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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
par Patjoe
#2063183
Comme précisé sur ma fiche, ma cocufieuse et moi sommes mariés depuis 37 ans et ensembles depuis 40 ans. Pour planter le décor, je suis entré à 16 ans dans une école militaire à Saintes. Comme dans beaucoup de villes de garnison, les filles sont chaudes et faciles et j'ai rapidement pris goût aux plaisirs de la chair. Nos copines de l'époque étaient choisies entre 18 et 24 ans environ, il était bien pratique à 16 ou 17 ans d'avoir une copine ayant le permis et une voiture. Avec quelques copains nous fréquentions un petit groupe de filles assez chaudes pour être partagées et j'ai encore en mémoire les chambres louées à l'hôtel "Les messageries" de Saintes pour quelques heures les dimanche après-midi. J'ai rencontré celle qui deviendra ma femme à 18 ans, elle en avait 15. Si elle à eu un coup de foudre pour le jeune et beau soldat que j'étais, motard en plus, il m'a fallu un peu plus de temps pour tomber amoureux d'elle. Au bout de quelques semaines elle m'offrit sa virginité et je sentais vite que son attachement la rendait ouverte à beaucoup de choses sexuellement. Je l'initiais rapidement à la sodomie, à avaler ma semence ... C'était une bonne élève et elle aimait ça. Dès le départ je lui fit rapidement comprendre que la fidélité sexuelle n'était pas mon fort, et qu'elle aussi pourrait faire de même si elle le souhaitait ... a condition que je le sache bien sûr. Mais elle resta sage jusqu'à ce que nous soyons mariés trois ans plus tard. De mon côté quelques écarts seulement dont je me contentais de lui parler brièvement, elle n'était pas intéressée par les détails. Quelques mois après nous être installés en Provence c'est quasi naturellement qu'elle découvre l'échangisme avec un couple d'amis de notre âge. Je plaisais bien à la femme de mon pote et lui plaisait bien à la mienne. Quelques verres, un peu de musique et nous voilà en train de sauter chacun la femme de l'autre dans deux chambres séparées. Petit à petit nous avons renouvelée l'expérience avec eux puis avec d'autres. Quelques sorties en club échangistes lui ont fait découvrir les plaisirs de faire l'amour avec plusieurs hommes en même temps. En deux ans elle est devenue totalement libertine. Elle s'est mise à l'épilation intégrale, elle ne portait presque jamais de culotte sous ses jupes ni de soutien-gorge. Les mecs la draguait pas mal car elle est plutôt mignonne, 1m70, 50 kg, brune et sexy avec une poitrine 90B. Dans ces années 80 on ne parlait pas encore du Sida et je prenais un grand plaisir à nettoyer ses orifices dégoulinants quand nous rentrions du club. Mon envie de caudalisme prenait forme et je n'hésitais pas à lui en parler. J'avais envie qu'elle me trompe en dehors des soirées échangistes, je voulais qu'elle succombe en dehors d'un libertinage qui ne m'excitais plus assez, je voulais la voir se faire draguer à la terrasse d'un café, ou en boîte de nuit et ramener un amant dans le lit conjugal. Devant mon insistance elle finit par accepter de jouer le jeu, mais à condition qu'elle puisse choisir le moment et avec qui sans que je n'intervienne. Nous sortions beaucoup en boîte de nuit ou dans des fêtes de village autour de chez nous. Elle s'habillait toujours très sexy en jupe et ne portait jamais de sous-vêtements. Un jour enfin la chose se produisit.
Nous étions dans un bal dans un petit village après un petit restaurant en tête à tête, elle avait bu quelques coupes de champagne et était un peu euphorique. Après quelques danses ensembles, elle reste sur la piste pendant que je vais boire un verre au bar, je la regarde danser, accoudé au comptoir de la salle des fêtes et quelques mecs tournent autour d'elle. D'un coup c'est une série sentimentale qui débute, un morceau qu'elle adorait à l'époque. Deux ou trois mecs l'invitent à danser, mais elle refuse. En quittant la piste, un gars l'invite et elle accepte. Je suis fou de joie car en voyant le gars je sais qu'il lui plaît physiquement. C'est un beur, grand et baraqué, tout à fait le genre à lui plaire. Au bout de deux slows je les vois enfin s'embrasser, elle enroule ses bras autour de son cou et se blotti contre lui. Très excité j'invite à mon tour une fille à danser et je l'entraîne à côté d'eux pour pouvoir jouer le voyeur au plus près. Ils n'arrêtent pas de se rouler des pelles et elle surjoue un peu en voyant que je suis à côté. La fille avec qui je danse se frotte pas mal, mais elle ne m'intéresse pas. Quand la série de slows se termine, ils vont au bar commander un verre et s'isolent dans un coin amoureusement. Je largue mon pot de colle et me met aussi dans un coin à bonne distance sans les quitter des yeux. Je bande comme un fou en les regardant se bécoter. Au bout d'une demi-heure ils quittent la salle main dans la main, je suis discrètement. Ils s'éloignent en s'arrêtant souvent pour s'embrasser et se dirigent vers une voiture sur le parking, le gars en sort un plaid et ils partent vers un bosquet par un petit chemin de terre qui longe un ruisseau. La nuit est assez claire et je parviens à les suivre sans me faire remarquer jusqu'à un petit champ à la lisière du bois dans lequel je me planque derrière un gros arbre. Ils s'allongent sur le plaid et s'enlacent en s'embrassant. Je suis assez loin, une bonne cinquantaine de mètres, mais je vois parfaitement ce qui se passe. Ils se déshabillent et elle le suce longuement. Puis il la baise dans différentes positions et je l'entends gémir puis crier de plaisir, je me masturbe et je me fais aussi jouir en quelques secondes. Ils continuent pendant une bonne heure entrecoupée d'une courte pause. Quand je les vois commencer à se rhabiller je me sauve en courant pour revenir à la salle et j'attends au bar. Ils mettent au moins une heure interminable avant de revenir. Je les vois s'embrasser à l'entrée et lui ressort de suite. La salle s'étant bien vidée entre temps, ma femme me voit au bar et vient me rejoindre. Je lui demande où elle était partie pendant tout ce temps et elle me réponds: "On est aller baiser dans un champs!". Quand nous rentrons elle me raconte tout en ignorant que je les avais suivis, et nous faisons l'amour. Le sperme du gars coule encore de sa chatte quand je la prends, le pied absolu. Elle aussi à aimé et me promet de recommencer très vite. Voilà le début de notre vie vouée depuis au caudalisme. D'autres amants vont suivre et nombreux jusqu'à aujourd'hui et j'en ai encore beaucoup à raconter. La suite au prochain épisode....
par Patjoe
#2063413
Il me faut attendre environ 6 mois avant d’être cocu une seconde fois. Entre temps nous continuons à fréquenter un club échangistes une fois par mois environ et à improviser quelques soirées libertines avec quelques amis choisis. Bien sûr pas question pour nous d’arrêter ces soirées. Mais malgré tout je préfère pour ma part être fait cocu. Ma femme n’est pas contre, mais elle veut que je la laisse gérer ça sans m’en mêler et sans la pousser sans cesse. Je respecte sa volonté, mais je suis impatient quand même. Nous habitons un appartement au deuxième étage dans une résidence juste à la sortie de la base aérienne où je travaille, et en cet automne ma chérie est en stage dans une entreprise de la ville voisine pour 2 semaines. Le dernier jour de son stage en milieu . ’après-midi, mon chef d’atelier me fait appeler au bureau et me dit que ma femme a appelé et qu’il faut que je la rappelle au plus tôt à la maison, pas encore de portable dans les années 80 ! Je me précipite à la cabine sur le parking du mess, inquiet qu’il y ait un problème. Elle m’annonce qu’elle vient de rentrer, mais me demande de ne pas rentrer à 17h00 comme prévu mais d’aller prendre un verre chez des amis ou en ville. Elle attend un collègue de boulot qu’elle a invité à prendre un verre. Elle m’explique qu’il la drague un peu depuis le début de son stage et qu’il n’est pas impossible qu’elle couche avec lui, mais rien de sûr. Nous convenons que quand j’arrive, si les volets de la chambre sont fermés c’est qu’il est avec elle. Je suis tout excité d’entendre ça et lui dit que c’est ok ! Je vais vite voir mon chef et je me débrouille pour débaucher de suite, prétextant un problème à la maison. 20 minutes plus tard je me gare sur le parking devant la résidence en cachant un peu la voiture derrière un fourgon. J’ai en vue les fenêtres de notre chambre et du salon, tous les volets sont ouverts. Je ne parviens pas à entrevoir ce qui se passe derrière les rideaux et j’attends là patiemment. Deux bonnes heures plus tard je vois enfin la fenêtre de la chambre s’ouvrir, je reconnais la robe qu’elle porte et qu’elle ne met habituellement que pour nos sorties en club échangiste. Je fantasme donc seul dans ma voiture sur le fait qu’elle tout mit en œuvre pour le séduire. Je vois la lumière du salon s’éteindre, ça y est ils sont au lit… Je me caresse à travers le pantalon en l’imaginant en train de lui faire une fellation, puis les cuisses grandes ouvertes pour l’accueillir … Elle va peut-être lui demander de la sodomiser ! Enfin je me fais un film dans la tête. Je suis un peu frustré de rien apercevoir, même entendre ses gémissements de plaisir suffirait à mon bonheur. J’aperçois juste le halo de lumière tamisée autour des volets, la lampe de chevet est allumée !
Il est 22h00 quand enfin je la vois ouvrir les volets, elle a les cheveux en vrac et elle a juste enfilé son peignoir. Au même moment je vois un gars sortir du hall et partir en voiture. Elle me voit arriver par la fenêtre et elle referme les volets. Je monte les deux étages au pas de course, à peine entré dans l’appart je l’entends m’appeler :
- « C’est toi mon cocu ?
- Oui
- Viens vite me rejoindre, j’ai besoin de ta langue pour nettoyer tout le sperme de mon amant ! »
Je me déshabille dans le salon et la rejoins dans la chambre, elle est allongée sur le dos, les cuisses ouvertes et je vois du sperme couler de sa chatte, les draps puent le mâle, je suis surexcité. Elle m’embrasse à pleine bouche, je sens l’odeur de bite dans son haleine. Comme elle me l’a demandé je lèche sa chatte et le sperme qui en sort, puis je la baise comme un forcené en la faisant hurler. Le temps de reprendre mon énergie elle me raconte comment il l’a baisée, puis enculée… Nous refaisons l’amour, longuement. Et elle a une phrase avant de s’endormir qui résonne encore aujourd’hui dans ma tête :
- « Si tu me baises aussi bien à chaque fois que tu es cocu, je veux bien te tromper tous les jours ! »
Il me faudra attendre encore six ou sept mois pour revivre ça, mais la troisième fois sera un grand souvenir…..
par Patjoe
#2063608
Nous sommes mi-juin et il fait déjà très chaud en Provence. Mon épouse vient de finir enfin ses études et a obtenu son diplôme d’ingénieur qualité depuis quelques jours. Elle a pas mal bossé pour ça ces derniers mois et comble de chance, la société dans laquelle elle a fait son dernier stage en janvier l’embauche à partir de septembre prochain. De plus les vacances approchent à grand pas car mous partons mi-juillet. Nous avons eu une activité sexuelle réduite ces dernières semaines et je sais que maintenant libérée du stress de ses examens elle est un peu en manque. Nous avons d’ailleurs programmé une sortie en club pour le week-end suivant. Pour ma part je dois partir quelques jours en déplacement pour aller dépanner un avion bloqué à Mont de Marsan. Je la quitte donc en ce lundi matin, après un petit déjeuner en tête à tête. Comme il fait beau elle prévoit d’aller passer son après-midi à la piscine, elle adore nager et ces derniers mois elle n’a pas eu souvent le loisir d’y aller.
J’arrive au boulot à 8h00, prêt à décoller pour Marsan, mais mon chef d’atelier m’apprend que la mission est annulée car les pièces détachées dont j’ai besoin sont en rupture de stock. La mission est donc reportée à une date non déterminée. Dans la matinée j’essaie d’appeler ma femme, mais elle n’est pas à la maison. Je décide donc de lui faire la surprise en la rejoignant à la piscine en fin d’après-midi. Comme j’ai des récupérations à prendre je pose ma journée du lendemain pour rester avec elle. A 17h00 je fonce vers la piscine sans passer par la maison vu que j’ai mon maillot de bain et ma serviette dans mes bagages. La piscine est à ¼ d’heure de la base à la sortie de la ville. C’est une piscine en plein air qui jouxte un camping municipal sans prétentions. En arrivant je vois sa voiture garée sur le parking. Une haie clairsemée et une clôture séparent ce parking du bassin, et je dois la longer sur quelques mètres pour passer par l’entrée. Par un trou entre les haies je regarde si je la vois, il n’y a pas trop de monde vu que les vacances scolaires n’ont pas encore commencées. Je la vois à quelques mètres de moi, assise sur le bord, les pieds dans l’eau en train de discuter avec deux gars, elle est assise entre les deux et ils rient beaucoup. Mon sang ne fait qu’un tour, serait-elle en train de draguer ? de se faire draguer plutôt ? Du coup je renonce à la rejoindre et je reste observer discrètement. Je déplace ma voiture pour pouvoir bien voir sans me faire remarquer. Je la vois sortir de l’eau toujours avec les deux types à ses basques et se diriger vers la buvette. Je dois à nouveau déplacer la voiture pour mater. Elle est assise sur un tabouret, dos au comptoir, un verre de coca à la main. Les deux garçons sont debout, un de chaque côté d’elle. Je la trouve très belle dans son bikini bleu clair et je suis maintenant persuadé qu’elle va sortir avec un des deux. En plus ils sont grands, plutôt costaud, un brun aux cheveux longs et un métis. Leurs verres vidés ils quittent le bar tous les trois et sortent par le portillon qui donne directement accès au camping, se dirigeant vers les grands arbres le long de la clôture opposée. Zut je ne les vois plus et je ne peux pas les suivre. Je quitte ma voiture et je fais le tour à pied en suivant la clôture doublée d’une haie tout le tour. Je suis dans un champ d’arbres fruitiers. Je les cherche des yeux pendant un long moment et d’un coup je les aperçois au travers de la haie, à peine à 10 mètres de moi. Elle est adossée aux sanitaires du camping, un gars de chaque côté d’elle et elle les embrasse à tour de rôle. Le métis à sa main glissée dans le bas de son maillot et je distingue que ses doigts s’agitent. L’autre lui a sorti les seins du maillot et les caressent. Je suis fou de joie et mon pantalon se tend d’un coup. Ça dure ainsi un bon moment, j’imagine déjà qu’ils vont la prendre là contre cet arbre. Mais finalement rien de plus, au bout d’un moment elle rajuste sont haut de maillot et ils repartent tous les trois vers la piscine. A ce moment-là, je crains qu’elle les emmène chez nous et me priver du spectacle. Je cours vers le parking et je déplace encore la voiture pour ne pas qu’elle la voit. Mais elle ne sort pas, et d’un coup je les vois tous les trois passer le portillon vers le camping. Elle a juste noué un paréo autour de sa taille et récupéré son sac. Cette fois je suis sûr qu’elle va se faire baiser dans un coin discret par les deux gars, je sais qu’elle aime quand on va au club coucher avec plusieurs mecs à la fois, jusqu’à quatre ou cinq ça ne lui fait pas peur. Le camping est quasiment vide juste deux ou trois emplacement occupés aux quatre coins et ils sont séparés par des haies de deux mètres de haut. Il sert surtout aux saisonniers qui bossent dans les exploitations environnantes. Il faut dire qu’à part la piscine le coin est assez désert et n’est pas un lieu idéal pour des vacances prolongées.
Je refais le tour de la clôture et de l’autre côté je les vois enfin se diriger vers un emplacement, juste derrière les sanitaires, où il y a un fourgon garé et une vieille tente carrée de bonne taille dont l’auvent est ouvert face à moi le long de la haie. Je pense que ces gars sont des saisonniers et qu’ils campent pour bosser. Ils se sont installés tout au bout à l’opposé de la piscine bien à l’écart des autres emplacements occupés. Par un petit trou je vois dans la tente deux matelas posés à même le sol et pas mal de bordel autour. Contre la haie qui me dissimule, il y a une bâche à même la pelouse avec un réchaud et deux glacières. Ils s’assoient dessus, si près de moi que j’entends leur conversation sans les voir. Ils boivent une bière et j’entends régulièrement qu’ils s’embrassent. Je perçois l’odeur d’un barbecue qu’on allume et l’odeur de saucisses grillées, toujours des baisers échangés et quelques caresses sûrement car j’entends de petits gémissements de ma femme par moments. Je trouve enfin un emplacement d’où je les vois mieux en m’éloignant de quelques mètres. Ils mangent en discutant et en buvant du rosé. Ma femme à l’air à l’aise toujours en maillot et paréo, les gars ont enfilé un short et ils sont torse nu. Je commence aussi à avoir la dalle et me doutant que rien ne va se passer pendant qu’ils mangent je décide de faire un saut en ville pour acheter un sandwich. Je reviens à peine 20 mn plus tard et je me gare sur le parking à l'entrée du camping, plus près de leur emplacement. Je mange à bonne distance d’eux pour ne pas me faire repérer, puis quand je les vois debout en train de ranger je récupère un plaid dans la voiture et je me rapproche doucement. Je me place quasiment en face de l’auvent pour voir ce qui se passe en espérant qu’ils ne l’aient pas fermé. Il fait presque nuit et ils sont debout sous l’auvent, elle est nue et ils sont en train de la caresser et de l’embrasser à tour de rôle. Puis ils se déshabillent et ils s’allongent sur un des matelas. Il y a une lampe à gaz allumée dans la tente et je profite du spectacle à peine à 15 – 20 mètres d’eux. Ils la baisent chacun leur tour, je l’entends crier et jouir plusieurs fois. A un moment elle s’empale sur l’un deux, assise au-dessus tout en suçant l’autre debout devant elle, je comprends qu’il jouit dans sa bouche et qu’elle avale tout. Je finis par me masturber devant le spectacle et à jouir à mon tour très vite. Il est environ minuit quand tout s’arrête, ils vont tous les trois et sanitaires à poil et reviennent se coucher sous les duvets, ma femme entre les deux. Quand ils éteignent la lampe je comprends qu’elle va dormir là et qu’il ne se passera rien avent le lendemain, du coup je rentre à l’appartement.
Je dors sur le canapé et je fais en sorte de ne laisser aucune trace de mon passage, je mets mon réveil sur cinq heures pour aller vite fait reprendre mon espionnage. Je suis sur place à six heures, mais ils dorment encore tels que je les ai laissés la veille. Ce n’est qu’au bout d’une heure qu’ils se lèvent enfin, ils échangent quelques baisers, mais à ma grande déception, rien de plus. Pendant qu’ils font couler un café et grignotent quelques biscuits, ils discutent assis sur la bâche. Ma femme leur annonce qu’elle va rentrer et comme ils lui demandent si elle revient le soir, elle dit que oui, mais qu’elle doit prendre quelques affaires. Un des gars lui dit qu’ils doivent récupérer deux copains antillais qui arrivent dans la matinée à la gare et qu’ils restent au camping jusqu’au vendredi avant de prendre la route vers Gap. Ils aimeraient bien qu’elle s’installe avec eux jusque-là, mais elle dit juste « on verra » en les quittant et en leur donnant rendez-vous l’après- midi à la piscine. Je file en courant jusqu’à la voiture pour partir avant elle. J’imagine qu’elle rentre à la maison et je vais prendre un café dans le village voisin pour éviter de me faire repérer. Je traîne un moment en me demandant ce que je vais faire. Je décide de l’appeler en milieu de matinée en me disant que je vais improviser. Quand elle décroche je la sens de très bonne humeur, enjouée. Elle me croit à Mont de Marsan et je lui dis que je suis en plein boulot et que j’ai juste pris un moment pour l’appeler. Elle me dit : « Tu vas être content, tu es cocu ! ». Je lui demande des détails pour qu’elle ne se doute pas que je sais déjà, mais elle me dit juste qu’elle me racontera à mon retour pour que je sois impatient de rentrer. Elle ne croit pas si bien dire, du coup je lui dis que je rentre comme prévu le vendredi matin vers 10h00 et que j’ai pris le reste de la journée en récupération (il était déjà prévu que je ne travaille pas ce jour-là). Toujours très enjouée elle m’annonce que je serais à nouveau cocu d’ici là ! Mais elle ne veut toujours pas m’en dire plus. Je lui dis que je la rappellerai le jeudi matin pour confirmer mon retour avant de raccrocher. Je conclue donc qu’elle va à nouveau aller baiser au camping, et je décide de prendre une chambre à l’hôtel le plus près du camping, pour continuer mon voyeurisme.
L’après-midi, je me gare à 200 mètres du parking, bien placé pour voir passer sa voiture quand elle arrivera. Je la vois enfin passer vers 15h00 et rentrer à la piscine. Elle y retrouve ses deux amants, mais il y a aussi deux antillais avec eux, semblant plus âgés que les deux autres (35 ans je dirais). Tous les cinq passent le reste de la journée autour du bassin en se baignant de temps en temps. Et comme la veille ils rejoignent le campement vers 18h30. Me revoilà longeant la clôture discrètement, mais cette fois équipé d’un sac à dos avec de quoi manger et boire sans avoir à bouger. Je vois qu’une autre tente a été installée à côté de la première, une simple canadienne deux places. A leur conversation et leurs éclats de rire je comprends que les deux antillais ont vite trouvé leur place et je commence à rêver qu’ils vont tous partouzer ma femme à la nuit tombée. Je m’en lèche les babines d’avance ! Après le traditionnel barbecue, la nuit tombe, un des antillais sort une guitare et commence à chanter du Bob Dylan. Je vois ma femme allongée sur la bâche, la tête posée sur les cuisses du métis qui lui pelote les seins par-dessus la robe, le brun lui caresse les jambes et ils chantent tous les quatre. Leur veillée dure un bon moment avant qu’enfin la guitare rejoigne son étui. Je les vois tous partir vers les sanitaires et j’attends qu’ils reviennent, mais trois mecs viennent tour à tour et le quatrième traîne ainsi que ma femme. J’entends un de ses amants de la veille dire à un des antillais qu’elle est chaude et qu’ils vont s’éclater. Ma prévision de partouze se confirme, et au bout d’un quart d’heure ma femme et le second antillais reviennent enfin. Un des autres demande au black :
-« Vous étiez où tous les deux ?
-Je me faisais sucer la bite ! lui répond le gars
-Ah, tu voulais passer en premier c’est ça ?
-Le privilège de l’âge lui répond ma femme en éclatant de rire »
Ils rient tous les quatre et vont tous se coucher sous la grande tente en occupant les deux matelas. Malheureusement pour moi, ils baissent l’auvent et je n’ai que le son pour vivre la suite. Grâce à la lampe à gaz je vois le spectacle en ombres chinoises. Je devine qu’ils se succèdent entre ses cuisses et qu’elle jouit de nombreuses fois en criant très fort. J’entends quelques phrases qui resteront toujours gravées dans ma mémoire : A un moment un des antillais dit : « Ah qu’est qu’on est bien dans son trou du cul, je vous conseille d’essayer les gars ! » Un autre lui répond : « Je sais j’ai testé hier soir déjà, tu crois qu’on t’a attendu pour l’enculer ! ». A plusieurs reprises l’un d’eux soulève l’auvent quelques minutes, le temps d’aller pisser contre la haie et me permettant de voir ma femme en action, puis l’auvent se baisse à nouveau. Au bout de deux bonnes heures enfin les choses semblent terminées et le calme revient. Alors que j’envisage de rentrer dormir, l’auvent s’ouvre et je vois ma femme à poil sortir dans les bras de l’antillais le plus âgé. Ils referment l’auvent derrière eux en éteignant la lumière et s’engouffrent en riant sous la canadienne. Ils baisent maintenant tous les deux et ma femme crie à nouveau. Je me dis qu’elle devient vraiment de plus salope, j’en suis ravi ! Il est enfin temps que je rentre, tout est calme, je les entends juste discuter sous la canadienne sans comprendre ce qu’ils disent et je rentre à l’hôtel.
Le lendemain je passe au camping vers 7h00, mais ils dorment tous et je dois aller bosser. La journée est longue et je ne peux pas m’échapper avant l’heure de débauche à 17h00. Je file donc directement à la piscine en sortant, mais la voiture de ma femme n’y est pas, les gars ne sont pas là non plus pas plus qu’au camping. Je passe à l’appartement mais personne. Je rentre à l’hôtel et je mange au restaurant en me disant que j’irais au camping à la nuit tombée. Mais là encore une déception, il n’y a personne. J’attends et vers 23h00 les quatre lascars rentrent seuls et vont se coucher directement. Je file donc à la résidence et là je vois que ma femme est là, seule apparemment. Déçu je rentre à l’hôtel. J’apprendrais plus tard de sa bouche qu’ils ont passé la journée tous les cinq sur les bords de la Durance et qu’elle a passé l’après-midi à baiser avec eux avant de se faire inviter au restaurant le soir et de rentrer dormir à la maison. Le lendemain matin je l’appelle du boulot et je lui dis que je rentre tôt le lendemain matin, vers 8h00. Elle me surprend en me disant qu’elle ne sera surement pas là mais elle veut que je couche et que je l’attende à poil sur le lit et que j’aurais du nettoyage à faire. Juste ce que j’espérai, pouvoir la retrouver souillée par d’autres. Ma déception de la veille est oubliée et je suis impatient de rejoindre mon poste d’observation le soir venu. J’ai droit encore une fois au spectacle son et image en ombres chinoises jusqu’au milieu de la nuit. Ma femme les a prévenus en mangeant qu’elle devait partir vers huit heures et elle a prévu un réveil pour ne pas se rater. Quand j’entends sonner et qu’ils se lèvent je rentre en vitesse à la maison. Je suis à peine à poil sur le lit quand elle j’entends la porte s’ouvrir. Elle rentre dans la chambre et s’approche du lit, les mains sur les hanches, l’air dédaigneuse et moqueuse et me dit :
-« Bonjour mon cocu, ça va, tu es bien rentré ?
-Oui très bien, et toi tu étais où ?
-En train de me faire sauter par mes amants !
-Tes amants ? Ils étaient deux?
-Non quatre, tu es quatre fois cocu ! »
Elle soulève sa robe et se met à califourchon sur mon visage en m’ordonnant de lui nettoyer la chatte et le cul avec ma langue. Je m’exécute, je bande comme un taureau. Elle me torture les tétons en distillant ses ordres, dominatrice. J’adore qu’elle cherche à m’humilier dans ces moments et je dois dire que là elle est parfaite pour la première fois. Elle me raconte en détails sa rencontre avec ses amants, exactement ce à quoi j’ai assisté, plus quelques détails que j’avais ratés. Au bout d’un long moment elle me reproche de lui faire mal et elle s’allonge à mes côtés, elle me demande d’un air moqueur :
- « Tu comptes faire quoi avec ta petite bite dressée ? Pas me baiser j’espère, mes amants m’ont comblée et ta nouille ridicule ne servirait à rien. »
Elle me demande de me branler comme un bon cocu et elle m’autorise à juter sur elle. Ce faisant elle continue à me raconter ses journées en détails. Ce week-end là nous passons pas mal de temps au lit à faire l’amour plusieurs fois par jour. Nous discutons beaucoup aussi, et cette semaine de cocufiage l’a totalement convaincue que nous aurions tous deux beaucoup de plaisirs à tirer de ces pratiques. Elle m’avoue qu’elle aimerait bien avoir un amant régulier, qu’elle pourrait recevoir en ma présence et qui l’aiderait à me dominer lors de quelques soirées coquines. Ce genre de personnage n’est pas si facile à trouver car ça requiert une complicité certaine entre tous les protagonistes. Comme nous sommes abonnés à Swing, une revue d’annonces échangistes de l’époque, nous décidons de chercher par ce biais. Encore de belles rencontres en vue….
par Patjoe
#2063685
Suite à cette semaine agitée, nous discutons beaucoup et ma femme se lâche un peu plus, sûrement que ça a crée un déclic chez elle. Elle me parle un peu plus de ses fantasmes et de ces envies. Elle a surtout aimé mon retour où elle s'est montré dominatrice et dédaigneuse. Mon acceptation d'être cocu et soumis à un éventuel amant régulier la pousse à me dire qu'elle aimerai que dans ces moments j'accepte un peu de bissexualité comme accepter de sucer son amant, peut-être même accepter de m'essayer à la sodomie. Elle adorerait que je prenne autant de plaisir qu'elle à cette pratique. Je suis très surpris, et n'ayant jamais eu ce genre d'expérience je suis très réticent à ce genre de choses. Mais ne voulant pas refuser et la braquer, je lui dit qu'on verra bien et que selon l'excitation du moment tout est possible. Après maintes discussions elle finit par se mettre en chasse du cocufieur idéal en feuilletant Swing tous les mois et en cochant les annonces pouvant convenir. Vu qu'à l'époque tout se passe par courrier, elle ouvre une Boîte postale pour ne pas avoir à donner notre adresse. Mais la recherche s'avère compliquée, surtout qu'elle cherche de préférence un black ou un beur, pas trop jeune et expérimenté. La recherche va prendre presque 9 mois après de dizaines de courriers, quelques déceptions , deux ou trois lapins... enfin ceux qui pratiquent connaissent ce genre de déconvenues. Elle gère seule cette recherche car elle ne veut pas que je m'en mêle. Elle me montre juste les courriers et les photos quand ils n'aboutissent à rien. Bien sûr nous continuons toujours les rencontres échangistes et me trompe deux ou trois en parallèle de ses recherches soit par des rencontres lors de sorties ou en ville. Après des vacances en amoureux, elle débute son travail dans l'entreprise et se plaît dans son travail. Toutefois elle ne souhaite pas débusquer ses amants dans l'entreprise, on ne mélange pas les deux, et je valide cette décision. Au début de l'été suivant sa recherche aboutit enfin à une rencontre qui s'avèrera être la bonne ....

Je met quelques photos, datant des années 90 que j'ai retrouvées au fond d'une caisse... Elle n'aime guère que je la photographie d'où la rareté....
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par Patjoe
#2063686
Quelques autres...
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par karim6123
#2063723
oui, c'est le cas de le dire elianeserge.... wahouuuuuuuuuuuuuu
j espere que tu as encore de quoi alimenter ce poste car c est le top
je suis beure cocufieur sur paris, j 'aimerai trouver 1 cpl, comme vous
si 1 cpl est interesser repondez moi par MP
par Patjoe
#2063793
Après un échange de nombreux courriers en deux mois, elle décide enfin de rencontrer un correspondant. Comme elle exige que cette prise de contact se passe dans un lieu public et pas dans notre ville, il l’invite un vendredi soir à dîner dans un restaurant situé à 10 km de là, dans une petite ville dans laquelle nous ne connaissons personne. Je précise que suite au début de la vie professionnelle de mon épouse, nos revenus ont plus que doublés, ce qui nous a permis de déménager en début d’année. Nous louons désormais une fermette rénovée avec un bout de terrain à l’entrée d’un petit village. Ce lieu est bien plus adapté pour nos rencontres éventuelles ou nos soirées coquines. Pas de voisins qui se disent dérangés par le bruit, ou qui voient qui rentre chez nous ou en sort. Elle se fait belle pour cette rencontre, dont je ne sais absolument rien d’autre que ce qu’elle m’en a dit, que cet homme correspond à ce qu’elle recherche et qu’elle va dîner avec lui. En partant, elle ne sait pas ce qui va se passer et elle dit qu’elle me téléphonera si quoi que ce soit doit se passer. S’il s’avère qu’il convient à ce qu’elle veut, elle veut devenir sa maîtresse pendant quelques fois avant que je ne puisse faire sa connaissance de manière à établir une bonne complicité avec lui. J’avoue que ce soir-là, ma tentation est grande d’aller jouer les voyeurs discrètement, mais le fait qu’elle ait promis de me téléphoner me contraint à rester à la maison. Je passe donc la soirée tout seul, devant la télévision sans vraiment la regarder et en me faisant des films dans la tête.
Les heures passent et ce maudit téléphone ne sonne toujours pas, quand enfin vers minuit passé elle finit par appeler. Elle me dit que tout s’est très passé jusque-là et elle m’annonce que je suis officiellement cocu depuis 20 minutes cars ils ont échangé le premier baiser, suivi de quelques autres. Elle m’annonce qu’ils vont passer la nuit ensemble dans un hôtel du village qui a bien voulu leur donner une chambre malgré l’heure tardive. Elle me souhaite une bonne nuit et ne sait pas quand elle va rentrer le lendemain. Je dors peu cette nuit-là et le lendemain je bricole un peu en guettant le moindre bruit de voiture en approche. Il est 10h30 environ quand j’entends enfin sa voiture rentrer dans la cour. Depuis son coup de fil je l’imagine m’obliger à nettoyer son intimité avec la langue comme les fois précédentes, mais je remarque de suite qu’elle est douchée et toute fraîche. Quand je lui demande comment ça s’est passé, elle me dit juste que c’était super, mais elle ne veut rien dire d’autre. Elle me dit qu’elle ne me racontera rien sur son amant et leur relation avant qu’elle ne l’invite à la maison. Elle m’annonce qu’elle repart après s’être changée et avoir pris quelques affaires pour passer la journée et la nuit suivante avec lui. Je suis frustré mais je lui promets de respecter les règles qu’elle aura établies. Ils passent deux nuits par semaine ensembles et deux week-ends jusqu’en septembre avant qu’elle m’annonce qu’il passera le prochain week-end chez nous. Enfin, trois mois d’attente furent longs…. Mais enfin je vais pouvoir être un cocu actif. J’avoue que si elle m’avait annoncé vouloir continuer comme ça encore un peu j’aurais mis un terme à l’exercice. La semaine avant ce fameux week-end elle ne le voit pas et nous passons ces quelques jours en amoureux comme si de rien n’était.
Il doit arriver le vendredi soir vers 19h00 pour l’apéritif et elle me donne les consignes à respecter. C’est moi qui ferais le service pour l’apéritif comme pour le repas et je ne dois pas me mêler de leurs ébats. Elle me dit aussi qu’il s’appelle Abdel, qu’il a 41 ans et qu’il est chef d’entreprise à Marseille, marié avec des enfants. Sa femme n’est pas au courant et le croit en déplacement professionnel fréquent. Enfin, je devrais le vouvoyer et l’appeler Monsieur Abdel, et obéir à ses ordres. En fin d’après-midi elle se fait belle et sexy pour lui après avoir préparé un bon repas que je devrais réchauffer et leur servir dans la salle à manger. Il est ponctuel et quand il sonne elle se précipite pour ouvrir et se jette dans ses bras. Ils s’embrassent longuement, peut-être un peu trop amoureusement à mon goût, je me demande un instant si je ne suis pas plus cocu que prévu. Elle m’appelle : « Cocu, viens dire bonjour ! » Je vais saluer Monsieur Abdel en le vouvoyant comme convenu. Ils s’installent dans le canapé du salon et continuent à s’embrasser, ma femme est blottie dans ses bras. Je sers l’apéritif et pendant qu’ils le consomment je prépare le repas et je mets la table dans la salle à manger. Monsieur Abdel me demande :
- « Pourquoi trois assiettes, cocu ? Tu ne comptes quand même pas manger entre ma chérie et moi ?
- Tu manges dans la cuisine ! Rétorque ma femme d’un ton sec »
Je fais donc ce qui m’est demandé, en les servant quand ils demandent la suite. Puis je leur sers un café au salon, je mets de la musique et j’éteins la lumière pour juste allumer un halogène. Il profite de la lumière tamisée pour inviter ma femme à danser. Ils s’embrassent sans cesse et je vois passer les mains sous sa jupe sans se soucier de moi. Je suis tout excité du spectacle que je vois. De temps à autre ils jettent un coup d’œil dans ma direction, puis se murmurent des choses que je n’entends pas, mais que je prends pour des moqueries à mon encontre, ce qui me fait bander encore plus fort. D’un coup ma femme m’appelle :
- « Viens ici, cocu, ça t’excite de nous regarder ?
- Bien sûr je suis sûr que sa petite bite est toute raide, répond Monsieur Abdel à ma place
- Fous toi à poil qu’on rigole un peu, m’ordonne ma femme ! »
Je me mets nu et ils constatent mon état en se tordant de rire. Je fais un aparté pour dire que la nature m’a confortablement gâté en vérité, même si son amant l’a été plus que moi. Il sort son engin et je constate en effet qu’il est exceptionnellement doté. A peine plus long que moi, mais pas loin du double en épaisseur. En cette première soirée, c’est elle qui me donne le plus d’ordres, même si certains viennent de lui il se contente de les lui souffler à l’oreille. Ils dansent quelques minutes encore, puis ma femme me dit :
- « Tu vas aller te coucher dans la chambre d’amis, Cocu, nous on a des choses à faire, on t’appellera si on a besoin de toi ! »
Elle m’accompagne et me regarde me coucher, éteins la lumière, et laisse la porte entrouverte avant de rejoindre son amant qui attend devant. Ils rentrent à leur tour dans notre chambre conjugale en laissant aussi la porte entrouverte. Les deux chambres sont face à face dans le couloir et je peux tout entendre, et même entrevoir le bas du lit. Jusqu’à leurs genoux. Ils laissent la lumière d’un chevet allumée, ce qui m’arrange. J’entends en direct tout ce qu’ils font, tout ce qu’ils disent. Elle le suce longuement, pendant que lui doit la doigter car j’entends des bruits significatifs. Puis carrément elle lui demande de mettre 3 doigts, les bruits s’accentuent, puis des gémissements de plus en plus accentués. Enfin il finit par la prendre, dans la position du missionnaire, je vois ses jambes et ses pieds par la porte entrebâillée. Elle commence à crier et à demander à ce qu’il la bourre plus fort, il la traite de salope en continuant de plus en plus fort, la faisant jouir plusieurs fois. Puis il la fait mettre en levrette pour l’enculer, j’entends des claques tomber sur ses fesses et elle demande à ce qu’il frappe plus fort en lui cassant le cul. Quand elle demande ça c’est qu’elle est au summum de l’excitation quand on l’encule. J’entends enfin les deux crier en cœur, signe qu’il lui remplit le fion de sperme. Je bande toujours comme un fou en entendant ses cris. Après un long moment, ils doivent être tendrement allongés à reprendre leur souffle, j’entends ma femme lui dire : »Attends, le cocu va nettoyer ! » . Puis elle m’appelle et m’ordonne de nettoyer le foutre qui s’écoule de son cul. Je lape donc le précieux liquide en avalant jusqu’à ce qu’elle considère qu’elle est propre. Elle me demande ensuite de nettoyer le sexe de Monsieur Abdel, mais là je refuse, ne me sentant pas encore prêt à ça. Elle n’insiste pas, elle sait que ce n’est pas la peine, pas encore. Je suis renvoyé dans mon lit fermement, avec ordre de fermer les portes cette fois.
Le lendemain matin je dois leur servir le petit déjeuner au lit, nu. Ils passent une bonne partie de la matinée à baiser encore, mais je dois les laisser et sortir acheter du pain. A mon retour de la boulangerie, la porte d’entrée est fermée à clef et un mot sur la porte griffonné sur un papier me demande d’attendre dans la voiture pendant qu’ils terminent leurs affaires. Je n’apprécie guère ce passage et j’en parlerais à ma femme le lendemain. Quand la porte s’ouvre, je vois Abdel sortir, ma femme en peignoir l’embrasse sur le pas de la porte, et il s’en va sans doute retrouver sa propre femme. Ma femme me fait rentrer et comme elle me demande de lui nettoyer la chatte, je refuse et lui fait part des détails qui m’ont déplus. Elle en prend note, et rien de plus n’arrive ce matin-là. Ce genre de soirées va se reproduire trois fois en deux mois, mais les fois suivantes sont encore moins agréables pour moi. Ma femme s’aperçoit vite que quelque chose ne fonctionne pas et nous décidons d’en discuter.
Je lui dit qu’au bout de trois mois de relation avec Abdel, j’ai plus un sentiment de jalousie qui pointe son nez que du plaisir à être cocu. De plus, être commandé par son amant ne me plaît pas autant que je l’aurais voulu. Je ne ressens pas la même excitation que pour un cocufiage ponctuel, imprévu et court. Enfin le fait qu’elle me demande un temps d’abstinence les jours qui précèdent ces rencontres me dérangent et au lieu de m’exciter. Après m’avoir bien écouté, elle m’avoue qu’elle aussi n’est pas dans le même état esprit. Certes elle aime qu’Abdel la baise, mais a devient une routine ennuyeuse pour elle, accentuée par le fait qu’elle avait remarqué que je n’étais pas à mon aise dans la manière dont se déroulaient les soirées. Elle décide de mettre fin à cette aventure en appelant Abdel dès le lendemain matin.
Je la sens un peu boudeuse dans les jours qui suivent, preuve qu’elle s’était un peu attachée à lui. Mais deux évènements en quelques semaines vont lui redonner le sourire et me faire retrouver le plaisir d’être cocu.
par Patjoe
#2063805
Nous sommes invités au mariage d’un collègue de travail à elle qui se déroule dans un petit village des Cévennes de 200 habitants. Nous partons le vendredi et prévoyons de rentrer le dimanche en fin de journée. Sur place il y a un un hangar qui a été aménagé pour accueillir le repas du samedi soir chez le père de la mariée qui est exploitant agricole. Pour les hébergements, le petit hôtel du village, deux gîtes et toutes les chambres de la ferme ont été réservées à la famille et aux amis proches. Pour nous et d’autres moins intimes, trois caravanes et un camping-car, sans doute prêtés par la famille, sont installés dans un champ derrière la ferme. Quelques jeunes ont aussi planté la tente dans ce champ. Pour notre part ce sera le camping-car qui est flambant neuf.
Le samedi, ma femme porte une robe bustier blanche et un petit gilet blanc, je la trouve très sexy. Comme très souvent elle ne porte pas de culotte. La cérémonie se déroule bien à l’église et à la mairie. L’après-midi nous avons droit à deux bonnes heures de séance photo au pied du château du village. Après que nous ayons tous les deux pris la pose aux côtés des mariés, debout sur un large mur de pierre et comme tous les invités nous allons prendre un verre dans le chapiteau qui a été monté dans la cour devant le hangar. Nous discutons un peu avec d’autres, puis alors que je prends nos verres pour aller les faire remplir au comptoir j’entends un petit groupe derrière moi qui discute. Un des gars, l’oncle de la mariée, dit à ses deux interlocuteurs : « Je vous dis qu’elle ne porte pas de culotte, je l’ai vue et je suis sûr que c’est une chaude ! » Je souris en entendant ça, en pensant qu’ils pourraient bien parler de ma femme, où d’une autre ! Mais les trois lascars de 45-50 ans sont apparemment en couple si j’en juge par ce que j’ai vu pendant les poses photos.
Le repas se déroule bien et l’ambiance est bonne, ça danse entre les plats, ça rigole bien et nous faisons quelques connaissances. Vers minuit, après la pièce montée, un DJ se charge de faire danser tout le monde. Après quelques tours sur la piste, ma femme me glisse à l’oreille qu’elle va aux toilettes. Comme il n’y en a pas, il faut traverser la cour de la petite école voisine et c’est au bout qu’il y a de quoi se soulager. Au bout d’un moment, ne la voyant pas revenir je pars voir ce qu’elle fait. Il y a deux ou trois personnes devant qui attendent leur tour, mais pas elle. Je retourne vers la salle en me disant que j’ai dû la croiser sans la voir. Mais en longeant le mur de l’école j’entends une voix de femme qui vient du préau sur le côté. Je m’approche discrètement, il fait très sombre et je vois la robe blanche adossée dans un coin avec trois ombres autour en train de la peloter. Elle ne semble pas être là contre son gré, alors je m’approche un peu pour entendre ce qui se dit. Entre deux gémissements elle dit :
- « Il faut que je change de robe, je ne veux pas l’abîmer, je reviens après promis ! »
Je ne comprends pas ce que répondent les mecs car ils murmurent et j’entends le bruit des talons de ma femme s’éloigner. Je me faufile derrière l’école et réussis à regagner la salle avant elle. La soirée se termine tranquillement, pas mal de gens sont déjà partis se coucher, il ne reste plus que les jeunes à danser sur la piste. Je suis à table en train de boire un jus de fruits quand ma femme revient. Je feins l’ignorance, elle se tient debout derrière moi en me caressant la nuque et en se penchant elle me glisse à l’oreille :
- « Ça te gênerai d’être cocu cette nuit ?
- Ben, non, mais ici ?
- Oui, mais si ça te gêne je ne le fais pas !
- Si tu fais ça discrètement je veux bien.
- Ne t’inquiètes pas, je serais discrète.
- Il est là ? lui dis-je en pointant la salle
- Je te dirais après, on y va ? Je vais me changer avant ! »
Nous rentrons au camping-car et elle enfile une robe plus passe-partout et une paire de baskets. Pendant qu’elle se brosse les dents dans le coin lavabo, je retire mon costume et j’enfile un jogging, et je prépare mes baskets pour pouvoir les enfiler en vitesse et la suivre discrètement. Elle m’embrasse et me souhaite une bonne nuit, je lui souhaite une bonne baise et elle sort. J’enfile mes chaussures et je sors une minute après elle. Je distingue sa silhouette qui se dirige vers la ferme des parents de la mariée. Un mec semble l’avoir attendu à la sortie du champ et ils continuent tous les deux. Il n’y a pas de lumière, juste la lune qui éclaire un peu entre deux nuages et j’ai toutes les peines du monde à les suivre. Le gars qu’elle suit porte un sac à la main et ouvre la route, il s’arrête de temps en temps pour l’attendre. Ils marchent ainsi pendant près d’un quart d’heure, contournant la ferme et longeant un petit ruisseau jusqu’à un étang. Je vois deux autres ombres les rejoindre et continuer à marcher, mais les deux entourent ma femme et j’ai l’impression qu’ils lui pelotent les fesses en marchant. D’un coup ils disparaissent tous de ma vue. Je m’approche sans faire de bruit et en arrivant devant un gros buisson qui borde le lac, j’entends leurs voix à quelques mètres. Je me mets sur la pointe des pieds et je vois derrière le buisson une espèce d’abris à chevaux avec un tas de foin ou de paille. Ma femme est adossée à la paroi dans la cabane en train de se faire tripoter par un des gars pendant que les deux autres étendent une épaisse couverture sortie du sac sur le foin. Je ne vois pas grand-chose, et ne parviens pas à voir qui sont ces gars, mais je repense à la discussion entendue à l’apéritif avec l’oncle de la mariée. Je me dis qu’il est gonflé, car sa femme doit être à peine à 400 mètres de là ne se douter de rien. J’entends un des gars demander un truc à ma femme, je comprends qu’elle parle de moi quand elle dit : « Il doit dormir, il était fatigué et il croît que j’aide au nettoyage ». Je comprends qu’elle veut bien jouer la salope sans dire que je suis consentant. Rester sur la pointe des pieds longtemps est difficile, alors je me contente d’écouter ma femme jouir sous les assauts des trois gaillards, qui semblent être à la hauteur. Ses cris sont parfois étouffés et j’imagine qu’elle à la bouche bien pleine. J’essaie de regarder de temps en temps mais elle est souvent cachée par les gars qui restent entre elle et moi. Je me branle doucement en essayant de ne pas jouir dans mon froc. A un moment je comprends qu’elle vient de prendre une giclée dans la bouche car elle tousse comme si elle étouffait, puis je l’entends cracher. Je me dis que la giclée doit être abondante car en général elle avale tout sans rechigner. Je retrouve le plaisir de me faire un film dans ma tête en imaginant ce que je ne vois pas et en interprétant les bruits. A un moment, je vois que le jour commence à poindre et je risque de me faire repérer en traversant le champ dégagé qui longe le ruisseau. Je pars à regret en l’entendant crier encore pendant quelques mètres. En rentrant au camping-car je me couche en attendant son retour, il est six heures et il fait de plus en plus clair dehors. Je finis par m’endormir, sans qu’elle ne soit encore revenue. Il est onze heures quand je me réveille enfin, elle dort à côté de moi. Ce n’est finalement que le soir en rentrant chez nous qu’elle me racontera ce qui s’est passé en détails, me confirmant que c’est bien l’oncle de la mariée et deux amis à lui qui l’ont baisée. Ils l’ont attirée dans le préau de l’école presque de force et elle m’avoue que la peur d’être violée lui a serré le ventre quelques minutes, mais l’a aussi beaucoup excitée. C’est pour ça qu’elle a fini par se laisser faire et accepté qu’ils la sautent. Finalement elle est heureuse de l’avoir fait car ils l’ont bien comblée et elle est heureuse de me voir heureux d’être cocu. Elle ne sait bien sûr pas que j’ai espionné ses ébats.
C’est à peine une semaine plus tard que survient un cocufiage mémorable.
par Patjoe
#2064187
Une semaine après le mariage, nous partons en vacances durant tout le mois d’octobre. Nous avons décidé d’aller faire la côte andalouse, de Mojacar à Gibraltar. Cette région est moins caniculaire et moins peuplée hors vacances scolaires, de plus la température de l’eau est encore suffisante pour profiter des plages méditerranéennes. Je connais bien l’Espagne pour y être allé souvent étant jeune en famille et je parle couramment espagnol. Je sais que trouver des chambres d’hôtel bon marché au jour le jour est assez facile, donc nous n’avons réservé que pour la première semaine à Mojacar et on verra ensuite. Nous prenons donc la route le vendredi en fin d’après-midi, je conduis toute la nuit pendant que ma femme dort sur la banquette arrière de ma Renault 20 flambant neuve, achetée trois mois plus tôt. Elle me relaye au petit matin, mais je dors très peu en voiture et quand nous arrivons enfin à destination en début d’après-midi le samedi, je suis naze. Je précise que nous avons décidé qu’après ces vacances, ma femme arrêtera la pilule et nous essayerons de faire un enfant. A 25 ans à nous semble le bon âge, mais nous savons que cette décision va forcément interrompre nos pratiques cauda listes pendant quelques années. Ma femme est donc bien décidée à me tromper avec quelques beaux hidalgos pendant ces vacances.
Nous arrivons à notre hôtel en bord de plage et nous nous installons. Une fois les bagages déballés, pendant qu’elle range je file à pied dans une petite supérette devant laquelle nous sommes passés en arrivant à 300 mètres de là. En sortant je vois deux gars en train de pester en français contre une voiture, capot ouvert, qui ne semble pas vouloir démarrer. Il y a un blanc et un colosse black d’au moins deux mètres, avec des bras énormes, un peu le style Teddy Ryner. Je propose mon aide pour ne pas laisser des compatriotes dans la merde. Je suis mécanicien avion, mais la mécanique auto je connais aussi. Un rapide coup d’œil me permet de constater que les cosses de batterie sont couvertes de calamines, ce qui a dû créer une masse et vider la batterie. Comme j’ai toujours une caisse à outils dans ma voiture et une paire de câbles de démarrage, je file poser les courses dans la chambre, je préviens ma femme, et je les rejoins avec ma voiture. En moins d’une demi-heure je règle le problème. Je leur conseille de rouler un peu histoire que la batterie se recharge. Le black me remercie chaleureusement, me propose de boire un verre, mais je refuse. Quand je rentre à l’hôtel, la miss dort et je m’allonge aussi. Réveillés vers 18h00, elle est en pleine forme, contrairement à moi qui dormirai bien encore. Après un petit tour sur la plage à pied, nous allons dîner dans un petit restaurant à l’entrée du village. En rentrant, il est déjà 23h00, nous passons devant un bar au bord de la plage d’où provient de la musique. Nous prenons un verre sur la terrasse qui donne sur la plage, quelques jeunes dansent sur la plage juste devant. Ma femme veut danser, mais je la laisse faire seule. Je la regarde virevolter pieds nus dans le sable un long moment en sommeillant sur la table. Elle rigole beaucoup avec deux autres nanas aussi fofolles qu’elle. A un moment elle revient boire à la table et je lui dis que j’ai envie de rentrer dormir, elle a l’air déçue et je lui propose de rester un peu seule si elle veut, l’hôtel n’est qu’à 200 mètres. Je la laisse donc s’amuser et je rentre me coucher. Je dors vite comme un loir. Il doit être 9h00 quand je suis réveillé par le soleil dans la figure, je suis seul, mais j’entrevois un papier sous la cafetière qui finit de couler. Je me lève pour le lire :
- « Chéri, j’ai fait la fête toute la nuit avec un groupe de français qui sont arrivés après ton départ. Je vais prendre le petit-déjeuner avec eux et je rentre dans la matinée. A tout à l’heure mon peut-être cocu chéri ! »
Ainsi donc elle aurait déjà trouvé à se faire sauter, je suis content et tout excité en attendant son retour. Je m’apprête à passer une bonne partie de la journée en célibataire si elle est en bonne compagnie. Je me dis qu’aller si loin de la France pour me tromper avec un français est marrant. Le « peut-être » me laissant penser que la chose n’était pas encore arrivée quand elle est passée écrire ce mot, je pars à la plage et j’envisage après d’aller visiter la ville. Il fait très beau et encore chaud, je nage un moment et je m’allonge sur ma serviette un moment. Elle arrive dans mon dos vers midi, et s’assois à mes côtés. Elle ne me raconte pas grand-chose, juste que je ne suis pas encore tout à fait cocu car elle a juste échangés quelques baisers avec son prétendant, mais elle me dit que si je suis d’accord elle le revoit le soir même pour consommer. Elle me demande, mais elle connaît d’avance la réponse. Du coup nous passons une journée touristique ensembles et elle me laisse vers 19h00 pour rejoindre son prétendant qui doit passer la prendre devant la supérette. Elle me précise quand même qu’il ne sait pas qu’elle est mariée, ni qu’elle loge dans cet hôtel. Si l’affaire tourne mal elle ne veut pas qu’il sache où elle est. Elle est donc censée loger chez des amis espagnols en ville.
Je passe ma journée dans une petite ville voisine à faire le tour des monuments, je ne rentre que tard le soir après avoir dîné et je dors en imaginant ma belle dans les bras de son amant, un peu frustré de ne rien savoir sur les détails. Le lendemain, elle rentre en fin de matinée et me rejoint à l’hôtel juste avant que je ne sorte. Elle me raconte qu’elle a passé la nuit avec lui dans la villa où il loge. J’apprends qu’il est black et monté comme un taureau. Elle me dit même qu’il a la plus grosse bite qu’elle n’ait jamais vue, à tel point qu’elle ne peut pas le sucer parce que ça ne rentre pas. Je lui demande s’il l’a sodomisée, elle me dit qu’il a essayé, mais mal préparée elle a eu mal et ils ont arrêté. Elle m’assure qu’elle essayera à nouveau quand elle aura acheté une crème lubrifiante en pharmacie. Je comprends donc qu’elle souhaite le revoir, et très excité je lui donne bien entendu mon accord. Elle se change et remballe toutes ses affaires dans son sac pour s’installer avec lui jusqu’à notre départ prévu le samedi suivant. Je passe donc une nouvelle journée en solo, en pensant à ma belle en train de baiser avec son black suréquipé. Il est vrai que depuis déjà deux ou trois ans, les blacks sont son pécher mignon, quand nous allons en club elle aime bien se faire prendre par des groupes de blacks s’il y en a dans boîte. Elle les trouve plus résistants et plus doués que la majorité des blancs. Après avoir mangé des tapas dans un bar de la ville, je m’arrête boire un verre au bar dans lequel elle a rencontré son amant car je vois qu’un concert va commencer sur la plage. Il n’y a pas trop de monde et je m’installe en terrasse devant une bière. D’un coup je vois un petit groupe arriver, et le colosse black que j’avais dépanné le jour de notre arrivée m’interpelle en m’appelant « son sauveur ». Et devinez qui je vois collée à lui ? Ma charmante épouse dans sa petite robe bleue. L’effet de surprise est vite passé, tant pour moi que pour elle car elle fait très vite le rapprochement. Il me la présente et je lui fais la bise pendant que ses copains rapprochent quelques tables pour les coller à la mienne. La situation est cocasse car il est assis face à moi, la tenant collée dans ses bras et l’embrassant souvent. En me baissant pour ramasser mon portefeuille tombé sous la table, je vois qu’il pelote ses cuisses entrouvertes de ses grosses mains. Elle a l’air d’une crevette entre ses bras et je l’imagine couché entre ses fines cuisses et la pistonner énergiquement. Je bande comme un fou dans mon short. Il me présente ses amis, une dizaine, tous trentenaires passé. Il s’appelle Moussa et est d’origine malienne. Ce sont en fait des amis depuis la fac, tous cadres dans des entreprises de la région parisienne. Ils se font un séjour ensembles tous les trois ans et cette année, c’est ici. Ils sont là depuis 8 jours et repartent dans 2 semaines. Ils ont loué une villa à la sortie du village. Nous discutons encore un moment, ils sont sympas et Moussa m’invite à une soirée qu’ils organisent le mercredi suivant à la villa. J’accepte en me disant que je pourrais enfin jouer un peu plus les voyeurs. A un moment je me lève pour aller aux toilettes et en sortant je me retrouve à côté de Joëlle qui se lave les mains. Nous nous regardons en riant de la situation et en discutant deux minutes. Elle me dit de ne pas dire que je viens de Salon s’ils me demandent, ce serait louche qu’on soit de la même ville. Quand a vient dans la discussion je dis que je viens de Toulouse, ma région d’origine. Ils partent un peu plus tard, Moussa m’explique comment aller à la villa pour le surlendemain et je reste écouter le concert jusqu’au bout.
Le mercredi soir j’arrive assez tôt, impatient car je n’ai pas revu ma femme depuis le bar. Ils sont en train de préparer la soirée en installant un buffet sous la terrasse devant une piscine sympa dans laquelle quelques-uns se baignent dont ma femme. Il y a aussi quelques personnes que je ne connais pas et Moussa me les présente, ce sont des invités, quelques anglais et des espagnols. Une dizaine de couples constitués discutent en petits groupes. Il me fait faire le tour de la villa en discutant, elle est grande car il y a une douzaine de chambres sur deux étages, un grand salon équipé de larges canapés et une cuisine séparée qui comme le salon donne sur une immense terrasse couverte devant la piscine. La maison n’est pas visible de la route car entourée de haies et clôturée sauf sur le côté mer où un sentier de 200 mètres mène à une plage. Je ne parviens pas à discuter avec ma femme qui est toujours en compagnie ou collée à Moussa. Je fais connaissance avec quelques invités et je discute surtout avec Dominique, un Toulousain comme moi d’origine. Il m’explique leurs liens avec ses potes. En fait ils sont une vingtaine issue de la même classe d’une école de commerce qui font régulièrement des séjours ou des week-ends ensembles. Mais au fil des années leur groupe se réduit car certains se marient et participent peu, d’autres sont indisponibles… Du coup ils ne sont que 9 pour ce séjour en Espagne. Trois d’entre eux sont blacks, dont Moussa, un magrébin et les autres viennent de différentes régions françaises. Quand le buffet est presque vide, l’un d’eux met de la musique et certains commencent à danser devant la piscine dans une pénombre quasi-totale. Juste deux lampes sous la terrasse et la lumière du salon par la baie vitrée. J’entrevois parfois Joëlle danser collée contre Moussa. Vers minuit, certains commencent à partir et nous restons à peine une quinzaine, je retarde mon départ en espérant que la nuit me permettra de discuter en aparté avec ma femme. Mais à un moment je la vois par la baie vitrée rentrer dans une chambre avec Moussa. La chambre donnant sur l’arrière je m’éclipse et contourne la maison en espérant trouver la fenêtre de cette chambre qui donne sur la plage et qui est en coin de la villa. Bingo, les volets sont fermés mais j’entends parler derrière sans comprendre ce qui se dit. Petit à petit les mots deviennent des gémissements, puis des cris de plaisir. J’entends le lit grincer un peu, le claquement des chairs qui se percutent, et je m’imagine dans la tête ce que je ne peux pas voir. Ma queue pousse mon short pour se dresser, et ma main caresse cette bosse très dure. Puis les cris s’arrêtent, ça discute à nouveau, j’entends une porte claquer, puis une autre sans être sûr que ça vienne de la chambre. Puis les gémissements et les cris reviennent, quand j’entends quelqu’un approcher le long du mur de la maison, je vais vers lui en disant que je viens de pisser, ce qu’il vient faire aussi. Je rejoins la terrasse et j’y vois Moussa, en caleçon et torse nu en train de boire un coca. Je comprends alors que ce n’est plus lui qui la fait crier en ce moment. Il n’y a plus là que les habitants de la maison, et moi bien sûr. Moussa dit aux autres :
-« Putain, elle est chaude ce soir ! »
Un autre s’apprête à y aller à son tour, mais il lui dit d’attendre un moment que la place se libère et que sinon ils vont casser le lit. Je fais en sorte de cacher la bosse dans mon short et je ris de bon cœur avec eux. En comptant les présents je me dis qu’ils sont trois à la sauter en ce moment. Moussa me propose même d’y aller, mais je ne suis pas sûr qu’elle apprécierait et je préfère décliner l’invitation. Comme j’ai pas mal picolé, Moussa me propose de dormir sur place. Il veut que je reste manger avec eux le lendemain, il y a ce qui faut me dit-il. J’accepte en disant que j’irais me changer à l’hôtel le matin venu. Il m’emmène vers une chambre à l’étage et c’est juste au-dessus du baisodrome. Toutefois, même en ouvrant la fenêtre je n’entends pas ce qui se passe en bas, sauf quand elle crie très fort. Quand je me réveille le lendemain, il y a déjà deux gars en train de boire un café, j’en bois un avec eux et je vais me laver et me changer à l’hôtel.
Je reviens vers midi, tout le monde est debout et sirote de la sangria en terrasse. Ma femme est affalée sur un transat dans une petite jupe courte et un tee-shirt qui laisse voir ses seins nus en dessous. Je remarque vite fait qu’elle n’a pas de culotte non plus et qu’elle ne s’en cache pas plus que ça. Après mangé, on discute tranquillement et Moussa qui est près d’elle en train de caresser ses seins lui dit :
- « Tu pourrais te montrer un peu plus attentionnée avec notre invité ! »
Elle se lève et l’embrasse à pleine bouche, puis vient vers moi et me roule une galoche en posant sa main sur mon short. Elle fait remarquer aux autres que j’ai l’air en forme, elle prend ma main et la pose sur sa chatte sous la jupe. Je la caresse un peu et je vois que ses lèvres sont gonflées, sa fente est ouverte par son bouton très gonflé aussi. La connaissant bien je sais qu’elle est souvent gonflée comme ça après un gang bang au club. Elle me demande si j’ai envie, je dis oui ! Elle me prend par la main en m’entraînant avec elle, elle embrasse Moussa en passant et dit qu’elle ne veut personne d’autre pendant une heure. Nous allons dans la chambre où j’ai dormi et prenons soin de fermer la porte à clef, les volets et la fenêtre. Pas question que quelqu’un nous entende. Nous nous roulons sous la couette, sans baiser, elle ne veut pas, préférant attendre le samedi qu’on se retrouve tous les deux. J’aurais quand même une bonne pipe, pour lui remplir le gosier de ma semence. Elle me raconte comment l’histoire a dégénéré en partouze l’avant-veille, l’alcool aidant. Moussa a fini par réussir à l’enculer, mais ils se sont mis à deux pour lui préparer l’anus en la tartinant de crème. Elle a découvert le plaisir de prendre une main entière dans le fion par un des gars avant que le colosse ne réussisse à rentrer son énorme mandrin. Elle avoue que ce remplissage total lui a finalement bien plu. Nous convenons de prendre la route le samedi vers midi, elle se fera déposer en ville et je la récupérerai discrètement derrière l’église. Nous redescendons de la chambre, elle dit aux autres que je suis bien plus doué qu’eux en riant bien sûr. Moussa la traîne de suite vers la chambre du bas, suivi par deux autres. Pour ma part je rentre à l’hôtel et je ne la revois que le samedi matin en la récupérant et nous voguons vers d’autres aventures. Elle me raconte que les deux derniers jours elle a passé plus de temps à baiser qu’à faire autre chose, une heure avant qu’elle me rejoigne elle était en train de se faire tringler par Moussa dans les rochers au bout de la plage. Pendant le reste de nos vacances nous faisons l’amour presque tous les jours, avec précaution au début car elle à mal. Elle se tapera juste un anglais la dernière semaine, mais rien de très intéressant à raconter.
Pendant les cinq ans qui suivent, il n’y aura pas de cocufiages. Elle donne naissance à un garçon un an plus tard et une fille deux ans après. Entre les enfants, le travail, les nounous et les premières rentrées scolaires nos emplois du temps ne laissent guère de place à la bagatelle extra-conjugale. Je suis pour ma part muté à Orléans et je suis souvent en déplacement en Afrique ou ailleurs. Elle reprend le travail dans une société du coin juste après la naissance de la petite dernière et doit parfois gérer seule les enfants pendant mes voyages. Pour ma part je fais ma « corvée de charbon » une première fois au Sénégal et quelques autres fois ailleurs, sans jamais le lui cacher d’ailleurs. Elle connaît le milieu militaire et sait comment ça se passe. Elle se met au sport plus intensivement pour effacer au maximum les kilos pris pendant les grossesses. Nous continuons quelques soirées libertines avec des amis, mais plus de sortie en club pendant ces 5 années. Nous avons toutefois une vie sexuelle épanouie en explorant les jeux de soumission féminine qu’elle aime bien. Ces jeux nous ouvrent de nouveaux horions, je publierai dans un prochain post quelques photos prises à cette époque. Mais c’est le jour de ses 31 ans que nos activités caudalistes vont reprendre de plus belle.
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par croclavie82
#2064198
très beaux récits, une plume excitante, les aventures de la Miss sont un régal.
par Patjoe
#2064285
Quelques photos de jeux de soumission comme promis
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par Patjoe
#2064289
Allez et ce sera tout pour aujourd'hui
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par nacra29
#2064351
Un beau post et une belles histoire de couple comme je les aime. Madame à l'air charmante et dire qu'elle est chaude est un euphémisme !!
Bravo à vous deux
par Patjoe
#2064456
Quelques mois avant son 31 ème anniversaire, ma femme fantasme beaucoup à l’idée de reprendre l’habitude de me cocufier. Je sais qu’elle aimerait beaucoup retrouver des aventures comme en Espagne il y a cinq ans, mais ce genre d’opportunités ne se présente pas si souvent. Elle est aussi en manque de blacks, en manque tout court d’ailleurs. Nous avons toujours une vie sexuelle conjugale riche, surtout depuis que nous avons découvert les jeux de soumission. Mais malgré tout rien n’est plus excitant pour nous deux qu’un bon vieux cocufiage d’opportunité. Nous attendons donc impatiemment l’été, car les enfants seront chez les grands-parents pendant un mois en juillet avant de partir au pays basque avec nous en août. Joëlle est aussi pressée d’y être et de pouvoir sortir draguer le plus souvent possible pendant cette période. Je décide toutefois de donner un petit coup de pouce au destin en recherchant un complice via les annonces libertines. Deux mois avant la date prévue je commence à contacter des annonceurs, et je finis par avoir un échange prometteur avec un Homme de Chartres. Nous convenons de nous rencontrer et de voir ensemble la possibilité de mettre en place un scénario plausible qui devra la laisser croire que rien n’est organisé. Cet homme d’une quarantaine d’années correspond aux critères physiques, il est chef d’entreprise, soigné de sa personne et habitué de longues dates aux rencontres libertines. De plus un ami parisien à lui pourrait l’accompagner. Enfin bref nous tombons d’accord sur un scénario pour le premier vendredi de juillet, date de l’anniversaire de madame. Pour aider à la réalisation, je me porte volontaire à la base pour être d’astreinte technique tout le mois de juillet, dont pouvant être « bipé » à toute heure du jour ou de la nuit pour aller dépanner un avion, chose improbable un week-end de vacances scolaire car peu de vols sont programmés. Pour ce week-end là je sais que le risque est nul sauf déclenchement d’une guerre.
Ce vendredi-là donc, elle est impatiente car j’ai prévu une soirée avec restaurant grand luxe en tête à tête, dîner aux chandelles et champagne à gogo. C’est la première fois que les enfants partent tous les deux et que nous sommes célibataires aussi longtemps. Le soir venu elle se fait belle et sexy, petite robe, maquillage discret, talons aiguilles. Elle est allée au coiffeur le matin et chez son esthéticienne, en espérant une folle nuit d’amour avec son mari. L’idée ce soir-là n’est, pour elle, pas du tout de me tromper. Nous avons acheté un an avant un corps de ferme un peu isolé à un kilomètre d’un petit village, dans un hameau de quelques maisons. Nous sommes au pied d’une petite colline boisée avec 5000 m² de terrain clôturé et très arboré. Nous passons donc un excellent début de soirée en amoureux et nous rentrons vers la maison à la tombée de la nuit. Nous n’avons pas prévu de sortir ailleurs après le repas car je suis d’astreinte et je ne peux pas m’éloigner trop de la base. J’ai mon bipper dans la poche et je lui caresse les cuisses en conduisant, puis le sexe car elle n’a pas de culotte ni de soutien- gorge. Elle est toujours très excitée et n’hésite pas à s’ouvrir à mes caresses. En tournant sur la petite route qui mène du village à notre maison, la voiture a quelques ratées et cale, impossible de redémarrer (début du scénario). J’ouvre le capot, je trifouille un peu, mais je ne peux dépanner de nuit. Je lui propose que nous rentrions à pied et de m’aider à pousser la voiture dans un chemin à quelques mètres de là. D’un coup, un gros tout terrain approche et je lui fais signe de s’arrêter. Deux hommes d’une quarantaine d’années, grands, bien sapés en sorte et nous demandent si on a besoin d’aide. Je leur dis :
- « Si vous pouviez m’aider à la pousser sur le chemin, je la récupèrerai demain !
- Vous habitez loin ? Demande l’un d’eux
- Non juste là à moins de deux kilomètres !
- Si vous voulez je peux vous remorquer dans ce cas, j’ai une sangle dans le coffre ! »
Quelle chance ! Pendant que j’attache la sangle à mon essieu sous la voiture pour la relier à l’attache remorque du leur, ma femme me devance et leur propose de partager une bouteille de champagne avec nous. C’est ce que j’avais prévu de leur proposer une fois à la maison. En me relevant, je vois que mes complices lorgnent le décolleté et les jambes de ma belle, c’est la première fois qu’ils la voient en pied car je n’avais montré qu’une photo d’identité. Ils n’ont pas l’air déçus je vois ! Arrivés devant notre garage je décroche la sangle et nous les invitons à entrer. J’ouvre une bouteille de champagne, j’en laisse une au frais et je sers quatre coupes. Le temps de discuter un peu et de vider le premier verre, j’en ressers un et j’appuie sur le bouton de test de mon bipper qui se met à sonner. Ma femme s’exclame : « Ah, non ! Pas ce soir ! » Mais elle sait que je n’ai pas le choix et que je dois rappeler la permanence opérationnelle de la base. Ce genre de choses s’est déjà produit souvent depuis deux ans que nous sommes à Orléans. Pendant que ma femme leur explique ce qui se passe, je feins de téléphoner et de dialoguer avec le permanent. Je dois partir pour réceptionner un avion et le préparer à redécoller le lendemain matin, j’en ai pour le reste de la nuit et une partie de la matinée du lendemain. Mes complices font semblant de se lever pour partir, mais je leur dis qu’ils peuvent tenir compagnie à ma femme pour terminer la bouteille, et qu’il y en a même une autre au frais. Elle le leur confirme, et comme ils disent ne pas être attendus, ils acceptent. Ma femme me confirmera plus tard, qu’à ce moment-là, elle n’a jamais imaginé ni envisagé de coucher avec eux, elle est plus sur la déception que sois contraint de partir. Je pars donc vers minuit, avec sa voiture vu que la mienne en panne.
Je me gare dans le petit chemin au pied de la colline qui surplombe la maison, j’enjambe la clôture et je me planque dans le poste d’observation que j’ai prévu, face à la baie vitrée du salon à une vingtaine de mètres. Je précise que mes complices ne savent pas que je reste à vue. La fenêtre est ouverte vu qu’il fait chaud et j’ai une vue sur les deux canapés. Je n’entends pas ce qui se dit, juste quelques éclats de rire me font penser que l’ambiance est décontractée. Ils sont encore dans la même configuration qu’avant mon départ : ma femme de trois quart dos à moi et les deux prétendants en face sur un grand canapé. Je n’espère qu’une chose, c’est qu’ils la fassent asseoir entre eux. Mais je dois patienter un long moment. Finalement, je vois Joëlle se lever et aller vers la cuisine, hors de ma vue, et un des deux types se lève pour y aller aussi. Ils reviennent ensemble avec la seconde bouteille de champagne et se servent une coupe en se rasseyant à leur place. Je suis impatient, je trouve que ça traîne un peu. Puis ma femme se lève et je la vois mettre de la musique, elle est penchée en avant et vu la place de la chaîne dans le coin derrière la fenêtre, je ne vois que son postérieur, la robe remonte un peu sur ses cuisses et je me dis que mes complices doivent avoir un jolie vue. Elle se redresse et se recourbe deux ou trois fois en se retournant vers eux à chaque fois. Puis j’entends enfin la musique, Angie des Stones, c’est une cassette (eh oui ! pas encore de CD) sur laquelle j’ai compilé tous les slows d’anthologie. Elle se rassoit sur le même canapé, GRRR …. ! Puis elle se met à nouveau debout et éteins la lumière pour allumer une applique qui tamise l’ambiance. Je vois enfin les deux gars s’écarter et elle s’assoit entre les deux, signe qu’elle est prête à se donner à eux. Lentement je vois une main se poser sur sa cuisse et remonter sa robe, les premiers baisers sont échangés. Elle ouvre ses cuisses et se laisse caresser la chatte et les seins. Elle écarte maintenant largement en posant une jambe sur chaque cuisse de ses amants, sa robe est déboutonnée et ses seins se dévoilent, vite malaxés, puis sucés. Au bout d’une quinzaine de minutes, ils se lèvent tous les trois et elle ferme les volets. Ils doivent aller dans la chambre dont la fenêtre donne sur le pignon de la maison, je dois changer de poste d’observation. Hélas pour moi, elle ferme les volets aussi, mais les fenêtres derrière restent ouvertes et je vais pouvoir coller mon oreille pour entendre ma belle jouir. Ils la prennent longtemps, ils doivent être sacrément en forme. Je renoue avec le plaisir de l’entendre jouir sous les assauts d’autres hommes. Il est cinq heures du matin quand je regagne la voiture pour dormir un peu. Je me réveille vers 10h00 du matin et je file directement au village pour l’appeler depuis la cabine téléphonique, pressé de la rejoindre. Elle met un bon moment pour décrocher, et elle est essoufflée en parlant :
- « Bonjour chéri, dis-t’elle, ça va ?
- Oui, j’ai les boules pour avoir dû partir hier soir sans aller au bout de notre soirée. Je vais quitter la base, je suis là dans 40 mn.
- Je me suis chargée de bien remercier nos sauveurs en baisant avec eux, tu es cocu mon amour.
- Ah ! Ils sont partis ?
- Non ils sont encore au lit et en pleine forme, attends qu’ils partent pour rentrer, ils vont encore me baiser un peu. »
Ne pouvant pas trop jouer le voyeur en plein jour, je me gare derrière la maison et j’attends de voir passer le 4 X 4 au croisement. Il est quasiment 15h00 quand il passe enfin. Je rentre de suite et je trouve ma salope nue sur le lit, les trous dégoulinants et les cheveux collés par le sperme et la sueur mélangés. Je me régale à nettoyer tout ça de la langue et nous faisons l’amour tout le reste de l’après-midi.
Dans les jours qui suivent, je constate que maintenant qu’elle a remis le pied à l’étrier elle redevient aussi salope et insatiable qu’avant et j’en suis ravi. Nous profitons de l’absence des enfants pour faire une sortie dans un sauna échangiste où elle s’offrira sans retenue à une bonne dizaine de mâles durant toute la nuit. Elle me cocufiera une fois de plus quelques jours plus tard avec un gars rencontré au restaurant où elle déjeune le midi, mais ça se passera à l’hôtel en débauchant et je ne l’apprendrais qu’à son retour le lendemain matin.
Le prochain écart aura lieu sur la région toulousaine et me surprendra…
par Patjoe
#2064560
Alors que nous passons quelques jours chez mes parents avec les enfants, avant de partir deux semaines à Hendaye au pays basque pour deux semaines, nous découvrons qu’il y a un concert intéressant dans un petit village de Haute-Garonne. Nous décidons donc d’y aller, profitant du fait que mes parents gardent les enfants. Le concert se déroule dans un champ à la sortie du village, donc nous y allons en tenue relax. Ma femme est en Jean et basket avec un tee-shirt et un gilet pour le soir. Nous mangeons sur place où un barbecue géant est organisé, et traînons un peu en attendant le concert. Vers 21h00 nous nous installons assis sur l’herbe et à proximité de la buvette. C’est un groupe régional qui joue et il y a pas énormément de monde. A un moment, ma femme doit aller aux toilettes aux vestiaires du terrain de football qui est juste derrière la buvette, tenue par des gens qui doivent faire partie du comité des fêtes du village. Elle s’arrête en revenant pour acheter deux canettes et comme je vois qu’elle traîne pas mal, je me lève pour la chercher des yeux et je la vois, les deux canettes à la main, en train de discuter au comptoir avec un serveur et un autre gars accoudé à côté d’elle. Je me rassois à notre place, et je l’attends un bon moment encore. Elle arrive enfin quand le concert commence. Elle me glisse à l’oreille qu’il y avait deux mecs qui l’avait draguée pour justifier le temps qu’elle avait mis. Une heure plus tard, un entracte et elle me propose d’aller chercher une nouvelle boisson. Surpris qu’elle ne me demande pas d’y aller, je me dis qu’elle veut peut-être continuer une discussion inachevée. Je me surprends quand même à penser qu’elle est intéressée par un des gars. Là encore elle traîne, mais comme entretemps pas mal de monde est arrivé, je n’ai plus aucune vue sur la buvette. Elle revient alors que le concert a déjà repris et me dis à l’oreille qu’elle discutait avec les deux gars qui étaient encore au bar. Je lui demande si un des deux lui plaît, elle me répond qu’ils ne sont pas terribles mais qu’ils sont sympas et marrants. Je comprends qu’elle a envie de coucher avec un des deux, ou les deux. Je lui propose donc d’y aller, mais elle hésite me disant que je ne vais quand même pas rentrer seul chez mes parents et la laisser là. J’insiste en lui disant que ça ne me gêne pas d’attendre dans la voiture quitte à dormir dedans. Elle finit par accepter en me disant qu’elle me rejoindra après, si quelque chose se passe. Elle me plante là et rejoins la buvette. Je profite de la foule pour la surveiller discrètement. Elle discute avec les deux gars au bout du comptoir, celui derrière le bar s’absente régulièrement pour servir puis reviens avec eux. Je suis surpris car ils ne correspondent pas à ses critères habituels, l’un d’eux est un peu bedonnant et le serveur à l’air d’avoir pas loin de 50 ans, un peu moins bedonnant que l’autre mais quand même ! Après m’être approché suffisamment pour bien profiter du spectacle, je vois que le plus jeune caresse ses cheveux d’une main, puis la prend dans ses bras et l’embrasse longuement. L’autre, juste derrière le comptoir ne la touche pas, j’en conclus donc que son choix est fait. A la fin du concert, la foule se disperse et je dois m’éloigner un peu, puis je les vois partir tous les deux vers le village, il lui tient la taille et l’embrasse de temps en temps. Ils rentrent dans une petite maison dans une ruelle et disparaissent derrière. Je vois la lumière s’allumer derrière les volets clos et j’attends. Une bonne demi-heure après, j’entends des pas dans la rue, je me planque et je vois le second débarquer et disparaître dans la maison à son tour. Ne pouvant rien voir, je vais dans la voiture et je sommeille sur le siège en couchette. Il est cinq heures quand elle rentre à mes côtés et m’embrasse en me disant qu’elle s’est bien faite baiser par les deux et que sa chatte et son cul sont bien remplis de foutre. Nous rentrons chez mes parents et nous faisons l’amour tendrement. Elle m’avouera après que si elle a craqué pour ces physiques atypiques c’est justement à cause de ça, elle avait envie de se sentir avilie par des mâles et le fait qu’ils ne lui plaisent pas lui a donné l’impression d’être une simple putain.
Après les vacances, nous reprenons notre train-train habituel, boulot – nounou – dodo ! Joëlle me trompe deux fois avant l’été suivant mais rien de bien terrible. Nous parlons toujours beaucoup de nos envies, de nos fantasmes et elle me répète souvent que la référence pour elle reste nos vacances en Andalousie, six ans plus tôt. Elle aimerait renouveler ce genre d’expérience : Servir de vide-couilles pendant plusieurs jours à un groupe de mecs, des blacks de préférence. Je vais donc encore une fois donner un coup de pouce au destin, sans l’avoir préparé, et réaliser son souhait du moins en partie.

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