[Dionysos06]

Hommage, oui encore , au cul somptueux de Nath, madame @indiscretions.

Tu aimes ce poème.
Par toi, le verbe s'est fait chair.
Je vais te le prouver.
Ton œil de bronze, hors de la tombe,
Fièrement, regardait mes mains.

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[Dionysos06]

@douSSeur comme tu dis ! quel cul !

[Dionysos06]

La beauté étincelante Nath, madame @indiscretions sur cette photo, m'a inspiré ce nouveau poème.

"Je suis dévergondée !"
Et tu croyais m'impressionner
Moi, maître libertin ?
Maintenant que je t'ai dressée,
Montre à mes amis tes progrès !

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[Dionysos06]

Hommage à @douSSeur, coquine Aphrodite née des flots.

Âpre fut le combat.
Et le Ciel vainquit les démons,
Créant l'aube limpide.
De l'écume tu es surgie,
Prête pour nos coquineries.

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[Dionysos06]

Hommage aux fesses exceptionnelles de Nath @indiscretions.

Qu’il est bon de tricher
Pour enfin décrocher ta lune !
J’ai faussé les mesures.
Tu calculais en pieds marins,
Alors que je pensais en nœuds.

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[indiscretions]

Hommage aux fesses exceptionnelles de Nath @indiscretions.

Qu’il est bon de tricher
Pour enfin décrocher ta lune !
J’ai faussé les mesures.
Tu calculais en pieds marins,
Alors que je pensais en nœuds.

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J'aime beacoup cette métaphore !! :-) .... pour un voileux comme moi, vous me comblez !!! ... :-)

[Dionysos06]

Je suis un admirateur de Rimbaud, et je me suis permis, ici, pour honorer les superbes femmes de ce forum, de pasticher le début de son plus célèbre poème. Que le natif de Charleville me pardonne.

Le bateau ivre,

Comme je descendais sur tes cuisses paisibles,
Je ne me sentis plus tenu dans mon ardeur ;
Ta peau rouge égrillarde me servant de cible,
L’ayant clouée nue au poteau de ma vigueur.

J’étais si désireux de ton joli corsage,
Porteur de seins gourmands dans du coton anglais.
Quand avec mes mains j’ai fini le dégrafage,
Tes rondeurs m’ont laissé descendre où je voulais.

Dans les clapotements de ta féminité,
Moi, les nuits, seul comme un main d’adolescent,
Je plongeai ! Et ta féminité démarrée
N’a pas subi tohu-bohu plus pénétrants.

Ton bouche a béni mes folles envies intimes.
Plus chaud que du charbon, j’ai roulé un palot
Qu’on appelle français, incandescence ultime,
Dix fois, pendant que tu me touchais les grelots.

Plus douce qu’aux pèlerins l’hostie la plus pure,
Ma nef, au fond de ton puits, jeta son grappin.
Et des traces bleutées qui jamais ne rassurent,
Te lava, à coup de piston de mon engin.

Et dès lors, je me suis baigné dans le poème
De ta mer, breuvage infusé et lactescent,
Dévorant tes tétons blonds ; où, plaisir extrême
Et ravi, mon sexe tantôt monte ou descend.

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[fredcandaule]

@Dionysos06 J'hésite entre la profanation et le génie.

[Dionysos06]

@fredcandaule ton appréciation me donne le vertige euphorisant du khat que Rimbaud consomma peut-être à Aden.

[Dionysos06]

Hommage à l'équerre, belle et excitante position. Je remercie Clara pour son érotique (et géométrique) participation.

Équerre,

Une épouse charmante,
À la mine plaisante,
Et d’un rire enjoué
Rêvait chaque jour de jouer
Avec son beau voisin
Qu’on disait musicien.
« Je serai sa corde, frottée
Par son puissant archet. »
Pensait l’épouse en feu
Qui recevait si peu
De viriles caresses,
Peut-être par paresse ?,
De son gentil mari,
Mais peu porté sur le déduit.
Or, leurs emplois du temps,
Pour devenir amants,
Ne coïncidaient guère.
L’épouse fit maintes prières
Qui furent exaucées.
Dès qu’il arriva, ils jouèrent
Le plus exquis des airs.
Quand le mari survint,
Sur un infatigable engin,
Sa femme gémissait
Et le voisin bissait.
« Mon mari, je veux jouir encor
En me passant de votre accord.
Pour m’envoyer en l’air,
Nous sommes enfin tombés d’équerre. »

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[Saxojaune]

Je vais prendre ma guitare pour la mettre en musique à la Brassens
Par contre je suis pas un mari fainéant, non non non !!

[Dionysos06]

Je viens de m'apercevoir que j'avais oublier un vers au texte. Erreur réparée.

Une épouse charmante,
À la mine plaisante,
Et d’un rire enjoué
Rêvait chaque jour de jouer
Avec son beau voisin
Qu’on disait musicien.
« Je serai sa corde, frottée
Par son puissant archet. »
Pensait l’épouse en feu
Qui recevait si peu
De viriles caresses,
Peut-être par paresse ?,
De son gentil mari,
Mais peu porté sur le déduit.
Or, leurs emplois du temps,
Pour devenir amants,
Ne coïncidaient guère.
L’épouse fit maintes prières
Qui furent exaucées.
Le concert pouvait commencer.
Dès qu’il arriva, ils jouèrent
Le plus exquis des airs.
Quand le mari survint,
Sur un infatigable engin,
Sa femme gémissait
Et le voisin bissait.
« Mon mari, je veux jouir encor
En me passant de votre accord.
Pour m’envoyer en l’air,
Nous sommes enfin tombés d’équerre. »

[Dionysos06]

Mon intuition me dit que la bouche de @douSSeur est un vrai Paradis.

Ta bouche est un délice,
Un verger aux mille parfums.
Mais il te manque un arbre.
Accueille mon gros grenadier,
Tu seras arrosée d’envies.

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[Dionysos06]

Je poursuis dans ma veine mathématique, comme gentiment suggéré par le mari candauliste modèle qu'est @Saxojaune.

Entier et naturel,

Enfin ! Je viens de comprendre son intérêt.
Longtemps, je ne lui ai trouvé aucun d’attrait.
Le simple fait de l’évoquer me rebutait ;
Trop direct, désuet, manquant de subtilité.

Pour moi, la vie n’était pas une équation,
Mais plutôt un imperceptible tourbillon
De parfums flottant au jardin de la passion,
Mon corps enveloppé de douces vibrations.

Jusqu’au jour où s’installa un jeune voisin,
Qui s’avéra être un beau mathématicien.
Avec son esprit délicat, pointu et fin,
Il sut à mon grand désintérêt mettre fin.

Il prit le temps nécessaire pour m’expliquer
De l’exercice toutes les riches beautés.
« Combien de plaisirs et de possibilités
Offre un nombre à la fois naturel et entier ! »

« Mais ce qui en fait un objet si passionnant 
C’est que son étude est réservée aux amants
Qui prennent le temps de le faire en se couchant. »
Dit-il, malicieux, tout en me déshabillant.

Ces explications me firent un effet bœuf.
Mon âme cocufieuse sortit de son œuf.
Mon mari survint, disant : « chérie, quoi de neuf ? »
« Tu es cocu, j’adore le soixante-neuf ! »

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[Dionysos06]

Hommage à Nath, madame @indiscretions, aussi sexy et érotique, nue que court vêtue. Cette tenue noire m'a inspiré ces vers moins sombres qu'ils ne paraissent.

Je t'ai trouvée si triste,
Effondrée, sortie de ton cœur.
Il est parti, j'arrive.
Mais respectons les conventions.
Tu auras le noir érotique.

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[Dionysos06]

Tout mari candauliste le connaît, ce moment. Il méritait bien un poème.

Le moment,

Encore quelques millimètres,
Et tu ouvriras la fenêtre
Sur la galaxie enchantée
De l’astre qui m’a envoûté.
Le spectacle n’est pas nouveau,
Mais il reste tellement beau.
Ta comète et sa chevelure,
Colonne chauffée de mercure,
Débutent leur course elliptique
À l’insatiable métrique.
Mes yeux, télescopes encagés,
Suivent de très près ton trajet.
Tant de fois tu l’as parcouru !
Pourtant, je demeure confus.
Ma tête veut, mon cœur a peur.
Tu es si fort, si plein d’ardeur,
Coiffé des anneaux de Saturne
Par rapport au pâle cothurne
Que je suis parfois. Cependant,
Je veux ce moment, je l’attends,
Excité, tremblant, les mains moites.
Déjà, tu vois la porte étroite
Étoilée de rosée d’envie.
Ton lance, ceinte de diamants
Suintants en minces filaments,
Écarte les lèvres en corolle,
Vraie Bonaparte au pont d’Arcole.
En une poussée, tout est fait.
Ma mie vibre par ton épée.
Ses yeux ne regardent que toi.
Tu es, pour un temps, sa vraie loi.
Chaque va-et vient me ravit.
Elle rit, c’est mon Paradis.

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[Dionysos06]

En recopiant, j'ai oublié un vers :
"Qui ne peux contenir ses cris." il rime avec "rosée d’envie".
Désolé pour cette erreur.

[Dionysos06]

Cette photo de Nath, madame @indiscretions, manifestement en proie aux affres d'un nœud rétif, m'a inspiré ce petit poème.

Je te sens si perplexe.
Tu ne sais pas comment t'y prendre,
L'énigme est si complexe.
Viens à moi !, j'ai la solution.
Il suffit de nouer tes seins.

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[FB57]

merveilleuse photos

[Dionysos06]

@FB57 en effet. Une merveilleuse source d'inspiration aussi.

[FB57]

Dionysos06 du même avis

[Dionysos06]

Très belle photo de @douSSeur, manifestement essoufflée face au bel engin offert à son appétit. Il m'a inspiré ce poème.

Il était une fois,
Une femme très dégourdie
Apprenant la musique.
"Le clairon est aisé" dit-elle.
La taille lui coupa le souffle.

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[Dionysos06]

Cette superbe photo de @douSSeur m'a inspiré ce poème.

Enfin ! Tu as osé.
Il t’en aura fallu du temps
Pour que tu y arrives.
Vive l’été, ses jours heureux,
Où épanouie, tu prends ton pied !

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[Dionysos06]

Merci @douSSeur

[Dionysos06]

Hommage à la beauté irréelle des jambes de Nath, madame @indiscretions si magnifiquement illustrée par la photo ci-dessous.

Dès que je les ai vues,
J'ai craqué devant la beauté
Élancée de tes jambes.
Ces cuissardes sont l'encre noir
De leur poésie ambulante.

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[newhades69]

superbe @Dionysos06

[Dionysos06]

Merci beaucoup @newhades69

[Dionysos06]

Cette superbe photo m'a beaucoup plu et m'a inspiré ce poème.

Il faut féminiser
Les œuvres dit le président.
Donc, je l’ai pris au mot.
C’est ta chatte qui est bottée
Par ma langue de Carabas.

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[croque42]

Merci pour cette attention et cet anoblissement @Dionysos06

[Dionysos06]

Le corps de la femme, recto ou verso, est une source permanente de bonheur.

C’est comme l’alphabet,
Une question de direction.
Dans un sens ou dans l’autre ?
J’ai trouvé une solution.
Pour moi, sois nue des deux côtés.

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