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#2696967
@trestigres tout simplement somptueux, extraordinaire, fascinant, incroyablement puissant d'émotions violents et contradictoires. La nature autour de vous, apaisante puis violente, l'orage qui électrise les amants et les rend encore plus beaux et sexuellement magiques. Et les photos de Victoire complètent et illustrent du bien ces récits. Qui ne deviendrait pas fou d'envies et de désirs pour elle ?
sergio a liké
#2696971
Dionysos06 a écrit :@trestigres tout simplement somptueux, extraordinaire, fascinant, incroyablement puissant d'émotions violents et contradictoires. La nature autour de vous, apaisante puis violente, l'orage qui électrise les amants et les rend encore plus beaux et sexuellement magiques. Et les photos de Victoire complètent et illustrent du bien ces récits. Qui ne deviendrait pas fou d'envies et de désirs pour elle ?


OUi je le fus aussi: fou! je n'étais pas le seul! Et à vous lire, si vous l'aviez connue à cette époque vous en auriez été aussi: fou!
Je laisserai ces photos jusqu'à dimanche soir, après elle seront supprimées..
Danimendu, Dionysos06, michpat et 2 autres a liké
#2696981
Superbes photos, très belles dans un environnement aquatique notamment. Et superbes récits aussi, qui nous font vivre ces épisodes presque comme si on était présent. Je peux comprendre les sentiments que tu décrits à la fin , en effet, tout cela devait être très excitant et quelque peu déconcertant aussi, te laissant avec une foule de questions.
Quoi qu'il en soit, tes récits sont vraiment dignes d'un écrivain, et je trouve que tu as un réel talent. Bravo à toi et merci de nous faire partager tous ces beaux souvenirs.
#2696989
Merci @trestigres pour ces récits de votre vie libertine dans ces années 70/80 très riches en ressentis et en adrénaline (doutes, craintes,interrogations mélangés avec désirs,plaisirs,excitation) .
Mais avec une femme belle, tellement naturelle ,à l'aise avec la nudité et transparente sur ses envies sexuelles fait que ça fonctionne et que ca a duré puisque vous nous le racontez ensemble. Bravo à vous 2 ;)
Danimendu, sergio a liké
#2697051
Un grand talent dans l'écriture associé à celui de savoir associer des sentiments ressentis à cette même lecture.
Malgré des moments très chauds, l'érotisme ressenti n'est jamais vulgaire.
Et que dire de ces belles photos...
Vraiment un grand merci.
Danimendu, michpat a liké
#2697176
Magnifiques récits. Tout semble se dérouler simplement dans un maestrom de sensations contradictoires, intenses et pourtant globalement positives et cohérentes. L'aveu dans l'instant des fantasmes les plus profonds de Victoire sont intensément troublant comme ta franchise à accepter la situation que tu as généré. Votre histoire actuelle démontre qui est votre indiscutable réussite d'une vie candauliste intense. Merci. Merci . Merci <3

Pour nous lecteurs, c'est une immersion totale. Les récits génèrent des images précises, erotiques à souhaits. Les dernières images et leurs courtes légendes génèrent à leur tour un flot d'idées et récits.

Un grand merci à vous deux
Danimendu, sergio a liké
#2697329
Dionysos06 a écrit :@trestigres ces récits formidables m'ont inspiré ce poème : viewtopic.php?p=2697246#p2697246


Ouragan,

L’orage teinte la nuit de son encre noire,
Plongeant sans cesse son fiel dans mon écritoire.
Tout s’est accumulé pour inonder mon âme
De sensations mêlées qui se choquent et s’enflamment.

Les bruits que je connais bien me tiennent éveillé ;
Et leur rythme échevelé m’a ensorcelé.
Tremblant de toute part, il me faut réagir.
Ignorer ou voir ? Dans les deux cas, c’est subir.

Je croyais tout savoir, mais je suis bouche bée
Devant cette scène qui m’a rétrogradé.
À la lueur des éclairs, ma femme se donne
À cet amant qui, sans relâche, la pilonne.

Sous mes yeux, le plus inaccessible trésor :
La beauté irréelle, absolue, de leurs corps.
Je me sens si petit, que j’en deviens jaloux.
Plus tu jouis, plus je t’aime. Je sais que c’est fou.

Hypnotisé et vaincu, je quitte les lieux ;
Plus que jamais cocu, plus que jamais heureux.
La voir si épanouie est mon plus grand bonheur.
Et puis…elle me reviendra dans quelques heures.

Victoire très émue par l'évocation poétique de cette nuit mémorable. "Quel talent !" me dit-elle, "c'est un homme comme lui que j'aurais voulu rencontrer, un poète qui m'aurait prise en vers et à l'envers, puisque j'ai lu qu'il aime la sodomie que je te refuse.." Petite garce, va!
#2697332
Victoire et moi vous remercions pour vos commentaires si élogieux. Elle est ma muse, je ne suis que son scribe!.. C'est elle qu'il faut encenser et admirer, à moi de rédiger les annales de ces années de braises que nous revivons, moi plus qu'elle, grâce à vous, amis lecteurs. Sans FC et vous tous, ces récits seraient enfermés sous le couvercle de l'histoire et nuls autres que vous n'en auraient eu connaissance.
C'est une κάθαρσις bienfaisante que je pratique, car en les exprimant, je me libère enfin à quatre-vingt ans (il était temps!) de mes angoisses existantielles, de mes passions proto-candaulistes et des mes rêves (et cauchemars) érotiques.

J'ai retiré les photos comme je m'étais engagé à le faire, à sa demande. Elle aime bien se montrer nue sur FC mais pas trop longtemps, par pudeur. Pudique elle l'est sauf avec ses amants; elle était opposée à ce que je la post nue avec sa petite fente épilée. Elle a finit par accepter quand je lui ai dit que vous apprécieriez la plastique de son corps, et que cette petite fente lisse, même modeste, représente tout de même "l'origine du monde" . Je vous concède que Victoire n'est pas Constance Quéniaux, et son créateur n'est pas le bon Gustave Courbet!
A tout bientôt..
#2697337
J’avais chaud et allai ouvrir la fenêtre contigüe à celle de la chambre de P.. Sa fenêtre aussi était ouverte ; en m’y penchant j’entendis des gémissements ; elle lui disait « j’aime bien quand tu me baises si fort, c’est ça qu’on appelle bourrer !» . J’entendis qu’il lui claqua les fesses plusieurs fois, même assez fort, elle dit : « claque encore, ça m’excite ». Je renonçai à entendre la suite, je n’avais plus le courage. Mais avant de me retirer, les claques sur les fesses reprirent ; sûrement elles provoquèrent son orgasme car j’entendis une sorte de mugissement aigu, repris trois fois, de plus en plus grave. J’ai toujours aimé l’entendre jouir, même prise par un autre, ça m’a toujours existé très fort. Mais était-ce ma femme qui jouissait comme ça ? Je ne la reconnais pas. J’aurais aimé que ce fut une autre, une de ses petites amies, et que Victoire fut avec moi, ici au lit. J’espérais toujours la voir passer vers la salle de bain, mais à force d’attendre, comme je n’arrivais toujours pas à lire, je continuai mes notes en détaillant ce que je venais de vivre. Et finis par m’endormir…
« Tu as dormi avec la lumière allumée ?» Elle m’avait réveillé, il était 6h. Elle avait passé sa nuisette. J’escamotai vite fait le carnet de notes pendant qu’elle se couchait près de moi ; très ému je la pris dans mes bras. « T’as été à la salle de bain ? ». « Ben non pourquoi, on sent tellement ce que j’ai fait? … ». Bien sûr, elle sentait l’amour, le sperme, la sueur, elle avait l’odeur de son amant mêlée à la sienne. Je passai mes doigts sur sa fente : elle était encore bien ouverte, souillée et chaude ; tout son bas ventre était poisseux, collant : « qu’est-ce qu’il t’a passé !!! ». Elle me dit:« On va pas faire l’amour maintenant, il faut faire dodo ! » .« J’avais très envie d’elle, tout de suite ». « Non par pitié, j’en peux plus, je suis épuisée…! ». C’était le comble, je devais avoir pitié d’elle, elle qui venait de s’envoyer son amant.. » Au fait, vous l’avez fait combien de fois ? ». «Je sais plus… trois fois peut-être.. ». « Et tu as joui chaque fois ? ». « Oh oui, même plusieurs fois». Je lui mentis en disant que je l’avais entendue jouir depuis la chambre. « C’est vrai, j’ai fait du bruit ? Je crois bien que jamais je n’ai joui aussi fort!…,. ».. « Et j’ai entendu des claques sur tes fesses, que tu me refuses toujours ! » « Lui c’est lui et toi c’est toi !!.. allez, maintenant on dort stp ». « Mais tu vas en mettre plein les draps… ! ». »Mais non, tout est au fond de mon ventre bien au chaud , et comme ça tu pourras me prendre bien remplie, je sais que tu aimes ça… tantôt on fera l’amour, quand P.. sera parti, pas avant ». « Pourquoi pas avant ? ». « Parce que tant qu’il sera ici, je ne pourrai pas être avec toi ». « Il part quand ? ». « Il m’a dit vers 9-10h ». « Non, j’ai envie avant, dors un peu, puis je me glisserai en toi ». »Mais ce ne sera pas bon pour moi ». »Pour moi si, et tu me dois bien ça ». « Ok, mais ne m’en veux pas si je ne te sens pas très fort … ». « Tu me raconteras tout ce qu’il t’a fait ? ». « Rhôôô, mais tu le sais bien non?». « Si je te laisse coucher avec lui, tu peux bien me raconter un peu, quoi ! » . « Bon on verra, maintenant je voudrais dormir ». Je tentai malgré tout de m’introduire en elle mais elle serrait tellement les cuisses que je n’y suis pas parvenu ; « laisse-moi dormir stp ». Pendant son sommeil, j’allai me faire couler un bain dans lequel je m’endormis aussitôt. Les enfants me réveillèrent en entrant dans la salle de bain ; ils avaient soif et voulaient boire. Il était 7h et je leur ai dit qu’ils pouvaient jouer dans leur lit mais en silence parce que maman dormait encore. Revenu près d’elle, je ne résistai pas à l’envie de glisser ma main entre ses cuisses qu’elle entr’ouvrit naturellement, croyant peut être que c’était la main de son amant, et me laissa caresser son clitoris. J’introduisis deux, puis trois doigts dans son vagin dilaté et détrempé ce qui provoqua son réveil; elle dit « aïe, c’est sensible ! je préfère une queue mais pas trop grosse, la tienne par exemple, c’est plus doux ». Exécution. Je la pénétrai en bandant très fort. Son fourreau était soyeuse, d’une douceur extrême mais le fond était fangeux ce qui m’excita intensément : elle est pleine de semence que je faisais gicler sur les draps à force de la pomper. Elle est tellement remplie de sperme qu’elle ne me sentit presque pas, dommage. « Plus fort » disais-tu, alors que je étais déjà à fond. J’agite ma queue dans tous les sens, mais elle me dit qu’il vaudrait mieux attendre que son vagin se repose un peu. « Il m’a fort élargie avec sa queue et son gros gland, c’est pour ça que je ne te sens pas fort ». Je sais, je sais, elle me l’avait déjà dit.. Mais ça m’excitait tellement que je jouis instantanément, ajoutant une dose de semence à celle de son amant.
J’avais levé et habillé les enfants ; j’avais changé le lange de la petite qui était bien souillé. On avait déjeuné ensemble, avec P.. qui était pressé de partir. « Elle dort encore », disais-je. Il m’a dit merci pour tout. . « Embrasse Victoire pour moi, ce fut un week-end super, elle a été satisfaite… ». Gonflé mon ami d’enfance ! Elle s’était levée tard. J’avais l’impression d’être transparent, elle semblait ne pas me voir! « Il est parti ? » dit-elle ensommeillée. « Vers 10h comme prévu ». « Ah zut.. ». « Il m’a chargé de t’embrasser ». « C’est gentil; bon, moi je vais prendre une douche » dit-elle. « Bonne idée, tu sens le foutre » ; elle se retourna et me tira la langue ! Elle m’appela pour lui frotter le dos. Je le lui lavai avec vigueur ainsi que les fesses, l’entrejambes, les cuisses, le ventre, les seins, tout ce qui avait été parcouru par son amant. Des restes de sperme s’écoulaient encore le long d’une jambe. Je n’osais pas lui dire que pour la première fois j’avais fait le voyeur, que je l’avais vue baisée par son amant.

Le plaisir voyeur est très fort : la voir accorder des gestes de tendresse à son homme sous la montée de son plaisir, la voir s’abandonner totalement à lui lorsqu’éclate sa jouissance inocule dans mon esprit et dans mon corps un sentiment d’émotion, de jouissance et de ravissement : c’est à mon sens le plus beau spectacle auquel le genre humain peut se livrer sous les yeux d’un spectateur.
« Dis-moi ce qui s’est passé à l’étang hier». Elle fit l’étonnée. « Ah oui, derrière l’île ? On s’est un peu papouillé, puis il m’a pénétrée, j’ai même eu un petit orgasme, et tu sais pourquoi ? Parce qu’un mec, un genre de garde forestier sur l’autre rive me matait avec des jumelles »..elle pouffa.. « eh bien l’idée qu’il nous voyait baiser, ça m’a fort excitée, et comme il ne voyait que nos fesses, je me suis tournée un peu pour qu’il puisse voir plus ! Avec ses jumelles il a dû voir le moment où j’ai joui, mais je n’ai rien dit à P.. ! ».
On était allé pique-niquer à la rivière; les enfants jouaient dans l’eau. Elle était attentionné avec moi, j’existais de nouveau ! Il n’y avait plus cette vibrante atmosphère érotico-sensuelle qu’elle créait en présence de P.. qui me mettait dans tous mes états ! L’après-midi on se baigna nus dans notre petit étang, je la pris en photo. Je ressentais comme une envie de revivre ce qui s’était passé hier à l’étang de F.. J’espérais qu’on ferait l’amour ce soir. Et on le fit. Comme mari et femme, pas comme amants. Tu n’avais pas joui. Tu avais mal, il avait fallu arrêter ; «Après ce qu’il m’a fait, je suis toute irritée ; on recommencera une autre fois » Je dis « oui oui, c’est normal.. » Il était 2h du matin. Je n’arrivais pas à dormir, encore perturbé par l’excitation et le plaisir que je venais de vivre. Je voulais continuer à noter cette aventure qui ébranlait notre couple depuis qu’il était devenu son amant régulier et qu’elle en était amoureuse. Je me faisais des réflexions : « quand il est là, c’est comme si je n’existais plus, mais je souffre délicieusement quand elle est entièrement tournée vers lui : esprit, corps, sexe… » « Elle réagit autrement qu’avec moi quand elle fait l’amour avec lui, c’est une autre femme. » « Le plaisir et la jouissance qu’il lui procure, je n’arriverais pas à les égaler. »
Il y a quelques mois elle m’avait inquiété en disant que si nous n’avions pas déjà deux enfants elle en aurait bien fait un avec lui ! J’espère qu’il ne l’aura pas fécondée la nuit dernière ; je lui avais posé la question et elle m’avais répondu : « Non mais ça va pas ? C’est un fantasme, point barre ! ». Il était 5h du matin lundi 1er septembre 1975. J’utiliserai mes notes et terminerai d’écrire cette « épopée érotique » quand je serai calmé émotionnellement, ça m’excitera et me soulagera à la fois. Il faudra que j’arrive à interpréter mes sentiments contradictoires de cette nuit peu banale ! C’était l’aurore, le soleil ne se lèvera pas avant 7 heures. Il faisait beau temps depuis des semaines, et les vacances étaient finies, plus de P.. à l’horizon, du moins pour le moment…
ChrisetElle, marc27, sergevr85 et 28 autres a liké
#2697349
@trestigres merci infiniment à Victoire pour ce compliment, l'un des plus beaux qu'on m'ait jamais fait.
Décidément, que ces récits sont admirables d'intensité, d'émotions mêlées et contradictoires ; le sexe y est incandescent, total, sans jamais être vulgaire. Une tranche de vie à une époque hélas si libre, et à jamais révolue. Et en plus, les pensées et réflexions complexes de ta femme sont très subtilement rendues.
Qui n'aurait pas craqué pour Victoire ? Dieu quelle femme sensuelle, excitante et carrément bandante !
michpat, sergio a liké
#2697364
Encore un récit fort bien écrit ! Bravo aussi pour ton beau poème. Tu as un vrai talent. Et que dire des photos, Victoire y est magnifique et resplendissante. J'avoue tout de même que la situation devait être déstabilisante pour toi car il semblait que Victoire avaki des sentiments nde plus en plus forts pour P., En plus d'apprécier au plus haut point ses assauts amoureux.
michpat a liké
#2697383
maxou501 a écrit :Encore un récit fort bien écrit ! Bravo aussi pour ton beau poème. Tu as un vrai talent. Et que dire des photos, Victoire y est magnifique et resplendissante. J'avoue tout de même que la situation devait être déstabilisante pour toi car il semblait que Victoire avaki des sentiments nde plus en plus forts pour P., En plus d'apprécier au plus haut point ses assauts amoureux.


Le poème n'est pas de moi, du reste j'en serais bien incapable! Il n'y a qu'un seul poète aussi talentueux sur FC: Dionysos, inspiré par notre petite histoire... Encore merci à lui, et à vous!
#2697632
La vie avait repris son train-train quotidien, enfant-boulot-dodo. Leur relation n’avait pas ralenti pour autant. Je rentrais souvent tard de mon boulot, les enfants étaient couchés, confiés aux bons soins de la « au pair » et Victoire parfois absente. « Madame est sortie avec des amis » me disait-elle.. Elle me laissait un petit mot en italien, en espagnol ou même en russe disant « Demain matin je rentrerai à sept heures au plus tard ». Légèrement inquiet mais aussi inquisiteur, je me risquai à téléphoner à P.. pour en avoir le cœur net. « T’inquiète, elle vient tout juste d’arriver » ajoutant avec une pointe d’humour « je m’en occupe ! ». Lorsqu’elle rentrait décoiffée et hâtivement rhabillée, inutile de lui demander ce qu’ils avaient fait. Elle savait que j’aurais envie de la prendre, bien qu’elle ne l’appréciait pas trop parce qu’elle était encore mentalement avec son amant. J’aimais la pénétrer encore toute chaude, la queue de son amant venant à peine d’en sortir. Je me plongeais en elle avec délice reprenant possession de son corps, mais ce qui m’excitait le plus était l’idée d’être complice de sa relation avec lui.
Mon plaisir aurait été triple :
- Au moment de la préparation, en l’aidant à se laver sous la douche, sachant ce qui va lui arriver m’excite fort ;
- Lorsque je sais qu’elle prendra du plaisir avec lui, ou les voir en action, ce qui est encore plus fort ;
- Quand ma coquine rentrera à la maison, me rejoindra au lit et me racontera dans le détail ses plaisirs et ses émotions, ce qui lui a plu, ses fantasmes..
Mais elle ne voulait pas, elle ne comprenait pas – pas encore ? – que je puisse en tirer du plaisir, de l’émotion et du désir. Parfois elle me disait que j’étais un pervers du sexe ! Peut-être qu’il y a un peu de perversion. Mais alors, que dire d’elle ?
Quant au spectacle de leurs ébats qui m’avait tellement ému, je me gardais bien de lui en parler ; elle accepterait à la rigueur que je les regarde baiser ensemble, mais à la condition de ne pas me montrer, ça lui gâcherait son plaisir m’avait-elle dit ! Je lui ai rappelé le plaisir qu’elle avait eu en découvrant un voyeur à jumelles pendant que P.. la baisait les pieds dans l’eau ! Elle m’a répondu que « oui, si c’est un inconnu – en plus avec des jumelles ! - ça peut m’exciter, mais pas toi »..Et participer ? Je n’osais pas encore lui poser la question, peut-être un jour viendra.

Je constatais un début de lassitude chez Victoire, même si elle adorait passer un week-end avec son amant en Normandie ou en Bretagne, ce que je lui accordais volontiers de temps à autres. Je décelais comme une envie d’aller voir ailleurs. Et l’occasion s’est présentée de la façon la plus fortuite.
C’était le début d’automne de cette année si chaude. Nous étions invités continuellement chez des amis en ville ou à la campagne, des soirées souvent très animées (et arrosées !). En rentrant bien beurrés nous nous racontions les derniers papots (untel sort avec unetelle, ceux-là se sont séparés, disputés, baisés, etc ..), elle me disait les mecs qui lui plaisaient, et moi les femmes.. Elle me demandait de la prendre mais l’alcool ne m’aidait pas. Voyant ma queue retomber en berne et sachant que ça m’existerait, Victoire m’agaçait en disant qu’avec P.. jamais ça ne se produirait, qu’il ne débande qu’après avoir tiré, et encore, même après il reste dur! Elle me décrivait alors comment un vrai mâle comme lui savait la baiser comme elle aimait, il lui faisait ceci et cela, des trucs que tu ne me fais pas... L’effet était immédiat, l’organe durcissait et s’engouffrait là où se trouve sa destinée. « Aah tu vois comme je la connais bien, ta queue ! » disait-elle..
Un soir, il faisait lourd et je redoutais un orage, nous étions invités à une soirée chez des amis ; il y avait une trentaine de personnes – des amis mais aussi des inconnus – invités à un dîner assis. L’ambiance était très animée, très arrosée aussi. En bout de table un convive – un bel homme du reste – n’arrêtait pas de faire rire une partie de la tablée avec des histoires cocasses et des blagues : un véritable bout-en- train. J’étais moi-même à l’autre extrémité et conversais sagement avec une jeune personne aussi sympathique que jolie.
Il commençait à se faire tard , je me sentais assez imbibé mais pas suffisamment pour ne pas remarquer que Victoire, cigarette au bec, se trouvait assise sur les genoux du convive gai-luron, en grande conversation avec lui et riant aux éclats. N’y voyant pas malice, étant occupé ailleurs je n’y ai pas prêté plus attention. Quelques temps plus tard, voyant que minuit était passé depuis longtemps, cherchant des yeux Victoire et ne la trouvant pas, pas plus que le convive, je me mis à sa recherche. Nul ne se souvenait de l’avoir vue partir..
De guerre las je suis sorti dans la nuit noire, déjà zébrée par des éclairs d’un orage approchant, faire un tour dans le vaste jardin. Je me suis éloigné de la maison, choisissant un buisson pour y exprimer un besoin naturel. Tout occupé à l’opération, dans le silence de la nuit, un bruit cadencé proche, insolite en ces lieux attira mon attention. Aidé par les éclairs j’ai progressé prudemment vers cet étrange bruit qui semblait venir du bord de la piscine. Un matelas de transat gisait sur le sol, deux ombres humaines s’y agitaient en une sorte de pugilat. En un instant très bref un éclair me fit comprendre la situation : un corps nu était allongé alors qu’un autre corps nu, celui de Victoire, dont je reconnu les fesses, le chevauchait. Je les voyais de dos. Ne m’étant ni annoncé ni découvert je suis resté tapis dans l’ombre, attendant la suite et profitant des éclairs de plus en plus fréquents pour me rincer l’œil ! Elle était bel et bien en train de se faire baiser par le convive bout-en-train, et ça lui plaisait: elle gémissait doucement pour pas qu’on l’entende, lui grognait à chaque poussée de sa queue dans son ventre. Les éclairs illuminaient par intermittence le fessier de ma Victoire et la queue de son challenger, une fois dehors, une fois dedans : c’était fascinant et excitant, je ne voulais pas gâter la partie en l’interrompant avant le bouquet final. Il ne pouvait tarder, la cavalière gémissant de plus bel tandis que son bel étalon commençait à hennir de plaisir. Il faut croire que l’atmosphère orageuse engendre chez Victoire une disposition pré-orgasmique car il a suffit d’un éclair suivi d’un coup de tonnerre tout proche pour déclencher un puissant orgasme, comme à l’origine de la création : le foutre, l’arc électrique et la vie démarra ! Profitant du grondement, Victoire poussa un long cri profond, s’affalant en écrasant ses seins sur le torse de l’homme, et resta prostrée. En m’approchant, c’était le moment d’intervenir ! « Victoire, il est temps de rentrer ma chérie »… Dans la nuit noire, après un assez long silence, elle me répondit dans un souffle : « Vas m’attendre à la voiture, j’arrive »..
Installé dans l’auto, je l’ai attendue un certain temps, à moitié endormi. Elle finit par arriver échevelée, pieds nus, le soutif sur le bras.. « Oui je sais, ne dis rien s’il te plaît ! ».
Nous avons roulé en silence, sauf lorsqu’elle a murmuré « j’ai trop bu… j’ai fumé un pétard, je suis dans le gaz… c’était comme un viol » ! « Tu m’expliqueras ? » Mais elle s’était endormie…
Je l’ai déshabillée: elle n’avait ni chaussures ni petite culotte! Avant de la mettre au lit j’ai lui ai lavé l’entrejambe et les cuisses, souillés de diverses humeurs visqueuses…
Victoire, shootée par l’alcool et le shit, dormait toujours lorsque j ‘ai levé et emmené les enfants à la maternelle et à la crèche.
DANA, Dionysos06, zztop et 22 autres a liké
#2697643
@trestigres
Victoire, ou la fulgurance érotique à fleur de peau ;
Victoire, ou la beauté du désir absolu, irrésistible, irrépressible, nuée sexuelle qui éclate une nuit d'été ;
Et toi en voyeur amoureux, légèrement timoré, emporté par la tornade sensuelle qu'est ta femme.
Encore un magnifique récit. Merci.
#2697665
C'est toujours un plaisir de revivre votre vie intime de couple. Victoire assumant le plaisir et les sentiments envers P. mais ne reculant pas devant d'autres potentiels amants suivant la situation du moment. Une femme libre et épanouie grâce à ta "comprehension" et ton excitation à la voir ou savoir avec d'autres.

Tu expliques très bien ces moments de fortes excitations ou de frustrations suivant ce que fait, veux ou pas ta femme.

Concernant les photos, il est dommage de les retirer car nous sommes nombreux à apprécier sa silhouette agréable. Je comprend votre crainte de les voir diffuser sans votre accord mais si j’apprécie le visage de Victoire, ne plus la voir en reprenant les post est dommage. Pourquoi ne pas les reposter floutées? Un amateur de votre post et de Victoire.
#2697800
Encore un beau récit dans lequel la libido de Victoire s'est encore exprimée. A cette époque elle était vraiment libérée et je pense que tu devais être tout de même un peu surpris de la découvrir ainsi avec un mec que vous ne connaissez pas quelques heures auparavant. Je ne sais pas quels ont été tes sentiments à ce moment là . Sacrée Victoire, elle te réservait bien des surprises et je sens que ce n'est pas fini. De belles photos que je suis pas le seul à apprécier me semble t'il.
#2698076
Merci pour vos éloges!
Nous nous replongeons avec délice dans cette époque bénie où presque tout était permis. Revoir toutes ces photos, parfois jaunies mais tellement évocatrices, nous remontent le moral en ces temps si troublés et à l'avenir incertain.
La suite sera pour bientôt. Mais peut-être pas tout: Victoire est assez réticente à dévoiler deux récits qui sont particuliers car elle s'est retrouvée, un peu à son insu, avec deux hommes.
#2698175
Revenu chez nous et, comme souvent après une partie de jambes en l’air, je l’ai trouvée dans son bain, éveillée et d’humeur bavarde. « Viens dans l’eau avec moi ».. Je m’y suis glissé et face à elle, entremêlant nos jambes, elle m’a demandé de l’excuser pour ce qui était arrivé hier soir chez T. « Tu sais, ce mec m’a drogué avec son shit et puis j’avais bu pas mal ! Quand j’ai senti ses mains progresser entre mes cuisses, j’ai flanché : je savais ce qui pouvait arriver mais j’étais incapable de résister et de réagir en lui flanquant une claque par exemple. Je me répétais : tu vas voir, il va vouloir te baiser, et plus je me le répétais plus mon fantasme de viol me donnait envie. Quand il m’a demandé de le suivre, je l’ai fait comme une petite chienne que je suis ! » ..
OK pour l’excuser mais il fallait qu’elle me raconte ce qui c’était passé dans le détail. Les yeux dans les yeux elle me raconta…
Elle ne le connaissait pas, ni même son nom. Elle voulait parler à une amie assise à côté du gars mais comme il n’y avait pas de place il lui avait proposé ses genoux. Il était très drôle, il la faisait rire, tout comme sa copine. On buvait encore et encore. Il avait sorti de sa poche une pochette de shit et s’était mis à s’en rouler une pour lui, puis une pour chacune. Elle s’était sentie devenir « high », c’était agréable.. Cachée par la table, il lui avait mis une main sur la cuisse en remontant sa jupe légère ; elle l’avait laissé faire. Il avait progressé vers le haut, jusqu’à sa petite culotte, elle avait trouvé ça agréable. Passant un doigt puis deux sous l’élastique il lui avait touché le sexe, ça l’avait excitée.. Dans son brouillard cérébral elle avait trouvé ça osé mais l’excitation compensait largement sa gêne.. Elle se disait qu’il allait la violer et l’idée l’excitait. Il introduisit un puis deux doigt dans sa fente déjà humide. Il l’avait caressée tout en parlant avec ses voisins de tables, continuant à amuser la galerie! Tout en riant un peu fort elle sentait le plaisir et l’excitation monter, sa respiration accéléra. Subitement il lui dit qu’il avait envie de prendre l’air au jardin.. « Viens avec moi » lui dit-il. Dans cette atmosphère enfumée un peu d’air frais ne pouvait que faire du bien pensa-t-elle. Elle hésita quelques minutes se demandant si elle ne devrait pas rentrer se coucher, mais décida de sortir au jardin.
Il l’attendait… Il lui fit un peu peur en surgissant soudainement. Il l’avait saisie à bras le corps, plaquant ses lèvres sur les siennes, une main cherchant son entrejambe au travers de la jupe. « Tu en veux toi hein ! , je sens que tu mouilles petite salope ! » La saisissant par le bras il l’entraîna dans l’obscurité vers la piscine.. Elle se laissa faire sans réagir, elle planait dans un songe tout en rêvant qu’il la viole.. Sans qu’elle s’y opposa, il se mit à la déshabiller avec ardeur tout en lui embrassant les seins, le ventre, les fesses. Elle se retrouva nue ; il la plaqua sur le matelas. Elle protesta sans conviction pendant qu’il enlevait le nécessaire, tout en la maintenant au sol, mais elle ne se sentait pas le désir d’appeler à l’aide et encore moins de fuir. Elle avait maintenant conscience qu’allait se concrétiser un de ses fantasmes : le viol ! « Pourquoi pas lui, au moins il me plaît » se disait-elle. Elle avait rêvé d’être violée par un bel inconnu, qui l’entraînerait de son plein gré dans un buisson, et voilà que c’était en train de se réaliser. Plaquée sur le matelas, elle se débattit pour la forme ce qui eu pour résultat d’exciter follement son « bel agresseur ». Il força ses cuisses et lui mangea la chatte, suça le clitoris, lui fit un cuni d’enfer ! Elle se laissa envahir par la volupté, apprécia ses coups de langue en lui maintenant la tête avec les mains contre son pubis épilé. Mais il avait une autre idée en tête : la retournant sur le ventre, il mit un préservatif et voulu s’introduire entre ses reins, ce qu’elle n’avait jamais fait et ne le voulait pas. Elle lui dit « Non pas ça, laisse-moi te chevaucher, et je veux ta queue nue, je ne supporte pas les capotes » , en lui arrachant le latex... Une fois sur lui, elle saisit son membre qui lui sembla bien gros pour sa petite chatte. Elle orienta son gland contre l’entrée de son vagin et le fit pénétrer en elle. « Il est très gros » pensa-t-elle, autant que celui de P.. « Peut-être plus long » car elle le sentait s’enfoncer encore et encore jusqu’à heurter sans ménagement son utérus qu’elle sentit repoussé. En grognant de plaisir il la baisa dans le noir, entrecoupé d’éclairs de chaleur ; il la fit gémir, elle sentait qu’elle viendrait vite car une queue inconnue baise mieux et donne plus de plaisir. Puis l’orgasme l’envahit brusquement, précisément lorsque je l’ai appelée. Elle tomba à plat ventre sur lui, écrasant ses seins sur son torse velu. « Je dois y aller tout de suite, mon mari m’attend » .. Etant sur le point d’éjaculer il la supplia de lui laisser le temps de jouir en elle ; ils continuèrent le temps qu’il vienne. Lorsqu’il se mit à rugir, elle sentit en elle la puissance du premier jet de sperme mais se dégagea rapidement, le laissant, la queue à la main, tirer sa semence vers les étoiles. Elle se rhabilla sommairement, ne retrouva pas sa petite culotte et fila à la voiture, ses bas et son soutif à la main. En me retrouvant elle avait honte : elle s’était laissée enfumer par cet homme et il l’avait même violée. ! « Tu as donc réalisé un de tes fantasmes ? » lui ai-je demandé. Elle m’avait répondu « oui, c’est le genre de beau mec inconnu, bien monté, qui correspond à mon idéal de violeur ! » En détaillant avec minutie cette aventure, elle savait que ça m’exciterait, que ça me ferait raidir la queue. Déjà elle pointait à la surface de l’eau, elle s’en saisit et se mit à en téter le gland pour mon plus grand plaisir ; il ne fallu guère de temps pour qu’un petit geyser en jaillisse..
Peu de temps après cette fête, l’hôtesse, notre amie, me téléphona. Après les remerciement et les parole d’usage au sujet de la santé et du temps qu’il faisait, elle demanda à parler à Victoire, qui était absente. Avec des précautions oratoires elle m’expliqua qu’elle était au courant de ce qu’il y avait eu entre Victoire et son grand ami. Cet ami l’avait appelée pour lui dire qu’il avait été très impressionné par Victoire, il ne connaissait pas son nom et aurait souhaité la revoir pour tout au moins lui rendre sa petite culotte qu’il avait gardée en souvenir. Elle lui avais dit qu’elle transmettrait. Réaction de Victoire : « quel cuistre, il n’a qu’à la manger ma petite culotte… mais qu’est-ce qu’il baise bien ! ». On en est resté là.
Une semaine est passée sans qu’elle ne me parle de P.. son amant. Un soir elle m’a exhibé fièrement sa petite culotte qu’elle avait récupérée.. « Tu sais bien , celle avec des petites étoiles que j’avais perdue le soir de la fête chez T ! » Comment avait-elle fait ? Mais pardi ! en allant la chercher chez celui qui la lui avait subtilisée voyons ! Elle avait retrouvé sa trace grâce à notre amie T.. et avait été le voir. Et après ? Eh bien ils se sont fait un câlin, enfin un peu plus.. Mais encore ? Il l’avait baisée en échange de sa petite culotte, c’est aussi simple que ça ! C’est ce qu’on appelle du « win-win » !
Je lui ai demandé si elle comptait en faire un nouvel amant en plus de P... Elle a pouffé ! Je n’en ai rien tiré de plus ce soir-là. Quelques semaines plus tard, P.. étant en voyage en Afrique chez un ami Nigérien, et moi à l’étranger pour affaires, j’ai voulu savoir si elle avait trouvé un substitut à nos absences. Elle a ri, comme souvent quand elle se trouvait embarrassée. Me montrant plus pressant, elle avoua. Oui, elle avait été retrouver son « beau violeur » ! « Il a remplacé P.. et je n’ai pas eu à le regretter ! »
Elle avoua que ça s’était passé une dizaine de fois.. pas plus ! « Je ne te l’ai pas dit mais il est marié avec enfants, ça compliquait les choses ! »
Quelques jours plus tard elle reprenait « du service » avec P.. comme elle disait et elle ne me parla plus du beau violeur. Mais elle était contrariée car elle savait que son amant avait noué une liaison avec une jeune femme, une cliente à lui. Elle lui a envoyé un ultimatum téléphonique : c’était l’autre ou elle. Elle eut gain de cause.
L’automne arriva, le temps se gâcha, et les ardeurs faiblirent avec la température.
Les semaines passèrent, elle lui rendait visite moins souvent, une à deux nuits par semaine, parfois l’après-midi mais était-ce avec lui ? Je ne l’aurais pas juré.. Mais nous nous retrouvions avec plaisir les autres nuits et les week-end avec les enfants.
claire95, DANA, Danimendu et 23 autres a liké
#2698235
Bonjour je me répète mais quel amour !
l’innocence égoïste que le candaulisme révèle de nos princesses certes nous nourri, mais nous meurtri aussi , vos récits sont si beaux et si purs qu’ils rendent naturelle l’attitude de Victoire (comme celle de nos épouses aussi ) , mais qu’en est t il de vous ? Les blessures , les doutes pouvez vous nous en parler .
#2698243
@trestigres encore un superbe récit.
Victoire incarne à la perfection le dicton : « on lui donnerait le bon Dieu sans confession ».
Derrière ce visage d’ange, doux, plein de tendresse et de sérénité, se cache une panthère excitante et excitée, une femelle aux ardeurs bouillonnantes qui croque la vie, les hommes et leurs queues à pleines dents.
L’interface entre ces deux côtés de sa personnalité se situe dans ses très jolis yeux mutins, taquins, pleins de vie et de malice. J’en imagine la couleur changer au gré de ses envies et de ses désirs, comme la Méditerranée au gré du soleil et du vent. <3
sergio a liké
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