- 18 mai 2018, 13:28
#2164419
J’aime ce moment qui symbolise, à mon sens, toute la mécanique complexe de notre relation à trois.
A travers moi, Jean domine Isabelle. Et Isabelle se livre à Jean en se soumettant à moi.
Nous y trouvons tous trois un plaisir intense.
Jean et Isabelle entretiennent une relation amoureuse très forte. Mais leurs sentiments forment paradoxalement une espèce de barrière qui les empêchait d’explorer seuls une partie de leurs fantasmes respectifs. Un réflexe inconscient et compréhensible.
Même s’il ne s’agit que de jeux, comment un homme qui aime sa femme peut-il admettre et surtout avouer son envie de la traiter rudement ? Comment lui dire qu’il veut la dominer, en faire son jouet sexuel, alors qu’il la respecte plus que tout au monde ?
Comment une femme moderne, forte, libre et intelligente pourrait-elle avoir envie d’être traitée et rabaissée de la sorte ? Quand bien même elle en aurait envie, comment pourrait-elle avouer une chose pareille à l’homme qu’elle aime ?
Dans un couple, il y a toujours une part d’ombre. Des choses, des peurs et des envies inavouables. Des choses qu’on garde en soi de peur de blesser l’autre. On appelle ça pudiquement son « jardin secret ».
On l’ouvre et on le partage en partie avec celui ou celle qu’on aime. Mais il reste toujours une cabane au fond de ce jardin dont on garde la clé bien cachée.
C’est cette clé de leurs fantasmes les plus secrets qu’Isabelle et Jean ont tous deux accepté de me confier.
Je ne suis que le traducteur et le metteur en scène de ces fantasmes. Jean ne peut pas traiter Isabelle comme je la traite et Isabelle n’accepterait jamais que Jean la traite ainsi.
M’offrir ainsi sa bouche est à la fois un signe d’acceptation de la part d’Isabelle, mais aussi de son pouvoir. Elle se soumet à mes désirs mais garde toujours une forme de contrôle. Au fond, c’est elle qui maitrise la situation à ce moment précis.
Ne jamais oublier que c’est la soumise qui fait le maître, et pas l’inverse….
Au tout début de notre relation, il s’agissait juste de les aider à communiquer ensemble sur leur sexualité. Je n’imaginais pas alors ce que j’allais découvrir dans leur cabane à fantasmes respectifs et ou cela nous mènerait. J’y reviendrais sans doute dans un autre post.
J’aime ce moment qui symbolise, à mon sens, toute la mécanique complexe de notre relation à trois.
A travers moi, Jean domine Isabelle. Et Isabelle se livre à Jean en se soumettant à moi.
Nous y trouvons tous trois un plaisir intense.
Jean et Isabelle entretiennent une relation amoureuse très forte. Mais leurs sentiments forment paradoxalement une espèce de barrière qui les empêchait d’explorer seuls une partie de leurs fantasmes respectifs. Un réflexe inconscient et compréhensible.
Même s’il ne s’agit que de jeux, comment un homme qui aime sa femme peut-il admettre et surtout avouer son envie de la traiter rudement ? Comment lui dire qu’il veut la dominer, en faire son jouet sexuel, alors qu’il la respecte plus que tout au monde ?
Comment une femme moderne, forte, libre et intelligente pourrait-elle avoir envie d’être traitée et rabaissée de la sorte ? Quand bien même elle en aurait envie, comment pourrait-elle avouer une chose pareille à l’homme qu’elle aime ?
Dans un couple, il y a toujours une part d’ombre. Des choses, des peurs et des envies inavouables. Des choses qu’on garde en soi de peur de blesser l’autre. On appelle ça pudiquement son « jardin secret ».
On l’ouvre et on le partage en partie avec celui ou celle qu’on aime. Mais il reste toujours une cabane au fond de ce jardin dont on garde la clé bien cachée.
C’est cette clé de leurs fantasmes les plus secrets qu’Isabelle et Jean ont tous deux accepté de me confier.
Je ne suis que le traducteur et le metteur en scène de ces fantasmes. Jean ne peut pas traiter Isabelle comme je la traite et Isabelle n’accepterait jamais que Jean la traite ainsi.
M’offrir ainsi sa bouche est à la fois un signe d’acceptation de la part d’Isabelle, mais aussi de son pouvoir. Elle se soumet à mes désirs mais garde toujours une forme de contrôle. Au fond, c’est elle qui maitrise la situation à ce moment précis.
Ne jamais oublier que c’est la soumise qui fait le maître, et pas l’inverse….
Au tout début de notre relation, il s’agissait juste de les aider à communiquer ensemble sur leur sexualité. Je n’imaginais pas alors ce que j’allais découvrir dans leur cabane à fantasmes respectifs et ou cela nous mènerait. J’y reviendrais sans doute dans un autre post.
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.