Sans lui laisser de répit, j’achève de découper son chemisier au niveau de ses bras et au-dessus des menottes qui entravent toujours ses poignets.
Je croise le regard de Jean.
« Au fait Jean, vous avez apporté des vêtements pour votre femme ? Je crains qu’elle ne soit guère vêtue tout à l’heure. Vous savez qu’à part ses escarpins qu’elle ne quittera pas, elle finira totalement nue … »
« Oui, oui… Ne vous inquiétez pas… Continuez… J’ai amené son imper. De toute façon, vu le spectacle que vous nous offrez et ce qui attend encore Isabelle, je préfère qu’elle ne soit pas trop habillée pour repartir… Je ne sais pas si je pourrais attendre d’être rentrés chez nous pour profiter d’elle à mon tour. L’imper ce sera très bien. Je pourrais la caresser et l’explorer un peu dans la voiture et si je ne peux pas attendre, elle me soulagera en roulant. Ou je m’arrêterais dans un endroit tranquille pour la prendre…nous verrons. Et ensuite, comme les enfants sont chez leurs grands-parents, je pourrais profiter de ma chérie ou et comme bon me semble une fois dans notre maison… Mais continuez, Erwin, continuez à la préparer pour la suite de la soirée… J’adore la voir ainsi. Mon tour viendra après… »
En entendant les mots de son mari, Isabelle se mord nerveusement les lèvres et rentre inconsciemment ses épaules, comme pour protéger un peu des regards son buste nu.
La nuit va être longue pour elle. Elle le sait. Elle ne sera plus qu’une poupée exténuée dans les bras de son mari et elle s’endormira dans une ultime jouissance. Comme à chaque fois…
Jean la portera sans doute jusqu’à la salle de bain, pour la laver. Elle se laissera faire, pantelante. Il la nettoiera doucement, faisant disparaitre sur elle et en elle les parfums et les traces de cette soirée… Il calmera ses irritations et ses rougeurs avec un baume apaisant.
L’appliquant avec lenteur et douceur sur ses muqueuses meurtries. Peut-être cela éveillera-t-il en lui un ultime désir d’elle. La main de Jean sur sa nuque, Isabelle comprendra que sa bouche va, une dernière fois, être mise à contribution cette nuit…
Mais pour l’heure, Isabelle est là debout devant nous… elle ne porte plus que sa jupe, ses bas et ses escarpins. Je pose mes mains sur ses épaules pour la faire se redresser.
« Allons, ma belle. Redressez-vous… Laissez votre poitrine prendre son aise. Vos seins sont si beaux… N’est-elle pas sublime, messieurs ? »
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Les murmures et les commentaires font monter le rouge aux joues d’Isabelle. Sa respiration s’accélère encore. Je pourrais la livrer ainsi à nos invités, mais je veux encore profiter un moment de ses seins magnifiques. Egoïstement.
Je les saisis par le dessous et presse la chair entre mes doigts… Ils sont doux et tendres. Fragiles et toniques à la fois…
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Mes mains remontent et saisissent brusquement ses deux tétons. Elle pousse un petit cri.
J’affermis ma prise et étire les seins en écrasant un peu plus la chair tendre des pointes de ses seins.
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Elle sait combien j’affectionne de m’occuper longuement de ses seins. Leur sensibilité irradie dans tout son corps. Tout en m’occupant de sa poitrine, un souvenir me revint en mémoire.
Elle nous avait avoué un jour que ses seins lui avaient fait faire une folie après un de nos après-midi surprise… Ce jour-là nous avions porté une attention toute particulière à ses rondeurs mammaires (avec notamment un massage très poussé avec une huile chauffante et des élastiques de compression). Nous prenions tellement de plaisir à la voir gémir et jouir. Tandis qu’un de nous deux la prenait, l’autre s’occupait sans répit de ses seins, les pressant, les étirant, les mordant. Nous n’avions pas vu le temps passer… Nous devions, Jean et moi retourner à nos occupations et Isabelle devait aller chercher ses enfants à l’école. Je la débarrassais rapidement des élastiques qui comprimaient la base de ses seins. Et tandis qu’elle se rhabillait en hâte, Je voyais ses seins rougis, luisants, bouger gracieusement au gré de ses mouvements. Elle remit son soutien-gorge avec une petite grimace de douleur et finit de se préparer pour partir en hâte.
Elle nous avoua donc que marchant vers sa voiture, elle sentait ses seins, plus présents que d’habitude. Palpitants, plus lourds aussi. Et en conduisant, cette sensation s’amplifia et irradia tout son corps, faisant monter en elle un désir irrépressible. Elle sentait son sexe et son anus palpiter, encore électrisés sans doute par les pénétrations de l’après-midi. Elle s’arrêta en hâte dans une petite rue et ouvrant son Jeans, elle plongea sa main entre ses cuisses. La jouissance fut presque instantanée. Ses amies devant l’école se sont surement demandé pour quoi ses joues étaient si rouges, mais devant son air un peu absent, aucune ne posa de question. Les jambes flageolantes, elle récupéra ses enfants, se penchant avec peine pour les embrasser. Elle repartit vers sa voiture, en sentant son entrejambes inondé…. Priant pour qu’aucune auréole ne soit visible.
Quand elle nous raconté cette anecdote, un soir, leu feu monta immédiatement à ses joues et la soirée fût, comme souvent délicieuse et torride.
Je continue à échauffer la peau et la chair des seins d’Isabelle, avec toujours plus de fermeté et de force. Elle aime être traitée avec rudesse dans ces moments là
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J’étire les seins et éprouver leur élasticité. Isabelle rejette la tête en arrière en réprimant un long gémissement.
Je lâche les tétons brusquement pour laisser retomber les seins dans leur position naturelle dans un mouvement charmant.
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A suivre
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