- 05 févr. 2021, 10:53
#2499259
Nous sommes dans une boîte de nuit à Rimini en Italie, nous dansons ensemble. Il fait nuit mais surtout très chaud, la musique masque le bruit des vagues, nous sommes près de la plage.
A ce moment le DJ passe une musique une peu plus «chaude », je commence à me rapprocher de toi, de plus en plus, je me fais chatte, sensuelle, je me colle à moi et nous dansons rapprochés, enlacés, nous embrassant passionnément, je sens déjà ton sexe dur contre mon bassin. Excitée, je te lance des regards aguicheurs et me retourne pour frotter mes fesses contre ton sexe. La tension est palpable et je vois son visage plein d’excitation. C’est à ce moment que, tout en me lançant un regard plein de désir, de luxure et d’appétit, je te demande si mon fantasme te plaît toujours, si tu voudrais me voir avec un autre homme, me voir le draguer, l’allumer, coucher… baiser avec lui, jusqu’à recevoir son sperme sur mon corps et tout cela devant lui.
Je sens que son sang ne fait qu’un tour, j’ai l’impression qu’il ne sent plus ses jambes, une montée de sentiments le submergent certainement de jalousie, je suis sûr qu’il ne m’aurait jamais cru capable, de même en faire mention, de l’excitation car la situation m’avait toujours fait fantasmer, et de l’amour pour cette homme me sublimait, il fait chavirer mon cœur en permanence et pour qui la passion n’avait cessé de grandir. Tous se bousculaient dans sa tête, il n’arrivait pas à répondre de suite, mon regard se fît plus insistant, je suis trop impatiente ça se voit, il n’a pas remarqué le jeu de séduction que j’ai exécutée 20 minutes plus tôt, ne lui était pas exclusif, pas seulement pour lui, mon envie sexuelle est destinée ce soir à un autre homme, quelqu’un dans la salle, quelqu’un qui m’attire énormément.
Il voit à mes yeux que j’ai un peu trop bus, je le sais, je me lâche et laisse parler mes pulsions sexuelles, comme il m’a demandé depuis toujours, alors ce soir, j’ose. Mon homme s'approche de moi pour me prendre dans ses bras, m’embrasse, langue contre langue, au milieu de la piste de danse. Puis je rapproche ma bouche de son oreille pour y susurrer quelques mots :
« J’ai vu un bel homme à mon goût, je dois t’avouer que je le regarde depuis un moment et je ne sais pas comment l’expliquer mais j’aimerais réaliser mon fantasme ».
Je me remets face à toi et lui dit :
« Je veux que tu me voies, je veux que tu me voies prise par ce mec, j’en ai très envie. Me voir prendre du plaisir avec un autre. Mais je veux surtout que tu me reconquières, que tu me montres que tu es le seul à pouvoir me posséder, le seul que je puisse aimer. »
A ces mots, il ne peut s’empêcher de sourire de désir. Il me fait signe que je peux y aller, mais avant de partir, il m’embrasse. Notre baiser est langoureux et pendant ce temps ma main passe sur son pantalon pour sentir son excitation. En m'écartant, je lui souris l’air satisfaite de ce que j’ai sentie, je pars avec ce sourire coquin en marche arrière vers le beau et grand ténébreux que j’ai remarqué.
Alors que je me retourne pour me diriger vers l’étranger en question, je me rends compte qu’il me regarde toujours, je le fixe un instant, comme une féline le ferait sur sa proie, il est effectivement très beau garçon, et je dois bien avouer que je ressens beaucoup d’attirance pour ce genre d’homme, je suis aussi très excitée. Il est très grand, il a des cheveux en bataille sur le haut et court sur les côtés. Je remarque aussi qu’il est musclé avec des épaules larges, une petite barbe de deux trois jours fait ressortir ces magnifiques yeux verts qui m’attire comme des aimants, en gros il est franchement bien bâti, mon style de mecs.
Je sens le regard sur moi de mon mari, et notamment sur mes fesses qui dirigent mon corps dans une danse sensuelle, avançant vers le bar pour prendre un verre. Je suis tellement sexy ce soir, même super aguicheuse, ma robe est courte, elle épouse magnifiquement bien mes deux belles fesses, un haut décolleté, bien dégagé sur les épaules, le tissus léger colle superbement mes seins et ma finesse, mes cheveux, attachés en queue, laisse voir un petit ras-de-cou noir qui montre bien que je suis très chaude ce soir. Je ne parle que de ce qui est visible mais je sais que mon mari m’a vu mettre dans la salle bain de notre hôtel des sous-vêtements très sexy ce soir. Mon soutien-gorge rouge et le string, l’ensemble de dentelle transparente me va à merveille !
Mon déhanché est hypnotisant, beaucoup d’homme dans ma vie me l’ont dit, beaucoup d’hommes dans la salle me remarque, alors que je m’approche de ce bel étalon, je me retourne une dernière fois, le sourire toujours aussi coquin, les yeux pétillants de désirs me mordant les lèvres, comme pour lui dire, je le veux, je veux cet homme, et je veux que tu le voix, j’aime te rendre jaloux, ça m’excite énormément de savoir que je vais te rendre cocu et je sais que cette excitation est réciproque.
La première fois que je lui ai fait part de mon fantasme, il ne savait pas trop quoi en penser, ça lui paraissait tellement bizarre, il n’a pas posé beaucoup de questions, juste essayé de me tester un peu, voir ce que tout cela voulait vraiment dire et jusqu’où je pouvais aller. Un garçon de salle me plaisait bien au restaurant que nous fréquentons régulièrement, il était mignon physiquement mais pas trop mon genre au niveau de l’attitude, trop sûr de lui. J’ai essayé de faire des petites piques à mon homme pour lui demander un plan à trois, savoir si je pouvais me le taper, etc. Il réagissait bizarrement, il semblait très jaloux mais aussi très excité, il avait beau faire semblant, la graine que je lui avais plantée dans sa tête commençait à germer, il s’est pris au jeu, je le sentais excité à l’idée que je sois avec un autre que lui, et tout cela avança avec son consentement. Ça ne restait que des idées mais elles continuaient tout de même à le déstabiliser, à l’exciter.
Par la suite, je lui ai parlé un peu plus, je lui racontais des histoires, des fantasmes, aussi farfelus soient-ils. Ça lui plaisait de plus en plus il devait bien se l’avouer. Le sujet devenait de plus en plus excitant et « normal » dans sa tête. Nous nous prenions même des envies de nous masturber en lisant des récits érotiques sur le thème du cocufiage. Jusqu’au jour où ... j’eu envie de passer à l’acte, d’aller plus loin. De tester notre amour. Je me sentais très confiante, je savais que s’il pensait à ces choses, tout comme moi, c’est qu’il était sûr de son amour mais aussi du mien, ça ne lui venait pas à l’esprit qu’il aurait pu me perdre. Je me rendais compte à quel point ce fantasme montrait la confiance et l’affection qu’il me porte. Et il est vrai que je me prenais au jeu à regarder de plus en plus d’autres hommes que lui, mon regard changea sur eux, j’aimais sentir leurs désirs sur moi, et je faisais ce qu’il fallait pour, fantasmant sur eux et leurs sexes. Dans les magasins, j'aguiche des hommes, les excite volontairement de mes tenues, parfois de mes postures ou je montre mon entrecuisse, mon string pour les faire bander, baver d’envie… Mon époux restait l’amour de ma vie, je voulais rester avec lui, j’avais énormément d’envie pour lui, mais mes pulsions sexuelles étaient de plus en plus tournées vers cette aventure.
Ce soir, alors que nous étions en Italie, que nous pouvions réaliser ce fantasme sans avoir le risque de se faire voir, ni qu’il nous suive, je décidais de faire le pas. L’alcool avait fait exploser ma libido, tout mon corps brûle de désir, ma fente dégouline de sa liqueur.
Et là, je me sentais petite fille, l’excitation mélangée à de la peur me faisait perdre la tête. Cet étranger avec qui je parlais maintenant, qui me faisait un effet monstre, que j'imaginais déjà en train de glisser sa bite dans mon intimité pour me bafouer, tout ça devant mon mari, j’allais me faire passer une nuit inoubliable. J’avais si chaud, il avait beau m’offrir verre sur verre, l'excitation dans mon bas ventre ne tarissait pas, pire il grandissait, de petites contractions vaginales apparaissaient. Alors que l’on discutait, me racontait son job, j’appris qu’il s’appelait Alessio, je tentais de tourner la tête vers Phil pour voir si tout allait bien pour lui. Je remarquais qu’il n’arrêtait pas de nous fixer discrètement, posé au bar tout, en me faisant de grands sourires. J'ai pris la décision d’aller danser, j'ai pris Alessio par la main et nous nous sommes dirigés vers la piste de danse. Comme je m’y attendais, notre danse fut très chaude, ses grandes mains sur mes hanches, nos visages proches l’un de l’autre, mes bras se glissant rapidement autour de son cou, il sentait bon. Il ne faut pas tellement de temps avant qu’il ne tente une approche. Notre baiser fût explosif, nos langues s'entremêlent pendant de très longues secondes. Que c’était bon, j’aimais sa salive... Je tentais de voir si mon mari nous avait vu, mais je n’arrivais pas à le repérer sur la piste, trop concentrée à embrasser et à enlacer ce bel étalon. Le baiser fini, la danse repris de plus belle, je me retournais pour faire frotter mon bassin contre le sien, je sentais son sexe bien dur contre mes fesses, le devinais très intéressant, j’adorais ça. Je sentais la chaleur monter, je me surpris à placer moi-même l’une de ses mains sur mon corps tout en fixant Phil, collées à mes hanches jusque-là, à mon sein droit. Il m’embrassait dans le coup et dans la nuque tout en me faisant bouger le bassin avec sa main gauche et en malaxant mon sein droit, je n’en pouvais plus, je me sentais troublée et frissonnantes par cet inconnu qui n’arrêtait pas de toucher mon corps. Pendant ce temps, je sentais le regard persistant de mon homme, je lui souris pour lui faire comprendre que je ne l'oublierais pas. Lui aussi avait l’air très excité. C’est à ce moment qu’Alessio changea de place sa main gauche, pour la mettre entre mes cuisses. Ce geste, qui m'aurait pourtant fort énervé auparavant, continuait de m’exciter encore plus, l’alcool devait fort aider, je me sentais un peu bourrée je l’avoue. Il me caressait les jambes et l’intérieure des cuisses pour remonter jusqu’à mon sexe et le caresser à travers mon string très humide, il devenait de plus en plus tactile. J’avais l’impression que plus personne n’existait autour de moi à part mon amant du soir et Phil. Je le pris par la nuque avec ma main gauche pour le tirer à ma bouche, toujours en dansant, sa main droite sur mon sein, la gauche sur mon bas ventre et ma main droite dans mon dos, caressant sa queue. Cela m’a semblé durer peu de temps, mais il passa au moins une heure avant que nous n’arrêtions de danser. Lui et moi retournions au bar, exténués mais aussi chauds comme la braise, je voyais bien que je lui plaisais autant qu’il me plaisait. Après un dernier verre et un nouveau baiser, je montais encore d’un cran. Très stressée mais dirigée par l’excitation qui me faisait perdre la tête, je lui demandais s’il voulait venir prendre un verre dans ma chambre d’hôtel, histoire de discuter ... l’idée était évidemment bien autre et j’en fis part à mon homme, en lui envoyant un petit message par sms :
« Je pense que tu m’as bien vu, j’ai enfin assumé… j’espère que mon côté salope t’a plus mon amour ???? j’aimerais passer aux choses sérieuses, je veux sentir son sexe en moi, tu nous suis chérie? ???? ».
Je ne voulais pas qu’Alessio sache que mon mari était au courant de notre petit jeu. Il m’avait reluqué depuis que j’étais rentrée dans le bar, il savait très bien que j’avais un compagnon et je voulais qu’il croie que je trompais mon mec avec lui, que je faisais la vilaine fille... je lui ai dit que mon mec était allé rejoindre des amis pour la soirée et que nous serions donc tranquilles dans notre chambre d’hôtel (lui dis-je avec un petit sourire coquin et me mordant le coin de la lèvre inférieure). Je voyais bien qu’il n’en pouvait plus, lui aussi me voulait. Il voulait prendre sauvagement cette petite coquine qui « trompait » son mari avec le premier venu, je supposais dans son regard toute les vilaines choses qu’il voulait me faire... et je m’en délectais copieusement, je me réjouissais.
Après avoir fini nos verres nous nous sommes dirigés vers la sortie, je le tirais par la main à travers la foule. Sortant de là j’aperçus Phil de loin, caché de nous, je lui fis un bisou de loin suivi d’un « je t’aime, merci ». Je profitais de sa présence pour me retourner et embrasser de nouveau Alessio, moi, caressant son torse musclé, lui attrapant mes fesses de part en part pour les éloigner l’une de l’autre. Et nous partîmes vers le premier arrêt de bus, toujours en nous tenant par la main. Nous n'arrêtons pas de nous toucher, de nous embrasser, de nous lécher, et j’en passe... tout cela en attendant le bus et pendant le trajet. Et toujours de loin, je voyais mon homme se délecter de la scène, les yeux fixés sur moi, me dévorant du regard. Un regard fou, amoureux et jaloux à la fois, j’adorais le voir dans cet état, ça me donnait encore plus envie.
Je sentais qu’Alessio était fort, ses muscles de torses et ses abdos n'étaient pas super tracés mais je les sentais bien, c’était le cas de le dire... ses mains viriles d’homme m’attrapaient avec tellement de force! Je me sentais comme prise au piège, mais qu’est-ce que j’aimais ça! Arrivés à l’hôtel nous nous sommes mis à aller de plus en plus lentement, je voulais pleinement profiter du moment. Je m’arrêtais souvent pour l’embrasser, le toucher encore et encore... je sentais que je lâchais totalement prise. Cependant Phil me manquait, je ne le voyais plus depuis un moment, je commençais à m’inquiéter. Avait-il fait demi-tour ? S'était-il perdu ? Heureusement je fus soulagée de voir son message me disant qu’il était déjà dans la chambre et qu’il m'attendait dans la salle de bain, il voulait me voir avant le grand pas.
En entrant dans notre chambre je fus surprise par Alessio qui d’un coup me souleva par les fesses pour me coller à lui pour m’embrasser à nouveau et me coucher jusqu’au lit. Rapidement il commença à enlever sa chemise et ses chaussures mais je l'arrêta au moment où il commençait à desserrer sa ceinture. J'ai dû dire à Alessio que je devais me préparer pour lui, qu’il devait attendre bien sagement. Je mets donc de la musique et me dirige vers la salle de bain.
Cela faisait déjà un moment qu’il m'attendait dans la salle de bain de notre chambre. En entrant, je savais qu’il nous regardait de loin, épiant nos moindres faits depuis que je m’étais accrochée à cet homme. Surement très stressé au début, des craintes que je le mette totalement de côté, que je l'oublie, ce n’était clairement pas le cas! J’essayais toujours de voir où il était, de vérifier s’il était toujours bien là et cela me rassurait. Lorsque j’embrassais cet étranger pour la première fois, il me dit avoir eu une vague de sentiments contraires dans sa tête et son cœur, beaucoup de jalousie d’abord il dû bien me l’admettre, un sentiment mêlé avec de l’amour et de l’excitation. Il me voyait m’amuser, sur un petit nuage et il adorait me voir dans cet état. L’Amour prit rapidement le pas sur le reste me disant que j’étais vraiment une femme extraordinaire, que si nous étions capables d’avoir une expérience pareille nous pourrions tout vivre! Il n’arrivait même pas à décrire ce qu’il ressentait certains moments, mais il savait être éperdument amoureux, pressé de reconquérir la femme de sa vie. Celle-là même qui pourtant, à ce moment-là, devant lui, se faisait largement peloter et embrasser par ce qui devait être un beau napolitain. Alors qu’un inconnu faisait bien plus que draguer sa femme, il en tombait encore plus amoureux. La soirée passa, il ne perdait pas une miette de ce qui se passait, toujours les yeux rivés sur moi, sa chérie. Pendant que nous dansions, sur le trajet vers l’hôtel, et enfin dans l’hôtel même, il ne put cependant rester très longtemps, il fallait que je me presse avant qu’il aille se cacher dans notre salle de bain, après avoir lu mes dernières instructions.
Il était donc là, dans la salle de bain, à m’attendre moi, son épouse et mon amant, très stressé, mais aussi terriblement excité, à avoir du mal à tenir en place. A nous entendre rentrer, rigolant, les bruits des baisers humides et goulus. Nous entendre rire, avoir l’impression que j’avais été soulevés, le lit grincer, les draps se froisser et moi, m’amuser dans notre lit conjugal avec ce mâle. Je sais qu’il ne nous entendait pas bien, je parlais parfois doucement à mon amant, comprenant cependant que je voulais me préparer dans la salle de bain. En entrant et après avoir fermé la porte, il se jeta à mon coup, nous nous embrassions comme des fous, pleins de fougues et d’amour, comme aux premiers jours. Mais toujours en essayant de rester silencieux. Il me dit en murmurant qu’il m’aimait à la folie, je lui remerciais de me permettre de vivre une telle expérience, que j’étais l’amour de sa vie, que j’en avais tellement envie… Un désir fou de cette bite qui m’attendait sur notre lit! Tout cela en s’embrassant. Je jubilais, notre amour était exceptionnel. Je commençais à me déshabiller, ne laissant que mes sous-vêtements sexy. Je le fixais, enleva sa ceinture, j’abaissais son pantalon pour faire sortir son sexe en érection. Je l’attrapais avec force, le décalottais, il dégoulinait d’excitation, les perles affluaient de son méat en permanence, je glissais un doigt sur son champignon pour en recueillir un maximum et lui porta à ses lèvres qu’il lécha avidement, je commençai à le masturber. Je lui lançais avec un petit sourire malicieux :
« Tu as été bien sage mon amour, tu mérites largement une petite récompense ! »
Je m’amusais avec lui, tous en continuant de l’embrasser avant de lui dire :
« Regarde bien ta femme mon amour, je veux que tu me regarde, je veux que tu vois comment elle va prendre son pied, elle va te faire sentir comme sa chatte a besoin de cette queue, je veux que tu me voies prendre mon pied avec lui, je vais dans quelques minutes te faire cocu mon amour, il va me baisé comme une chienne, quand il en aura fini avec moi, que je serais souillé de sa salive, de son jus, je veux que tu viennes me prendre à ton tour, que tu te serve de son sperme, ne me demande pas mon avis, prend moi fort pour me reconquérir! ».
A ces mots, le masturbait très fort, lui claquait le gland comme on gifle un enfant, je me tournais, en lui disant que je l’aimais et laissais entre-ouverte la porte.
Il me dit plus tard n’avoir pas su trop quoi faire, trop excité, cette envie de jouir… une invitation à venir nous voir? L’homme n’avait pas l’air au courant, il réfléchissait difficilement, il nous entendait de nouveau nous embrasser passionnément, humidement. Il ouvrit légèrement la porte pour voir ce qu’il se passait. Discrètement, il sortit la tête pour voir que j’étais était en train d’enlever son pantalon alors qu’Alessio était couché sur le dos posé sur le lit, je pris son sous-vêtement formé d’une bosse éloquente, et de chaque côté, je le lui retirait pour dégager son membre tendu qui jaillit, mère nature lui avait fait cadeau d’un incroyable canon entre les jambes, elle était longue,mais surtout très large, parfaitement raide, le gland à moitié décalotté était proéminent, un gros champignon gonflée à bloc, luisant et baveux, comme je les aimes, je caressais son gland couvert de sa liqueur, Phil était dans le dos de l’homme, il ne pouvait pas le voir. Encore une fois, je lui souris discrètement, je portais le doigt couvert du liquide séminal pour le gouter, provocante, je sublimais mon visage du délice découvert, mon homme semblait affolé, j’empoignais cette tige pour le masturber avant de descendre ma tête dessus, je léchais soigneusement le gland violacé en massant ces couilles chargées de semence, j’adorais vraiment la senteur de ses liquides, sa queue elle était délicieusement divine, pour parfaire, il coulait abondamment par vague successives, je montrais à Phil ma langue gluante, jouais avec les coulures filandreuse qui me rattachait à son phallus, je le stimulais comme pour lui dire : tu vois comme les hommes me désir si je décide… j’avalais d’un air gourmand, je me voulais salope, dégustant le nectar précieux à mon palais, ça m’excitait comme jamais auparavant, je m’imaginais déjà enficher par ce magnifique pieu, son gland pénétrait mes lèvres, glissait sur ma langue, je le pompais avec application, le léchant soigneusement sur tous son long, titillait son frein, mon amant râlait quand j’ai entrepris de tourner ma langue autour de la grosseur violacé, je prenais un plaisir fou à le sucer, je le dégustais comme une glace succulente, Alessio posa sa main sur ma tête pour me guider, je devenais petit à petit ce que les hommes appellent, une putain, et franchement, j’aimais ça.
Mon amant se releva, il me mit couchée sur le dos face à lui, tout en le fixant d’un regard provoquant, il se mit à genoux face à mes jambes écartées, sa stature m’excitait énormément, il m’agrippait de sa force par les cuisses pour me tirer vers lui.
J’étais toute rouge, j’avais très chaud. Je voyais la tête de mon voyeur dépasser légèrement du mur pour me voir, et moi j’étais sur le lit, couchée sur le dos avec les jambes écartées, mon amant s’avançant lentement entre elles. J’étais sur le point de laisser un autre homme que le mien poser sa langue entre mes cuisses, sa bouche allait goutter mon intimité, ses lèvres allaient aspirer mon clitoris, sa langue allait s’insinuer dans ma fente pour me boire… frémissante de plaisir, j’étais impatiente...
Le premier coup de langue me fit l’effet d’un choc, sentir une nouvelle bouche faire toujours un effet particulier. Rapidement ses lèvres se posèrent pour me manger goulûment. Ses coups de langue se faisaient de plus en plus fermes et rapides, me plongeant rapidement dans l’extase. Je sentis alors deux doigts me caresser d’abord, puis se glisser en moi. Les coups de langue combinés aux aller-retours de ses deux gros doigts allaient rapidement me faire jouir, je balançais mon visage en arrière en me cabrant puis en avant pour me saisir de la tête d’Alessio pour la presser contre moi, mon regard plein de luxure fixait mon époux, des gémissement sourd sortaient de ma bouche quand son doigt joua avec mon Urètre, l’érotisme qui se dégageait de cette scène était total, je giclais de plusieurs jets, l’orgasme dura profondément dans mon fondement, mon amant se délectant à ma fontaine pleines de contractions répétitives.
Cette séance finie, je fus tirée vers lui avec force. C’est là qu’allait commencer les choses sérieuses. J’étais toute ouverte à lui, il passa son corps entre mes jambes pour se mettre au-dessus de moi et m’embrasser tout en collant son torse contre mes seins. Je sentis alors la chaleur de son gland sur les lèvres de ma chatte, il se pressait contre moi, nous étions arrivés à l’instant fatidique, ce fantasme qui m'avait tant tiraillé, humide dans mon sommeil comme éveillée, j'allais cocufier mon homme, j’avais un tel désir que lorsque j’ai senti son membre viril s’engouffrer, j’exhalais, je hululais, je sentais chaque centimètres de sa virilité qui m’élargissait les parois et les lèvres, j’avais l’impression qu’il déplaçait mes entrailles pour trouver sa place, il poussait et je commençais aussi progressivement à le tirer vers moi en tirant ses hanches jusqu’à l’avoir tous en moi. J’étais fière d’avoir été capable de tous l’engloutir mais au moment où je me pensais victorieuse ... je jouissais, alors qu’il entamait son va et vient, j’essayais de résister aux vagues violentes de plaisir qui m’envahissait, je le sentais si raide, s’agiter en moi, si dure, sans retenue. Il donnait tout, tout de suite. Il baisait de toutes ses forces la femelle d’un autre.... Je m’accrochais à la tête de lit tellement c’était bon. Je sentais ma grotte, mes fesses onduler sous l’effet de ses puissants coups de rein. Il était si grand qu’en se retirant je sentais que mes entrailles étaient fortement aspirés. Mon amant était conscient de ces atouts, il savait vraiment utiliser son engin, lorsqu’il se retirait, il attendait que je m’impatiente, je sentais effectivement le vide total, je voulais que cette queue reprenne sa place en moi, qu’elle revienne me fourrer la chatte, je commençais à gémir, à lui demander « vas -y, Alessio met la en moi, vas-y Alessio baises-moi! Encore...plus fort! »
Mon mari était subjugué, je l’apercevais furtivement son regard tout excité par la scène. Le gland repoussait toujours plus haut la paroi de mon vagin, j’étais sur le fil du rasoir a bien sentir le plaisir monter d’un cran supplémentaire à chaque fois que le monstre m’enfourchais. Je me tortillais de droite à gauche en réalisent que l’attribut réalisait intérieurement un massage, il me défonçait la chatte, me faisait sentir ce que je n’avais rêvé de vivre. J’étais embrochée par lui, j’ai cru que j’allais défaillir ce fut l’apothéose, mes cris de plaisir avaient l’air d’avoir de l’effet à mes deux compagnons, mon bel étalon Italien me prenait de plus en plus fort à chaque souffle de plaisir et mon cocu de mari allait de plus en plus vite avec Madame cinq doigts sur sa bite que je devinais certainement endoloris de trop de plaisir. Mes mains étaient accrochées à lui, un derrière l’attirait de haut pour qu’il vienne prendre ma bouche, l’autre ne pouvait s’empêcher d’agripper ses belles fesses, musclées.
Cela m’excitait d’être désirée par deux hommes en même temps, de les rendre fous de désir pour moi. Alors que le rythme commençait à redescendre légèrement je pus reprendre un peu les esprits et je pris alors la décision de dire à Alessio que mon mec voulait venir nous voir. Je lui susurre à l’oreille, passant des petits coups de langue sur le lobe, le mordillant un peu au passage, qu’il donne tout devant lui. Mon amant ne fut pas aussi surpris que je l’aurais cru. Ça avait même l’air de lui plaire au coquin !
J'appelais Phil pour qu’il puisse s'asseoir en face de moi. Je me mis alors face à lui, à quatre pattes, les fesses relevées vers mon bel inconnu. Ses grandes mains de nouveau s’accrochaient à moi. Caressant d’abord mes épaules, descendant le long de mon dos, attrapant mes hanches, caressant mes fesses, les embrassant au passage. Il continua ses baisers le long de mon corps, remontant dans l’autre sens cette fois. Il calina mes seins en embrassant ma nuque, il atterrit enfin à ma bouche, nous partagions nos salives mélangées avec délectations. Je sentais son sexe se frotter contre ma croupe pendant qu’il me dirigeait vers sa langue. Il se retira alors pour mieux se positionner. Je ressentais tout de même un peu de gêne à voir mon homme juste en face de moi, que devait-il penser? Je fus rassurée encore une fois de voir que mon homme était loin d’être gêné. Il se touchait lentement le bout du gland en me regardant. Nos regards croisés voulaient d’eux même dire : on s’aimait, mais au même moment pourtant un « je t’aime » sorti à l’unisson. Un sourire s'ensuivit entre lui et moi, il se leva pour venir m’embrasser, pleine de liqueur salivaire, il m’embrassait à pleine bouche avant de retourner s’asseoir sur la chaise en face du lit.
C’est là que je ressentis de nouveau mon entrée s’ouvrir lentement, mon vagin s'écartant, accueillant une nouvelle fois la belle verge d’Alessio. Ses mains posées sur mes fesses les attrapèrent plus fermement pour accélérer ses coups de rein. Je sentais son corps claquer contre le mien. Je voyais Phil accélérer le mouvement sur sa queue dégoulinante, je le vis en récolter un peu pour le porter à sa bouche, ce geste m'électrise, depuis plusieurs mois, c’est moi qui lui faisait goûter à sa queue, parfois même à sa crème, cette pensée m’excitait, je n’arrivais pas à me contrôler, mon visage rouge vif prenait la forme du plaisir charnel bien consommé. J’essayais de lui demander de venir près de moi, il comprit rapidement et s’exécuta pour venir m’embrasser de nouveau, très longtemps. J’avais la tête secouée, les fesses pressées à chaque aller. Mon corps lâchait prise et je m’écroulais une nouvelle fois toute frémissante de tant de plaisir, j’étais couchée sur le ventre et toujours prise par Alessio. Phil se baissa pour m’embrasser encore. J’eu un sentiment différent alors pendant de longues secondes l’onde de choc arriva une nouvelle fois, je joui criant avec une intensité dingue. Tout mon corps était endolori par l’extase. Je sentis que mon amant aussi, s’était retiré et lançait des petits râles de plaisir, il était en train de se vider charnellement en m’arrosant l’anus de ses jets de sperme brûlants, le jus coulait entre mes lèvres, s'insinuer dans ma chatte orpheline, je me tournais pour attraper sa queue et la porter à ma bouche, je pompais délicatement, j’avais trop envie de ça, déguster sa sève, à un peu de sa crème épaisse et onctueuse. Puis il se coucha de nouveau sur moi pour m’embrasser une dernière fois. Je le remercie, il se rhabille pour partir rapidement. Je ne le verrais plus jamais.
Mon mari vînt se coucher près de moi pour caresser mon corps endoloris. Il me massa de longues minutes pour détendre mon corps. Je me sentais tellement bien, heureuse d’être seule avec l’amour de ma vie, je glissais ma main plusieurs fois pour ramener le nectar à ma bouche, avoir le souvenir de cet homme qui m’avait si bien possédé. Mon mari m’embrassait partout sur le corps et me disant combien il m’aimait et que j’étais là plus belle femme du monde, le sperme d’Alessio se mélangeait dans nos bouches. J’étais dans un état second, profitant un maximum de cette situation. Je me sentais amoureuse mais aussi désirée. J’avais l’impression d’être là femme la plus heureuse du monde tant je me sentais bien. Je me suis retourné pour enlacer mon homme. Nos câlins durèrent longtemps avant que je ne me pose sur lui. Je me reposais sur son torse.
Mais la nuit n’était pas finie. Je lui dis de me reconquérir maintenant, je ne voulais pas attendre. Il me plaqua alors sur le dos du lit, m'attrapant par les poignets. Il m’embrassa tout en se déshabillant. Il me reprit les poignets fermement avant de me faire l’amour comme un fou. Embrassant chaque partie de mon corps qu’il pouvait pendant qu’il me prenait. Les mots d’amour fusaient à coup de « je t’aime … de salope… bouche à sperme… » ...
S’en était trop, je fus surprise par mon regain de force. Je fîs en sorte de me mettre au-dessus de lui pour continuer nos ébats. Les mains posées sur le torse je continuais ce qu’il avait commencé, cette fois c’était moi qui le chevauchais. Ses mains attrapèrent mes fesses, changeant de place pour faire un tour par mes hanches et mes seins. Je le vis et sentis se crisper, il avait l’air au bord de la jouissance. Je sentis alors un flot de se déverser en moi et ces mains s’accrocher de plus en plus fort à moi. Ses râles me firent l’effet d’une bombe et je sentis moi aussi un orgasme encore plus fulgurant que les autres.
Fatiguée je m’écroulais dans ses bras. Tous les deux liés, lui toujours en moi, couchée sur son ventre je n’en pouvais plus de bonheur. L’amour pouvait donc bien se manifester de manière bien différente. Phil et moi avions trouvé une manière particulière. J’aimais, j’adorais ça. Tout doucement je m’endormis contre lui, lovée dans ses bras, fatiguée et bienheureuse d’un bonheur assez particulier qui ne saurait s’expliquer.
A ce moment le DJ passe une musique une peu plus «chaude », je commence à me rapprocher de toi, de plus en plus, je me fais chatte, sensuelle, je me colle à moi et nous dansons rapprochés, enlacés, nous embrassant passionnément, je sens déjà ton sexe dur contre mon bassin. Excitée, je te lance des regards aguicheurs et me retourne pour frotter mes fesses contre ton sexe. La tension est palpable et je vois son visage plein d’excitation. C’est à ce moment que, tout en me lançant un regard plein de désir, de luxure et d’appétit, je te demande si mon fantasme te plaît toujours, si tu voudrais me voir avec un autre homme, me voir le draguer, l’allumer, coucher… baiser avec lui, jusqu’à recevoir son sperme sur mon corps et tout cela devant lui.
Je sens que son sang ne fait qu’un tour, j’ai l’impression qu’il ne sent plus ses jambes, une montée de sentiments le submergent certainement de jalousie, je suis sûr qu’il ne m’aurait jamais cru capable, de même en faire mention, de l’excitation car la situation m’avait toujours fait fantasmer, et de l’amour pour cette homme me sublimait, il fait chavirer mon cœur en permanence et pour qui la passion n’avait cessé de grandir. Tous se bousculaient dans sa tête, il n’arrivait pas à répondre de suite, mon regard se fît plus insistant, je suis trop impatiente ça se voit, il n’a pas remarqué le jeu de séduction que j’ai exécutée 20 minutes plus tôt, ne lui était pas exclusif, pas seulement pour lui, mon envie sexuelle est destinée ce soir à un autre homme, quelqu’un dans la salle, quelqu’un qui m’attire énormément.
Il voit à mes yeux que j’ai un peu trop bus, je le sais, je me lâche et laisse parler mes pulsions sexuelles, comme il m’a demandé depuis toujours, alors ce soir, j’ose. Mon homme s'approche de moi pour me prendre dans ses bras, m’embrasse, langue contre langue, au milieu de la piste de danse. Puis je rapproche ma bouche de son oreille pour y susurrer quelques mots :
« J’ai vu un bel homme à mon goût, je dois t’avouer que je le regarde depuis un moment et je ne sais pas comment l’expliquer mais j’aimerais réaliser mon fantasme ».
Je me remets face à toi et lui dit :
« Je veux que tu me voies, je veux que tu me voies prise par ce mec, j’en ai très envie. Me voir prendre du plaisir avec un autre. Mais je veux surtout que tu me reconquières, que tu me montres que tu es le seul à pouvoir me posséder, le seul que je puisse aimer. »
A ces mots, il ne peut s’empêcher de sourire de désir. Il me fait signe que je peux y aller, mais avant de partir, il m’embrasse. Notre baiser est langoureux et pendant ce temps ma main passe sur son pantalon pour sentir son excitation. En m'écartant, je lui souris l’air satisfaite de ce que j’ai sentie, je pars avec ce sourire coquin en marche arrière vers le beau et grand ténébreux que j’ai remarqué.
Alors que je me retourne pour me diriger vers l’étranger en question, je me rends compte qu’il me regarde toujours, je le fixe un instant, comme une féline le ferait sur sa proie, il est effectivement très beau garçon, et je dois bien avouer que je ressens beaucoup d’attirance pour ce genre d’homme, je suis aussi très excitée. Il est très grand, il a des cheveux en bataille sur le haut et court sur les côtés. Je remarque aussi qu’il est musclé avec des épaules larges, une petite barbe de deux trois jours fait ressortir ces magnifiques yeux verts qui m’attire comme des aimants, en gros il est franchement bien bâti, mon style de mecs.
Je sens le regard sur moi de mon mari, et notamment sur mes fesses qui dirigent mon corps dans une danse sensuelle, avançant vers le bar pour prendre un verre. Je suis tellement sexy ce soir, même super aguicheuse, ma robe est courte, elle épouse magnifiquement bien mes deux belles fesses, un haut décolleté, bien dégagé sur les épaules, le tissus léger colle superbement mes seins et ma finesse, mes cheveux, attachés en queue, laisse voir un petit ras-de-cou noir qui montre bien que je suis très chaude ce soir. Je ne parle que de ce qui est visible mais je sais que mon mari m’a vu mettre dans la salle bain de notre hôtel des sous-vêtements très sexy ce soir. Mon soutien-gorge rouge et le string, l’ensemble de dentelle transparente me va à merveille !
Mon déhanché est hypnotisant, beaucoup d’homme dans ma vie me l’ont dit, beaucoup d’hommes dans la salle me remarque, alors que je m’approche de ce bel étalon, je me retourne une dernière fois, le sourire toujours aussi coquin, les yeux pétillants de désirs me mordant les lèvres, comme pour lui dire, je le veux, je veux cet homme, et je veux que tu le voix, j’aime te rendre jaloux, ça m’excite énormément de savoir que je vais te rendre cocu et je sais que cette excitation est réciproque.
La première fois que je lui ai fait part de mon fantasme, il ne savait pas trop quoi en penser, ça lui paraissait tellement bizarre, il n’a pas posé beaucoup de questions, juste essayé de me tester un peu, voir ce que tout cela voulait vraiment dire et jusqu’où je pouvais aller. Un garçon de salle me plaisait bien au restaurant que nous fréquentons régulièrement, il était mignon physiquement mais pas trop mon genre au niveau de l’attitude, trop sûr de lui. J’ai essayé de faire des petites piques à mon homme pour lui demander un plan à trois, savoir si je pouvais me le taper, etc. Il réagissait bizarrement, il semblait très jaloux mais aussi très excité, il avait beau faire semblant, la graine que je lui avais plantée dans sa tête commençait à germer, il s’est pris au jeu, je le sentais excité à l’idée que je sois avec un autre que lui, et tout cela avança avec son consentement. Ça ne restait que des idées mais elles continuaient tout de même à le déstabiliser, à l’exciter.
Par la suite, je lui ai parlé un peu plus, je lui racontais des histoires, des fantasmes, aussi farfelus soient-ils. Ça lui plaisait de plus en plus il devait bien se l’avouer. Le sujet devenait de plus en plus excitant et « normal » dans sa tête. Nous nous prenions même des envies de nous masturber en lisant des récits érotiques sur le thème du cocufiage. Jusqu’au jour où ... j’eu envie de passer à l’acte, d’aller plus loin. De tester notre amour. Je me sentais très confiante, je savais que s’il pensait à ces choses, tout comme moi, c’est qu’il était sûr de son amour mais aussi du mien, ça ne lui venait pas à l’esprit qu’il aurait pu me perdre. Je me rendais compte à quel point ce fantasme montrait la confiance et l’affection qu’il me porte. Et il est vrai que je me prenais au jeu à regarder de plus en plus d’autres hommes que lui, mon regard changea sur eux, j’aimais sentir leurs désirs sur moi, et je faisais ce qu’il fallait pour, fantasmant sur eux et leurs sexes. Dans les magasins, j'aguiche des hommes, les excite volontairement de mes tenues, parfois de mes postures ou je montre mon entrecuisse, mon string pour les faire bander, baver d’envie… Mon époux restait l’amour de ma vie, je voulais rester avec lui, j’avais énormément d’envie pour lui, mais mes pulsions sexuelles étaient de plus en plus tournées vers cette aventure.
Ce soir, alors que nous étions en Italie, que nous pouvions réaliser ce fantasme sans avoir le risque de se faire voir, ni qu’il nous suive, je décidais de faire le pas. L’alcool avait fait exploser ma libido, tout mon corps brûle de désir, ma fente dégouline de sa liqueur.
Et là, je me sentais petite fille, l’excitation mélangée à de la peur me faisait perdre la tête. Cet étranger avec qui je parlais maintenant, qui me faisait un effet monstre, que j'imaginais déjà en train de glisser sa bite dans mon intimité pour me bafouer, tout ça devant mon mari, j’allais me faire passer une nuit inoubliable. J’avais si chaud, il avait beau m’offrir verre sur verre, l'excitation dans mon bas ventre ne tarissait pas, pire il grandissait, de petites contractions vaginales apparaissaient. Alors que l’on discutait, me racontait son job, j’appris qu’il s’appelait Alessio, je tentais de tourner la tête vers Phil pour voir si tout allait bien pour lui. Je remarquais qu’il n’arrêtait pas de nous fixer discrètement, posé au bar tout, en me faisant de grands sourires. J'ai pris la décision d’aller danser, j'ai pris Alessio par la main et nous nous sommes dirigés vers la piste de danse. Comme je m’y attendais, notre danse fut très chaude, ses grandes mains sur mes hanches, nos visages proches l’un de l’autre, mes bras se glissant rapidement autour de son cou, il sentait bon. Il ne faut pas tellement de temps avant qu’il ne tente une approche. Notre baiser fût explosif, nos langues s'entremêlent pendant de très longues secondes. Que c’était bon, j’aimais sa salive... Je tentais de voir si mon mari nous avait vu, mais je n’arrivais pas à le repérer sur la piste, trop concentrée à embrasser et à enlacer ce bel étalon. Le baiser fini, la danse repris de plus belle, je me retournais pour faire frotter mon bassin contre le sien, je sentais son sexe bien dur contre mes fesses, le devinais très intéressant, j’adorais ça. Je sentais la chaleur monter, je me surpris à placer moi-même l’une de ses mains sur mon corps tout en fixant Phil, collées à mes hanches jusque-là, à mon sein droit. Il m’embrassait dans le coup et dans la nuque tout en me faisant bouger le bassin avec sa main gauche et en malaxant mon sein droit, je n’en pouvais plus, je me sentais troublée et frissonnantes par cet inconnu qui n’arrêtait pas de toucher mon corps. Pendant ce temps, je sentais le regard persistant de mon homme, je lui souris pour lui faire comprendre que je ne l'oublierais pas. Lui aussi avait l’air très excité. C’est à ce moment qu’Alessio changea de place sa main gauche, pour la mettre entre mes cuisses. Ce geste, qui m'aurait pourtant fort énervé auparavant, continuait de m’exciter encore plus, l’alcool devait fort aider, je me sentais un peu bourrée je l’avoue. Il me caressait les jambes et l’intérieure des cuisses pour remonter jusqu’à mon sexe et le caresser à travers mon string très humide, il devenait de plus en plus tactile. J’avais l’impression que plus personne n’existait autour de moi à part mon amant du soir et Phil. Je le pris par la nuque avec ma main gauche pour le tirer à ma bouche, toujours en dansant, sa main droite sur mon sein, la gauche sur mon bas ventre et ma main droite dans mon dos, caressant sa queue. Cela m’a semblé durer peu de temps, mais il passa au moins une heure avant que nous n’arrêtions de danser. Lui et moi retournions au bar, exténués mais aussi chauds comme la braise, je voyais bien que je lui plaisais autant qu’il me plaisait. Après un dernier verre et un nouveau baiser, je montais encore d’un cran. Très stressée mais dirigée par l’excitation qui me faisait perdre la tête, je lui demandais s’il voulait venir prendre un verre dans ma chambre d’hôtel, histoire de discuter ... l’idée était évidemment bien autre et j’en fis part à mon homme, en lui envoyant un petit message par sms :
« Je pense que tu m’as bien vu, j’ai enfin assumé… j’espère que mon côté salope t’a plus mon amour ???? j’aimerais passer aux choses sérieuses, je veux sentir son sexe en moi, tu nous suis chérie? ???? ».
Je ne voulais pas qu’Alessio sache que mon mari était au courant de notre petit jeu. Il m’avait reluqué depuis que j’étais rentrée dans le bar, il savait très bien que j’avais un compagnon et je voulais qu’il croie que je trompais mon mec avec lui, que je faisais la vilaine fille... je lui ai dit que mon mec était allé rejoindre des amis pour la soirée et que nous serions donc tranquilles dans notre chambre d’hôtel (lui dis-je avec un petit sourire coquin et me mordant le coin de la lèvre inférieure). Je voyais bien qu’il n’en pouvait plus, lui aussi me voulait. Il voulait prendre sauvagement cette petite coquine qui « trompait » son mari avec le premier venu, je supposais dans son regard toute les vilaines choses qu’il voulait me faire... et je m’en délectais copieusement, je me réjouissais.
Après avoir fini nos verres nous nous sommes dirigés vers la sortie, je le tirais par la main à travers la foule. Sortant de là j’aperçus Phil de loin, caché de nous, je lui fis un bisou de loin suivi d’un « je t’aime, merci ». Je profitais de sa présence pour me retourner et embrasser de nouveau Alessio, moi, caressant son torse musclé, lui attrapant mes fesses de part en part pour les éloigner l’une de l’autre. Et nous partîmes vers le premier arrêt de bus, toujours en nous tenant par la main. Nous n'arrêtons pas de nous toucher, de nous embrasser, de nous lécher, et j’en passe... tout cela en attendant le bus et pendant le trajet. Et toujours de loin, je voyais mon homme se délecter de la scène, les yeux fixés sur moi, me dévorant du regard. Un regard fou, amoureux et jaloux à la fois, j’adorais le voir dans cet état, ça me donnait encore plus envie.
Je sentais qu’Alessio était fort, ses muscles de torses et ses abdos n'étaient pas super tracés mais je les sentais bien, c’était le cas de le dire... ses mains viriles d’homme m’attrapaient avec tellement de force! Je me sentais comme prise au piège, mais qu’est-ce que j’aimais ça! Arrivés à l’hôtel nous nous sommes mis à aller de plus en plus lentement, je voulais pleinement profiter du moment. Je m’arrêtais souvent pour l’embrasser, le toucher encore et encore... je sentais que je lâchais totalement prise. Cependant Phil me manquait, je ne le voyais plus depuis un moment, je commençais à m’inquiéter. Avait-il fait demi-tour ? S'était-il perdu ? Heureusement je fus soulagée de voir son message me disant qu’il était déjà dans la chambre et qu’il m'attendait dans la salle de bain, il voulait me voir avant le grand pas.
En entrant dans notre chambre je fus surprise par Alessio qui d’un coup me souleva par les fesses pour me coller à lui pour m’embrasser à nouveau et me coucher jusqu’au lit. Rapidement il commença à enlever sa chemise et ses chaussures mais je l'arrêta au moment où il commençait à desserrer sa ceinture. J'ai dû dire à Alessio que je devais me préparer pour lui, qu’il devait attendre bien sagement. Je mets donc de la musique et me dirige vers la salle de bain.
Cela faisait déjà un moment qu’il m'attendait dans la salle de bain de notre chambre. En entrant, je savais qu’il nous regardait de loin, épiant nos moindres faits depuis que je m’étais accrochée à cet homme. Surement très stressé au début, des craintes que je le mette totalement de côté, que je l'oublie, ce n’était clairement pas le cas! J’essayais toujours de voir où il était, de vérifier s’il était toujours bien là et cela me rassurait. Lorsque j’embrassais cet étranger pour la première fois, il me dit avoir eu une vague de sentiments contraires dans sa tête et son cœur, beaucoup de jalousie d’abord il dû bien me l’admettre, un sentiment mêlé avec de l’amour et de l’excitation. Il me voyait m’amuser, sur un petit nuage et il adorait me voir dans cet état. L’Amour prit rapidement le pas sur le reste me disant que j’étais vraiment une femme extraordinaire, que si nous étions capables d’avoir une expérience pareille nous pourrions tout vivre! Il n’arrivait même pas à décrire ce qu’il ressentait certains moments, mais il savait être éperdument amoureux, pressé de reconquérir la femme de sa vie. Celle-là même qui pourtant, à ce moment-là, devant lui, se faisait largement peloter et embrasser par ce qui devait être un beau napolitain. Alors qu’un inconnu faisait bien plus que draguer sa femme, il en tombait encore plus amoureux. La soirée passa, il ne perdait pas une miette de ce qui se passait, toujours les yeux rivés sur moi, sa chérie. Pendant que nous dansions, sur le trajet vers l’hôtel, et enfin dans l’hôtel même, il ne put cependant rester très longtemps, il fallait que je me presse avant qu’il aille se cacher dans notre salle de bain, après avoir lu mes dernières instructions.
Il était donc là, dans la salle de bain, à m’attendre moi, son épouse et mon amant, très stressé, mais aussi terriblement excité, à avoir du mal à tenir en place. A nous entendre rentrer, rigolant, les bruits des baisers humides et goulus. Nous entendre rire, avoir l’impression que j’avais été soulevés, le lit grincer, les draps se froisser et moi, m’amuser dans notre lit conjugal avec ce mâle. Je sais qu’il ne nous entendait pas bien, je parlais parfois doucement à mon amant, comprenant cependant que je voulais me préparer dans la salle de bain. En entrant et après avoir fermé la porte, il se jeta à mon coup, nous nous embrassions comme des fous, pleins de fougues et d’amour, comme aux premiers jours. Mais toujours en essayant de rester silencieux. Il me dit en murmurant qu’il m’aimait à la folie, je lui remerciais de me permettre de vivre une telle expérience, que j’étais l’amour de sa vie, que j’en avais tellement envie… Un désir fou de cette bite qui m’attendait sur notre lit! Tout cela en s’embrassant. Je jubilais, notre amour était exceptionnel. Je commençais à me déshabiller, ne laissant que mes sous-vêtements sexy. Je le fixais, enleva sa ceinture, j’abaissais son pantalon pour faire sortir son sexe en érection. Je l’attrapais avec force, le décalottais, il dégoulinait d’excitation, les perles affluaient de son méat en permanence, je glissais un doigt sur son champignon pour en recueillir un maximum et lui porta à ses lèvres qu’il lécha avidement, je commençai à le masturber. Je lui lançais avec un petit sourire malicieux :
« Tu as été bien sage mon amour, tu mérites largement une petite récompense ! »
Je m’amusais avec lui, tous en continuant de l’embrasser avant de lui dire :
« Regarde bien ta femme mon amour, je veux que tu me regarde, je veux que tu vois comment elle va prendre son pied, elle va te faire sentir comme sa chatte a besoin de cette queue, je veux que tu me voies prendre mon pied avec lui, je vais dans quelques minutes te faire cocu mon amour, il va me baisé comme une chienne, quand il en aura fini avec moi, que je serais souillé de sa salive, de son jus, je veux que tu viennes me prendre à ton tour, que tu te serve de son sperme, ne me demande pas mon avis, prend moi fort pour me reconquérir! ».
A ces mots, le masturbait très fort, lui claquait le gland comme on gifle un enfant, je me tournais, en lui disant que je l’aimais et laissais entre-ouverte la porte.
Il me dit plus tard n’avoir pas su trop quoi faire, trop excité, cette envie de jouir… une invitation à venir nous voir? L’homme n’avait pas l’air au courant, il réfléchissait difficilement, il nous entendait de nouveau nous embrasser passionnément, humidement. Il ouvrit légèrement la porte pour voir ce qu’il se passait. Discrètement, il sortit la tête pour voir que j’étais était en train d’enlever son pantalon alors qu’Alessio était couché sur le dos posé sur le lit, je pris son sous-vêtement formé d’une bosse éloquente, et de chaque côté, je le lui retirait pour dégager son membre tendu qui jaillit, mère nature lui avait fait cadeau d’un incroyable canon entre les jambes, elle était longue,mais surtout très large, parfaitement raide, le gland à moitié décalotté était proéminent, un gros champignon gonflée à bloc, luisant et baveux, comme je les aimes, je caressais son gland couvert de sa liqueur, Phil était dans le dos de l’homme, il ne pouvait pas le voir. Encore une fois, je lui souris discrètement, je portais le doigt couvert du liquide séminal pour le gouter, provocante, je sublimais mon visage du délice découvert, mon homme semblait affolé, j’empoignais cette tige pour le masturber avant de descendre ma tête dessus, je léchais soigneusement le gland violacé en massant ces couilles chargées de semence, j’adorais vraiment la senteur de ses liquides, sa queue elle était délicieusement divine, pour parfaire, il coulait abondamment par vague successives, je montrais à Phil ma langue gluante, jouais avec les coulures filandreuse qui me rattachait à son phallus, je le stimulais comme pour lui dire : tu vois comme les hommes me désir si je décide… j’avalais d’un air gourmand, je me voulais salope, dégustant le nectar précieux à mon palais, ça m’excitait comme jamais auparavant, je m’imaginais déjà enficher par ce magnifique pieu, son gland pénétrait mes lèvres, glissait sur ma langue, je le pompais avec application, le léchant soigneusement sur tous son long, titillait son frein, mon amant râlait quand j’ai entrepris de tourner ma langue autour de la grosseur violacé, je prenais un plaisir fou à le sucer, je le dégustais comme une glace succulente, Alessio posa sa main sur ma tête pour me guider, je devenais petit à petit ce que les hommes appellent, une putain, et franchement, j’aimais ça.
Mon amant se releva, il me mit couchée sur le dos face à lui, tout en le fixant d’un regard provoquant, il se mit à genoux face à mes jambes écartées, sa stature m’excitait énormément, il m’agrippait de sa force par les cuisses pour me tirer vers lui.
J’étais toute rouge, j’avais très chaud. Je voyais la tête de mon voyeur dépasser légèrement du mur pour me voir, et moi j’étais sur le lit, couchée sur le dos avec les jambes écartées, mon amant s’avançant lentement entre elles. J’étais sur le point de laisser un autre homme que le mien poser sa langue entre mes cuisses, sa bouche allait goutter mon intimité, ses lèvres allaient aspirer mon clitoris, sa langue allait s’insinuer dans ma fente pour me boire… frémissante de plaisir, j’étais impatiente...
Le premier coup de langue me fit l’effet d’un choc, sentir une nouvelle bouche faire toujours un effet particulier. Rapidement ses lèvres se posèrent pour me manger goulûment. Ses coups de langue se faisaient de plus en plus fermes et rapides, me plongeant rapidement dans l’extase. Je sentis alors deux doigts me caresser d’abord, puis se glisser en moi. Les coups de langue combinés aux aller-retours de ses deux gros doigts allaient rapidement me faire jouir, je balançais mon visage en arrière en me cabrant puis en avant pour me saisir de la tête d’Alessio pour la presser contre moi, mon regard plein de luxure fixait mon époux, des gémissement sourd sortaient de ma bouche quand son doigt joua avec mon Urètre, l’érotisme qui se dégageait de cette scène était total, je giclais de plusieurs jets, l’orgasme dura profondément dans mon fondement, mon amant se délectant à ma fontaine pleines de contractions répétitives.
Cette séance finie, je fus tirée vers lui avec force. C’est là qu’allait commencer les choses sérieuses. J’étais toute ouverte à lui, il passa son corps entre mes jambes pour se mettre au-dessus de moi et m’embrasser tout en collant son torse contre mes seins. Je sentis alors la chaleur de son gland sur les lèvres de ma chatte, il se pressait contre moi, nous étions arrivés à l’instant fatidique, ce fantasme qui m'avait tant tiraillé, humide dans mon sommeil comme éveillée, j'allais cocufier mon homme, j’avais un tel désir que lorsque j’ai senti son membre viril s’engouffrer, j’exhalais, je hululais, je sentais chaque centimètres de sa virilité qui m’élargissait les parois et les lèvres, j’avais l’impression qu’il déplaçait mes entrailles pour trouver sa place, il poussait et je commençais aussi progressivement à le tirer vers moi en tirant ses hanches jusqu’à l’avoir tous en moi. J’étais fière d’avoir été capable de tous l’engloutir mais au moment où je me pensais victorieuse ... je jouissais, alors qu’il entamait son va et vient, j’essayais de résister aux vagues violentes de plaisir qui m’envahissait, je le sentais si raide, s’agiter en moi, si dure, sans retenue. Il donnait tout, tout de suite. Il baisait de toutes ses forces la femelle d’un autre.... Je m’accrochais à la tête de lit tellement c’était bon. Je sentais ma grotte, mes fesses onduler sous l’effet de ses puissants coups de rein. Il était si grand qu’en se retirant je sentais que mes entrailles étaient fortement aspirés. Mon amant était conscient de ces atouts, il savait vraiment utiliser son engin, lorsqu’il se retirait, il attendait que je m’impatiente, je sentais effectivement le vide total, je voulais que cette queue reprenne sa place en moi, qu’elle revienne me fourrer la chatte, je commençais à gémir, à lui demander « vas -y, Alessio met la en moi, vas-y Alessio baises-moi! Encore...plus fort! »
Mon mari était subjugué, je l’apercevais furtivement son regard tout excité par la scène. Le gland repoussait toujours plus haut la paroi de mon vagin, j’étais sur le fil du rasoir a bien sentir le plaisir monter d’un cran supplémentaire à chaque fois que le monstre m’enfourchais. Je me tortillais de droite à gauche en réalisent que l’attribut réalisait intérieurement un massage, il me défonçait la chatte, me faisait sentir ce que je n’avais rêvé de vivre. J’étais embrochée par lui, j’ai cru que j’allais défaillir ce fut l’apothéose, mes cris de plaisir avaient l’air d’avoir de l’effet à mes deux compagnons, mon bel étalon Italien me prenait de plus en plus fort à chaque souffle de plaisir et mon cocu de mari allait de plus en plus vite avec Madame cinq doigts sur sa bite que je devinais certainement endoloris de trop de plaisir. Mes mains étaient accrochées à lui, un derrière l’attirait de haut pour qu’il vienne prendre ma bouche, l’autre ne pouvait s’empêcher d’agripper ses belles fesses, musclées.
Cela m’excitait d’être désirée par deux hommes en même temps, de les rendre fous de désir pour moi. Alors que le rythme commençait à redescendre légèrement je pus reprendre un peu les esprits et je pris alors la décision de dire à Alessio que mon mec voulait venir nous voir. Je lui susurre à l’oreille, passant des petits coups de langue sur le lobe, le mordillant un peu au passage, qu’il donne tout devant lui. Mon amant ne fut pas aussi surpris que je l’aurais cru. Ça avait même l’air de lui plaire au coquin !
J'appelais Phil pour qu’il puisse s'asseoir en face de moi. Je me mis alors face à lui, à quatre pattes, les fesses relevées vers mon bel inconnu. Ses grandes mains de nouveau s’accrochaient à moi. Caressant d’abord mes épaules, descendant le long de mon dos, attrapant mes hanches, caressant mes fesses, les embrassant au passage. Il continua ses baisers le long de mon corps, remontant dans l’autre sens cette fois. Il calina mes seins en embrassant ma nuque, il atterrit enfin à ma bouche, nous partagions nos salives mélangées avec délectations. Je sentais son sexe se frotter contre ma croupe pendant qu’il me dirigeait vers sa langue. Il se retira alors pour mieux se positionner. Je ressentais tout de même un peu de gêne à voir mon homme juste en face de moi, que devait-il penser? Je fus rassurée encore une fois de voir que mon homme était loin d’être gêné. Il se touchait lentement le bout du gland en me regardant. Nos regards croisés voulaient d’eux même dire : on s’aimait, mais au même moment pourtant un « je t’aime » sorti à l’unisson. Un sourire s'ensuivit entre lui et moi, il se leva pour venir m’embrasser, pleine de liqueur salivaire, il m’embrassait à pleine bouche avant de retourner s’asseoir sur la chaise en face du lit.
C’est là que je ressentis de nouveau mon entrée s’ouvrir lentement, mon vagin s'écartant, accueillant une nouvelle fois la belle verge d’Alessio. Ses mains posées sur mes fesses les attrapèrent plus fermement pour accélérer ses coups de rein. Je sentais son corps claquer contre le mien. Je voyais Phil accélérer le mouvement sur sa queue dégoulinante, je le vis en récolter un peu pour le porter à sa bouche, ce geste m'électrise, depuis plusieurs mois, c’est moi qui lui faisait goûter à sa queue, parfois même à sa crème, cette pensée m’excitait, je n’arrivais pas à me contrôler, mon visage rouge vif prenait la forme du plaisir charnel bien consommé. J’essayais de lui demander de venir près de moi, il comprit rapidement et s’exécuta pour venir m’embrasser de nouveau, très longtemps. J’avais la tête secouée, les fesses pressées à chaque aller. Mon corps lâchait prise et je m’écroulais une nouvelle fois toute frémissante de tant de plaisir, j’étais couchée sur le ventre et toujours prise par Alessio. Phil se baissa pour m’embrasser encore. J’eu un sentiment différent alors pendant de longues secondes l’onde de choc arriva une nouvelle fois, je joui criant avec une intensité dingue. Tout mon corps était endolori par l’extase. Je sentis que mon amant aussi, s’était retiré et lançait des petits râles de plaisir, il était en train de se vider charnellement en m’arrosant l’anus de ses jets de sperme brûlants, le jus coulait entre mes lèvres, s'insinuer dans ma chatte orpheline, je me tournais pour attraper sa queue et la porter à ma bouche, je pompais délicatement, j’avais trop envie de ça, déguster sa sève, à un peu de sa crème épaisse et onctueuse. Puis il se coucha de nouveau sur moi pour m’embrasser une dernière fois. Je le remercie, il se rhabille pour partir rapidement. Je ne le verrais plus jamais.
Mon mari vînt se coucher près de moi pour caresser mon corps endoloris. Il me massa de longues minutes pour détendre mon corps. Je me sentais tellement bien, heureuse d’être seule avec l’amour de ma vie, je glissais ma main plusieurs fois pour ramener le nectar à ma bouche, avoir le souvenir de cet homme qui m’avait si bien possédé. Mon mari m’embrassait partout sur le corps et me disant combien il m’aimait et que j’étais là plus belle femme du monde, le sperme d’Alessio se mélangeait dans nos bouches. J’étais dans un état second, profitant un maximum de cette situation. Je me sentais amoureuse mais aussi désirée. J’avais l’impression d’être là femme la plus heureuse du monde tant je me sentais bien. Je me suis retourné pour enlacer mon homme. Nos câlins durèrent longtemps avant que je ne me pose sur lui. Je me reposais sur son torse.
Mais la nuit n’était pas finie. Je lui dis de me reconquérir maintenant, je ne voulais pas attendre. Il me plaqua alors sur le dos du lit, m'attrapant par les poignets. Il m’embrassa tout en se déshabillant. Il me reprit les poignets fermement avant de me faire l’amour comme un fou. Embrassant chaque partie de mon corps qu’il pouvait pendant qu’il me prenait. Les mots d’amour fusaient à coup de « je t’aime … de salope… bouche à sperme… » ...
S’en était trop, je fus surprise par mon regain de force. Je fîs en sorte de me mettre au-dessus de lui pour continuer nos ébats. Les mains posées sur le torse je continuais ce qu’il avait commencé, cette fois c’était moi qui le chevauchais. Ses mains attrapèrent mes fesses, changeant de place pour faire un tour par mes hanches et mes seins. Je le vis et sentis se crisper, il avait l’air au bord de la jouissance. Je sentis alors un flot de se déverser en moi et ces mains s’accrocher de plus en plus fort à moi. Ses râles me firent l’effet d’une bombe et je sentis moi aussi un orgasme encore plus fulgurant que les autres.
Fatiguée je m’écroulais dans ses bras. Tous les deux liés, lui toujours en moi, couchée sur son ventre je n’en pouvais plus de bonheur. L’amour pouvait donc bien se manifester de manière bien différente. Phil et moi avions trouvé une manière particulière. J’aimais, j’adorais ça. Tout doucement je m’endormis contre lui, lovée dans ses bras, fatiguée et bienheureuse d’un bonheur assez particulier qui ne saurait s’expliquer.