- 12 mai 2018, 23:23
#2161516
Prenant Isabelle par ses menottes, je la fais se redresser.
Elle a le feu aux joues et on devine le trouble sur son visage, malgré le bandeau qui cache ses yeux.
Dans un réflexe de pudeur, elle plaque ses mains sur ses fesses comme pour vérifier qu’elles sont bien nues. A moins qu’elle ne veuille apaiser la chaleur de ses globes fessiers. J’adore gifler ses rondeurs joufflues. Et je ne me suis pas privé pendant mon exploration manuelle de faire rougir son fessier...
Je n’ai pas le temps d’intervenir. La voix de Jean, toujours assis dans son fauteuil s’élève :
« Retire tes mains, ma chérie… Qu'on te voie bien... Ton cul est si beau… ne le cache pas… Qu’il excite encore un peu plus nos invités… Qu’ils soient bien durs quand ils te prendront tout à l’heure… »
Sans réaction aux instructions crues de son mari, si loin de sa prévenance et de sa douceur habituelles, Isabelle laisse retomber ses mains, inertes.
« Voilà, parfait…. Quelle magnifique chienne tu fais… j’ai hâte de te voir prise, de t’entendre hurler ton plaisir… »
Je pose une main sur l’épaule d’Isabelle. Je la fais enfin mettre à genoux. Elle ne résiste plus et s’agenouille.
A suivre…
Elle a le feu aux joues et on devine le trouble sur son visage, malgré le bandeau qui cache ses yeux.
Dans un réflexe de pudeur, elle plaque ses mains sur ses fesses comme pour vérifier qu’elles sont bien nues. A moins qu’elle ne veuille apaiser la chaleur de ses globes fessiers. J’adore gifler ses rondeurs joufflues. Et je ne me suis pas privé pendant mon exploration manuelle de faire rougir son fessier...
Je n’ai pas le temps d’intervenir. La voix de Jean, toujours assis dans son fauteuil s’élève :
« Retire tes mains, ma chérie… Qu'on te voie bien... Ton cul est si beau… ne le cache pas… Qu’il excite encore un peu plus nos invités… Qu’ils soient bien durs quand ils te prendront tout à l’heure… »
Sans réaction aux instructions crues de son mari, si loin de sa prévenance et de sa douceur habituelles, Isabelle laisse retomber ses mains, inertes.
« Voilà, parfait…. Quelle magnifique chienne tu fais… j’ai hâte de te voir prise, de t’entendre hurler ton plaisir… »
Je pose une main sur l’épaule d’Isabelle. Je la fais enfin mettre à genoux. Elle ne résiste plus et s’agenouille.
A suivre…
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.