était présent. Je peux comprendre les sentiments que tu décrits à la fin , en effet, tout cela devait être très excitant et quelque peu déconcertant aussi, te laissant avec une foule de questions.
Quoi qu'il en soit, tes récits sont vraiment dignes d'un écrivain, et je trouve que tu as un réel talent. Bravo à toi et merci de nous faire partager tous ces beaux souvenirs.
#2696989
Merci @trestigres pour ces récits de votre vie libertine dans ces années 70/80 très riches en ressentis et en adrénaline (doutes, craintes,interrogations mélangés avec désirs,plaisirs,excitation) .
Mais avec une femme belle, tellement naturelle ,à l'aise avec la nudité et transparente sur ses envies sexuelles fait que ça fonctionne et que ca a duré puisque vous nous le racontez ensemble. Bravo à vous 2 ;)
Danimendu, sergio a liké
#2697051
Un grand talent dans l'écriture associé à celui de savoir associer des sentiments ressentis à cette même lecture.
Malgré des moments très chauds, l'érotisme ressenti n'est jamais vulgaire.
Et que dire de ces belles photos...
Vraiment un grand merci.
Danimendu, michpat a liké
#2697176
Magnifiques récits. Tout semble se dérouler simplement dans un maestrom de sensations contradictoires, intenses et pourtant globalement positives et cohérentes. L'aveu dans l'instant des fantasmes les plus profonds de Victoire sont intensément troublant comme ta franchise à accepter la situation que tu as généré. Votre histoire actuelle démontre qui est votre indiscutable réussite d'une vie candauliste intense. Merci. Merci . Merci <3

Pour nous lecteurs, c'est une immersion totale. Les récits génèrent des images précises, erotiques à souhaits. Les dernières images et leurs courtes légendes génèrent à leur tour un flot d'idées et récits.

Un grand merci à vous deux
Danimendu, sergio a liké
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