- 13 mars 2023, 02:47
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J’avais chaud et allai ouvrir la fenêtre contigüe à celle de la chambre de P.. Sa fenêtre aussi était ouverte ; en m’y penchant j’entendis des gémissements ; elle lui disait « j’aime bien quand tu me baises si fort, c’est ça qu’on appelle bourrer !» . J’entendis qu’il lui claqua les fesses plusieurs fois, même assez fort, elle dit : « claque encore, ça m’excite ». Je renonçai à entendre la suite, je n’avais plus le courage. Mais avant de me retirer, les claques sur les fesses reprirent ; sûrement elles provoquèrent son orgasme car j’entendis une sorte de mugissement aigu, repris trois fois, de plus en plus grave. J’ai toujours aimé l’entendre jouir, même prise par un autre, ça m’a toujours existé très fort. Mais était-ce ma femme qui jouissait comme ça ? Je ne la reconnais pas. J’aurais aimé que ce fut une autre, une de ses petites amies, et que Victoire fut avec moi, ici au lit. J’espérais toujours la voir passer vers la salle de bain, mais à force d’attendre, comme je n’arrivais toujours pas à lire, je continuai mes notes en détaillant ce que je venais de vivre. Et finis par m’endormir…
« Tu as dormi avec la lumière allumée ?» Elle m’avait réveillé, il était 6h. Elle avait passé sa nuisette. J’escamotai vite fait le carnet de notes pendant qu’elle se couchait près de moi ; très ému je la pris dans mes bras. « T’as été à la salle de bain ? ». « Ben non pourquoi, on sent tellement ce que j’ai fait? … ». Bien sûr, elle sentait l’amour, le sperme, la sueur, elle avait l’odeur de son amant mêlée à la sienne. Je passai mes doigts sur sa fente : elle était encore bien ouverte, souillée et chaude ; tout son bas ventre était poisseux, collant : « qu’est-ce qu’il t’a passé !!! ». Elle me dit:« On va pas faire l’amour maintenant, il faut faire dodo ! » .« J’avais très envie d’elle, tout de suite ». « Non par pitié, j’en peux plus, je suis épuisée…! ». C’était le comble, je devais avoir pitié d’elle, elle qui venait de s’envoyer son amant.. » Au fait, vous l’avez fait combien de fois ? ». «Je sais plus… trois fois peut-être.. ». « Et tu as joui chaque fois ? ». « Oh oui, même plusieurs fois». Je lui mentis en disant que je l’avais entendue jouir depuis la chambre. « C’est vrai, j’ai fait du bruit ? Je crois bien que jamais je n’ai joui aussi fort!…,. ».. « Et j’ai entendu des claques sur tes fesses, que tu me refuses toujours ! » « Lui c’est lui et toi c’est toi !!.. allez, maintenant on dort stp ». « Mais tu vas en mettre plein les draps… ! ». »Mais non, tout est au fond de mon ventre bien au chaud , et comme ça tu pourras me prendre bien remplie, je sais que tu aimes ça… tantôt on fera l’amour, quand P.. sera parti, pas avant ». « Pourquoi pas avant ? ». « Parce que tant qu’il sera ici, je ne pourrai pas être avec toi ». « Il part quand ? ». « Il m’a dit vers 9-10h ». « Non, j’ai envie avant, dors un peu, puis je me glisserai en toi ». »Mais ce ne sera pas bon pour moi ». »Pour moi si, et tu me dois bien ça ». « Ok, mais ne m’en veux pas si je ne te sens pas très fort … ». « Tu me raconteras tout ce qu’il t’a fait ? ». « Rhôôô, mais tu le sais bien non?». « Si je te laisse coucher avec lui, tu peux bien me raconter un peu, quoi ! » . « Bon on verra, maintenant je voudrais dormir ». Je tentai malgré tout de m’introduire en elle mais elle serrait tellement les cuisses que je n’y suis pas parvenu ; « laisse-moi dormir stp ». Pendant son sommeil, j’allai me faire couler un bain dans lequel je m’endormis aussitôt. Les enfants me réveillèrent en entrant dans la salle de bain ; ils avaient soif et voulaient boire. Il était 7h et je leur ai dit qu’ils pouvaient jouer dans leur lit mais en silence parce que maman dormait encore. Revenu près d’elle, je ne résistai pas à l’envie de glisser ma main entre ses cuisses qu’elle entr’ouvrit naturellement, croyant peut être que c’était la main de son amant, et me laissa caresser son clitoris. J’introduisis deux, puis trois doigts dans son vagin dilaté et détrempé ce qui provoqua son réveil; elle dit « aïe, c’est sensible ! je préfère une queue mais pas trop grosse, la tienne par exemple, c’est plus doux ». Exécution. Je la pénétrai en bandant très fort. Son fourreau était soyeuse, d’une douceur extrême mais le fond était fangeux ce qui m’excita intensément : elle est pleine de semence que je faisais gicler sur les draps à force de la pomper. Elle est tellement remplie de sperme qu’elle ne me sentit presque pas, dommage. « Plus fort » disais-tu, alors que je étais déjà à fond. J’agite ma queue dans tous les sens, mais elle me dit qu’il vaudrait mieux attendre que son vagin se repose un peu. « Il m’a fort élargie avec sa queue et son gros gland, c’est pour ça que je ne te sens pas fort ». Je sais, je sais, elle me l’avait déjà dit.. Mais ça m’excitait tellement que je jouis instantanément, ajoutant une dose de semence à celle de son amant.
J’avais levé et habillé les enfants ; j’avais changé le lange de la petite qui était bien souillé. On avait déjeuné ensemble, avec P.. qui était pressé de partir. « Elle dort encore », disais-je. Il m’a dit merci pour tout. . « Embrasse Victoire pour moi, ce fut un week-end super, elle a été satisfaite… ». Gonflé mon ami d’enfance ! Elle s’était levée tard. J’avais l’impression d’être transparent, elle semblait ne pas me voir! « Il est parti ? » dit-elle ensommeillée. « Vers 10h comme prévu ». « Ah zut.. ». « Il m’a chargé de t’embrasser ». « C’est gentil; bon, moi je vais prendre une douche » dit-elle. « Bonne idée, tu sens le foutre » ; elle se retourna et me tira la langue ! Elle m’appela pour lui frotter le dos. Je le lui lavai avec vigueur ainsi que les fesses, l’entrejambes, les cuisses, le ventre, les seins, tout ce qui avait été parcouru par son amant. Des restes de sperme s’écoulaient encore le long d’une jambe. Je n’osais pas lui dire que pour la première fois j’avais fait le voyeur, que je l’avais vue baisée par son amant.
Le plaisir voyeur est très fort : la voir accorder des gestes de tendresse à son homme sous la montée de son plaisir, la voir s’abandonner totalement à lui lorsqu’éclate sa jouissance inocule dans mon esprit et dans mon corps un sentiment d’émotion, de jouissance et de ravissement : c’est à mon sens le plus beau spectacle auquel le genre humain peut se livrer sous les yeux d’un spectateur.
« Dis-moi ce qui s’est passé à l’étang hier». Elle fit l’étonnée. « Ah oui, derrière l’île ? On s’est un peu papouillé, puis il m’a pénétrée, j’ai même eu un petit orgasme, et tu sais pourquoi ? Parce qu’un mec, un genre de garde forestier sur l’autre rive me matait avec des jumelles »..elle pouffa.. « eh bien l’idée qu’il nous voyait baiser, ça m’a fort excitée, et comme il ne voyait que nos fesses, je me suis tournée un peu pour qu’il puisse voir plus ! Avec ses jumelles il a dû voir le moment où j’ai joui, mais je n’ai rien dit à P.. ! ».
On était allé pique-niquer à la rivière; les enfants jouaient dans l’eau. Elle était attentionné avec moi, j’existais de nouveau ! Il n’y avait plus cette vibrante atmosphère érotico-sensuelle qu’elle créait en présence de P.. qui me mettait dans tous mes états ! L’après-midi on se baigna nus dans notre petit étang, je la pris en photo. Je ressentais comme une envie de revivre ce qui s’était passé hier à l’étang de F.. J’espérais qu’on ferait l’amour ce soir. Et on le fit. Comme mari et femme, pas comme amants. Tu n’avais pas joui. Tu avais mal, il avait fallu arrêter ; «Après ce qu’il m’a fait, je suis toute irritée ; on recommencera une autre fois » Je dis « oui oui, c’est normal.. » Il était 2h du matin. Je n’arrivais pas à dormir, encore perturbé par l’excitation et le plaisir que je venais de vivre. Je voulais continuer à noter cette aventure qui ébranlait notre couple depuis qu’il était devenu son amant régulier et qu’elle en était amoureuse. Je me faisais des réflexions : « quand il est là, c’est comme si je n’existais plus, mais je souffre délicieusement quand elle est entièrement tournée vers lui : esprit, corps, sexe… » « Elle réagit autrement qu’avec moi quand elle fait l’amour avec lui, c’est une autre femme. » « Le plaisir et la jouissance qu’il lui procure, je n’arriverais pas à les égaler. »
Il y a quelques mois elle m’avait inquiété en disant que si nous n’avions pas déjà deux enfants elle en aurait bien fait un avec lui ! J’espère qu’il ne l’aura pas fécondée la nuit dernière ; je lui avais posé la question et elle m’avais répondu : « Non mais ça va pas ? C’est un fantasme, point barre ! ». Il était 5h du matin lundi 1er septembre 1975. J’utiliserai mes notes et terminerai d’écrire cette « épopée érotique » quand je serai calmé émotionnellement, ça m’excitera et me soulagera à la fois. Il faudra que j’arrive à interpréter mes sentiments contradictoires de cette nuit peu banale ! C’était l’aurore, le soleil ne se lèvera pas avant 7 heures. Il faisait beau temps depuis des semaines, et les vacances étaient finies, plus de P.. à l’horizon, du moins pour le moment…