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C'est dans cette partie réservée du forum cando que les membres sont invités à partager et échanger toutes sortes de contenus médiatiques en lien avec le candaulisme.

Ici, les amateurs de ce fantasme sont encouragés à poster et mettre en ligne des vidéos coquines, des photos suggestives, des enregistrements sonores évocateurs ou toute autre production visuelle et auditive représentant des scènes candaulistes.

Que ce soit pour montrer fièrement sa propre compagne ou épouse, pour exhiber le cocu de service soumis à cette pratique, pour commenter et discuter autour de ces contenus ou simplement pour jouer et interagir grâce aux images, vidéos et sons érotiques publiés, cette section du forum regroupe tout ce qui a trait de près ou de loin au candaulisme.

C'est un espace privilégié pour celles et ceux qui souhaitent partager leur intérêt pour cette déviance sexuelle, échanger sur leurs expériences et fantasmes, se découvrir de nouvelles pratiques ou plus simplement se délecter du plaisir coupable que procure l'observation de ces contenus tabous.

Bref, tout amateur de candaulisme, du plus timide au plus assumé, trouvera ici de quoi assouvir sa curiosité et nourrir ses fantasmes les plus intimes. Cette partie du forum cando est entièrement dédiée au partage et à la mise en commun de tout ce qui touche de près ou de loin aux images, vidéos et sons à caractère candauliste.
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#2149314
Je sens que la tension est montée d’un cran dans la pièce.
Je l’aide à se redresser. Sa jupe retombe voilant à nouveau ses fesses.
J’essaie de la remonter à nouveau, mais quand Isabelle est debout, rien à faire : elle glisse et retombe. Qu’à cela ne tienne, je vais mettre la belle à contribution.
« Isabelle, tenez le bas de votre jupe à deux mains pour l’empêcher de redescendre et de nous cacher vos trésors… »
Elle hésite et je suis obligé de guider ses mains jusqu’à l’ourlet de sa jupe pour qu’elle fasse ce que je lui demande.
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« C’est bien, ma belle. Vous voyez, les menottes vous laissent juste l’usage de vos mains pour ce qui est utile. Pour le reste vous n’aurez pas besoin de vos mains… »
Je guide Isabelle vers le dossier d’un fauteuil contre lequel je la courbe en avant.
Basculant en avant, elle pousse un petit cri. Je la rassure en la retenant d’une main.
Dans son affolement, elle a lâché sa jupe. Mais courbée en avant comme elle l’est ce n’est plus un problème. Je glisse main entre ses cuisses et je remonte lentement le tissu.
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Je dégage complètement ses fesses que je parcours de la paume de ma main.
Sa peau est un délice de douceur. La sentir frémir sous mes doigts me donne envie de la prendre, là maintenant. Mais, ce n’est pas encore le moment. Pour qu’Isabelle abandonne toute pudeur et devienne la merveilleuse soumise que nous avons fait d’elle, il faut procéder avec lenteur et méthode. Pour faire monter la tension, jusqu’au moment où elle basculera et s’offrira à toutes nos fantaisies.
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Je glisse lentement ma main entre ses globes fessiers, et par la déchirure de son slip, je m’enfonce sans difficulté dans son intimité de plus en plus trempée. Elle aime cette lenteur lancinante qui est la mienne pour prendre possession d’elle.
Il faut retarder au maximum le moment de la première pénétration. La laisser dans le doute. Quel orifice utilisera-ton en premier ? Son ventre ? Son anus ? Sa bouche ?
Ces interrogations et la tension qu’elles génèrent agissent comme une bombe à retardement. Je sais que son plaisir et le nôtre n’en seront que plus intense.
Je prends possession plus fermement et plus profondément de son ventre, lui arrachant un hoquet et une longue expiration. J’écarte largement le fond en lambeaux de son slip pour ouvrir un peu plus les lèvres trempées de son sexe.
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Puis avant qu’elle n’ait le temps de réagir, je retire mes doigts de son sexe et découpe rapidement ce qui reste de son slip. Presque brutalement. Je sens une sorte de panique l’envahir à cette accélération subite des choses. Elle bloque sa respiration et se tend d’un coup.
Les lambeaux de son slip ne cachent plus rien désormais. Et sa position nous dévoile son sexe et son anus. Sa tension est telle qu’on voit palpiter le petit œillet et les lèvres ouvertes et de plus en plus gonflées de sa délicieuse fente.
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Je marque une petite pause pour la laisser reprendre son calme et son souffle. Pour ne pas rompre la magie du moment.
Pour ne pas que tout s’arrête pour un mot ou un geste. Cette alchimie psychologique est si fragile. Il ne faut pas a brusquer. Pas encore. Pas tout de suite.
Elle a découvert tant de choses ces derniers mois. Elle a franchi tant d’étapes pour vaincre ses peurs et ses tabous. Je n’aurais jamais imaginé qu’elle puisse devenir une soumise de ce niveau. La première fois que je l’ai rencontrée, j’ai été saisi par son charme, sa beauté et sa douceur. Sa timidité et les premiers efforts qu’elle a faits pour progresser lui ont couté. Sa volonté d’aller au-delà de ce qu’elle se croyait capable de faire et d’accepter, son lâcher prise avec moi, m’ont sincèrement touché. Au début, je sais qu’elle a accepté pour son mari.
Les premières étapes ont été très soft. Nous partions de loin.
Isabelle était, comme me l’avait dit Jean lors de nos longues discussions préalables, une amante irréprochable qui ne refusait que rarement l’acte. Elle se laissait guider. Elle acceptait diverses positions, elle suçait son mari quand il le lui demandait, mais refusait qu’il jouisse dans sa bouche et n’avait jamais accepté la sodomie. Et pour elle, l’acte sexuel ne se concevait que dans le lit conjugal.
Nous avons commencé par l’encourager à porter des vêtements plus sexy. Nous avons fait les boutiques ensemble, tous les trois. Il était convenu que je choisissais une tenue sur trois. Elle pouvait donc en refuser deux à chaque fois. Puis nous avons fait la même chose pour ses dessous. Le plus incongru de l’histoire, c’est que ce shopping pour refaire sa garde-robe, s’est déroulé sur au moins deux mois. Nous nous voyions tous les week-ends, nous déjeunions et dinions ensemble chez eux, chez moi ou au restaurant. Et pendant cette période, je n’ai pas touché Isabelle une seule fois. Je ne l’ai pas vue nue, même pas en sous-vêtements. Je l’ai vue nue pour la première fois, un soir chez eux au moins 2 mois après notre première rencontre à trois. Ensuite tout est allé un peu plus vite puisque je l’ai caressée et prise devant son mari la semaine suivante. Ce fut le début d’une merveilleuse complicité à trois. Isabelle était comme un coffre-fort à plusieurs serrures. Vous ne pouvez pas imaginer quelle jouissance c’était quand je trouvais la bonne combinaison pour une d’entre elles. Jusqu’à ce qu’elles s’ouvrent toutes et que je découvre le trésor de soumise qu’il renfermait. Un jour, je vous raconterais cette merveilleuse aventure.
Pour ce soir, nous laisserons Isabelle menottée, troussée et courbée sur ce fauteuil, son slip en lambeaux.
A suivre
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#2149770
Isabelle est courbée sur le fauteuil, immobile. Seule sa respiration rapide imprime un léger mouvement régulier à son buste. La tête baissée, son cœur doit battre la chamade et ses idées s’entrechoquer dans son esprit.
Il est temps de franchir une étape et de la dénuder encore un peu plus. Lui retirer ce qui reste de son slip la rendra un peu plus vulnérable, totalement offerte à nos regards. Avant de l’être à toutes nos volontés.
Je saisis l’arrière de son slip.
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Je saisis mon canif. Il n’y a plus un bruit dans la pièce. On n’entend plus que la respiration d’Isabelle.
Le contact de la lame froide contre sa peau la fait frémir. J’en promène le plat doucement sur sa hanche. Je parcours l’arrondi de la fesse, puis je fais glisser la lame sur l’intérieur de la cuisse, là où la peau est la plus fine et la plus sensible. Puis je remonte contre son ventre, effleurant ses lèvres et j’écarte le slip avec la lame.
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D’un coup sec, je déchire le fond du slip, puis je tranche rapidement les deux cotés et l’élastique. Je saisis l’étoffe en lambeau entre mes doigts et en débarrasse définitivement Isabelle.
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Je le laisse choir au sol.
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« Voilà… Notre douce amie est prête à nous offrir ses délicieux orifices… Voyez ces merveilles qu’elle nous cachait. Vous verrez, elle est très agréable à prendre… Il faudra la pénétrer avec prudence quand vous la sodomiserez. Elle n’est utilisée par-là que depuis peu de temps. Elle appréhende encore un peu et elle se crispe parfois. Vous verrez, les contractions de son petit œillet sont très agréables. Vous allez adorer, j’en suis sûr… »
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A suivre
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#2156189
Maintenant que le ventre et les reins d’Isabelle sont dénudés, je peux passer à un autre centre d’intérêt de son anatomie. Ses seins sont également d’adorables compagnons de jeu.
Très sensibles, ils font réagir la belle à la moindre caresse. Il est temps de les dévoiler.
Je la fais se redresser à nouveau et la fais pivoter sur elle-même, face à nos invités.
« Votre décolleté est ravissant, ma chère Isabelle. Mais un peu trop sage à mon goût… Pourquoi dissimuler ces merveilles que la nature vous a donné ? »
Je défais un bouton de son chemisier. Je la sens frissonner.
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Puis je glisse ma main dans l’ouverture. Ma paume effleure l’arrondi du sein. Je vois ses narines frémir à ce contact. Elle tente de maîtriser sa respiration.
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Du doigt, j’écarte négligemment les deux pans de tissu pour agrandir le décolleté. Un peu comme on écarte un rideau pour voir le paysage. L’arrondi du sein apparaît.
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J’ouvre encore plus le chemisier pour dévoiler son soutien-gorge et les trésors qu’il dissimule encore.
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Je fais glisser mon doigt sur la courbe du sein, jusqu’à la lisière du bonnet que j’abaisse lentement. Laissant apparaître entièrement un sein et un adorable téton.
Je me garde bien d’y toucher à nouveau. Je l’effleure juste du bout du doigt.
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Je m’en occuperais plus tard… Il faut d’abord continuer à mettre à nu ces trésors

A suivre
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#2158124
Face à nos invités, j’abaisse les bonnets du soutien-gorge pour les replier sous les seins d’Isabelle.

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La voilà seins nus devant nous. Offerte.
Je sens sa confusion. Elle détourne la tête. Ses pensées sous son bandeau sont de plus en plus confuses. Je repousse ses cheveux pour que rien ne vienne gêner la vue sur ces deux merveilles qui s’offrent à nous.
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« Voilà messieurs, Isabelle vous offre ses derniers secrets. Ils sont très sensibles, vous aurez l’occasion de vous en rendre compte… Ses tétons, particulièrement… Tendres et fragiles, vous pourrez jouer avec tout à l’heure… »
Je saisis le petit bouton rose, que je fais rouler entre mes doigts. Isabelle gémit longuement.
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Je passe derrière Isabelle et d’un geste rapide, je coupe l’agrafe du soutien-gorge.
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Puis saisissant la dentelle à l’entre sein, je sépare les bonnets. J’en libère entièrement les seins, avant de trancher les bretelles et la débarrasser complètement des lambeaux de dentelle.
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A suivre
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couplemixte75, olch, Titbite et 2 autres a liké
#2159005
Immobile, elle tente de maitriser l’espèce de panique qui la saisit à se sentir de plus en plus nue. Son cœur bat à tout rompre et son buste se soulève au rythme de sa respiration.

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Je ne lui laisse pas le temps de reprendre ses esprits. Je saisis les deux pans du chemisier et les écarte brutalement de haut en bas, faisant sauter tous les boutons.

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Sa respiration se bloque mais paradoxalement, elle se calme et ne bouge plus. Comme figée.
Son ventre apparait, plat, sans aucun défaut. Voilà Isabelle encore un peu plus nue. Un peu plus offerte aux désirs de nos invités et à mes fantaisies.

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J’écarte d’un doigt les deux pans du chemisier qui s’obstinent à venir recouvrir les seins de la belle.

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Ses seins libres frémissent et bougent délicieusement au moindre mouvement, même infime. Son buste nu est soulevé par le rythme de plus en plus rapide de sa respiration qu’elle ne maîtrise plus. Isabelle suffoque presque. Elle est en train de basculer. Elle va bientôt plonger sans résistance dans le monde clair-obscur que je lui fais explorer depuis le début de notre aventure à trois. Ce monde dont franchir la porte l’effraie, la terrorise même. Il faut ma main ferme et mes mots pour qu’elle nous y suive. La jouissance incomparable qu’elle y connait est la plus sûre garantie qu’elle accepte toujours d’y revenir.
Un de ses tétons darde insolemment. Celui du sein que j’ai mis à nu et titillé tout à l’heure.
Elle réagit, au geste et au toucher bien sûr mais aussi au regard… Preuve de sa sensualité incontrôlable dont nous allons pouvoir profiter tout à l’heure…
Pour l’heure, je me contente de saisir l’autre sein à pleine main et d’en presser la glande entre mes doigts, comme si je voulais y imprimer ma marque. Le sein est d’une fermeté et d’une souplesse remarquable. Isabelle gémit doucement et se penche vers l’avant dans un mouvement dérisoire pour atténuer la pression sur sa chair.

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A suivre
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#2159044
Sans lui laisser de répit, j’achève de découper son chemisier au niveau de ses bras et au-dessus des menottes qui entravent toujours ses poignets.
Je croise le regard de Jean.
« Au fait Jean, vous avez apporté des vêtements pour votre femme ? Je crains qu’elle ne soit guère vêtue tout à l’heure. Vous savez qu’à part ses escarpins qu’elle ne quittera pas, elle finira totalement nue … »
« Oui, oui… Ne vous inquiétez pas… Continuez… J’ai amené son imper. De toute façon, vu le spectacle que vous nous offrez et ce qui attend encore Isabelle, je préfère qu’elle ne soit pas trop habillée pour repartir… Je ne sais pas si je pourrais attendre d’être rentrés chez nous pour profiter d’elle à mon tour. L’imper ce sera très bien. Je pourrais la caresser et l’explorer un peu dans la voiture et si je ne peux pas attendre, elle me soulagera en roulant. Ou je m’arrêterais dans un endroit tranquille pour la prendre…nous verrons. Et ensuite, comme les enfants sont chez leurs grands-parents, je pourrais profiter de ma chérie ou et comme bon me semble une fois dans notre maison… Mais continuez, Erwin, continuez à la préparer pour la suite de la soirée… J’adore la voir ainsi. Mon tour viendra après… »
En entendant les mots de son mari, Isabelle se mord nerveusement les lèvres et rentre inconsciemment ses épaules, comme pour protéger un peu des regards son buste nu.
La nuit va être longue pour elle. Elle le sait. Elle ne sera plus qu’une poupée exténuée dans les bras de son mari et elle s’endormira dans une ultime jouissance. Comme à chaque fois…
Jean la portera sans doute jusqu’à la salle de bain, pour la laver. Elle se laissera faire, pantelante. Il la nettoiera doucement, faisant disparaitre sur elle et en elle les parfums et les traces de cette soirée… Il calmera ses irritations et ses rougeurs avec un baume apaisant.
L’appliquant avec lenteur et douceur sur ses muqueuses meurtries. Peut-être cela éveillera-t-il en lui un ultime désir d’elle. La main de Jean sur sa nuque, Isabelle comprendra que sa bouche va, une dernière fois, être mise à contribution cette nuit…

Mais pour l’heure, Isabelle est là debout devant nous… elle ne porte plus que sa jupe, ses bas et ses escarpins. Je pose mes mains sur ses épaules pour la faire se redresser.
« Allons, ma belle. Redressez-vous… Laissez votre poitrine prendre son aise. Vos seins sont si beaux… N’est-elle pas sublime, messieurs ? »

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Les murmures et les commentaires font monter le rouge aux joues d’Isabelle. Sa respiration s’accélère encore. Je pourrais la livrer ainsi à nos invités, mais je veux encore profiter un moment de ses seins magnifiques. Egoïstement.
Je les saisis par le dessous et presse la chair entre mes doigts… Ils sont doux et tendres. Fragiles et toniques à la fois…

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Mes mains remontent et saisissent brusquement ses deux tétons. Elle pousse un petit cri.
J’affermis ma prise et étire les seins en écrasant un peu plus la chair tendre des pointes de ses seins.

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Elle sait combien j’affectionne de m’occuper longuement de ses seins. Leur sensibilité irradie dans tout son corps. Tout en m’occupant de sa poitrine, un souvenir me revint en mémoire.
Elle nous avait avoué un jour que ses seins lui avaient fait faire une folie après un de nos après-midi surprise… Ce jour-là nous avions porté une attention toute particulière à ses rondeurs mammaires (avec notamment un massage très poussé avec une huile chauffante et des élastiques de compression). Nous prenions tellement de plaisir à la voir gémir et jouir. Tandis qu’un de nous deux la prenait, l’autre s’occupait sans répit de ses seins, les pressant, les étirant, les mordant. Nous n’avions pas vu le temps passer… Nous devions, Jean et moi retourner à nos occupations et Isabelle devait aller chercher ses enfants à l’école. Je la débarrassais rapidement des élastiques qui comprimaient la base de ses seins. Et tandis qu’elle se rhabillait en hâte, Je voyais ses seins rougis, luisants, bouger gracieusement au gré de ses mouvements. Elle remit son soutien-gorge avec une petite grimace de douleur et finit de se préparer pour partir en hâte.
Elle nous avoua donc que marchant vers sa voiture, elle sentait ses seins, plus présents que d’habitude. Palpitants, plus lourds aussi. Et en conduisant, cette sensation s’amplifia et irradia tout son corps, faisant monter en elle un désir irrépressible. Elle sentait son sexe et son anus palpiter, encore électrisés sans doute par les pénétrations de l’après-midi. Elle s’arrêta en hâte dans une petite rue et ouvrant son Jeans, elle plongea sa main entre ses cuisses. La jouissance fut presque instantanée. Ses amies devant l’école se sont surement demandé pour quoi ses joues étaient si rouges, mais devant son air un peu absent, aucune ne posa de question. Les jambes flageolantes, elle récupéra ses enfants, se penchant avec peine pour les embrasser. Elle repartit vers sa voiture, en sentant son entrejambes inondé…. Priant pour qu’aucune auréole ne soit visible.
Quand elle nous raconté cette anecdote, un soir, leu feu monta immédiatement à ses joues et la soirée fût, comme souvent délicieuse et torride.

Je continue à échauffer la peau et la chair des seins d’Isabelle, avec toujours plus de fermeté et de force. Elle aime être traitée avec rudesse dans ces moments là

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J’étire les seins et éprouver leur élasticité. Isabelle rejette la tête en arrière en réprimant un long gémissement.
Je lâche les tétons brusquement pour laisser retomber les seins dans leur position naturelle dans un mouvement charmant.

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A suivre
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Je m’attarde désormais sur les tétons, les faisant rouler entre mes doigts.

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Leur imprimant un mouvement de torsion.

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« Voilà Isabelle… Ils sont à point… c’est comme ça que j’aime voir les pointes de vos seins. Dures et tendues… Une sorte de baromètre de votre désir… Messieurs, Isabelle va bientôt être prête à satisfaire tous les vôtres… »

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Je croise le regard de Jean. Nous nous comprenons tous les deux. Je me recule et le laisse approcher de son épouse. Il passe derrière elle et la saisit par les seins. Il se penche et lui murmure à l’oreille :
« Tu es magnifique ma chérie… J’aime quand tu t’abandonnes comme ça. Mais je te veux encore plus chienne… Plus soumise encore… Erwin va te poser une pince là où tu sais, Isabelle. Je sais que tu n’aimes pas ça au début… mais tu sais l’effet que ça te fait après… Tu jouiras tellement plus fort…»

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«Allez y Erwin… Qu’elle continue à ressentir une pression et une présence étrangère sur son sein pendant encore un moment… Ca va la rendre folle, notre chère petite catin… »
Je m’approche et sans la toucher directement, je place la pince autour de son téton.

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A suivre…
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Je relâche le ressort d’un coup. La pince enserre le téton.

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Elle pousse un bref cri, Le souffle coupé…
Jean la réconforte en la serrant contre lui un instant avant de la laisser subir la suite de mes fantaisies.

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Elle halète très fort à présent et semble ne plus pouvoir se maîtriser…
Dans un souffle, elle murmure :
« J’ai mal… s’il vous plaît… »
La pince doit être mal positionnée, puisque d’habitude, elle les supporte sans trop d’efforts. Je la remets en place, mais en lui appliquant une légère torsion cette fois.

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Là, elle pousse carrément un cri et lâche brusquement :
« POURPRE ! »
Le mot d’arrêt.
Je retire immédiatement la pince et examine son téton. Il présente une minuscule excroissance de chair. C’est ce petit bouton qui doit être très douloureux.
Jean s’est approché à son tour et je lui montre la petite lésion.
Il me regarde interrogatif puis demande aussitôt à son épouse si elle souhaite que nous arrêtions définitivement la soirée.
Elle ne bouge pas et reste silencieuse. On entendrait une mouche voler dans la pièce.
Elle inspire longuement et ouvre la bouche. Aucun son ne sort.
Elle baisse la tête. Le temps s’arrête.

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Puis elle fait non en bougeant lentement la tête de droite à gauche. Lentement.
Des murmures de soulagement s’élèvent dans la pièce.
Je les fais taire d’un geste.
J’attends quelques instants puis je dis doucement :
« Isabelle, vous êtes sûre que vous voulez reprendre là ou nous nous sommes arrêtés ?
Je ne mettrais plus de pinces à vos seins ce soir… Ca vous convient ? »
Elle hoche cette fois la tête de haut en bas.
« Bien. C’est entendu… continuons… Vous savez qu’un refus vaut un gage. Je vous ai promis de ne plus mettre de pinces à vos seins, mais je n’ai pas dit que je n’ornerais pas une autre partie de votre anatomie avec cette pince tout à l’heure… Ce sera votre punition pour n’avoir pas été assez courageuse… Mais je suis sûr que vous saurez vous rattraper tout à l’heure en vous pliant à toutes les envies de nos invités… »
Elle relève la tête à ces mots. Elle devine surement quelle partie tendre de son corps va subir la morsure la pince… Elle l’a déjà expérimenté, en même temps que sa découverte de la cravache.
Pour ma part, je suis contrarié, car m’occuper de ses seins, en alternant douceur et rudesse est un des moteurs de son excitation. Et pour être tout à fait honnête, cela fait toujours monter en moi une très violente excitation. Je veux donc vérifier si la douleur est juste localisée ou si nous devrons imposer des limites à la manipulation de ses seins pour la soirée. Ce qui serait fort dommage.
« Si je vous fais trop mal à nouveau, prononcez à nouveau le mot d’arrêt… dans ce cas, nous arrêterons la soirée… »
En lui mettant ce marché sans nuances entre les mains, je fais le pari qu’elle est suffisamment excitée physiquement pour ne pas vouloir y renoncer et qu’elle n’exagérera pas la douleur. Même si je sais que sa raison va la pousser à fuir ce qui l’attend…
Je saisis à nouveau brusquement ses seins à deux mains et je l’attire rudement contre moi.

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Elle pousse un cri, plus de surprise que de douleur.
Je malaxe alors ses seins, les étirant en tous sens, les pinçant, les pressant entre mes doigts. Elle gémit et se mord les lèvres. J’insiste un moment.
Aucun mot ni son ne sort de sa bouche. Elle se mord la lèvre.
Je relâche ma prise. La soirée va pouvoir continuer.
La tension est forte dans toute la pièce et avoir travaillé ainsi ses seins fait monter en moi une excitation extrême. Mais je dois garder le contrôle de moi-même et de la soirée…

A suivre
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#2160244
Ses seins échauffé et malaxés ses seins pendant un moment, Isabelle vacille, à bout de souffle.
Ses seins gonflés au rythme de son souffle. Les aréoles et les tétons rougis pointent, palpitants. L’aréole du téton douloureux semble plus gonflée que l’autre. Mais Isabelle n’a pas eu de réaction particulière de douleur quand je l’ai travaillé.
Dans nos jeux, un jour ou ses seins avaient subi un traitement assez rude, elle nous avait avoué, rougissante, que la douleur qui irradiait ses seins, l’avait fait mouiller. Nous avions bien noté dans ce détail dans notre mémoire et nous nous en sommes servi à de nombreuses reprises lors d’autres séances. Pour le plus grand plaisir de nous trois.
Je m’écarte sur le côté pour laisser nos invités admirer le résultat.

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A suivre...
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#2160278
Depuis quelques temps, j’ai pris l’habitude de faire parfois une petite pause dans la séance pour faire redescendre la pression. En grande partie en raison de la sensualité débordante qui submerge Isabelle et transforme la jeune femme sage en délicieuse soumise quand on sait déchiffrer le mécanisme de sa psychologie pour faire monter le feu en elle.
Faire redescendre la pression, donc. Mais pas sa pression à elle, cette fois. La mienne…
Parfois, je stoppe brutalement nos jeux et je prends Isabelle une première fois pour me soulager et garder la tête froide pour la suite de la séance.
Elle le sait, elle s’y attend mais ça la surprend toujours et cela trouble énormément d’être prise comme ça, brusquement. Elle ne sait jamais comment elle sera utilisée pour ma jouissance. Mais ça n’arrive pas toujours…
D’ailleurs, elle ne sait jamais à quoi s’attendre. C’est un de nos principes. Une des clés.

D’une pression sur ses épaules, je l’invite à s’agenouiller.
Je sens une légère résistance à la pression de ma main. Et je m’aperçois qu’elle a réussi à rabaisser l’arrière de sa jupe pour couvrir ses fesses malgré ses menottes.

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« Vous n’êtes vraiment pas coopérative, Isabelle… Si j’ai remonté votre jupe sur vos reins, c’est justement pour que vos fesses soient nues et bien visibles… »
Je la prends par le bras pour la faire avancer vers le centre de la pièce.
« Pourquoi vouloir nous priver de la vue de vos trésors… Vous êtes venue pour qu’on les voie et pour qu’on s’en occupe, non… ? Et c’est ce que nous allons faire… Penchez-vous en avant, s’il vous plait… »
La tenant par les bras, je la fais se courber en avant.

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Je repousse ses mains menottées haut dans son dos pour bien dégager ses reins, puis lentement, je remonte sa jupe.

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Je dégage complètement ses fesses en roulant sa jupe autour de sa taille.

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Ses fesses sont totalement nues. J’en prends possession fermement d’une main.
Elle ne bouge plus. Sans réaction.

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Elle attend la suite que son corps appelle et que son esprit refuse encore.
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