- 14 août 2012, 02:50
#1174416
Pour l'index (pas le votre, celui du site :p) : après les avoir perdu de vue, je retrouve mon ex belle soeur et mon ex beau frère et, par hasard, je les fais basculer dans le candaulisme
Bonjour à toutes et à tous,
En préambule je voudrai juste dire que cette histoire est réelle, seuls les prénoms ont été remplacés (pour conserver un certain anonymat).
Je suis un commercial, à ce titre je me déplace souvent sur plusieurs départements (28,41,45, au cas où si vous avez besoin lol).
Bon blague à part, je commence mon récit.
De 1990 à 2000, j'ai été mariée à une femme. Nous fréquentions assez souvent sa famille et notamment sa soeur (Joséphine) et son beau frère (Eric) car nous nous entendions bien.
Depuis mon divorce (en 2000), j'avais complètement coupé les ponts avec mon ex belle famille : j'ai refait ma vie et je n'avais aucun besoin/envie de continuer à voir mon ex et sa famille.
D'ailleurs mon ex a également refait sa vie, elle ne m'a jamais donné de nouvelle.
Lorsque j'ai quitté tout ce beau monde, Joséphine était secrétaire et Eric clerc de notaire.
Fin décembre 2012, je me suis arrêté dans une épicerie située sur la route du retour à ma maison pour acheter des litchis frais afin de réaliser une salade de fruit pour le réveillon du 31 décembre.
J'entre dans la boutique et je me retrouve nez à nez avec Eric entrain de remplir les rayons et Joséphine à la caisse.
Grosse surprise : ils avaient fait un choix de vie, changement de métier et création d'un commerce en couple.
J'ai joué au loto ce jour là et j'ai perdu : je pensais pourtant que j'avais plus de chance de gagner au loto que de revoir Joséphine et Eric dans une épicerie paumée dans un petit patelin.
Début mai, je passe dans le coin et je décide de m'arrêter pour leur dire bonjour : je trouve Eric seul dans l'épicerie.
Il me confie alors qu'il a trompé Joséphine il y a 2 ans, qu'il est tombé raide dingue d'une collègue de boulot qui était mariée et il a quitté Joséphine pour s'installer avec ladite collègue.
Un mois après, il s'est fait plaquer comme une bouse par la coquine et il s'est retrouvé tout seul comme un gland dans son appartement...
Il m'a donc expliqué qu'il est revenu vers Joséphine : cette dernière a accepté qu'il revienne à deux conditions :
- faire croire à leurs familles respectives et à leur deux enfants que le couple allait bien
- qu'il vive ailleurs que dans la maison familiale et qu'il ne la touche plus jamais
Pour cela, ils ont tout deux démissionné de leur travail et ils ont monté une épicerie.
Eric habite sur place, dans un appartement situé à l'étage du commerce : vis à vis des familles, cela s'explique par le fait qu'il travaille beaucoup (ouverture à 8h00 le matin, fermeture à 20h00) et qu'il vaut mieux qu'il soit sur place... (comme ça il vit ailleurs qu'au domicile familiale sans que les familles s'en inquiètent).
Joséphine tient seulement la caisse par demie journée (en général de 12h à 16h) et elle habite la maison familiale située à 30 km du commerce.
Eric a le droit de passer le lundi (jour de fermeture) dans la demeure familiale.
Apitoyé par leur histoire et par le fait que le commerce ne tourne pas terriblement bien, je suis devenu peu à peu un client régulier.
Lors de mes passages dans le coin, je faisais un détour pour acheter mes fruits et légumes (n'oubliez pas : 5 par jours :p).
A chaque fois c'était la même chose : on évoquait gentiment le bon "vieux temps" et ils m'offraient le café.
Début juillet, je passe à l'épicerie un jour où leur cafetière était en panne.
On plaisante sur le sujet et Joséphine me lâche : "c'est dommage, la cafetière à la maison fonctionne et je n'ai pas pensé à l'apporter".
Moi pour déconner (et en ayant complètement oublié qu'ils vivaient à deux endroits différents) je lui sors : "ok, la prochaine fois je passerai te faire payer le café chez toi" (maison qu'ils ont fait construire en 1992 et que, de fait, je connaissais pour y avoir passé des soirées bien sympas du temps de mon ex femme).
Joséphine me répond : "pas chiche".
Nous plaisantons et nous nous quittons tous en rigolant.
Le 17 juillet, j'avais rendez-vous à 9h00 chez un client situé à 10 km de chez Joséphine.
J'arrive à mon rendez vous et je trouve mon client en panique : audit non programmé par sa direction, mon client (hyper stressé) avait complètement oublié mon passage.
Ne pouvant me recevoir, je me retrouvais avec deux heures devant moi.
J'ai repensé au café proposé peu avant par Joséphine et je me suis rendu chez elle.
Après avoir sonné, je la vois débarquer en peignoir : je l'ai dérangé sous la douche, elle a regardé par le judas et elle m'a finalement ouvert.
Physiquement, Joséphine est brune, 1m65, 50 kg, 95 C.
Elle n'est pas "canon" mais je trouve qu'elle a beaucoup de charme : c'est un peu madame tout le monde.
Ses deux enfants étaient partis le 14 juillet passer 2 semaines en vacances chez ses beaux parents.
En rigolant, elle me dit qu'elle venait juste finir de s'épiler.
Nous nous mettons donc à plaisanter sur les poils et elle me fait un cours sur l'épilation.
Pour déconner, je lui demande si sa peau est douce ou s'il reste des poils (en sous entendant que c'était peut être mal fait).
Elle prend délicatement ma main et la passe sur son mollet et son tibia droit.
J'en profite alors pour commencer une légère caresse et pour la complimenter sur la douceur de sa peau.
Elle en profite également pour me susurrer à l'oreille qu'elle avait aussi fait le maillot.
Je lui réponds : ah bon ? et je remonte ma main très lentement, en effectuant des caresses douces, limite massage, vers le haut de sa cuisse.
Je la sens haletante, troublée et excitée à la fois : ça tombe bien j'étais dans le même état...
Lorsque ma main est arrivée vers le haut de la cuisse, l'arrière de ma main a effleuré sa vulve : j'ai alors senti qu'elle était toute humide.
Joséphine mouillait comme une folle.
J'ai mis ma main sur sa chatte lui fis alors remarquer qu'elle était trempée (ouais je sais, j'ai la classe :p).
Elle m'a avoué qu'elle se considérait comme séparée de corps avec son mari et qu'elle n'avait pas fait l'amour depuis plus d'un an.
Je l'ai prise dans mes bras et je l'ai emmené dans sa chambre : je l'ai dévêtu et je lui ai prodigué un cunnilingus.
A plus de 40 ans, j'en ai culbuté quelques unes mais là je n'avais jamais vu une femme mouiller autant, elle m'a inondé la bouche de cyprine.
Je l'ai ensuite prise de façon basique : le missionnaire, elle a joui 3 fois en 20 minutes.
Nous nous sommes revus tous les jours de la semaine (j'en ai fait des kilomètres ce mois ci :p) : elle a pris son pied à chaque fois, devenant de plus en plus cochonne jours après jour (comme quoi, plus on fait l'amour plus on y prend goût, c'est à méditer ça).
J'avais honte de me taper la femme d'Eric et en même temps j'étais excité par le fait de posséder une autre femme que la mienne.
Joséphine devenait ma chose et je devenais son objet : nos rapports sexuels étaient totalement débridés.
Elle me demandait de la sodomiser alors qu'elle était pucelle de cet orifice et elle tenait a goûter mon sperme, chose qu'elle avait toujours refusé à son mari (il n'avait pas le droit à la fellation, alors de là à avaler...).
La douce et prude Joséphine s'est peu à peu transformée en gourmande et elle avait l'air d'aimer sa nouvelle façon d'aborder le sexe.
Fin juillet, après une bonne levrette qui l'a faite crier (première fois de sa vie qu'elle criait durant l'acte), nous avons discuté de son couple.
Elle m'a confié à quel point elle s'était sentie humiliée, lâchée, abandonnée par le départ de son mari du domicile conjugal pour qu'il aille rejoindre "sa pute".
Elle m'a fait part de son envie de se venger depuis et de mon arrivée, comme par miracle, à un moment où elle envie de sexe et de vengeance...
Elle se réjouissait de savoir son mari cocu.
L'idée du candaulisme a germé de cette discussion : je lui avais confié que j'avais déjà participé à un cocufiage avec un couple d'une soixantaine d'année, le concept lui a plu.
Après une pause de quelques jours pour cause de.... comment dire sans dégoûter tout le monde ^^, enfin bref les choses de la vie pour les femmes lol, elle m'a demandé de passer à l'épicerie.
Je m'y suis pointé le lendemain et j'ai vu la mine déconfite d'Eric : Joséphine lui avait annoncé qu'il était cocu et que j'étais son amant.
Elle en a rajouté une couche devant moi, lui disant qu'en 20 années il ne l'avait jamais fait jouir et qu'avec moi elle prenait son pied à chaque fois.
Elle l'a même affublé d'un surnom : speederic => avec le slogan si Eric tient plus de 30 secondes, Eric paye la pizza pour fêter ça (c'est moche, j'avoue mais j'étais mort de rire, la parodie du speed rabbit était bien trouvée).
De ces échanges il en est ressorti une chose : elle acceptait qu'Eric revienne à la maison plus souvent à la seule condition qu'il soit présent lors de nos ébats.
Le premier weekend d'août, Eric a déposé les enfants chez ses parents et il est venu chez Joséphine pour nous regarder faire l'amour.
Joséphine était surmotivée : elle m'a sucé goulument, elle a pris ma semence en bouche, c'était l'extase, la meilleure fellation de ma vie.
Elle s'est ensuite ruée sur Eric et l'a embrassé à pleine bouche, en lui roulant une grosse galoche avec mon sperme tout coulant de ses lèvres.
J'étais stupéfait : la prude transformée en coquine est devenue une grosse salope avide de sexe...
Totalement excitée par la pelle qu'elle venait de rouler à Eric, elle a sorti un gros god de son placard (je ne savais pas qu'elle était équipée) et elle lui a dit que ce morceau de plastique l'avait rendu plus heureuse que son mari, elle lui a demandé de se l'enfiler dans l'anus (qu'Eric l'enfile dans l'anus d'Eric, je précise pour ceux qui n'auraient pas compris ^^), ce qu'il refusa...
Elle s'est de nouveau jetée sur mon sexe pour le faire durcir, elle s'est enduit l'anus de vaseline et elle m'a demandé de la prendre devant Eric : je l'ai prise par tous les trous, elle criait son plaisir, elle disait des mots crus (première fois également que j'entendais de telles choses de sa bouche), bref elle s'est totalement lâchée.
Au fil des minutes, Eric se décomposait, il devenait vert, bleu, blanc, il prenait conscience que sa femme était devenue une chienne en chaleur.
Après avoir bien joui, elle lui a donné un cadeau : un vagin vibrant.
Elle lui a ensuite ordonné de s'en servir : Eric s'est donc soulagé dans cet objet.
Joséphine et moi nous nous sommes couchés dans le lit conjugal, Eric a dormi dans le canapé.
Le lendemain matin, Joséphine a tiré Eric du canapé pour lui demander l'aller chercher les croissants.
A son retour, Eric nous a trouvé sous la douche : nous nous caressions et nous avons terminé au lit pendant qu'Eric préparait le petit déj => elle criait pour qu'il entende à qu'elle point c'était bon pour elle.
Le weekend dernier, Eric a eu le droit de lécher Joséphine pour préparer le vagin à mon arrivée.
Elle était beaucoup moins exubérante que la dernière fois : je pense qu'elle en a rajouté pour humilier Eric et lui montrer qu'elle pouvait aussi lui faire beaucoup de mal.
Cependant, elle lui a refusé la pénétration et il a de nouveau regardé nos ébats puis il s'est fini dans le vagin vibrant.
Par pitié, j'ai pourtant essayé de négocier avec Joséphine (et j'avoue que je n'étais pas contre une double pénétration ^^) mais en vain, elle ne veut pas qu'il la pénètre.
Aujourd'hui, Joséphine veut aller plus loin : tester les boites échangistes, les gangs bangs devant son cocu.
Moi, je vais lâcher l'affaire, la tournure des événements ne me convient plus : sa soif de vengeance et sa quête d'humiliation dépassent les limites que je m'étais fixées.
J'ai retrouvé par hasard ce couple, j'ai fait l'amour par hasard avec Joséphine, je vais les laisser gérer la suite sans hasard, ils décideront tout deux de ce qu'ils feront.
Eric est prêt à tout endurer pour reconquérir sa place au sein du foyer et Joséphine est prête à tout pour le faire souffrir autant si ce n'est plus que ce qu'elle a souffert.
Cette aventure était tellement intense que j'ai souhaité vous en faire partager quelques instants.
ps : J'anticipe les questions lol
ps1 : je n'ai pas de photo à mettre
ps2 : je ne donnerai pas l'adresse de Joséphine (pour ceux qui voudraient prendre la place que je vais laisser)
ps3 : désolé pour les fotes d'aurtograf, il est 2h47 du matin, jsuis un peu fatigué lol
ps4 : j'espère que ce récit vous a un peu excité => personnellement, rien que de repenser à cette histoire, ça me fait bander comme un taureau (et pourtant je ne suis pas membré comme lui mdr)
Bonjour à toutes et à tous,
En préambule je voudrai juste dire que cette histoire est réelle, seuls les prénoms ont été remplacés (pour conserver un certain anonymat).
Je suis un commercial, à ce titre je me déplace souvent sur plusieurs départements (28,41,45, au cas où si vous avez besoin lol).
Bon blague à part, je commence mon récit.
De 1990 à 2000, j'ai été mariée à une femme. Nous fréquentions assez souvent sa famille et notamment sa soeur (Joséphine) et son beau frère (Eric) car nous nous entendions bien.
Depuis mon divorce (en 2000), j'avais complètement coupé les ponts avec mon ex belle famille : j'ai refait ma vie et je n'avais aucun besoin/envie de continuer à voir mon ex et sa famille.
D'ailleurs mon ex a également refait sa vie, elle ne m'a jamais donné de nouvelle.
Lorsque j'ai quitté tout ce beau monde, Joséphine était secrétaire et Eric clerc de notaire.
Fin décembre 2012, je me suis arrêté dans une épicerie située sur la route du retour à ma maison pour acheter des litchis frais afin de réaliser une salade de fruit pour le réveillon du 31 décembre.
J'entre dans la boutique et je me retrouve nez à nez avec Eric entrain de remplir les rayons et Joséphine à la caisse.
Grosse surprise : ils avaient fait un choix de vie, changement de métier et création d'un commerce en couple.
J'ai joué au loto ce jour là et j'ai perdu : je pensais pourtant que j'avais plus de chance de gagner au loto que de revoir Joséphine et Eric dans une épicerie paumée dans un petit patelin.
Début mai, je passe dans le coin et je décide de m'arrêter pour leur dire bonjour : je trouve Eric seul dans l'épicerie.
Il me confie alors qu'il a trompé Joséphine il y a 2 ans, qu'il est tombé raide dingue d'une collègue de boulot qui était mariée et il a quitté Joséphine pour s'installer avec ladite collègue.
Un mois après, il s'est fait plaquer comme une bouse par la coquine et il s'est retrouvé tout seul comme un gland dans son appartement...
Il m'a donc expliqué qu'il est revenu vers Joséphine : cette dernière a accepté qu'il revienne à deux conditions :
- faire croire à leurs familles respectives et à leur deux enfants que le couple allait bien
- qu'il vive ailleurs que dans la maison familiale et qu'il ne la touche plus jamais
Pour cela, ils ont tout deux démissionné de leur travail et ils ont monté une épicerie.
Eric habite sur place, dans un appartement situé à l'étage du commerce : vis à vis des familles, cela s'explique par le fait qu'il travaille beaucoup (ouverture à 8h00 le matin, fermeture à 20h00) et qu'il vaut mieux qu'il soit sur place... (comme ça il vit ailleurs qu'au domicile familiale sans que les familles s'en inquiètent).
Joséphine tient seulement la caisse par demie journée (en général de 12h à 16h) et elle habite la maison familiale située à 30 km du commerce.
Eric a le droit de passer le lundi (jour de fermeture) dans la demeure familiale.
Apitoyé par leur histoire et par le fait que le commerce ne tourne pas terriblement bien, je suis devenu peu à peu un client régulier.
Lors de mes passages dans le coin, je faisais un détour pour acheter mes fruits et légumes (n'oubliez pas : 5 par jours :p).
A chaque fois c'était la même chose : on évoquait gentiment le bon "vieux temps" et ils m'offraient le café.
Début juillet, je passe à l'épicerie un jour où leur cafetière était en panne.
On plaisante sur le sujet et Joséphine me lâche : "c'est dommage, la cafetière à la maison fonctionne et je n'ai pas pensé à l'apporter".
Moi pour déconner (et en ayant complètement oublié qu'ils vivaient à deux endroits différents) je lui sors : "ok, la prochaine fois je passerai te faire payer le café chez toi" (maison qu'ils ont fait construire en 1992 et que, de fait, je connaissais pour y avoir passé des soirées bien sympas du temps de mon ex femme).
Joséphine me répond : "pas chiche".
Nous plaisantons et nous nous quittons tous en rigolant.
Le 17 juillet, j'avais rendez-vous à 9h00 chez un client situé à 10 km de chez Joséphine.
J'arrive à mon rendez vous et je trouve mon client en panique : audit non programmé par sa direction, mon client (hyper stressé) avait complètement oublié mon passage.
Ne pouvant me recevoir, je me retrouvais avec deux heures devant moi.
J'ai repensé au café proposé peu avant par Joséphine et je me suis rendu chez elle.
Après avoir sonné, je la vois débarquer en peignoir : je l'ai dérangé sous la douche, elle a regardé par le judas et elle m'a finalement ouvert.
Physiquement, Joséphine est brune, 1m65, 50 kg, 95 C.
Elle n'est pas "canon" mais je trouve qu'elle a beaucoup de charme : c'est un peu madame tout le monde.
Ses deux enfants étaient partis le 14 juillet passer 2 semaines en vacances chez ses beaux parents.
En rigolant, elle me dit qu'elle venait juste finir de s'épiler.
Nous nous mettons donc à plaisanter sur les poils et elle me fait un cours sur l'épilation.
Pour déconner, je lui demande si sa peau est douce ou s'il reste des poils (en sous entendant que c'était peut être mal fait).
Elle prend délicatement ma main et la passe sur son mollet et son tibia droit.
J'en profite alors pour commencer une légère caresse et pour la complimenter sur la douceur de sa peau.
Elle en profite également pour me susurrer à l'oreille qu'elle avait aussi fait le maillot.
Je lui réponds : ah bon ? et je remonte ma main très lentement, en effectuant des caresses douces, limite massage, vers le haut de sa cuisse.
Je la sens haletante, troublée et excitée à la fois : ça tombe bien j'étais dans le même état...
Lorsque ma main est arrivée vers le haut de la cuisse, l'arrière de ma main a effleuré sa vulve : j'ai alors senti qu'elle était toute humide.
Joséphine mouillait comme une folle.
J'ai mis ma main sur sa chatte lui fis alors remarquer qu'elle était trempée (ouais je sais, j'ai la classe :p).
Elle m'a avoué qu'elle se considérait comme séparée de corps avec son mari et qu'elle n'avait pas fait l'amour depuis plus d'un an.
Je l'ai prise dans mes bras et je l'ai emmené dans sa chambre : je l'ai dévêtu et je lui ai prodigué un cunnilingus.
A plus de 40 ans, j'en ai culbuté quelques unes mais là je n'avais jamais vu une femme mouiller autant, elle m'a inondé la bouche de cyprine.
Je l'ai ensuite prise de façon basique : le missionnaire, elle a joui 3 fois en 20 minutes.
Nous nous sommes revus tous les jours de la semaine (j'en ai fait des kilomètres ce mois ci :p) : elle a pris son pied à chaque fois, devenant de plus en plus cochonne jours après jour (comme quoi, plus on fait l'amour plus on y prend goût, c'est à méditer ça).
J'avais honte de me taper la femme d'Eric et en même temps j'étais excité par le fait de posséder une autre femme que la mienne.
Joséphine devenait ma chose et je devenais son objet : nos rapports sexuels étaient totalement débridés.
Elle me demandait de la sodomiser alors qu'elle était pucelle de cet orifice et elle tenait a goûter mon sperme, chose qu'elle avait toujours refusé à son mari (il n'avait pas le droit à la fellation, alors de là à avaler...).
La douce et prude Joséphine s'est peu à peu transformée en gourmande et elle avait l'air d'aimer sa nouvelle façon d'aborder le sexe.
Fin juillet, après une bonne levrette qui l'a faite crier (première fois de sa vie qu'elle criait durant l'acte), nous avons discuté de son couple.
Elle m'a confié à quel point elle s'était sentie humiliée, lâchée, abandonnée par le départ de son mari du domicile conjugal pour qu'il aille rejoindre "sa pute".
Elle m'a fait part de son envie de se venger depuis et de mon arrivée, comme par miracle, à un moment où elle envie de sexe et de vengeance...
Elle se réjouissait de savoir son mari cocu.
L'idée du candaulisme a germé de cette discussion : je lui avais confié que j'avais déjà participé à un cocufiage avec un couple d'une soixantaine d'année, le concept lui a plu.
Après une pause de quelques jours pour cause de.... comment dire sans dégoûter tout le monde ^^, enfin bref les choses de la vie pour les femmes lol, elle m'a demandé de passer à l'épicerie.
Je m'y suis pointé le lendemain et j'ai vu la mine déconfite d'Eric : Joséphine lui avait annoncé qu'il était cocu et que j'étais son amant.
Elle en a rajouté une couche devant moi, lui disant qu'en 20 années il ne l'avait jamais fait jouir et qu'avec moi elle prenait son pied à chaque fois.
Elle l'a même affublé d'un surnom : speederic => avec le slogan si Eric tient plus de 30 secondes, Eric paye la pizza pour fêter ça (c'est moche, j'avoue mais j'étais mort de rire, la parodie du speed rabbit était bien trouvée).
De ces échanges il en est ressorti une chose : elle acceptait qu'Eric revienne à la maison plus souvent à la seule condition qu'il soit présent lors de nos ébats.
Le premier weekend d'août, Eric a déposé les enfants chez ses parents et il est venu chez Joséphine pour nous regarder faire l'amour.
Joséphine était surmotivée : elle m'a sucé goulument, elle a pris ma semence en bouche, c'était l'extase, la meilleure fellation de ma vie.
Elle s'est ensuite ruée sur Eric et l'a embrassé à pleine bouche, en lui roulant une grosse galoche avec mon sperme tout coulant de ses lèvres.
J'étais stupéfait : la prude transformée en coquine est devenue une grosse salope avide de sexe...
Totalement excitée par la pelle qu'elle venait de rouler à Eric, elle a sorti un gros god de son placard (je ne savais pas qu'elle était équipée) et elle lui a dit que ce morceau de plastique l'avait rendu plus heureuse que son mari, elle lui a demandé de se l'enfiler dans l'anus (qu'Eric l'enfile dans l'anus d'Eric, je précise pour ceux qui n'auraient pas compris ^^), ce qu'il refusa...
Elle s'est de nouveau jetée sur mon sexe pour le faire durcir, elle s'est enduit l'anus de vaseline et elle m'a demandé de la prendre devant Eric : je l'ai prise par tous les trous, elle criait son plaisir, elle disait des mots crus (première fois également que j'entendais de telles choses de sa bouche), bref elle s'est totalement lâchée.
Au fil des minutes, Eric se décomposait, il devenait vert, bleu, blanc, il prenait conscience que sa femme était devenue une chienne en chaleur.
Après avoir bien joui, elle lui a donné un cadeau : un vagin vibrant.
Elle lui a ensuite ordonné de s'en servir : Eric s'est donc soulagé dans cet objet.
Joséphine et moi nous nous sommes couchés dans le lit conjugal, Eric a dormi dans le canapé.
Le lendemain matin, Joséphine a tiré Eric du canapé pour lui demander l'aller chercher les croissants.
A son retour, Eric nous a trouvé sous la douche : nous nous caressions et nous avons terminé au lit pendant qu'Eric préparait le petit déj => elle criait pour qu'il entende à qu'elle point c'était bon pour elle.
Le weekend dernier, Eric a eu le droit de lécher Joséphine pour préparer le vagin à mon arrivée.
Elle était beaucoup moins exubérante que la dernière fois : je pense qu'elle en a rajouté pour humilier Eric et lui montrer qu'elle pouvait aussi lui faire beaucoup de mal.
Cependant, elle lui a refusé la pénétration et il a de nouveau regardé nos ébats puis il s'est fini dans le vagin vibrant.
Par pitié, j'ai pourtant essayé de négocier avec Joséphine (et j'avoue que je n'étais pas contre une double pénétration ^^) mais en vain, elle ne veut pas qu'il la pénètre.
Aujourd'hui, Joséphine veut aller plus loin : tester les boites échangistes, les gangs bangs devant son cocu.
Moi, je vais lâcher l'affaire, la tournure des événements ne me convient plus : sa soif de vengeance et sa quête d'humiliation dépassent les limites que je m'étais fixées.
J'ai retrouvé par hasard ce couple, j'ai fait l'amour par hasard avec Joséphine, je vais les laisser gérer la suite sans hasard, ils décideront tout deux de ce qu'ils feront.
Eric est prêt à tout endurer pour reconquérir sa place au sein du foyer et Joséphine est prête à tout pour le faire souffrir autant si ce n'est plus que ce qu'elle a souffert.
Cette aventure était tellement intense que j'ai souhaité vous en faire partager quelques instants.
ps : J'anticipe les questions lol
ps1 : je n'ai pas de photo à mettre
ps2 : je ne donnerai pas l'adresse de Joséphine (pour ceux qui voudraient prendre la place que je vais laisser)
ps3 : désolé pour les fotes d'aurtograf, il est 2h47 du matin, jsuis un peu fatigué lol
ps4 : j'espère que ce récit vous a un peu excité => personnellement, rien que de repenser à cette histoire, ça me fait bander comme un taureau (et pourtant je ne suis pas membré comme lui mdr)