- 30 août 2011, 11:25
#732155
J'ai connu une jeune femme qui m'a dit qu'après quatre ou cinq soirées dans un club échangiste, elle avait accepté de faire l'amour avec son mari, dans un coin discret et qu'elle avait difficilement passé les caps suivants. Lisez ce qui suit.
Un peu plus tard, un mois peut-être, j’étais sur la terrasse, allongée sur un transat, sur le ventre, nue et lisant. Il est arrivé et m’a embrassée. J’ai entendu un bruit suspect et je me suis rendu compte qu’il n’était pas seul : deux copains que je connaissais de vue l’accompagnaient. Que faire, me fâcher ? le mal était fait et j’ai continué. Il m’a demandé de servir un verre, à genoux, nue, face à eux. Il a commencé à parler de moi en détails, de conseiller aux autres de bien regarder ce qu’il leur montrait. Il m’a annoncé qu’il me livrerait le lendemain à un parfait inconnu, que eux regarderaient depuis la pièce à côté, qu’ils me prendraient ensuite, je n’ai pas répondu autre chose que oui.
Finalement n’était-ce pas un peu mon rêve.
Le lendemain j’ai compris qu’il voulait simplement m’obliger à me faire prendre par un livreur que nous attendions. Tu n’as qu’à lui ouvrir, vêtue d’une sortie de bain en éponge (elle arrive au ras des fesses et ne demande qu’à bailler), te pencher, il serait étonnant qu’il n’y ait pas de réaction me dit-il.
A l’heure prévue, la sonnerie a retenti ; j’ai ouvert par l’interphone. Quand je suis arrivée comme prévu, ils étaient deux. Ils n’ont rien dit, je leur ai proposé un verre, ils ont accepté. Le silence était très lourd. Je me suis penchée vers le premier pour le servir, tournant le dos au second. Tout a été vite, ils étaient vulgaires. Le second a mis sa main sur mon sexe, par derrière, il m’a traité de pute, de salope et m’a renversée sur le divan. J’ai subi plus que joui. L’un me tenait les poignets tandis que l’autre me prenait. Ils m’ont laissée ainsi, en partant en rigolant. Je me sentais sale.
Les spectateurs sont rentrés, ils ont fait ce qui était prévu, de tout côté.
Quand je me suis trouvée nue collée à mon mari, en présence de deux hommes, il était trop tard pour reculer. Les premières minutes étaient difficiles; j'ai vu ensuite l'état de mon homme à la forme de son pantalon… J'ai senti à ce moment que ce n'était pas moi qui étais humiliée mais que mes spectateurs ne savaient pas cacher leur désir. Quand ils me regardaient, je me sentais caressée.
Face aux livreurs, la seule crainte était qu'ils n'osent pas. Je voulais me donner et montrer ce dont j'étais capable. Après le départ de mes deux inconnus, je suis restée allongée, nue, ouverte, mouillée, le sperme coulant, je voulais que les copains et mon mari voient mon cul avant de me baiser. L'impression était extraordinaire.
Un peu plus tard, un mois peut-être, j’étais sur la terrasse, allongée sur un transat, sur le ventre, nue et lisant. Il est arrivé et m’a embrassée. J’ai entendu un bruit suspect et je me suis rendu compte qu’il n’était pas seul : deux copains que je connaissais de vue l’accompagnaient. Que faire, me fâcher ? le mal était fait et j’ai continué. Il m’a demandé de servir un verre, à genoux, nue, face à eux. Il a commencé à parler de moi en détails, de conseiller aux autres de bien regarder ce qu’il leur montrait. Il m’a annoncé qu’il me livrerait le lendemain à un parfait inconnu, que eux regarderaient depuis la pièce à côté, qu’ils me prendraient ensuite, je n’ai pas répondu autre chose que oui.
Finalement n’était-ce pas un peu mon rêve.
Le lendemain j’ai compris qu’il voulait simplement m’obliger à me faire prendre par un livreur que nous attendions. Tu n’as qu’à lui ouvrir, vêtue d’une sortie de bain en éponge (elle arrive au ras des fesses et ne demande qu’à bailler), te pencher, il serait étonnant qu’il n’y ait pas de réaction me dit-il.
A l’heure prévue, la sonnerie a retenti ; j’ai ouvert par l’interphone. Quand je suis arrivée comme prévu, ils étaient deux. Ils n’ont rien dit, je leur ai proposé un verre, ils ont accepté. Le silence était très lourd. Je me suis penchée vers le premier pour le servir, tournant le dos au second. Tout a été vite, ils étaient vulgaires. Le second a mis sa main sur mon sexe, par derrière, il m’a traité de pute, de salope et m’a renversée sur le divan. J’ai subi plus que joui. L’un me tenait les poignets tandis que l’autre me prenait. Ils m’ont laissée ainsi, en partant en rigolant. Je me sentais sale.
Les spectateurs sont rentrés, ils ont fait ce qui était prévu, de tout côté.
Quand je me suis trouvée nue collée à mon mari, en présence de deux hommes, il était trop tard pour reculer. Les premières minutes étaient difficiles; j'ai vu ensuite l'état de mon homme à la forme de son pantalon… J'ai senti à ce moment que ce n'était pas moi qui étais humiliée mais que mes spectateurs ne savaient pas cacher leur désir. Quand ils me regardaient, je me sentais caressée.
Face aux livreurs, la seule crainte était qu'ils n'osent pas. Je voulais me donner et montrer ce dont j'étais capable. Après le départ de mes deux inconnus, je suis restée allongée, nue, ouverte, mouillée, le sperme coulant, je voulais que les copains et mon mari voient mon cul avant de me baiser. L'impression était extraordinaire.