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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
#2052406
La première (et excellente !) en réel

Axelle et moi avons passé le dernier week-end de juin à Belle-Ile. Le samedi matin, nous avions acheté au marché un beau homard, tout juste sorti de l’eau, que j’avais fait griller pour le déjeuner. Nous l’avions fait glisser avec un excellent Meursault, puis nous avions fait une sieste. Un peu crapuleuse, la sieste, la faute au Meursault. A 5 heures, nous avons enfourché nos vélos, direction la plage, en choisissant, plus par nostalgie que par esprit coquin (viewtopic.php?f=92&t=68906&p=1932765&hilit=bretagne#p1935239), l’une de celles qui, dans les années 90, étaient destinées aux « culs-nus » avant d’être, depuis de nombreuses années, envahies par « les textiles ». Nous avons été agréablement surpris, le terme d’invasion étant, du moins à 17 h 30, en juin, très exagéré.
Nous avons tirés nos serviettes du sac à dos, Axelle ne gardant qu’un microscopique monokini pour bronzer au mieux. Au bout de plusieurs retournements, elle commença à trouver qu’il faisait chaud, et me proposa un bain. Je lui répondis que 18°, c’était la bonne température pour servir le vin rouge, par pour l’eau du bain. Ayant les tétons sensibles au froid elle changea tout de même de maillot pour un une pièce. Je la regardai s’éloigner -j’adorais le balancement de ses hanches, langoureux sans être vulgaire – et me replongeai dans ma lecture. Pas bien longtemps, car l’ombre gagnant mon livre, je levai machinalement les yeux pour regarder le soleil jouer avec les nuages. En fait de soleil, l’ombre venait d’un quadragénaire, grand, brun et souriant, qui se présenta – nous l’appellerons Julien, il se reconnaîtra - et me demanda s’il pouvait me parler quelques instants. Je l’invitai à prendre place sur la serviette abandonnée par Axelle.

- Voilà. Pardonnez mon indiscrétion, mais ne seriez vous pas Sizaxe ?

Après un instant d’hésitation dû à la surprise, je décidai de jouer le jeu, et lui demandai ce qui lui faisait croire cela. Il était presque certain d’avoir reconnu Axelle, et me glissa dans un sourire que je ne devrais pas l’exhiber à visage découvert sur le net. Par un très étonnant hasard, Julien était utilisateur du forum-candau ! Je souris, et nous n’avons pas vu le temps passer, parlant presque exclusivement d’Axelle, de ses goûts et de ses fantasmes. Au retour de celle-ci, Julien se leva et lui tendit sa serviette. Je fis les présentations pendant qu’elle enlevait son maillot sans aucune gêne et réintégrait le string. Tous deux s’assirent, et Axelle me demanda à haute voix : Et c’est qui, Julien ? Nous avions convenu que je le présente comme un ex-collègue, mais je ne sais quel petit démon farceur me fit répondre :

- Un de tes admirateurs du forum. Qui prétend même se satisfaire parfois sur tes photos…
- Ah ! Tu lui as bien dis que je ne fonctionnais qu’en virtuel ?
- Bien entendu ! Jusqu’à présent, mais que tu serais sans doute tentée par un peu de réel…
- Salopard, va ! Mais vous comprendrez sans mal, Julien, que sur cette plage publique…
- Je pense, ma chère Axelle, que derrière ces rochers, un peu plus loin, il ne doit plus rester personne. Nous pourrions aller vérifier…
- Nous pouvons…Et comme je me levais pour prendre mon appareil ph.oto dans le sac à dos. Toi, tu reste là. Et que je ne voie pas ton museau…

Sans montre, je ne sais pas combien de temps ils ont été partis, mais le temps m’a semblé long. A leur retour, nous avons remis nos affaires dans le sac et sommes remontés sans un mot sur la falaise. Julien a repris sa voiture, nous nos vélos.

Axelle et moi avons baisé comme des lapins le reste du week-end, mais elle n’a jamais voulu me dire ce qui s’était passé entre eux…

Comme je n'ai pas eu droit aux photos, celle-ci est "d'archives" ! ;)
#2064431
Mon mari a raconté un épisode candauliste récent et excitant en le présentant comme le premier de notre histoire (viewtopic.php?f=63&t=71132&p=2052414#p2052406).
Ce n’est pas exact. Il est vrai que le premier remonte à plus de 25 ans – nous n’étions pas encore mariés – et n’est pas spécialement glorieux. Nous étions allés dîner chez des amis à la campagne et avions beaucoup bu, ce qui fait que Richard avait décidé de ne pas prendre l’autoroute pour rentrer, afin d’éviter les risques de rencontrer « les képis et leurs petits ballons ». Nous voilà donc à faible vitesse sur de petites départementales sinueuses. Richard pose, comme souvent, la main sur mon genou. Et comme je suis très, très gaie, je pousse un soupir d’aise et écarte légèrement les cuisses. Il poursuit son exploration jusqu’au string, me demande si « cet article est bien indispensable ». Je déboucle la ceinture de sécurité et me tortille pour enlever l’objet du litige. Nous traversons une forêt. Il oblique dans une allée forestière, parcourt 50 mètres, coupe le contact, tire le frein à main, éteint les phares, verrouille les portes, bascule le dossier de mon siège, m’y rejoint, fait ce qu’il a à faire - à la satisfaction générale – puis regagne son siège. Il est en train de remonter sa braguette et va mettre le contact quand l’habitacle de la voiture s’illumine, et qu’on frappe à la portière. Je me pétrifie.
- Police. Voulez-vous me montrer les papiers du véhicule.
Méfiant mais pas paniqué, Richard baisse sa vitre de quelques centimètres et demande à voir une carte de police. Le gars la lui passe. Richard la regarde à la lueur de la torche, semble satisfait, sort les papiers de la boîte à gants et tend le tout au flic, qui les regarde attentivement.
- OK. On pourrait voir les papiers de la demoiselle ?
- Désolé, ça ne va pas être possible : ma femme a oublié son sac chez nos amis…
Je serai éternellement reconnaissante à Richard de ce mensonge qui m’évite de donner nom et adresse.
- Je ne vais pas vous embêter avec ça. Mais…vous savez que ce que vous venez de faire s’apparente à un « attentat aux bonnes mœurs ». Ce n’est pas bien grave, mais une convocation au commissariat est toujours désagréable. Alors que…je suis tout à fait prêt à passer l’éponge si…
Et là, Richard perd d’un coup son auréole : au lieu d’envoyer le gars se faire voir en lui expliquant que baiser dans une voiture à 3 h du mat’ au plus profond d’une noire forêt ne relève sûrement pas de l’attentat à la pudeur, il se tourne vers moi d’un air interrogatif. Putain ! Je me recroqueville encore un peu plus. Le mec va me demander une ‘tite pipe, ou pire encore !
- Madem…, pardon, Madame, acceptait de se caresser devant moi…
Ben si ce n’est que çà… J’opine du chef. L’habitacle plonge à nouveau dans l’obscurité – le gars contourne la voiture – puis je me retrouve sous le feu du projecteur. J’ai conscience de composer un joli tableau, seins dressés hors du chemisier déboutonné, jupe troussée sur deux cuisses écartées et un sexe dégoulinant… Bon, faut y aller. Je commence par me titiller les mamelons, puis je me masturbe carrément. Au bout de quelques minutes, je décide que le client doit être satisfait et simule un gros, gros orgasme, puis je serre les cuisses bien, bien fort sur ma main, avant de remettre très pudiquement un peu d’ordre dans ma tenue. Le client doit être effectivement satisfait, à en juger par les longs jets de sperme qui tambourinent sur ma vitre… La lumière disparaît de nouveau. Le gars retourne auprès de mon mari et lui glisse :
- Cà ira pour cette fois, mais que je ne vous y reprenne pas !
Menteur, va ! Il ne demanderait pas mieux… Richard met le contact, recule jusqu’à la route et démarre comme s’il avait le diable à ses trousses. Au loin, la lampe torche clignote. Avec beaucoup d’ironie, me semble-t-il. Si ça se trouve, ce mec n’est même pas flic… En tout cas, quand mon mari pose à nouveau la main sur ma cuisse, je la repousse fermement.
Je me demande encore si c’est ce jour-là que j’ai attrapé le virus de l’exhibitionnisme. Parce que, pour être honnête, quand j’ai simulé un orgasme, c’était pour éviter de donner le plaisir à notre mateur d’en avoir un vrai….
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#2203323
La première des "pires expériences" fut le jour où nous avons montré à un oncle et une tante nos photos de mariage. Parmi lesquelles s'étaient insidieusement glissées quelques photos de nus. Soft, mais quand même. Et le Tonton qui n'arrêtait pas de se rincer l'oeil, et qui commentait... Nous étions gênés... :oops:
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