- 11 mars 2023, 01:19
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Je pris un bain tiède pendant que P.. prenait une douche; Victoire lui apporta une serviette et s’attarda un peu ; je les entendis rire. J’imaginai un instant qu’elle se serait jointe à lui sous la douche, mais non, elle revint près de moi : laissant tomber sa robe sur ses pieds elle était nue en dessous ; aussitôt elle se plongea dans l’eau. J’aime bien prendre le bain avec elle. Lui savonnant le dos, les fesses, le ventre, je lui fis une petite caresse de mes doigts sur sa fente épilée mais elle me repoussa; « Pas ce soir !». Bon bon… Je pensais bien qu’ on n’aurait pas fait l’amour ce soir, mais j’avais l’impression de te préparer pour ton amant ! Elle sortit. Je la regardais nue, ruisselante, elle était belle ! Son mont de Vénus était gonflé et ses lèvres lisses, épaisses, saillantes. Elle s’enroula dans la grande serviette, puis sèche, enfila une petite nuisette raz de la touffe (qu’elle n’avait plus !), très sensuelle. Elle s’apprêta à sortir mais hésita, elle désirait me dire quelque chose… Et là, elle lâcha: « Je peux aller dire bonsoir à P.. ? ». Nous y voilà ! Ne sachant que dire de plus que : « c’est juste un bonsoir, ou bien c’est plus que ça ? » Elle répondit « c’est le cadeau d’anniversaire qu’il m’avait promis, c’est pour ça qu’il est venu…alors tu veux bien ? » Puis elle ajouta dans un souffle .. » le vrai cadeau, c’est de me féconder, j’ai même arrêté de prendre ma pilule, mais je ne me sens pas prête à ça!»… Hallucinant ! Et que répondre alors que j’ai très envie de l’avoir pour moi ? Je passai sur l’idée saugrenue de fécondation, ce n’était pas le moment de discuter de cette folie. « OK, mais ne reviens pas trop tard, pas plus tard que minuit…» ; « je verrai » me dit-elle, en m’embrassant du bout des lèvres. « Mais en tout cas reviens avant que les enfants se réveillent! ». »Promis ». Je croyais rêver !!! Qu’avais-je fait !! J’étais d’accord pour qu’elle couche avec son amant dans la chambre voisine de nos enfants !! J’avais subitement le cœur qui battait à grands coups. J’étais ému et heureux pour toi, envieux, un peu jaloux mais surtout très excité à l’idée qu’elle allait se donner corps et âme à lui . Ce n’est pourtant pas la première fois puisque vous étiez amants depuis un an ! Et ce n’est pas non plus la première fois que cela se passe chez nous. J’étais désemparé, je ne savais que faire ; c’est sûr, je ne dormirais pas tant que tu ne seras pas revenue. Et cette folle idée de fécondation? Ruisselant, je me suis emballé dans la serviette et sortis sans faire de bruit ; j’écoutai à la porte, vous parliez mais n’entendais pas ce que vous disiez. La petite fenêtre coulissante donnant sur l’escalier était restée ouverte, et assis sur une marche, l’oreille au aguets je vous ai entendu parler de la journée et du bain dans le lac.. « Pourquoi il n’est pas venu se baigner avec nous ? » dit P... « Je crois qu’il ne voulait pas de comparaison désavantageuse, surtout que lui, dans l’eau froide, il devient tout petit petit». Puis P.. dit: « en tout cas c’est sympa de prêter sa nana! ». Elle: « j’ai permission de minuit, mais extensible jusqu’à 7h ! » ; Elle rit ! « Et s’il avait refusé ? » Elle : « je serais quand même venue, j’aurais attendu qu’il dorme, comme on avait fait chez toi en Provence». Tiens tiens ! C’était donc bien convenu à l’avance ! Il y avait eu d’abord mon ami L.., puis P.. avec un ami et puis moi : quatre hommes pour une femme, et tout ça en une nuit !
Il ne faisait pas nuit noire que déjà l’orage approchait. J’avais entendu du bruit et cru qu’elle allait sortir ; je me précipitai dans la chambre des enfants ; par la petite fenêtre de côté je vous voyais de profil sur le balcon, regardant les éclairs ; quelques grosses gouttes tombaient : il était à côté d’elle, nu, et l’enserrait contre lui. Il lui fit passer la nuisette par dessus la tête, se plaça derrière elle et l’enserra dans ses bras, les mains coiffant les seins en les frottant doucement. Je savais que l’orage était un aphrodisiaque pour elle. Un lent mouvement marqua son corps, elle devait frotter ses fesses sur sa queue, je le voyais bien, parce qu’il la tenait maintenant par les hanches et accompagnait le mouvement. J’étais excité un max’ et je voulais voir la suite. J’allai jusqu’à la porte de la chambre pour l’entrouvrir et faire le voyeur ; l’excitation me rendit imprudent : je m’avançai audacieusement sur ce maudit plancher qui craquait, jusqu’à la porte-fenêtre, masqué par le rideau. Je voyais tout: il fléchit les jambes et elle, cambrant le corps, saisit sa queue dressée, la guidant vers ses fesses ; elle se pencha en avant, agrippant la balustrade pendant que d’une poussée du bassin il la pénétra. Commença un lent va-et-vient mais elle l’interrompit en plaquant les mains sur ses fesses pour qu’il resta au plus profond d’elle, bien remplie, sans bouger. Elle renversa la tête, il en profita pour l’embrasser dans le cou. Elle lui tendit ses lèvres et ils s’embrassèrent fougueusement, provoquant chez moi une crise de saine jalousie teintée d’excitation. Il pleuvait vraiment fort maintenant, elle avait l’air d’aimer ça : elle leva la tête pour recevoir la douche sur sa figure. Je me retirai prudemment dans la chambre des enfants en regardant par la fenêtre. La pluie augmentant, vous êtiez rentrés trempés. Nue, elle sortit de la chambre, alla chercher une grande serviette dans la salle de bain ; je me cachai prudemment en pensant qu’elle pourrait bien venir voir si les enfants n’étaient pas découverts. Mais non, elle avait autre chose en tête ; en revenant emballée dans la serviette, elle laissa négligemment la porte entr’ouverte. Je savais que ça allait me faire mal, mais l’excitation était la plus forte : sous mes yeux, P.. l’avait pénétrée, là sur la terrasse, et ça allait continuer au lit ! Ça me faisait bander dur, je dégoulinais d’envie.. Je ne savais pas comment j’allais encaisser. Je revins dans notre chambre et me mis sur le lit en essayant de me calmer un peu . Mais n’y résistant pas, je sortis et me mis à écouter. Je l’entendis gémir doucement ; furtivement je vins derrière la porte sans oser la pousser. Par le trou de la serrure, comme il y avait peu de lumière, je ne devinais que des parties de corps : Je voyais P.. de dos, à genoux sur le lit, elle avait les fesses en l’air « en levrette » ; je poussai très doucement la porte et glissai un oeil : c’était une première ! Je ne l’a vais jamais vue en train de se faire prendre : il la tenait par les hanches et la pilonnait en faisant claquer son ventre sur ses fesses qui vibraient à chaque poussée. Elle couinait comme une lapine chaque fois qu’il s’enfonçait en elle. « Laisses-moi venir sur toi, j’aime mieux » ; vite, je battis en retraite mais revins aussitôt : maintenant elle le chevauchait comme elle aimait bien le faire avec moi. Si j’entrouvre la porte un peu plus, pensais-je, je ne serai pas vu. Je la poussai doucement et glissai un regard. Les éclairs se succédaient et illuminaient ses fesses rondes d’une lumière blafarde . Elle dansait sur sa queue nue et luisante qui allait et venait, il la tenait par les hanches et l’aidait dans le mouvement. Une onde parcourait ses fesses chaque fois qu’elle s’empalait à fond sur lui.. Elle se pencha en arrière et de la main gauche lui saisit les couilles ; il fit « aaah » Elle s’inclina sur lui ; je ne voyais pas ses seins, mais il devait sucer ou pincer ses tétons car elle réagissait par des petits cris. Puis elle se coucha sur lui et la vision de la pénétration dans son corps de cette queue épaisse et cramoisie, enserrée par ses lèvres gonflées me mit au comble de l’excitation ; j’avais le cœur qui cognait comme un fou ! Il prenait ses fesses, les pétrissait de ses mains. Il la pilonna de plus en plus vite, elle gémit de plus bel. J’allai prudemment fermer la porte des enfants. Un éclair suivit d’un fracas effroyable provoqua une coupure de courant plongeant la scène dans le noir ! Frustration! Heureusement les éclairs se succédèrent révélant leurs ébats. Je restai un bon moment scotché à la fente de la porte. Ses rapides coups de queue lui arrachaient des gémissements coupés de sanglots ; je l’entendais dire dans un souffle : «oooh, encoore, encooore.. plus fort !» : mais elle ne se lâcha pas complètement, par crainte des enfants. Elle allait jouir, je la connaissais, ça n’allait pas tarder. Un cri, ça y était ! Mais il continua, elle ne gémit plus, elle hulula doucement. En se couchant sur lui, comprimant ses seins sur sa poitrine elle lui dit : « viens toi aussi, là, dans mon ventre, féconde-moi, c’est mon fantasme! » mais il répondit « non pas encore» ; « mais tu m’as épuisée.. » ; « mais on a à peine commencé »
Les éclairs luisaient parfois longuement, illuminant la scène! Il la bascula sur le côté et je dus me retirer précipitamment, de peur d’être vu. J’attendis un peu puis tentai un œil ; à ce moment un long éclair illumina son corps. J’eus juste le temps de voir qu’elle était sur le ventre, cuisses écartées, je voyais sa fente béante, son vagin dilaté… Que c’était beau ! Il allait la prendre par derrière, mais sans lumière, je devinai plus que je ne vis la suite. Je l’entendis pousser un gémissement sourd, comme un hmpf !, signifiant qu’il s’était enfoncé en elle. L’éclair suivant me le montra. Il la prenait en chevauchant sa cuisse gauche; la cadence était rapide, je voyais ses couilles s’agiter en tout sens. L’obscurité revenue, j’entendis un bruit de clapotis, de succion et de claquement sur les fesses : c’était très évocateur ce que l’obscurité me cachait. Plusieurs éclairs se succédèrent, je n’en pouvais plus de la regarder se faire baiser A chaque éclair je voyais sa queue une fois à fond, une fois dehors. elle ne disait rien, pas un gémissement, silence complet. Le tonnerre roulait au loin. La lumière revint au moment où, ressortant trop, sa queue sortit ; plaintivement tu as dit: « oh non, encore, encore,… oui, comme ça ! » pendant qu’il la refourrait. A force de suivre l’action j’avais passé toute la tête par la porte ; je me retirai un peu pour rester dans l’ombre. Il continua à bourrer sa chatte à coups de queue, j’entendais quelques « han » chaque fois qu’il s’enfonçait à fond en elle tout en lui donnant des claques sonores sur les fesses. Il accéléra la cadence, sentant peut-être qu’il venait ; un éclair suivi d’un formidable coup de tonnerre éclatèrent ; la foudre était tombée tout près sans pour autant couper le courant ; j’eus peur que les enfants ne se mettent à pleurer, interrompant les ébats. Mais non, ils dormaient !. Les roulements du tonnerre n’en finissaient pas : soudain, cambrant le dos en prenant appui sur ses mains, redressant la tête, les jambes tendues, de toutes ses forces elle exhala un brame profond, sauvage, bestial, une fois, deux fois, trois fois pendant que le tonnerre roulait. Je n’avais jamais entendu exprimer sa jouissance de façon aussi animale ! Son orgasme provoqua celui de son amant qui poussa un grognement sonore et se vida au fond de son ventre comme une bête sauvage. J’étais au comble de l’excitation et mon cœur battait à toute vitesse. Je bandais très dur, j’avais une furieuse envie de prendre la place de P.. .. Il bascula sur le côté et l’attira contre lui, sa main gauche saisissant un sein, le bras droit entre ses cuisses, la main sur le mont de vénus. Essoufflé il dit quelque chose que je n’entendis pas mais que je devinai ». Essoufflée elle aussi, répondis : « non.. jamais ». « Même avec ton mari ? » Elle gémit : «non, jamais,, c’est la première fois…, y’a que toi P.., y’a que toi qui me fait jouir comme ça… peut-être même que tu m’en as fait un ! Très excité et ému par ce que je venais de voir et d’entendre, je me sentis très envieux de son amant qui avait réussi à provoquer chez elle un orgasme aussi puissant, et à la fois j’étais heureux qu’elle ait éprouvé un tel plaisir. J’avais très mal aussi : je n’étais pas à la hauteur de ce mâle dominant, son expérience, ses mensurations, votre complicité… font que je n’étais pas dans la même catégorie que lui : je me suis senti hors jeu !. J’étais complètement désemparé. J’avais à la fois honte de mater ma femme au lit avec son amant, excité de la voir baisée par lui, et heureux pour elle de l’avoir vue jouir comme jamais elle n’a joui avec moi. Qu’est ce qui faisait que j’éprouvais autant de plaisir ? Est-ce que j’arriverais encore à la satisfaire après ce que j’avais vu et entendu ? Se contenterait-elle encore de ma queue qui aurait du mal à la remplir comme elle l’a été sous mes yeux, et avec quel résultat ? Je restai dans le lit ; j’étais si perturbé qu’il était hors de question de dormir. Je laissai la porte ouverte espérant qu’elle allait revenir rapidement. Mais l’attente se prolongea ; elle ne vint pas à la salle de bain comme je l’espérais. Il était onze heures et je n’avais pas sommeil. Je voulus aller les espionner, c’était plus fort que moi ; la porte était telle que je l’avais laissée ; la lampe de chevet était allumée et je vous voyais enlacés, nus : vous dormiez entortillés dans le drap, c’étais émouvant ! Revenus à la chambre, j’essayai de lire sans comprendre ce que je lisais. J’attendais qu’elle aille à la salle de bain puis qu’elle vienne me retrouver. Je voulais la prendre à mon tour ; je sais qu’elle n’aimait pas que je la pénètre après lui, qu’elle ne me sentirait pas trop, et puis que son esprit était encore avec lui. Mais je devais reprendre possession de son corps et me plonger dans son vagin si doux quand elle a été prise par un autre : ça aussi c’est plus fort que moi. Comme je n’arrivais pas à lire, j’essayai d’écrire sous forme de brèves notes ce que je venais de voir et d’entendre. Il était presque minuit, j’entendis quelques bruits provenant d’une des chambres ; je me précipitai pour intercepter un enfant qui voudrait aller faire pipi, mais c’était le silence de ce côté. Ce furent de légers grincements de lit que j’entendis : vous remettiez ça, c’est sûr ! Je glissai un œil par la fente de la porte, vous étiez en « petites cuillères », il était en elle et la tenait fermement par les hanches pour l’attirer à lui et la pénétrer plus profondément. Elle avait replié les cuisses contre son ventre et gémissait doucement : « encore, encore ! ».. Je voyais cette queue épaisse et luisante qui coulissait entre ses lèvres en lui bourrant le sexe, ses doigts caressant son clitoris. Je n’arrivais plus regarder, je n’aurais plus supporté de la voir jouir encore ; je revins dans la chambre, épuisé et anéanti, envahis par un plaisir intense mais déconcertant..