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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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par Bimboowner
#2205253
Quelques mois après cet épisode, S m’annonce, presqu’à regret, qu’il s’est remit avec son ex. Bien qu’il ait adoré nos épisodes, il faut tout mettre en pause. Il est honnête, du genre fidèle et veut se consacrer pleinement à sa nouvelle relation. Quelques textos s’échangent, une petite photo du cul de poupée avec « S. » écrit dessus pour son anniversaire, une vidéo d’elle qui suce ma queue et qui lui souhaite bonne année... sans grande relance. La page est bel et bien tournée. On s’amuse à plein d’autres choses, mais leur histoire turbulente me pousse à croire que « notre aventure à nous » n’est pas tout à fait finie.
Deux ans après sa relation se termine. J'avais vu juste. Un peu patraque il lui faut quand même quelques mois pour s’en remettre. Il baise à droite à gauche et enchaîne un temps les coups sans lendemain. Pour oublier une histoire de coeur, il faut que le corps exulte. On reparle de tout ça, progressivement, l’envie monte et je lui évoque un week-end que nous devons passer chez mes parents pour les mêmes raisons que la dernière fois. Il se chauffe et décide de nous accompagner.

J’en parle à Poupée mais je la sens pas dans le mood. Elle avait pourtant adoré, elle le sait, l’admet, mais là non. Elle est comme ça. Parfois oui, parfois non, avec des balancements que la raisons n’explique pas forcément. J’en parle à S et lui dit que c’est pas gagné, que c’est pas non plus mort mais qu’il va falloir être progressif et malin pour la faire chavirer.
Le soir venu, on se love tous les trois dans le salon près du feu. On boit des coups. On s’amuse et au bout d’un moment de regards et d’allusion, le ton est donné. Elle ne veut pas, pas ce soir, avec un grand sourire. On lui dit: Allez quoi! avec deux grands sourires. On discute et s’enivre autour d’un jeu de société, une sorte de puissance 4 amélioré et comme on une mission à mener, on décide avec S. de modifier un peu les règles. À chaque fois qu’un joueur perd il enlève une fringue et boit une bonne gorgée. Mais c’est risqué! C’est un coup à se retrouver tous les deux à poil, ivre mort et elle qui part se coucher, en pull et en chaussons. Mais heureusement pour nous, elle est pas très forte à ce jeu. Elle perd plus que nous. On ajoute donc une règle. Celle (ou celui) qui perd continue à jouer. Les règles vont clairement dans un sens. Elle sourie, ça se décoince, c’est presque gagné. L’alcool ne nous aide pas à enchaîner les victoires mais on se concentre. On s’échange quelques regards complices et hilares avec S, on s’indique des pièges ou des occases de jeu, discrètement quand elle nous regarde pas. L’enjeu est de taille.
S est en face de moi et Poupée est à ma droite et elle se retrouve vite en sous-vêtements. Ils sont blancs, en dentelles, assortis… Je la trouve sacrément apprêtée pour une fille qui ne voulait pas aller au bal. On continue… Elle est maintenant en string et nous, on a plus grand chose non plus. Elle dit qu’elle ne peut pas continuer car au prochain coup, elle se retrouvera à poil. Je lui dis que si elle perd, elle peut garder son string mais qu’en échange elle doit accepter un autre défis. Soit elle nous fait un twerk (en string, devant nous deux, je suis un génie!) soit elle passe sous la table et me suce pendant que je joue la partie suivante. Dans un cas comme dans l’autre, ça va déraper, elle le sait, elle est coincé, dit que c’est « vraiment abusé, genre! » mais n’est pas non plus farouche dans sa complainte. On commence la partie. La pression monte. Il faut absolument que je gagne. Je me concentre comme jamais ce soir là et vlan! c’est gagné. Elle est dégoutée ou du moins s’en donne l’air. Elle hésites grandement sur le gage. Elle se lève. C’est un twerk? Se rassoit. Peut-être pas. Elle n’ose ni l’un ni l’autre, elle peste. Au bout d’une petite minute de cinema elle semble avoir choisie son châtiment et s’accroupie lentement. On la regarde, avec délectation, se faufiler comme un chat entre les pieds de la toute petite table sur laquelle on joue. Entre nos jambes et le piètement étroit, elle se retrouve presque coincée, la tête au dessus de ma braguette et le cul à quelques centimètres de celle de S. Pour nous prêter au jeu du gage on commence une nouvelle partie pendant que ma petite pute sort ma queue et commence à me sucer doucement. On continue un semblant de jeu, S caresse la chatte de poupée à pleine main. Quand elle entend que les pièces ne bougent plus vraiment sur le plateau elle nous rappelle à l’ordre, on s’exécute alors en les bougeant juste pour faire du bruit. Le jeu ne ressemble plus à rien. On en a plus grand chose à foutre et ça nous fait bien marrer. Alors on trinque à plein verre, savourant notre victoire et nous rappelant à quel point on a galéré! Quelques centimètres plus-bas, Poupée me gobe la queue à pleine bouche, gémissant comme une chienne avec l’entreprise de S qui a tiré son string sur la fesse droite et lui fourre maintenant 2 doigts tout au fond de sa chatte, trempée. Elle a beau dire!
La scène dure un peu. Déjà parce qu’elle est agréable et qu’une victoire ça se savoure mais aussi parce qu’on a envie de la chauffer à bloc pour que la girouette tienne le cap. On est donc là, assis à siroter nos verres et Poupée qui s’affaire sous la table. C’est incroyable de discuter avec un pote tout en se faisant sucer. On se sent privilégié. On se sent presque roi. Au bout d’un moment je lui prend les cheveux et lui relève la tête. Sa bouche humide, ouverte, encore en forme de O, un fil de bave la relie à mon gland, ses gémissements, toujours et les yeux presque dans le vague, S est en train de faire des miracles. « Je crois que S à bien envie de se faire sucer aussi ». Sans vraiment réfléchir elle commence à se retourner vers sa queue. Ça y est. Elle a capitulé et elle a maintenant très envie de goutter à nos arguments. Elle sort de la table et on s’installe dans les canapés. Je suis derrière elle. Son cul est au premier plan les jambes écartés exposant sa chatte toute humide et derrière un dos cambré, elliptique, je vois sa tête pistonner entre les jambes de S qui est confortablement assis. Elle s’agite et s’excite comme si elle voulait rattraper les heures de son indécision. Je l’attrape fermement par les hanches et lui enfonce ma queue au fond de la chatte. Mes hanches lui tape fermement sur les fesses, donnant à tout son corps le rythme de la pipe. Et avec un balai d’aller-retour, échangeant nos places, on lui fait sa fête pendant un long moment. C’est histoire de planter le drapeau, de savourer le travail achevé et surtout de lui faire comprendre, du plus profond de son être, qu’elle a eu bien raison de capituler.
Une fois épuisés, ivres et vidés, on décide d’aller se coucher. Dans la chambre, elle m’annonce qu’elle a encore envie de s’amuser et je saute sur l’occasion pour lui dire de retourner voir S. C’est un peu tôt pour assumer d’aller satisfaire un autre homme, sans moi et elle s’y refuse. Mais l’idée est plantée.
Dans un effort harassant mais nécessaire je me lève l’emmène avec moi vers le salon ou S dormait et lui dit que notre petite pute a très envie de prolonger la soirée et à voir l’expression de S., elle n’est pas la seule. On remet donc ça et je m’étonne de l’énergie qu’elle y met pour une fille qui nous snobait 2h plus tôt. Est-ce qu’elle voulait qu’on lui court après? Sentir 2 hommes qui la veulent, s’impatiente et se battent pour avoir son cul? Si c’est ça, elle a en tout cas la monnaie de sa pièce. Je la regarde prendre son pied comme une vraie petite chienne, les cheveux en bataille, le corps en sueur et les fesses rougies par nos fessées. Ça laisse présager le meilleur pour la suite.
Le lendemain S prend la route. On se quitte en lui disant que la porte est grande ouverte, toujours. La voiture s’éloigne. Je passe ma main sous la jupe de Poupée et lui attrape la fesse à pleine main. On fait tous les deux signe de loin à celui qui m’a aidé à la baiser une bonne partie de la nuit.
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par mh35
#2205256
Merci pour la suite tant attendue de vos aventures !
Encore une fois, c'est du grand art : tout y est, les situations et la façon de les décrire, c'est au top. Me voilà maintenant bien excité. Une seule hâte, vous lire encore et encore.
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par christo
#2205264
quelle superbe suite de la petite poupée qui joues les ingénues pour ensuite se lacher et assumer le plaisir qu'elle prend dans son rôle de petite chienne avide de sexe...on a hate de connaitre le suite de son evolution ;)
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par Bimboowner
#2205275
Un mois après, S est de passage à Paris, c’est pour le boulot. Il bosse beaucoup et tard mais on arrive à convenir d’une soirée chez nous. Poupée est très excitée. Qu’est-ce que c’est agréable de pas avoir à rusé cette fois!
À ce moment-là je vis dans une colloc avec quelques potes, Poupée m’y avait rejoint à peine un an plus tôt.
Lorsque S se pointe, poupée est en robe turquoise, très courte et avec des talons. Le genre de robe qu’on achète dans les boutiques de chinois à châtelet et qu’elle n’a jamais l’occasion de mettre. Les fringues sex et cheap se mettent rarement pour aller au bureau.
On s’installe tous les trois dans le jardin. Quelques collocs la croisent et regardent son accoutrement d’un œil interrogatif, elle, habillée en pouffe, très maquillée, avec son mec et un pote à lui qui sont en jeans/basket. Il est 21h et on est mercredi. Ils sont à mon avis à milles lieux de s’imaginer que dans moins d’une heure elle aura une bite dans une main et l’autre dans la bouche mais ça suffit pour qu’elle se rende compte de la situation et en soit très gênée, ce qui a le don de nous faire marrer.
Comme d’hab, l’ambiance est hyper cool. On s’empresse de finir le dîner et la bouteille qui va avec, on se lève et se dirige vers ma chambre, Poupée devant et sa mini robe qu’on relève, déjà, pour voir son cul se trémousser devant nous. On rentre tous les 3 excités et on ferme à double tour. C’est assez lointain mais je me souviens surtout d’un moment où on la baise en levrette sur le lit. Elle a les genoux sur le sol et les seins sur le pieu, avec une ceinture à la taille qu’on agrippe fermement. On se donne à fond, la baise de toute nos forces, sans arrêts et on se passe le relais pendant que l’autre récupère. Je me souviens de voir Poupée se faire défoncer comme jamais et je sens qu’elle se concentre aussi fort que nos coups de reins pour ne pas trop crier. Les collocs rodent…
La partie de jambes en l’air finie et l’heure ayant tournée, S part se coucher. La colloc qui occupe la chambre accolée à la notre est absente, il y passera la nuit.
Mais Poupée fait la moue. Elle trouve qu’il est parti trop vite, que c’est trop con, qu’il aurait du rester. Je lui dit que ce n’est pas grave, qu’on est crevé et qu’on se lève tôt et qu’on remettra ça dans quelques mois. Je fais monter la frustration en insistant bien sur le fait qu’il n’y aura rien avant longtemps. Elle comprend le dilemme dans lequel elle se trouve. Elle se heurte à mon refus, que je rends catégorique, et pourtant, elle veut encore de la queue. Pour satisfaire sa pulsion et remplir sa chatte qui apparemment ne demande que ça, il faut qu’elle aille voir S, sans moi, et qu’elle lui demande s’il ne veut la pilonner encore un coup. Alignement divin des astres, je reçois à ce moment un texto de S. qui me demande si on dort. L’occasion est rêvée pour qu’elle aille faire du sex, ailleurs, avec le consentement mais sans mec. Pour en avoir plusieurs fois parlé avec elle, l’idée n’est jamais rejetée en bloc mais elle se situe pile à la frontière de la morale, là où le plaisir devient luxure, l’excitation devient interdite. Ça attise des désirs puissants et ébranle des valeurs profondes, communément admises.
Je lève les yeux de mon téléphone et dit à Poupée que S adorerait continuer à la baiser. Je sens que sa chatte mouille un peu plus encore. Elle est debout, dans la chambre, trépigne. Elle ne sait pas quoi faire. Je lui dit, avec toute l’assurance que je peux réunir, qu’il n’y a pas de mal à se faire du bien, que je suis d’accord, que c’est naturel pour elle d’y aller. Elle s’imagine faire une connerie, braver l’interdit. Je sens que sa tête abrite une tempête. Elle en meurt d’envie mais elle a peur. Peur de faire de ce fantasme une réalité. Je redouble d’argument et de poids dans mes mots et lui ré-explique qu’on en a tous les 3 envies et que les raisons qui l’en empêchent n’ont aucune valeur. C’est l’argument de trop ou celui qu’il fallait, elle se dirige vers la porte, sort, et la ferme tout doucement.
J’échange quelques textos avec S



Je ne reviens pas de ce qui est en train de se passer. Je suis choqué et terriblement excité. Connaissant la configuration de la chambre voisine, je réalise ce qu’il est en train de se passer à littéralement 30cm de moi. Je tends l’oreille. Je n’entends rien. Je demande un mms à S et à peine dix seconde plus tard je vois qu'un message arrive. C'est long. C'est surement une photo. Mon coeur s'accélère, j'en peux plus, la photo apparaît



...
Je suis en transe. J’ai le souffle court et la tête qui bourdonne. J’ai l’impression d’avoir 20 kg sur le thorax. Ma petite amie est en train de sucer une grosse queue, dans une autre pièce et elle a l’air d’adorer ça. Je vois dans ses yeux qu’elle est amusée et un peu gênée de la situation. Elle est gênée par ce que ça lui procure. Et elle a l’air chaude comme la braise. C’est nouveau, c’est intense. L’image me fait exploser d’excitation.
Un deuxième texto me demande de les rejoindre. C’est sympa! Mais j’ai envie de les laisser un peu plus longtemps. Et je veux en voir plus surtout. Je me lève et vais à leur porte, la partie supérieure est vitrée. Je la vois sur lui, en amazone, se faire cramponner le cul et les seins. Il l’a décale, passe au dessus d’elle, met une de ces jambes au dessus de son épaule et la culbute violemment. Elle enfonce sa tête dans l'oreiller, se cambre de plaisir. C'est incroyable de constater la sexualité de sa femme et d'en être le lointain spectateur. On peut observer un nombre incroyable de détails dont on a pas conscience quand on est acteur. Pendant une seconde, j’hésite à rentrer mais préfère en rester là. Moi à découvrir un plaisir nouveau. Elle a vivre pleinement le fait de se faire baiser par un autre que moi.
Je me rince encore un peu l’oeil et sentant qu’il est à deux doigts de se vider je me dirige à pas de loups vers ma chambre. Poupée me rejoint à peine 5 minutes après. Un mec s’était déchainé dessus pendant une bonne demi-heure et ça se voyait. Je lui fais un grand sourire, qu’elle me renvoie. Je lui demande si ça s’est bien passé. Elle me réponds avec un immense oui. Je sors ma queue, comme pour lui donner ma bénédiction sur ce qu'il s'est passé et elle se précipite, pour l’avaler presqu’entière. Quelques minutes après S reçoit par mms une autre photo qui venait s’ajouter à la conversation la plus improbable et la plus excitante qu'on ai pu écrire.
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par mh35
#2205283
Deux messages dans la même journée, nous sommes gâtés !!!
Et quels messages ! ... Ce dernier est vraiment fascinant : j'adore la façon dont Poupée se retrouve exposée d'abord aux collocs, puis ensuite, la cruel dilemme que tu lui imposes : rester sur sa faim, ou basculer du côté obscur ;-)

C'est un régal de voir qu'elle a craqué et s'est acceptée comme la petite salope qu'elle est (si je puis me permettre, c'est dans ce sens un compliment).

Une évolution rapide, et rondement menée. Chapeau bas ! Et vivement la suite, encore et toujours !
par dede58
#2205346
terriblement bandante tes histoires ! merci du partage. Elle est méga bonne en plus ta petite salope de copine, tellement génial d'avoir pu la partager avec ton pote !
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par Bimboowner
#2210385
Merci tout le monde.
Je poste la suite dès que j’ai un peu de temps.
Par ailleurs, ça pourrait être intéressant de mettre Poupée sur le chat avec des gars d’ici. Il y aurait des volontaires?
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par Bimboowner
#2210689
S et Poupée ont déjà échangé quelques textos. Les messages ont commencé par des sextos groupés, m'incluant, où on demandait à Pupute de nous envoyer des photos de son cul après quoi nous lui exprimions de manière plutôt franche ce qu'on aimerait lui faire. Oubien on se relatait quelques souvenirs ou envies prochaines. Mais j'ai rapidement incité Pupute à lui en envoyer directement. Je veux qu'elle développe sa sexualisation avec lui et les sextos sont de bons débuts. Malgré ma permission, c'est chose rare, elle n'ose pas. Je profite donc d'occases évidentes pour la pousser à envoyer un petit mms, ce qu'elle fait toujours avec entrain et excitation. C'est jamais d'elle même mais faut laisser le temps au temps. Pour ses anniversaires, les nouvelles ans, etc. S reçoit des petites photos de ce goût-là.
Quel salaud... Je lui fais la belle vie.

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homohabilis a liké
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par Bimboowner
#2210700
Quelques semaines après leur première baise, je ne veux pas que la tension ne baisse. Poupée s'est faite défoncer sans moi. Elle a gouté à ce plaisir et à adoré. Je ne veux pas que le dogme monogamique se réinstalle. je veux que ça reste fort et possible dans son esprit. Je lui demande d'envoyer des sextos régulièrement à S, un par jour pour être exact. On a prévu de se revoir quelques semaines plus tard et je veux qu'elle soit chaude comme la braise. Je veux qu'elle pense régulièrement à sa grosse queue et qu'elle fantasme à l'idée d'être sa pute.
Et elle joue le jeu. Magnifiquement d'ailleurs. Les sextos sont hard, drôle, fun. S m'envoie régulièrement ses compliments. Je la surprends de temps en temps, au resto ou lors d'une petite ballade, ranger son téléphone, un peu honteuse et très excitée. Elle vient de dire à son plan cul qu'elle aimerait s'étouffer sur sa grosse queue, bras-dessus, bras-dessous, avec son mec.

Pour votre grand plaisir, j'ai fait des captures de la conversation. Voici S et ma magnifique petite pute batifoler sur leur portable.

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Je regarde cette photo et je ne sais pas vraiment si elle l'a mis pour moi ou pour lui. C'est étrange, mais c'est très excitant.
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homohabilis a liké
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par mh35
#2211275
Tous ces échanges sont simplement magiques. @Bimboowner j'imagine très bien le plaisir cérébral que tu dois avoir à être témoin de ces échanges entre les deux amants. Et de voir à quel point ta bimbo devient exactement comme tu la désires... bien salope :-)

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