- 05 févr. 2021, 10:30
#2499252
Je dois vous dire que nous sommes un couple très amoureux, sans tabous l’un pour l’autre, assez ouvert sexuellement et coquin. Doris est très belle, très sensuelle, un peu provocatrice, je dirais même un peu allumeuse. Depuis que nous sommes ensemble, j’ai réveillé et éveillé ma jolie femme à certains jeux érotiques, à certains fantasmes. J’ai été le premier surpris de constater à quel point elle adorait cette sensation de séduction et de plaisir. Avoir son homme et prendre du plaisir à se voir courtisée par un autre et en ressentir du plaisir, moi aussi mais j’ai le besoin d’être fou amoureux pour céder à certaines pratique.
Cet été nous sommes partis ma femme Doris et moi Phil, tous deux la cinquantaine passer quelques jours chez une amie à Aix en Provence. Nous avions rien de prévu et nous l’avons eu au téléphone, elle nous a proposé de venir la voir. Aline est divorcée et vit dans une grande maison dans la banlieue d’Aix avec son père veuf à la retraite. Aline vit à l’étage et son père occupe le bas. Nous sommes arrivé dans l’après midi sous un soleil radieux.
Nous avons été accueilli par Aline ravie de nous revoir après si longtemps, puis elle nous a présenté à son père. Un homme torse nu, très grand environ 1m90 et costaud style rugbyman d’une centaine de kilos complètement chauve, d’origine espagnole. Il était magnifique, ventre plat, pectoraux saillants, regard lubrique et sourire en coin, un appel à la luxure pour son âge, il me sert la main énergiquement puis il prît dans ses bras ma femme en lui faisant mille compliments plus ou moins salaces, embrassa ma femme sur les deux joues très proches de sa bouche. Nous nous installons sur la terrasse pour nous rafraîchir, après la route.
Je vois le regard insistant de José (le père) sur ma femme. Je ne vous ai pas présenté ma femme, Doris est une très belle femme, blonde 1m62 pour 47kg, ses seins font du 90b, fermes, ils sont magnifiques, sa chatte aux lèvres fine de rose est sublime. Ce jour elle portait une robe à mi cuisses avec de fines bretelles sans soutien gorge.
Nous restons à discuter et nous rafraîchir un long moment, puis Aline nous propose de déposer nos affaires et d’aller faire un tour à Aix avant le dîner. Pendant cette promenade ma femme, Aline et moi, José était resté préparer le barbecue pour le soir, ma femme disait à Aline que son père était charmant, elle posait beaucoup de questions sur lui.
A un moment Aline lui dit en rigolant:
- "Attention c’est un homme à femmes, si il décide de te sauter... de te baiser, il va y arriver et tu vas devenir accroc en plus..."
Doris semblait gênée.... troublée.
La conversation a ensuite changée.
Nous sommes rentré et nous nous sommes douchés avant de descendre retrouver José pour l’apéritif avant le barbecue. J’étais dans la chambre attendant ma femme en lisant quand elle est sortie de la salle de bain, elle avait enfilé une robe blanche décolleté assez courte sur un string minimaliste, on le devinait aisément du tissu blanc en transparence.
En souriant je lui ai dit que José allait nous faire une attaque.
Nous sommes descendu rejoindre Aline et son père. José a sorti une bouteille de champagne en disant à ma femme :
- " Tu est très ravissante Doris dans cette tenue.. Aline m’a dit que tu aimais le champagne..."
Puis se tournant vers moi il m’a dit :
-”toi c’est le whisky... "
Comme je savais qu’Aline n’aime pas le champagne, je me suis dit qu’ils allaient la boire à deux, Doris ne tient pas trop l’alcool, surtout par cette chaleur.
Effectivement la bouteille fût bu à eux deux, au repas mon épouse était un peu pompette et rigolait beaucoup aux blagues un peu graveleuses de José. J’avais pas mal bu aussi et j’étais fatigué par la route.
A une heure du matin Aline proposa d’aller nous coucher, je me suis rapidement parti me couché rejoins par ma belle quelques minutes après, j’ai juste vu furtivement avant de m’engager dans le couloir qu’elle avait été prise dans les bras de José pour lui souhaiter une bonne nuit.
Dans notre lit, j’ai serré ma femme dans mes bras, je lui ai chuchoté:
-“ Chérie... tu du désir pour José... n’est-ce pas?"
Elle a mis un long temps pour me répondre et curieusement, j’ai senti ma bite se durcir au fur et a mesure de son silence. Elle-même s’en ai rendu compte, elle l’as saisie en coulissant ces doigts sur mon prépuce, elle c’est lovée amoureusement encore plus contre moi, les yeux levés vers moi, elle a chuchotée:
-"Je crois que oui chérie.... "
Puis elle a précisée:
-"Avant qu’il ne me prenne dans ses bras... je n’y avais pas songé....j’étais simplement bien avec lui, j’admirais sa manière d’être, son physique latino...mais quand il m’a serrée, j’ai eu l’impression que la terre tournait plus vite, mon cœur c’est emballé... j’avais envie que ces mains parcours fiévreusement mon corps qui m’embrasaient, ma fente c’est mise à lubrifiée instantanément. Pendant un instant j’ai céder à ces caresses... sa main a glisser entre mes cuisses, je n’ai rien pu faire"...
-"Tu as senti sa queue contre toi?"
Elle a murmurée:
-"Oui... il bandait... il est gros... très massive... c’est un homme virile..."
-"Il a glissé sa main entre tes cuisses?"
-"Il a touché mon string...caressé mes lèvres...".
-"Et tu mouillais?"
-"J’étais trempée... déjà pour l’apéritif... ses doigts... ma chatte était gonflée de plaisir...brûlante... gluante de mouille... comme jamais chérie... mon clitoris excité ondulait sous ces caresses..... je suis désolée... tu est fâché mon amour?"
Jamais mon sexe n’avait été aussi gros entre ces doigts, je coulais...
-"Je t’aime Doris... tu sais que nous devons tous nous dire..."
Nos bouches se sont mêlées dans un baiser passionné, puis, elle c’est reprise:
-“Je suis furieuse de lui et de moi-même".
Doris ne voulait pas faire l’amour, je l’ai sentie perturbée, mais elle m’a fait giclé tous doucement, ensuite je me suis endormi comme une masse, mon ventre encore souillé de ma propre semence, sa main sur mes couilles.
Je me suis reveillé dans la nuit avec la soif, je cherchais à côté, la place était vide, elle devait aussi avoir eu soif, j’enfilais un short et me dirigeais sans bruit vers la cuisine, mais elle était vide.
Je bu deux verres d’eau et sortît sur la terrasse, mais la non plus je n’y trouvais pas ma femme. Je descendais vers la terrasse de José, ma femme n’y était pas mais je vis de la lumière chez José, il ne dormait pas, la porte était ouverte, j’entrais...
Je voyais que la lumière venait du fond du couloir de la chambre de José, je traversais le salon et sur le sol, un peignoir de satin doré qui appartenait à ma femme était abandonné là. Un pincement dans mon ventre, je continuais d’avancer pied nu vers cette lumière, la porte était entrouverte.
Je m’approchais doucement la boule au ventre dans le noir sans faire de bruit. Quand je fus prêt de la porte, je vis José nu allongé sur son lit et ma femme, nue elle aussi, gémissante, déjà empalée sur José, ses mains posées et caressantes sa poitrine poilue. Il la regardait de ces yeux perçants en lui tenant les seins à pleine mains.
Je restais là sans rien faire à regarder ma femme monter et descendre sur la longue bite de José, malgré le peu que je voyais, je me rendais bien compte que José avait une queue disproportionnée. Ma femme râlait de plaisir, elle couinait de s’empaler sur lui.
Elle se pencha sur lui, sa bouche se posa sur la sienne, ils s’embrassèrent à pleine bouches en faisant des bruits mouillés, les langues sortaient impatientes. Je ne comprenais pas, j’étais excité, ma bite palpitait dans mon short, je la frottais à travers le tissu.
Les mains de José sont allés sur les fesses de ma compagne, il lui les claqua, elle gémit plus fort en disant :
- " Oui haaaaaa... c’esssst booooonnnn José..."
Quelle salope.... Elle se tapait un mec qui aurait l’âge d’être son père.
José donna des coups de reins pour percuter l’utérus de ma femme.
J’ai entendu José dire :
-"Mets toi à 4 pattes Doris... je veux te baiser en levrette comme une chienne."
J’ai vu ma femme se dés-empalée vite fait sur cette ordre, et j’ai pu voir un peu mieux la bite de José, longue, épaisse, beaucoup plus que la mienne, un gros gland prédominant.
Elle s’est mise à 4 pattes et il s’est agenouillé derrière elle, elle a guidé elle-même le gland dans sa fente grande ouverte, luisante de sa brillance, il la prise par les hanches pour l’empaler à nouveau. Un envie d’une puissance inouïe s’empara de moi, j’ai baissé mon short et je me suis masturbé devant ce spectacle. Il se déchaînait dans sa chatte ballotter par les coups de reins de José.
Il lui disait :
- "Ha t’es bonne Doris... j’aime ta chatte... tu mouilles comme une cochonne, t’avais envie que je te baise"...
Et elle de lui dire :
- " Hooooo.. oouuuuuuiii Joséeee .... Aaaaaarrrrggg... j’aime ta queue... baise moi... fort... Hhhooooouuuuuiiiiiiiiiiiiiiii!!!.... J’ai eu envie de toi dès que je t’ai vu, vas y encore... je suis ta salope ce soiraaaaaahhhrrrrrgggg... donnes moi tooooouuuu..."
-“Haaaaaaa oui Doris, t’es une salope.... ton mari dort au dessus et tu te fais baiser comme une pute par moi, je vais tout te mettre mon foutre dans ta chatte de salope, je vais arroser ta matrice de ma crème pour t’engrosser... Tu vas voir comme je produit beaucoup ma semence.... Tu vas te régaler!!!“
Oh le salaud, mais je me branlais encore plus fort en le regardant la défoncer à un rythme soutenu, elle râlait, criait, elle allait jouir une nouvelle fois, puis d’un coup il s’est bloqué au fond de sa chatte en disant :
- "Aaaaahh.. oui tiens salope... prend tout mon foutre...”
Le sperme blanc débordait de trop plein de leurs sexes, la crème entachait l’intérieur des cuisses de mon épouse. Ils ont jouit ensemble et moi aussi sur le carrelage à mes pieds. J’ai été obligé de déguerpir rapidement car ils se dégageaient et je ne voulais pas être surpris. Je suis remonté me coucher, un quart d’heure après ma femme rentrait dans la chambre sans faire de bruit, je faisait semblant de dormir, elle s’est couchée, au bout de quelques secondes je l’ai prise dans mes bras, je l’ai caressé, elle c’est alors retournée, nous nous sommes regardées... elle était embarrassée, je lui ai posé ma main sur le visage pour lui caresser.... passionnément... ma main a glisser sur son corps... elle m’a ouvert ces cuisses, l’air désolée... ces lèvres étaient brûlantes, mouillées, collantes, la crème de José était bien présente, je bandais, je coulais... Il s’exhalait de tout son corps une odeur troublante de sueur d’amour et de sexe, de sperme, de mouille, un cocktail affolant qui m’enivrait, m’affolait et me donnait l’envie brusque de la prendre ainsi dans ses souillures. J’en ai profité pour glisser un doigt entre les lèvres de sa chatte. Elles étaient poisseuses.
-“Je suis désolée mon amour... j’ai craquée... Maintenant je peux te le dire... j’avais trop envie de lui... de sa queue... j’avais une envie folle de sa bouche... de ses bras, sa peau sa…. bite.. j’ose le dire... délicieuse... elle me fait tellement de bien chérie...je t’aime tu le sais..."
Après quelques caresses romantiques, elle s’est plainte amoureusement:
- " Laisse-moi mon amour... s’il te plaît...je suis vannée, j’ai besoin de dormir."
Elle m’a embrassée, elle s’est glissée sous les draps et en un clin d’œil s’est endormie. J’étais profondément déçu... Je me suis senti vexé et jaloux mais curieusement heureux à la pensée d’un énorme chibre avait coulé dans sa chatte.
Il ne me restait plus que le loisir de la contempler dans son sommeil. Je remarquais ses traits tirés, combien de fois lui avait-il fait l’amour? J’ai profité de sa torpeur pour la humer dans ses recoins les plus intimes, j’ai écarté ses fesses et j’ai constaté à l’état de sa rosette irritée, encore des traces crémeuse, elle c’était même pas lavée.... Il avait su l’honorer par cette voie là aussi. Bon sang comme elle était belle ainsi souillée! Je me suis collé contre son corps, j’ai glissé ma queue tendue contre ses fesses. Elles étaient brûlantes, elle a geint un peu dans son sommeil mais j’ai vite atteins l’entrée humide de son vagin. Quel bonheur que de ressentir du bout du sexe la chaude moiteur du sexe de sa femme chérie! Surtout quel piment que d’imaginer que quelques instants auparavant un autre chibre s’est aussi infiltré de la même manière dans cet antre de plaisir! Hélas dans l’état d’excitation où je me trouvais j’ai vite éjaculé surajoutant par la même mon sperme à celui de mon rival ! Je me retrouvais bête et déçu puis sevré de sommeil comme je l’étais j’ai vite sombré dans le néant tout contre elle.
De la savoir désirée par un autre que moi, te rendait plus précieuse, et c’est à ce moment je crois que nos jeux pervers sont nés.
Le lendemain je me suis réveillé avant elle, je me suis levé pour rejoindre Aline dans la cuisine, Doris s’est levée une demi heure plus tard. Aline nous a demandé si nous avions bien dormi car elle avait entendu quelqu’un se lever, j’ai alors dit :
- "Non j’ai dormi d’une traite."
Doris dit :
-“Si c’est moi, j’avais soif et j’ai pris l’air..."
Puis José est arrivé alors que ma femme était partie au toilette, comme si de rien était embrassant ma femme sur les joues, me serrant la main. J’ai eu l’impression de rougir en le revoyant baiser ma femme. A son retour, Aline a proposé à Doris d’aller faire les boutiques à Aix et José m’a proposé d’aller faire un tour dans les alentour à pieds.
Un quart d’heure après nous voila marchant tout les deux dans les chemins et sous bois, je ne faisait que penser à leur partie de baise de la nuit, j’en oubliais parfois de lui répondre. Il me dit :
- " Ça va Phil, t’as pas l’air dans ton assiette."
Je lui répondais :
- "Si-si ça va j’apprécie la vue de cette nature."
- "Et, ce que tu as vu cette nuit tu as apprécié ?"
- " hein... heu... de quoi tu parles ?" dis je en me sentant rougir.
- "Quand je baisais ta femme tu as aimé regarder?... sans doute que oui vu le foutre que tu as giclé sur mon carrelage."
Il rigolait je ne savais plus ou me mettre.
- "Elle est trop bonne ta femme, tu sais j’ai aimé la sauter comme elle a aimé goutter à ma bite et à mon jus... tu sais quoi... j’ai trop envie de recommencer, ça te dérange pas au moins?"
J’étais comme un con là ne sachant quoi lui répondre...Il continuait :
-“Tu as vu elle aimait ça? elle aimerait bien recommencer, elle me l’a dit ce matin après m’avoir embrassée comme folle quand elle t’a laissée pour les WC.”
J’étais perdu avec ce mec qui me parlait de ma femme qu’il avait sauté et qui voulait recommencer.
-”C’est vrai que c’est une chaudasse ta chérie, elle c’est assise sur le trône pour pisser, elle a voulu me sucer la bite toute collante de sécrétion...”
Je me suis souvenu qu’à son retour des toilettes, avant qu’Aline parle, Doris m’avait embrassée en glissant sa langue dans ma bouche...
- "C’est vrai que tu as une plus petite queue que moi... c’est ce que ton épouse m’a dit."
Putain j’étais humilié, mais il n’y a pas de comparaison entre la sienne et la mienne. Devant moi José baissa son short et exhiba sa queue pourtant à demi molle, mais large et longue.
- " Fais voir qu’on compare..."
- " Ça va pas! t’es fou!"
- " Allez fais voir..."
Je sais pas pourquoi mais je baissais mon short pour lui montrer ma bite bandée par les révélations qu’il venait de me faire.
- "Ah oui elle est plus petite... ça t’excite d’être cocu... c’est bien que tu le prenne comme ça!”
Ce salaud me la prend en main, prend mes couilles avec et il les malaxes, les presses... il me fait mal.
- "Alors Phil tu me laisseras baiser encore cette chienne?"
Je ne répond pas de suite...
- "Oui-oui, tu la baiseras quand tu veux mais arrête tu me fais mal."
Il lâche ma bite pour prendre ma main et la poser sur sa bite qui s’est raidi, il l’entoure avec mes doigts et fait des mouvements de va et viens.
- "Branle-moi Philippe, caresse la bite qui va honorer les orifices de ta femme."
Docilement je me suis mis à branler José, sa bite grossissait dans ma main. Il a appuyé sur mes épaules pour me faire agenouiller devant lui puis il a prit sa bite pour la frotter sur mes lèvres.
- "Suce moi, j’ai envie de ta bouche."
Il me l’a enfoncé, je me suis mis à le sucer j’en avais envie malgré moi, je lui malaxais les couilles, en quelques minutes, il jouissait dans ma bouche en râlant et j’avalais une partie par obligation et recrachait au sol ce que je pouvais en toussant.
- "Putain tu suces bien mec..."
dit il en remontant son short.
En rentrant il m’a dit :
- "Ce soir tu fais comme si t’étais bourré et tu vas te coucher tôt".
Le soir après l’apéro et le repas, j’ai dit que j’étais fatigué et que j’allais dormir. Aline a dit qu’elle n’allait pas tarder non plus, bien sur ni Doris, ni José n’ont dit qu’ils étaient fatigué. J’étais dans mon lit quelques minutes après j’ai entendu Aline aller se coucher.J’ai vaguement senti ma femme venir se coucher que trois heures plus tard sans faire de bruit pour ne pas me réveiller, à coté de moi je sentais son corps chaud, elle sentait une nouvelle fois, la sueur et le sperme...
La salope, en l’attendant je m’étais branlé deux fois, en l’imaginant avec lui.
Il nous restait un jour ici avant de repartir, car Aline devait partir pour une exposition. Je me suis levé tôt le lendemain je suis sorti sur la terrasse, en bas il y avait José qui buvait son café, il m’a dit de venir le boire avec lui, je suis descendu.
Il m’a demandé si j’avais bien dormi et pourquoi je n’étais pas venu le voir baiser ma femme, il avait laissé la porte ouverte exprès, il m’a demandé si je m’étais branlé en attendant, je lui ai dit oui. Il rigolait en demandant:
-“Ça te plait d’être cocu? ça t’excite on dirait si tu ne dis rien et que tu te branles en attendant."
J’étais honteux, sous la douche je repensais à tout ça, je me suis encore branlé et j’ai jouis rapidement.
Quand je suis sorti, ma femme et Aline étaient levées et prenaient leur déjeuner avec José. J’ai attendu un long moment avant de les rejoindre. Le midi à table José nous a proposé de rester en vacances là, même si Aline n’était pas là, que nous avions rien de prévu d’autre et qu’il y avait de la place. Aline a surenchérit, que c’était une bonne idée, qu’elle nous laissait sa maison.
J’ai dit qu’on ne voulait pas déranger, deux jours c’était déjà bien, mais Doris et Aline ont dit que si, il fallait qu’on reste.
José me regardait avec un petit sourire vicieux. Je n’ai pu qu’accepter. Cet après midi là, José est parti voir des copains à lui, le soir il a appelé sa fille pour dire qu’il ne dînerait pas avec nous et rentrerait tard dans la nuit, qu’il embrassait sa fille et qu’il prendrait soin de nous pendant son absence.
Quand Aline nous a dit ça, mon épouse a eu l’air contrariée, dès la fin du repas, elle est allé se coucher disant qu’elle était fatigué. Quand je suis allé la rejoindre, elle dormait ou faisait semblant.
Le lendemain je me suis levé en entendant Aline sortir de sa chambre, Doris n’avait pas bougée. Nous avons déjeuner tout les deux, la voiture de José était là.
Aline m’a dit :
-“Phil fais attention à ta femme, j’ai compris que mon père lui tournait autour et tu sais, avec lui ça ne le gênera pas de s’occuper d’elle, même si tu es là."
J’ai rougis en baissant la tête. Elle m’a dit :
-“Non il l’a déjà fait?"
je ne répondais rien. Et elle de continuer:
- "Le salaud, il peut pas s’empêcher dès qu’il voit une femme qui lui plaît, tu es sûr de vouloir quand même rester?"
Je lui ai dit :
- "Oui... on va rester, Doris en a très envie...”
Elle m’a regardé en souriant.
- "Comme tu veux, si ça te plaît que ta femme sois fourrée avec la bite de mon père. c’est toi qui voit, mais sache que si c’est déjà fait, il ne va pas se gêner avec elle, même devant toi et tu ne pourras rien dire, car il risque de se fâcher. En tous cas, de ce que je sais des Maîtresses de mon père, elle va se régaler....bon je vais être en retard il faut que j’y aille, tu peux porter mon sac à ma voiture?"
Je me suis levé j’ai pris son sac et l’ai suivi à sa voiture en bas de la maison. Elle a ouvert le coffre pour que j’y dépose son sac. Elle s’est approche de moi pour me dire au revoir, puis elle m’a enlacé en posant ses lèvres sur les miennes enfonçant sa langue dans ma bouche. J’étais surpris mais je la laissais faire.
-“Tu vas être un grand cocu Phil, son intimité va être élargie, tu vas rien ressentir quand tu la pénétrera après, mais j’ai l’impression que ça te plaît, amusez vous bien en mon absence, quand j’aurai le temps je t’appellerai, tu me raconteras..."
En disant cela, elle me caressait la braguette, mon érection.
Puis elle est montée dans sa voiture et est partie, me laissant comme un con. Quand je suis remonté sur la terrasse José était là.
- " Alors ça y’est Aline est partie? et ta salope est ou?"
- "Oui José Aline vient de partir et Doris est encore couchée."
- "Bon ben toi tu restes là, je vais aller la réveiller, attend un peu, je laisserai la porte ouverte."
...me dit il en souriant.
Je me suis assis à la table alors que José montait à l’étage. J’ai bu un café en attendant, puis je me suis levé pour aller voir ce qu’il se passait à l’étage, effectivement il avait laissé la porte ouverte, je me suis approche, José était allongé nu sur le lit, elle aussi, elle le suçait.
- "Hum elle est bonne ta bouche.... qu’elle bouche... j’adore ta langue ma pute... vas y suce moi.. tu l’aimes ma bite... tu aimes son goût?"
Elle relève la tête pour le regarder dans les yeux:
- " Oui José j’adore ta bite... elle est grosse... elle bande bien pour moi... j’adore goutter ton jus d’excitation.... l’odeur de mâle qu’elle dégage...”
Moi, je regardais ma femme sucer José. Il m’a vu et m’a sourit, j’étais gêné mais je ne bougeais pas, les regardant faire.
- " Viens t’empaler sur ma bite... salope"...
J’ai vu ma femme monter sur José attraper sa queue et la guider entre ses cuisses et s’empaler en râlant. Je n’en pouvais plus j’ai baissé mon short et me suis masturbé. José me regardait faire en souriant. Je ressentais un gros malaise sur mes performances personnelles en voyant ma femme progressivement transformée par un autre mec que moi.
Ma femme montait et descendait sur son phallus, il lui pinçait le téton, elle couinait
-”Doucement s’il te plaît, tu me fais un peu mal."
-“Tais toi salope, t’es à moi je fais ce que je veux avec toi, à partir de maintenant je suis ton maître... c’est compris salope?
-“Heu... oooouuuiii....Jos... maître... je suis ta salope tu peux faire ce que tu veux de moi..."
-“Je vais te baiser devant ton cocu ma salope...“
-“Oh non José pas ça, je veux pas....il serait fâché... il va avoir mal...“
Il rigolait
- "Mais il est train de nous regarder baiser ton cocu en branlant sa petite bite."
Doris tourne la tête et ma voit la bite à la main. Elle essaye de se dégager mais il la retient en-fichée profondément...
-“Continue salope...il aime ça!"
Doris a reprit sa baise en poussant toujours des Hann, en alternant son regard de lui a moi, un court instant.
- "Viens là cocu approche viens voir comme ta salope aime ma bite."
Je me suis approché d’eux ma bite a la main.
- "Je vais avoir deux salopes à ma disposition durant cette semaine, je vais bien m’éclater avec vous deux... Doris... il faut que je te dise... ton mec m’a sucé la queue hier...”
Ma femme dans le plaisir le regarde étonnée...
-“Aouai! Il a même avalé mon foutre...”
Doris se retourne vers moi:
-“Tu aaaas aimééééé chériiiiiiiie?”
J’ai juste répondu toujours en me branlant:
-”Excitant...“
Il l’a fait allonger sur le dos, posant ses mollets sur ses épaules pour l’enfiler et il l’a prise violemment, la tenant par les cuisses, les seins ballottaient, elle gémissait, sa bite épaisse écartait ses chairs, à chaque fois que sa verge luisante ressortait du délicat fourreau pour l’enfiler à nouveau jusqu’à la garde, je m’interrogeais, comment la chatte de ma femme pouvait l’avaler entièrement...
Il soufflait encore plus fort, allait et venait dans son sexe, un bruit humide accompagnait ses coups de reins ainsi que le claquement de son cuisses musclées sur les fesses de ma chère et tendre. Alors que sa verge à lui fouillait le ventre, j’étais humilié, honteux mais le sentiment est délicieux. Doris appréciait la situation, les yeux mi-clos pendant qu’il la pistonnait...
- " Ah putain cocu... elle est bonne ta femme... cette pute va me vider les couilles ooouuuaaaaahouuu...."
Il jouissait dans de grandes salves dans la chatte de ma femme en même temps que Doris qui giclait dans son orgasme inondant tous sous elle, je giclais moi aussi sur le lit tous honteux. Au bout d’un instant, un jet de sperme sous pression sortît de ces lèvres intimes quand il retira sa bite fièrement dressée, blanchie d’écume, de jus mêlés du con de ma femme, il lui demanda en me fixant:
- "Doris, montre à ton mec comment tu me aimes me nettoyer la queue..."
Doris se releva et se pencha sur son vît, je là regardais tandis qu'elle léchait et pompait ses couilles, sa grosse tige charnue. L’odeur de sexe qui flottait dans la chambre est enivrante.
Après que José ait bien baisé ma femme, Il lui expliqua les règles auquel il se devait lui imposée, il la voulait complètement offerte et impudique, elle devait s’habiller un peu plus pute afin d'attirer l'attention des hommes, et même si elle ne devait pas les approcher directement, elle ne devait pas repousser leurs avances et toujours faire ce que lui voulais. Et à la maison, elle devait toujours être en déshabillé. Si quelqu'un frappait à la porte, elle devait l’accueillir sans se couvrir, lui demander d’entrer dans la maison, elle devait tenter de les séduire par tous les moyens possibles.
Plus tard, Doris m’avoua qu’un livreur de pizza était venu nous livrer ce jour là, comme il lui avait demandé, elle lui avait ouvert la porte nue, de sa vision, le jeune avait eu les yeux exorbités, elle avait dû en compensation de pourboire sucer la bite de ce jeune étudiant, certainement puceau, il avait joui très vite et en grande quantité, elle avait avalée le liquide qu’elle avait trouvée délicieux avant de ce voir remercier par lui, et de s’enfuir sur son scooter tous heureux de l’aubaine qu’il venait de vivre.
Ils se sont se doucher j’en ai fait de même à l’étage, puis les ai rejoint sur la terrasse, José a demandé à ma femme de mettre des bas, il adore ça, mais elle n’en avait pas emporté en vacances. Il a donc décidé que nous irions en acheter. Nous voila parti faire ces achats. Dans les rues, la tenue de mon épouse eu du succès, énormément d'admirateurs la regardait, José marchait en lui tenant la main alors que moi j’étais un peu en retrait, nous sommes entré dans un magasin de lingerie. José a choisi plusieurs paires de bas, dont une paire de bas résille rouge qui je trouvais faisait pute, mais je n’ai rien dit, il a choisi aussi deux portes jarretelles, mais en plus une guêpière et bien sur c’est moi qui ai dû payer.
Nous avons déambulé dans les rues de la ville José tenant mon épouse et moi derrière portant les paquets. Ils se sont arrêté à la terrasse d’un café, je me suis installé face a eux qui étaient côte a côte. Il lui caressait les cuisses en remontant la robe, les cuisses de ma femme étaient découverte, elle a voulu baisser sa robe amis, il lui a interdit. Je voyais qu’elle était un peu gênée. Le jeune serveur a regardé les cuisses de mon épouse en venant nous servir, il a du en parler aux autres car les deux autres serveurs sont passé à côté de notre table sans servir personne. Nous avons ensuite récupéré la voiture, José ma tendu les clés en disant:
-"Tu peux conduire?"
Il a fait monter ma femme à l’arrière et lui aussi. Pendant que je roulais je les voyais dans le rétro, ils s’embrassaient passionnément, goulûment, le bruit des salives me parvenait aux oreilles. José avait baissé les bretelles de sa robe et ses seins étaient sortis, le mec dans une camionnette les matait le temps d’un feu rouge. Il lui les pétrissait en pinçant le téton, d’un coup José a dit:
- "Suce moi petite pute... tu me fais bander, j’ai les couilles qui me font mal, tu dois me les vider". J’ai entendu le bruit d’étoffe que l’on ouvre, sûrement la braguette puis j’ai vu le visage de ma femme se baisser et le bruit de succion, j’ai réglé le rétroviseur pour la regarder pendant que José râlait de plaisir:
- "Hhhaaaa... oui vas y salope".
Je pouvais distinguer les veines gonflées de sa hampe disparaître derrières les lèvres maquillée de ma femme. Légèrement relevé, je fixais sa bouche prise par ce membre qui semblait presque trop gros pour elle. Je voyais les joues de Doris se serrer autour de son gland au fur et à mesure qu’il quittait sa bouche. Presque entièrement ressorti, son gland formait une sorte de champignon violacé à la base très évasée. Elle la sucé un bon moment puis je l’ai entendu prononcer un son inaudible, il jouissait dans la bouche de ma femme en lui disant de tout bien avaler, Doris déglutissait plusieurs fois comme impatiente avant de bien nettoyer sa verge de toutes traces. Tandis que je sentais la chaleur de mon propre sperme dans mon sous-vêtements.
Une fois arrivé à la maison, je me suis absenté les laissant seul pour aller à l’étage me changer. Quand je suis revenu, 15 minutes à peine après, j’eu comme l’impression que quelqu’un avait sonné à la porte.
José a demandé à ma femme en souriant de venir m’embrasser, ce qu’elle a fait langoureusement, sa salive chargée fortement d’effluve de sperme à pénétrée ma bouche, j’étais en manque, j’ai répondu à sa langue chargée de salive que je trouvais très gluante, ces lèvres très salées, il est intervenu quelques instant plus tard pour nous interrompre en me demandant d’aller chercher à boire et de ramener les cartons de pizzas, quand je suis revenu de la cuisine, José et elle étaient installé sur la banquette sur la terrasse, ma femme était nue aux côtés de José qui la caressait. J’ai déposé les boissons et des pizzas encore chaudes qui ne sortaient de ne je ne sais d’où, je me suis assis sur le fauteuil. Je regardais les mains de José caresser le corps de ma femme, allant de ses seins à sa chatte en passant pas ses cuisses, elle ronronnait de plaisir sous ses doigts. Puis il a baissé son pantalon exhibant sa grosse bite encore bandée et décalottée, il a fait monter mon épouse à cheval sur lui face à moi et elle s’est empalée sur sa bite d’un coups en me regardant, il la tenait par les fesses en la faisant monter et descendre, elle laissait sur sa queue les traces de son excitation, ils ont baisé un bon moment jusqu’à ce que je les entende jouir pratiquement en même temps. Quand elle c’est relevé, j’étais surpris de voir la quantité de sperme que ce mec produisait en permanence...Ils m’ont ensuite abandonné pour aller se changer. Je suis moi aussi monter, j’avais joui dans mon sous vêtement sans me toucher, je me suis doucher et me suis changer pour le repas. Quand je suis revenu sur la terrasse José faisait le barbecue, il m’a fait servir l’apero, nous avons trinqué alors que m’a femme n’était pas encore réapparue, il ne dit:
-"C’est vraiment une bonne chienne qui aime la bite et le sperme, ta femme... ça faisait longtemps que j’avais pas baisé une pute comme ça. ça ne te dérange pas au moins de me voir la baiser?"
-"non-non.... son plaisir est prioritaire pour moi....”
....dis-je un peu gêné.
-“Ça tombe bien, ce soir, elle veut dormir dans mon lit et toi tu dors la haut.”
José a appelé ma femme, elle est arrivée vêtue d’une courte jupe et d’un débardeur sous lequel elle avait les seins nus, elle ne portait rien non plus sous sa jupe. José la pelotait, l’embrassait durant l’apéro et ensuite durant le repas il me dit:
-“J’ai demandé à cette femelle de ne plus porter de sous vêtements, et... de ne plus se laver la chatte, je veux qu’elle se sente pute... qu’elle sente mon jus couler d’elle et sur ses cuisses en permanence... ”
J’ai du débarrasser ensuite alors qu’ils étaient enlacés sur le canapé. Quand j’ai eu fini, José m’a dit:
- "bon on va se coucher, à demain".
Ma femme m’embrassait en me disant:
-" A demain mon amour... merci... j'ai trop envie d’être à lui ce soir, surtout que je sais que ça t’excite de penser que ta petite femme va se faire baiser la chatte en feu par son amant..."
Puis elle partit avec son regard de coquine, je suis monté moi aussi dans ma chambre. je trouvai qu’elle n'en avais jamais assez, elle voulais qu'il la prenne sans cesse, choqué de la façon dont elle s’offrait sans retenue à lui. La jalousie me mordait au cœur, et je m’en voulais de t’avoir laissée partir. Dans la nuit je suis redescendu pour les voir, mais José avait verrouillé la porte d’entrée, j’ai du retourner me coucher frustré, je l’imaginais demain au matin, souillée, suintant la sueur le sperme et ses propres jouissances et je m’impatientais à l’idée de ses longues heures qui me séparaient de son retour. Quand je me suis levé le lendemain José prenait son café sur la terrasse:
-"Alors... bien dormi cocu, tu n’as pas pu jouer les voyeurs hier soir"
...me dit il en rigolant. Je ne disais rien devant mon café, Doris n’était pas levé, j’étais en manque, elle n’est venue que deux heures plus tard, elle m’a trouvée devant José en train de lui caresser la bite pour la préparer pour elle, j’ai voulu arrêter mais il m’en a empêché, il coulait de ces filaments sur ma main, il a demandé à ma femme après qu’elle est bu son café de venir le boire. J’ai du le faire jouir dans sa bouche, elle ma léchée les doigts et m’a embrassée avec la langue. Nous avons passé la journée sur la plage, José à côté de ma femme allongée qui la caressait en lui mettant de la crème. Ils étaient comme un couple et moi l’ami qui les accompagne.
L’imprégnation de son maillot de bain minimaliste laissait fuir la semence de son sexe pour se répandre sur ça serviette.
Le soir José avait invité deux de ses amis pour un barbecue, je sentais que la soirée risquait de déraper. Vers 19h00 les amis de Jose sont arrivé deux hommes de son âge, un grand maigre et un petit rondouillard à moitié chauve. Il m’a présenté comme un ami de sa fille et ma femme qui se préparait et allait bientôt arriver. Nous avons commencé à boire l’apéro, quand ma femme est arrivée, tout les regards se sont tournés vers elle, Doris portait une robe noire courte moulant et décolletée que je ne lui connaissais pas, visiblement avec le décolleté elle ne portait pas de soutien gorge, elle portait des bas noir acheté la veille dont on voyait les jarretelles du fait du moulant de la robe, elle était chaussée d’escarpins a talons très haut que je ne connaissais pas non plus. J’ai su plus tard que José avait pris ces vêtements dans les affaires de sa fille. Les deux types regardaient ma femme sans rien dire, José s’est levé pour la prendre par la main en disant "je vous présente Doris, l’épouse de Phil" il disait cela en déposant un baiser sur les lèvres de mon épouse. Les deux types m’ont regardé avec un sourire ironique. Mon épouse s’est assise sur la banquette à côté de Jose, ainsi assise sa robe dévoilait la lisière de dentelle de ses bas, les copains de José ne se gênaient pas de la mater surtout que José venait de poser sa main sur la cuisse de ma femme. Il lui a fait écarter les cuisses ce qui a fait remonter la robe au dessus des bas montrant les jarretelles et l’absence de culotte. Un des copains de José a dit:
- "Jolie...”
José lui a répondu:
-“Oui Doris est une jolie salope, son mari me la offerte contre le gite et le couvert pendant les vacances, en plus elle adore ce faire fourrer les orifices de sperme."
Les types m’ont regardé avant de retourner leurs regards sur ma femme. José a dévoilé ces épaules et ses seins nus, ses seins étaient dressés. Elle se laissait faire se laissant exhibée devant ces deux inconnus. J’ai du servir une nouvelle tournée d’apéro à la demande de José, pendant qu’il caressait ma femme devant ses amis. Puis il la faite lever et a défait la fermeture éclair de la robe dans son dos, celle-ci a glisser à ses pieds avec l’aide de José, ma femme était nue en bas porte jarretelles et talons devant ces hommes. Il a poussé Doris vers ses hommes, j’ai vu leurs mains se poser sur le corps de mon épouse, elle avait fermé les yeux. Leurs mains glissaient sur la peau nue, les cuisses, le ventre, les seins, elle gémissait déjà de supplice. Le petit gros a prit les deux seins à pleine main pour les pétrir, l’autre s’est levé et a embrassé ma femme femme a pleine bouche en lui pelotant les fesses. José s’était rassis en sirotant son verre. Les deux mecs étaient debout autour de ma femme, ils la palpaient sur tout le corps, ils se disputaient sa bouche, ses seins, ses fesses, ses cuisses sa chatte, des doigts la fouillaient devant et derrière, elle gémissait, elle râlait. Je n’en pouvais plus je bandais dans mon short. Doris a jouit sous les doigts de ces hommes. José s’est levé pour venir la libérer et l’embrasser en lui disant:
-“Tu es une belle salope.”
Les deux types étaient retournés s’asseoir. José la faite s’agenouiller a leurs pieds. Ils avaient sortis leurs bites bandés.
-“Demande moi l’autorisation de les sucer..." Lui dit José...
Doris lui a fait un signe de la tête que oui, mais ça ne suffit pas, alors le regard plein d’envie:
-”S’il te plaît José, j’ai envie de les vider...”
D’accord putain, appliques toi!”
Lui répondis t’il...
Elle a pris la bite du grand dans sa bouche en masturbant l’autre, il n’a pas été long à lui inonder la bouche de son foutre, elle a avalée avant de prendre en bouche la bite du petit gros. Lui a été plus long à venir, il tenait la tête de ma femme pour qu’elle avale bien sa bite, puis il a dit:
-“Ha c’est bon salope je jute....avale tout... Aaaarrrrggguuuu!!!”
Elle avalait la décharge de sperme qu’elle venais de recevoir puis léchait ses lèvres pour les nettoyer.
Puis elle est retournée fièrement de son travail accomplie s’asseoir à côté de José, celui-ci lui a tendu un verre. Après cet apéritif, nous avons mangés les grillades, elle est resté nue à table, des mains courraient sur elle, les hommes s’excitaient sans se soucier de moi. Après le repas, une fois la table desservie, il c’est tourné vers Doris:
-“Maintenant, tu dois leur dire que tu es une salope. Tu dois les supplier de te baiser. Tu dois leur demander de t'utiliser comme un sac à foutre.“
...Ordonna José.
Même si elle fus hésitante, elle sus en elle-même qu'il lui en fallait plus même si elle devait se conduire en pute. Alors elle cria:
-”Baisez-moi les garçons s'il vous plait.... Utilisez la salope que je suis... remplissez votre sac à foutre avec vos bites et votre sperme.”
José fît allonger Doris sur la table les cuisses écartées, sa chatte était inondée de mouille, bien que ces situations soient dégradantes et humiliantes, je dois admettre que je fus très excitée lorsque José suggéra à ses amis de sortir leurs engins.
Sa confession de salope et l'acceptation de ses désirs sexuels ont décuplé nos excitations.
Le grand a été le premier à la baiser il la tenait par les hanches, ses seins ballottaient sur son torse, elle gémissait, il est sorti pour éjaculer sur sa chatte et son ventre, il a été remplacé par le petit gros, qui a placé les jambes de ma femme sur ses épaules il la défonçait à coups de reins profond, il la tenait par les seins, il a jouit en elle. Pendant plus de deux heures ils se sont tout les trois succédés sur ma femme, elle a même été sodomisée plusieurs fois, elle a aussi été prise en sandwich, mais aussi par les trois en même temps, empalée sur un l’autre dans ses fesses, le troisième dans sa bouche. Ma femme était trempée de sueur et de foutre, dévastée par le nombre incalculable d’orgasmes qui l’avait traversés. Quand les copains de José sont partit, il l’a emmené avec lui après lui avoir demandé de venir m’embrasser, j’ai regagné la mienne ou je me suis branlé malgré la première ejaculation dans mon short.
Quand je me suis levé le lendemain en arrivant sur la terrasse, José était seul devant son café. Je me suis installé à la table me servant un café. José ma demandé si j’avais bien dormi et si la soirée d’hier m’avait plu. J’étais gêné mais je lui ai dit que oui ça m’avait excité de voir ma femme avec ses potes. Il m’a dit qu’elle dormait encore et qu’elle s’était endormie dès en se couchant, il m’a demandé si moi je m’étais endormi aussi ou si je m’étais branlé avant.
Je pensais que tout homme a besoin de vider son sperme dans la bouche ou dans la chatte d'une femme de temps en temps. Sans amour ou sentiments, il n'a pas besoin de se fatiguer à lui plaire. Tout homme cherche une femme prête à se faire baiser sans résister et sans rien attendre, une femme qui laissera sa bouche ou sa chatte utilisée par des hommes pour leur seul plaisir à eux. Ça m’excitais comme un fou de voir d'autres hommes abuser de ma femme, la voir offertes à d'autres comme une simple décharge de sperme. Tu ne feras pas l'amour, tu seras baisée, tu seras juste une bouche et une chatte disponible pour les hommes qui veulent se vider rapidement.
Pour aujourd’hui il prévoyait un après midi plage. Ma femme ne s’est levé que vers midi, elle nous a rejoint nue sur la terrasse, José la prise sur ses genoux en lui roulant une pelle et la tripotant, elle avait les jambes écartées, me montrent ses recoins les plus intimes, sa fente était encore baveuse de fluide inconnue, elle avait été malmenée certainement une partie de la nuit, elle était rouge vif, son puit d’amour complètement ouvert, je devinais sa rosette déformée, ses seins avaient été triturés, des traces sur ces joues , ses cuisses prouvaient qu’elle était encore souillés de sperme séché. Je les regardais faire excité.
Il lui dit:
-“Tu veut ma queue soumise?”
-“Oui, s'il te plait, baise-moi, baise ta salope...Je te promets que je serais ton obéissante décharge de sperme si tu me fais jouir. Je n'ai pas eu assez d'orgasme la nuit dernière, même avec tous ces hommes qui m'ont baisée. J'ai juste besoin d'être bien baisée maintenant pour jouir. Ensuite, tu pourras laisser qui tu m'utiliser comme un « sac à foutre », cela m'excitera.”
Puis il l’a entraînée pour qu’ils aillent prendre une douche ensemble. Par la petite fenêtre de la salle de bain qui était ouverte, j’ai entendu l’eau couler et les gémissements de ma femme, à leurs retours, Doris semblait détendu avec une chatte satisfaite qui perlait de sperme.
L’après midi sur la plage dans une petite crique, José avait donné un nouveau maillot de bain à ma femme, il couvrait légèrement sa poitrine, et pour le bas, juste son clitoris était couvert du frêle tissu, laissant ces lèvres intimes a l’air libre, elle s’allongeait sur sa serviette, il lui a passé de la crème sur tout le corps. Je bandais comme un con sur ma serviette à côté. Des types sur la plage mataient ma femme qui était les jambes ouvertes à sa demande... un moment José lui a demandé si ça pute mouillait, elle lui dit :
-"Énormément... ma chatte est faite de braise...”
En fin d’après midi nous sommes rentrés, la soirée a été calme. Vers 22h00, ils sont allés se coucher, me laissant seul. Rapidement j’ai entendu les gémissements... les cris de ma femme. Je me suis approché de la chambre, mais la porte était fermée, je pouvais juste entendre les gémissement et ma femme dire:
- "José doucement tu me fais mal" et lui de lui répondre...
“-“J’aime ton cul Doris.... c’est bon de t’enculer salope...“
D’entendre ça je me suis branlé en jutant rapidement une nouvelle fois sur le carrelage. Je suis ensuite monté me coucher.
Au réveil quand je suis descendu sur la terrasse José était déjà là tout seul:
-“Bonjour cocu bien dormi...?“
...m’a t’il dit. Puis il m’a dit qu’il devait aller récuperer des colis, que comme ma femme était fatiguée on allait la laisser dormir et y aller ensemble. Après le petit déjeuner je suis allé me doucher et m’habiller. Je l’ai rejoint et nous avons pris sa voiture. Je ne disais rien, en conduisant il a posé sa main sur ma cuisse en me disant:
-"Ça va pas...? tu fais la gueule?"
Je fis non avec la tête, sa main est remonté sur mon short il a palpé ma bite au travers. Ce salaud m’a fait bander mais il m’a lâché en rigolant. On était arrivé, j’ai vu qu’on était chez un de ses potes de la soirée. Les paquets ont été chargés et on est rentré boire un coup. José a dit à son copain, que ma femme était encore au lit, car elle était fatiguée. Son pote en souriant a dit:
-"Tu la baises trop cette salope, mais t’as raison elle est bonne..."
de les entendre parler comme ça de ma femme, ça me troublait. Ils se foutaient carrément de ma gueule....
Quand nous sommes retournés, Doris attendait nue sur la terrasse, elle se demandait où nous étions passés. José lui a dit qu’il devait récupérer des paquets chez son pôte et qu’on avait traîné un peu car j’avais sucé son pote et il m’avait enculé. Ma femme m’a regardé en souriant très surprise, je suis monté honteux et suis allé me doucher. Je n’étais pas bien d’avoir été traité comme ça par José et son copain, en sortant de la douche ma décision était prise, je suis redescendu voir ma femme et lui dire que je voulais qu’on parte, mais elle a refusé, disant qu’on passait de bonnes vacances.
Après le repas, José a proposé d’aller faire un tour sur la côte, j’ai refusé en disant que je préférais rester me reposer, il a rigolé en me disant:
-“Tu as raison repose toi, nous on va aller se faire une ballade en amoureux..."
A 14h30 ils sont partis. Au fil du temps je me demandais ce qu’ils pouvaient faire, ou ils étaient, ce que José faisait à la femme de ma vie.... Je me suis masturbé, imaginant José, la baisant , dans une crique, peut être même devant des voyeurs, ou qu’il l’offrait à ses inconnus qui la baisaient à leur tour... A 19h00, j’ai préparé l’apéro en prévision de leur retour. A 20h00 ils n’étaient toujours pas là, j’ai appelé ma femme sur son portable, mais suis tombé sur son répondeur. A 21h00 pareil, j’en était à mon 4ème whisky, je me demandais ce qu’ils faisaient, qu’est ce que José avait inventé pour ma femme, j’ai baissé mon short et me suis une nouvelle fois branlé. A 23h00 passablement ivre, je suis allé me coucher, une nouvelle branlette et je me suis endormi. Je me suis réveillé vers 9h00 le lendemain, avec la bouche pâteuse et un mal de crâne. Je suis descendu voir si la voiture de José était là, oui elle était là, ils étaient donc rentré, mais à qu’elle heure, qu’avaient ils fait tout ce temps. Pourquoi José n’était il pas levé, je suis aller voir dans la chambre, la porte n’était pas fermée, je l’ai poussé ils dormaient nus enlacés. Soulagé mais jaloux je refermé la porte et suis allé préparer mon café. Vers 10h00 José est apparu nu sur la terrasse. -“Salut Phil, tu t’es bien reposé hier, tu as bien dormi?"
J’ai marmonné un:
- "oui...”
Il s’est assis en me disant:
- "Ta femme est officiellement une bonne pute... qu’est ce qu’elle aime la bite...”
Je me suis levé et suis parti prendre une douche, José rigolant en me voyant comme ça. Quand je suis redescendu un peu calmé, ma femme était levée, elle était nue aussi. Quand elle m’a vu elle s’est levée et est venue m’enlacer en m’embrassant et me disant:
-“Bonjour mon chéri, ça va, tu ne t’es pas trop ennuyé hier, tu ne nous a pas trop attendu?... mon portable était déchargé...”
elle m’embrassa, j’étais heureux... Puis en buvant le café, elle m’a dit que José l’avait emmené hier soir dans une boite libertine, ou elle avait fait l’amour avec plusieurs hommes mais aussi des femmes. Je sentais ma bite durcir sous mon short. Puis elle m’a dit:
-"il faudra qu’on y aille chez nous aussi."
Son amant s’était installé sur la banquette, il a dit:
"Viens me sucer...j’ai envie de ta bouche...”
ma femme s’est levé et agenouillée devant José et je l’ai regarder sucer la belle bite de José. Il m’a dit:
-"Vas-y... branle toi cocu, je sais que tu en as envie...”
J’ai baissé mon short et me suis masturbé en regardant ma femme pomper son amant, elle adorait jouer avec ses couilles, j’étais sûre qu’elle n’en avait jamais vu d’aussi grosses en vrais, ce mec était un vrai taureau. Quand il a jouit dans sa bouche mon sperme giclait par terre. L’après midi on est resté à la maison nus tout les trois. Ils ont baisé deux fois devant moi sur le canapé et je me suis encore masturbé. J’ai aussi léché ma femme, à sa demande, je l’ai aidé à sucé Jose.... Le soir après le dîné, ils se sont allongés sur le canapé, elle lui dit qu’il était très excitée, il était allongé sur elle, frottant sa queue raide sur le pubis de ma femme, il la pénétrer d’un coup sans plus attendre, en la traitant:
-“De pute baveuse”
....qu’il n’avait jamais senti de vulve aussi dégoulinante...
Il était là, à lui ramoner la chatte, ses mains pétrissant ses seins, sa langue fouillant sa bouche. Il s’est ensuite redressé prenant appuis sur ses mains, la défonçant à grand coup de reins, il la prenait sans ménagement. Il lui a dit:
-Tu veux mon jus où petite putain? Dans ta chatte?"
Ma femme pour réponse enroulait ses jambes autour de ses reins, de ses mains elle s’accrochait à ses épaules puissante. Comme elle ne lui répondait pas, il continua...
-“Hein salope...c’est mon jus que tu veux dans ta chatte."
à ce moment là ma femme en jouissant une nouvelle fois lui crie:
-"Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii baiaaaaaiiissssee-moi!!!”
il a continué à la limer et a jouit à son tour inondant son con de son jus brûlant. il s’est retiré d’elle et s’est allongé, elle est allé se coller sur sa poitrine en lui caressant la bite légèrement ramolli, elle ramasse un peu de sperme du gland pour le porter à sa bouche et en écartant ses cuisses dans ma direction, sa chatte dégorgeait, engluée du foutre qui coulait en quantités sur le siège du canapé, elle devait sentir le sperme de son amant s’écouler vers son anus.
Elle ne parlait pas sur le moment et restait allongée. Je lui demandais:
-“tous va bien chérie?"
Elle me répondît:
-“tout va bien mon amour.... Je dois faire quelque chose... mon maître me l’a ordonné... viens lécher la chatte de ta petite femme mon cocu chéri... viens me faire un cunnilingus baveux... me nettoyer la chatte...”
J’ai cru qu’elle plaisantait sur le coup, mais pas du tout. Mon cœur s’est mis à batte à 250 pulsations sous l’effet de l’excitation et du dégout. Je me suis approché au bord du canapé, me positionner devant sa vulve rouge de la pénétration ornée de la blanche de coulée de sperme, les saillies laissaient sa chatte brulante.
J’ai mis le temps, mais j’y suis allé. J’ai passé ma langue sur le fluide de son amant et je l’ai étalé sur toute la moule de ma femme. La texture était collante et le gout était amer, j’avais surtout la bonne odeur intime de ma femme qui me remontait dans les narines, j'y ai pris du plaisir je la connais très bien quand elle est excitée. Ma femme a commencé alors a sortir sa langue et lécher une à une ses couilles...
-"C'est bien continue...bouffe moi les couilles ma pute..."
Sa bite un peu molle redevint rapidement massive, elle était presque collée a son visage, elle remonta ensuite sur le gland délicatement, il coulait déjà le salaud, elle le gouttait... le dégustait en couinant, puis très vite, elle c’est lâchée en enfonçant sa bite dans sa bouche. Je lui broutait le minou délicieusement, elle pouvait sentir ma langue aller profondément dans son trou alors que mes doigts titillaient son clitoris. Elle me tenait la tête de son autre main pendant que je lui nettoyais l’entrecuisse de ce mélange de sperme et et de mouille tiède au gout sucré. Au bout d’un moment, j’ai titillé son urètre, elle a joui très fort. Et alors que sa langue s’activait encore à lecher ses couilles, une premiere giclée de sperme c’est abattu sur son front et le début de ses cheveux, il continuait à la tenir fermement par les cheveux et secoua sa tête de droite à gauche pour mieux barbouiller son visage de ses nombreuses giclées de sperme. Elle le laissais faire dans un plaisir non dissimulée, son foutre s’abattait sur ses joues, ses lèvres, son menton... cette sensation de se faire souiller par ce liquide épais, chaud qu’elle semblait de toute évidence adorer, elle était réduite à l'état de vide-couilles...
Comme un maître l’aurait fait, il lui dit:
-“Ouvre la bouche....tu vas finir ton travail de pute en me nettoyant la queue....".
Elle était comme hypnothisée par sa bite, elle sentais certainement cette énorme quantité de sperme glisser doucement sur son visage, elle ouvrît sa bouche comme par reflexe, mais il avait raison, elle miaulait de plaisir, c'était un reflexe de pute soumise. Elle commença a lécher son gland, à se régaler vraiment du sperme restant, et inconsciement j'aurais voullue recevoir une giclée de sperme au fond de ma bouche, faire rouler delicatement ce liquide chaud et épais sur ma langue, le savourer avant de l'avaler. j'etais à genoux devant eux à lecher les gouttes de sperme qui avaient coulées le long de son visage sur le bord de ses lèvres pour atterrir sur son ventre. Le visage de ma femme souillée de son liquide, elle était belle, je comprenais qu’elle l’ai laissée se traiter comme une chienne.
Sa chatte était parfaitement propre, elle m’as tendu ses lèvres de miel, tâté de ma queue, caressée mon frein pour se rendre compte comme j’étais totalement excité, j’ai éjaculé immédiatement dans ces doigts que j’ai dû nettoyer ensuite. Elle m’a donné du plaisir d’une certaine façon, je vous passe les détails. J’ai eu un orgasme cérébral très fort.
Cet été nous sommes partis ma femme Doris et moi Phil, tous deux la cinquantaine passer quelques jours chez une amie à Aix en Provence. Nous avions rien de prévu et nous l’avons eu au téléphone, elle nous a proposé de venir la voir. Aline est divorcée et vit dans une grande maison dans la banlieue d’Aix avec son père veuf à la retraite. Aline vit à l’étage et son père occupe le bas. Nous sommes arrivé dans l’après midi sous un soleil radieux.
Nous avons été accueilli par Aline ravie de nous revoir après si longtemps, puis elle nous a présenté à son père. Un homme torse nu, très grand environ 1m90 et costaud style rugbyman d’une centaine de kilos complètement chauve, d’origine espagnole. Il était magnifique, ventre plat, pectoraux saillants, regard lubrique et sourire en coin, un appel à la luxure pour son âge, il me sert la main énergiquement puis il prît dans ses bras ma femme en lui faisant mille compliments plus ou moins salaces, embrassa ma femme sur les deux joues très proches de sa bouche. Nous nous installons sur la terrasse pour nous rafraîchir, après la route.
Je vois le regard insistant de José (le père) sur ma femme. Je ne vous ai pas présenté ma femme, Doris est une très belle femme, blonde 1m62 pour 47kg, ses seins font du 90b, fermes, ils sont magnifiques, sa chatte aux lèvres fine de rose est sublime. Ce jour elle portait une robe à mi cuisses avec de fines bretelles sans soutien gorge.
Nous restons à discuter et nous rafraîchir un long moment, puis Aline nous propose de déposer nos affaires et d’aller faire un tour à Aix avant le dîner. Pendant cette promenade ma femme, Aline et moi, José était resté préparer le barbecue pour le soir, ma femme disait à Aline que son père était charmant, elle posait beaucoup de questions sur lui.
A un moment Aline lui dit en rigolant:
- "Attention c’est un homme à femmes, si il décide de te sauter... de te baiser, il va y arriver et tu vas devenir accroc en plus..."
Doris semblait gênée.... troublée.
La conversation a ensuite changée.
Nous sommes rentré et nous nous sommes douchés avant de descendre retrouver José pour l’apéritif avant le barbecue. J’étais dans la chambre attendant ma femme en lisant quand elle est sortie de la salle de bain, elle avait enfilé une robe blanche décolleté assez courte sur un string minimaliste, on le devinait aisément du tissu blanc en transparence.
En souriant je lui ai dit que José allait nous faire une attaque.
Nous sommes descendu rejoindre Aline et son père. José a sorti une bouteille de champagne en disant à ma femme :
- " Tu est très ravissante Doris dans cette tenue.. Aline m’a dit que tu aimais le champagne..."
Puis se tournant vers moi il m’a dit :
-”toi c’est le whisky... "
Comme je savais qu’Aline n’aime pas le champagne, je me suis dit qu’ils allaient la boire à deux, Doris ne tient pas trop l’alcool, surtout par cette chaleur.
Effectivement la bouteille fût bu à eux deux, au repas mon épouse était un peu pompette et rigolait beaucoup aux blagues un peu graveleuses de José. J’avais pas mal bu aussi et j’étais fatigué par la route.
A une heure du matin Aline proposa d’aller nous coucher, je me suis rapidement parti me couché rejoins par ma belle quelques minutes après, j’ai juste vu furtivement avant de m’engager dans le couloir qu’elle avait été prise dans les bras de José pour lui souhaiter une bonne nuit.
Dans notre lit, j’ai serré ma femme dans mes bras, je lui ai chuchoté:
-“ Chérie... tu du désir pour José... n’est-ce pas?"
Elle a mis un long temps pour me répondre et curieusement, j’ai senti ma bite se durcir au fur et a mesure de son silence. Elle-même s’en ai rendu compte, elle l’as saisie en coulissant ces doigts sur mon prépuce, elle c’est lovée amoureusement encore plus contre moi, les yeux levés vers moi, elle a chuchotée:
-"Je crois que oui chérie.... "
Puis elle a précisée:
-"Avant qu’il ne me prenne dans ses bras... je n’y avais pas songé....j’étais simplement bien avec lui, j’admirais sa manière d’être, son physique latino...mais quand il m’a serrée, j’ai eu l’impression que la terre tournait plus vite, mon cœur c’est emballé... j’avais envie que ces mains parcours fiévreusement mon corps qui m’embrasaient, ma fente c’est mise à lubrifiée instantanément. Pendant un instant j’ai céder à ces caresses... sa main a glisser entre mes cuisses, je n’ai rien pu faire"...
-"Tu as senti sa queue contre toi?"
Elle a murmurée:
-"Oui... il bandait... il est gros... très massive... c’est un homme virile..."
-"Il a glissé sa main entre tes cuisses?"
-"Il a touché mon string...caressé mes lèvres...".
-"Et tu mouillais?"
-"J’étais trempée... déjà pour l’apéritif... ses doigts... ma chatte était gonflée de plaisir...brûlante... gluante de mouille... comme jamais chérie... mon clitoris excité ondulait sous ces caresses..... je suis désolée... tu est fâché mon amour?"
Jamais mon sexe n’avait été aussi gros entre ces doigts, je coulais...
-"Je t’aime Doris... tu sais que nous devons tous nous dire..."
Nos bouches se sont mêlées dans un baiser passionné, puis, elle c’est reprise:
-“Je suis furieuse de lui et de moi-même".
Doris ne voulait pas faire l’amour, je l’ai sentie perturbée, mais elle m’a fait giclé tous doucement, ensuite je me suis endormi comme une masse, mon ventre encore souillé de ma propre semence, sa main sur mes couilles.
Je me suis reveillé dans la nuit avec la soif, je cherchais à côté, la place était vide, elle devait aussi avoir eu soif, j’enfilais un short et me dirigeais sans bruit vers la cuisine, mais elle était vide.
Je bu deux verres d’eau et sortît sur la terrasse, mais la non plus je n’y trouvais pas ma femme. Je descendais vers la terrasse de José, ma femme n’y était pas mais je vis de la lumière chez José, il ne dormait pas, la porte était ouverte, j’entrais...
Je voyais que la lumière venait du fond du couloir de la chambre de José, je traversais le salon et sur le sol, un peignoir de satin doré qui appartenait à ma femme était abandonné là. Un pincement dans mon ventre, je continuais d’avancer pied nu vers cette lumière, la porte était entrouverte.
Je m’approchais doucement la boule au ventre dans le noir sans faire de bruit. Quand je fus prêt de la porte, je vis José nu allongé sur son lit et ma femme, nue elle aussi, gémissante, déjà empalée sur José, ses mains posées et caressantes sa poitrine poilue. Il la regardait de ces yeux perçants en lui tenant les seins à pleine mains.
Je restais là sans rien faire à regarder ma femme monter et descendre sur la longue bite de José, malgré le peu que je voyais, je me rendais bien compte que José avait une queue disproportionnée. Ma femme râlait de plaisir, elle couinait de s’empaler sur lui.
Elle se pencha sur lui, sa bouche se posa sur la sienne, ils s’embrassèrent à pleine bouches en faisant des bruits mouillés, les langues sortaient impatientes. Je ne comprenais pas, j’étais excité, ma bite palpitait dans mon short, je la frottais à travers le tissu.
Les mains de José sont allés sur les fesses de ma compagne, il lui les claqua, elle gémit plus fort en disant :
- " Oui haaaaaa... c’esssst booooonnnn José..."
Quelle salope.... Elle se tapait un mec qui aurait l’âge d’être son père.
José donna des coups de reins pour percuter l’utérus de ma femme.
J’ai entendu José dire :
-"Mets toi à 4 pattes Doris... je veux te baiser en levrette comme une chienne."
J’ai vu ma femme se dés-empalée vite fait sur cette ordre, et j’ai pu voir un peu mieux la bite de José, longue, épaisse, beaucoup plus que la mienne, un gros gland prédominant.
Elle s’est mise à 4 pattes et il s’est agenouillé derrière elle, elle a guidé elle-même le gland dans sa fente grande ouverte, luisante de sa brillance, il la prise par les hanches pour l’empaler à nouveau. Un envie d’une puissance inouïe s’empara de moi, j’ai baissé mon short et je me suis masturbé devant ce spectacle. Il se déchaînait dans sa chatte ballotter par les coups de reins de José.
Il lui disait :
- "Ha t’es bonne Doris... j’aime ta chatte... tu mouilles comme une cochonne, t’avais envie que je te baise"...
Et elle de lui dire :
- " Hooooo.. oouuuuuuiii Joséeee .... Aaaaaarrrrggg... j’aime ta queue... baise moi... fort... Hhhooooouuuuuiiiiiiiiiiiiiiii!!!.... J’ai eu envie de toi dès que je t’ai vu, vas y encore... je suis ta salope ce soiraaaaaahhhrrrrrgggg... donnes moi tooooouuuu..."
-“Haaaaaaa oui Doris, t’es une salope.... ton mari dort au dessus et tu te fais baiser comme une pute par moi, je vais tout te mettre mon foutre dans ta chatte de salope, je vais arroser ta matrice de ma crème pour t’engrosser... Tu vas voir comme je produit beaucoup ma semence.... Tu vas te régaler!!!“
Oh le salaud, mais je me branlais encore plus fort en le regardant la défoncer à un rythme soutenu, elle râlait, criait, elle allait jouir une nouvelle fois, puis d’un coup il s’est bloqué au fond de sa chatte en disant :
- "Aaaaahh.. oui tiens salope... prend tout mon foutre...”
Le sperme blanc débordait de trop plein de leurs sexes, la crème entachait l’intérieur des cuisses de mon épouse. Ils ont jouit ensemble et moi aussi sur le carrelage à mes pieds. J’ai été obligé de déguerpir rapidement car ils se dégageaient et je ne voulais pas être surpris. Je suis remonté me coucher, un quart d’heure après ma femme rentrait dans la chambre sans faire de bruit, je faisait semblant de dormir, elle s’est couchée, au bout de quelques secondes je l’ai prise dans mes bras, je l’ai caressé, elle c’est alors retournée, nous nous sommes regardées... elle était embarrassée, je lui ai posé ma main sur le visage pour lui caresser.... passionnément... ma main a glisser sur son corps... elle m’a ouvert ces cuisses, l’air désolée... ces lèvres étaient brûlantes, mouillées, collantes, la crème de José était bien présente, je bandais, je coulais... Il s’exhalait de tout son corps une odeur troublante de sueur d’amour et de sexe, de sperme, de mouille, un cocktail affolant qui m’enivrait, m’affolait et me donnait l’envie brusque de la prendre ainsi dans ses souillures. J’en ai profité pour glisser un doigt entre les lèvres de sa chatte. Elles étaient poisseuses.
-“Je suis désolée mon amour... j’ai craquée... Maintenant je peux te le dire... j’avais trop envie de lui... de sa queue... j’avais une envie folle de sa bouche... de ses bras, sa peau sa…. bite.. j’ose le dire... délicieuse... elle me fait tellement de bien chérie...je t’aime tu le sais..."
Après quelques caresses romantiques, elle s’est plainte amoureusement:
- " Laisse-moi mon amour... s’il te plaît...je suis vannée, j’ai besoin de dormir."
Elle m’a embrassée, elle s’est glissée sous les draps et en un clin d’œil s’est endormie. J’étais profondément déçu... Je me suis senti vexé et jaloux mais curieusement heureux à la pensée d’un énorme chibre avait coulé dans sa chatte.
Il ne me restait plus que le loisir de la contempler dans son sommeil. Je remarquais ses traits tirés, combien de fois lui avait-il fait l’amour? J’ai profité de sa torpeur pour la humer dans ses recoins les plus intimes, j’ai écarté ses fesses et j’ai constaté à l’état de sa rosette irritée, encore des traces crémeuse, elle c’était même pas lavée.... Il avait su l’honorer par cette voie là aussi. Bon sang comme elle était belle ainsi souillée! Je me suis collé contre son corps, j’ai glissé ma queue tendue contre ses fesses. Elles étaient brûlantes, elle a geint un peu dans son sommeil mais j’ai vite atteins l’entrée humide de son vagin. Quel bonheur que de ressentir du bout du sexe la chaude moiteur du sexe de sa femme chérie! Surtout quel piment que d’imaginer que quelques instants auparavant un autre chibre s’est aussi infiltré de la même manière dans cet antre de plaisir! Hélas dans l’état d’excitation où je me trouvais j’ai vite éjaculé surajoutant par la même mon sperme à celui de mon rival ! Je me retrouvais bête et déçu puis sevré de sommeil comme je l’étais j’ai vite sombré dans le néant tout contre elle.
De la savoir désirée par un autre que moi, te rendait plus précieuse, et c’est à ce moment je crois que nos jeux pervers sont nés.
Le lendemain je me suis réveillé avant elle, je me suis levé pour rejoindre Aline dans la cuisine, Doris s’est levée une demi heure plus tard. Aline nous a demandé si nous avions bien dormi car elle avait entendu quelqu’un se lever, j’ai alors dit :
- "Non j’ai dormi d’une traite."
Doris dit :
-“Si c’est moi, j’avais soif et j’ai pris l’air..."
Puis José est arrivé alors que ma femme était partie au toilette, comme si de rien était embrassant ma femme sur les joues, me serrant la main. J’ai eu l’impression de rougir en le revoyant baiser ma femme. A son retour, Aline a proposé à Doris d’aller faire les boutiques à Aix et José m’a proposé d’aller faire un tour dans les alentour à pieds.
Un quart d’heure après nous voila marchant tout les deux dans les chemins et sous bois, je ne faisait que penser à leur partie de baise de la nuit, j’en oubliais parfois de lui répondre. Il me dit :
- " Ça va Phil, t’as pas l’air dans ton assiette."
Je lui répondais :
- "Si-si ça va j’apprécie la vue de cette nature."
- "Et, ce que tu as vu cette nuit tu as apprécié ?"
- " hein... heu... de quoi tu parles ?" dis je en me sentant rougir.
- "Quand je baisais ta femme tu as aimé regarder?... sans doute que oui vu le foutre que tu as giclé sur mon carrelage."
Il rigolait je ne savais plus ou me mettre.
- "Elle est trop bonne ta femme, tu sais j’ai aimé la sauter comme elle a aimé goutter à ma bite et à mon jus... tu sais quoi... j’ai trop envie de recommencer, ça te dérange pas au moins?"
J’étais comme un con là ne sachant quoi lui répondre...Il continuait :
-“Tu as vu elle aimait ça? elle aimerait bien recommencer, elle me l’a dit ce matin après m’avoir embrassée comme folle quand elle t’a laissée pour les WC.”
J’étais perdu avec ce mec qui me parlait de ma femme qu’il avait sauté et qui voulait recommencer.
-”C’est vrai que c’est une chaudasse ta chérie, elle c’est assise sur le trône pour pisser, elle a voulu me sucer la bite toute collante de sécrétion...”
Je me suis souvenu qu’à son retour des toilettes, avant qu’Aline parle, Doris m’avait embrassée en glissant sa langue dans ma bouche...
- "C’est vrai que tu as une plus petite queue que moi... c’est ce que ton épouse m’a dit."
Putain j’étais humilié, mais il n’y a pas de comparaison entre la sienne et la mienne. Devant moi José baissa son short et exhiba sa queue pourtant à demi molle, mais large et longue.
- " Fais voir qu’on compare..."
- " Ça va pas! t’es fou!"
- " Allez fais voir..."
Je sais pas pourquoi mais je baissais mon short pour lui montrer ma bite bandée par les révélations qu’il venait de me faire.
- "Ah oui elle est plus petite... ça t’excite d’être cocu... c’est bien que tu le prenne comme ça!”
Ce salaud me la prend en main, prend mes couilles avec et il les malaxes, les presses... il me fait mal.
- "Alors Phil tu me laisseras baiser encore cette chienne?"
Je ne répond pas de suite...
- "Oui-oui, tu la baiseras quand tu veux mais arrête tu me fais mal."
Il lâche ma bite pour prendre ma main et la poser sur sa bite qui s’est raidi, il l’entoure avec mes doigts et fait des mouvements de va et viens.
- "Branle-moi Philippe, caresse la bite qui va honorer les orifices de ta femme."
Docilement je me suis mis à branler José, sa bite grossissait dans ma main. Il a appuyé sur mes épaules pour me faire agenouiller devant lui puis il a prit sa bite pour la frotter sur mes lèvres.
- "Suce moi, j’ai envie de ta bouche."
Il me l’a enfoncé, je me suis mis à le sucer j’en avais envie malgré moi, je lui malaxais les couilles, en quelques minutes, il jouissait dans ma bouche en râlant et j’avalais une partie par obligation et recrachait au sol ce que je pouvais en toussant.
- "Putain tu suces bien mec..."
dit il en remontant son short.
En rentrant il m’a dit :
- "Ce soir tu fais comme si t’étais bourré et tu vas te coucher tôt".
Le soir après l’apéro et le repas, j’ai dit que j’étais fatigué et que j’allais dormir. Aline a dit qu’elle n’allait pas tarder non plus, bien sur ni Doris, ni José n’ont dit qu’ils étaient fatigué. J’étais dans mon lit quelques minutes après j’ai entendu Aline aller se coucher.J’ai vaguement senti ma femme venir se coucher que trois heures plus tard sans faire de bruit pour ne pas me réveiller, à coté de moi je sentais son corps chaud, elle sentait une nouvelle fois, la sueur et le sperme...
La salope, en l’attendant je m’étais branlé deux fois, en l’imaginant avec lui.
Il nous restait un jour ici avant de repartir, car Aline devait partir pour une exposition. Je me suis levé tôt le lendemain je suis sorti sur la terrasse, en bas il y avait José qui buvait son café, il m’a dit de venir le boire avec lui, je suis descendu.
Il m’a demandé si j’avais bien dormi et pourquoi je n’étais pas venu le voir baiser ma femme, il avait laissé la porte ouverte exprès, il m’a demandé si je m’étais branlé en attendant, je lui ai dit oui. Il rigolait en demandant:
-“Ça te plait d’être cocu? ça t’excite on dirait si tu ne dis rien et que tu te branles en attendant."
J’étais honteux, sous la douche je repensais à tout ça, je me suis encore branlé et j’ai jouis rapidement.
Quand je suis sorti, ma femme et Aline étaient levées et prenaient leur déjeuner avec José. J’ai attendu un long moment avant de les rejoindre. Le midi à table José nous a proposé de rester en vacances là, même si Aline n’était pas là, que nous avions rien de prévu d’autre et qu’il y avait de la place. Aline a surenchérit, que c’était une bonne idée, qu’elle nous laissait sa maison.
J’ai dit qu’on ne voulait pas déranger, deux jours c’était déjà bien, mais Doris et Aline ont dit que si, il fallait qu’on reste.
José me regardait avec un petit sourire vicieux. Je n’ai pu qu’accepter. Cet après midi là, José est parti voir des copains à lui, le soir il a appelé sa fille pour dire qu’il ne dînerait pas avec nous et rentrerait tard dans la nuit, qu’il embrassait sa fille et qu’il prendrait soin de nous pendant son absence.
Quand Aline nous a dit ça, mon épouse a eu l’air contrariée, dès la fin du repas, elle est allé se coucher disant qu’elle était fatigué. Quand je suis allé la rejoindre, elle dormait ou faisait semblant.
Le lendemain je me suis levé en entendant Aline sortir de sa chambre, Doris n’avait pas bougée. Nous avons déjeuner tout les deux, la voiture de José était là.
Aline m’a dit :
-“Phil fais attention à ta femme, j’ai compris que mon père lui tournait autour et tu sais, avec lui ça ne le gênera pas de s’occuper d’elle, même si tu es là."
J’ai rougis en baissant la tête. Elle m’a dit :
-“Non il l’a déjà fait?"
je ne répondais rien. Et elle de continuer:
- "Le salaud, il peut pas s’empêcher dès qu’il voit une femme qui lui plaît, tu es sûr de vouloir quand même rester?"
Je lui ai dit :
- "Oui... on va rester, Doris en a très envie...”
Elle m’a regardé en souriant.
- "Comme tu veux, si ça te plaît que ta femme sois fourrée avec la bite de mon père. c’est toi qui voit, mais sache que si c’est déjà fait, il ne va pas se gêner avec elle, même devant toi et tu ne pourras rien dire, car il risque de se fâcher. En tous cas, de ce que je sais des Maîtresses de mon père, elle va se régaler....bon je vais être en retard il faut que j’y aille, tu peux porter mon sac à ma voiture?"
Je me suis levé j’ai pris son sac et l’ai suivi à sa voiture en bas de la maison. Elle a ouvert le coffre pour que j’y dépose son sac. Elle s’est approche de moi pour me dire au revoir, puis elle m’a enlacé en posant ses lèvres sur les miennes enfonçant sa langue dans ma bouche. J’étais surpris mais je la laissais faire.
-“Tu vas être un grand cocu Phil, son intimité va être élargie, tu vas rien ressentir quand tu la pénétrera après, mais j’ai l’impression que ça te plaît, amusez vous bien en mon absence, quand j’aurai le temps je t’appellerai, tu me raconteras..."
En disant cela, elle me caressait la braguette, mon érection.
Puis elle est montée dans sa voiture et est partie, me laissant comme un con. Quand je suis remonté sur la terrasse José était là.
- " Alors ça y’est Aline est partie? et ta salope est ou?"
- "Oui José Aline vient de partir et Doris est encore couchée."
- "Bon ben toi tu restes là, je vais aller la réveiller, attend un peu, je laisserai la porte ouverte."
...me dit il en souriant.
Je me suis assis à la table alors que José montait à l’étage. J’ai bu un café en attendant, puis je me suis levé pour aller voir ce qu’il se passait à l’étage, effectivement il avait laissé la porte ouverte, je me suis approche, José était allongé nu sur le lit, elle aussi, elle le suçait.
- "Hum elle est bonne ta bouche.... qu’elle bouche... j’adore ta langue ma pute... vas y suce moi.. tu l’aimes ma bite... tu aimes son goût?"
Elle relève la tête pour le regarder dans les yeux:
- " Oui José j’adore ta bite... elle est grosse... elle bande bien pour moi... j’adore goutter ton jus d’excitation.... l’odeur de mâle qu’elle dégage...”
Moi, je regardais ma femme sucer José. Il m’a vu et m’a sourit, j’étais gêné mais je ne bougeais pas, les regardant faire.
- " Viens t’empaler sur ma bite... salope"...
J’ai vu ma femme monter sur José attraper sa queue et la guider entre ses cuisses et s’empaler en râlant. Je n’en pouvais plus j’ai baissé mon short et me suis masturbé. José me regardait faire en souriant. Je ressentais un gros malaise sur mes performances personnelles en voyant ma femme progressivement transformée par un autre mec que moi.
Ma femme montait et descendait sur son phallus, il lui pinçait le téton, elle couinait
-”Doucement s’il te plaît, tu me fais un peu mal."
-“Tais toi salope, t’es à moi je fais ce que je veux avec toi, à partir de maintenant je suis ton maître... c’est compris salope?
-“Heu... oooouuuiii....Jos... maître... je suis ta salope tu peux faire ce que tu veux de moi..."
-“Je vais te baiser devant ton cocu ma salope...“
-“Oh non José pas ça, je veux pas....il serait fâché... il va avoir mal...“
Il rigolait
- "Mais il est train de nous regarder baiser ton cocu en branlant sa petite bite."
Doris tourne la tête et ma voit la bite à la main. Elle essaye de se dégager mais il la retient en-fichée profondément...
-“Continue salope...il aime ça!"
Doris a reprit sa baise en poussant toujours des Hann, en alternant son regard de lui a moi, un court instant.
- "Viens là cocu approche viens voir comme ta salope aime ma bite."
Je me suis approché d’eux ma bite a la main.
- "Je vais avoir deux salopes à ma disposition durant cette semaine, je vais bien m’éclater avec vous deux... Doris... il faut que je te dise... ton mec m’a sucé la queue hier...”
Ma femme dans le plaisir le regarde étonnée...
-“Aouai! Il a même avalé mon foutre...”
Doris se retourne vers moi:
-“Tu aaaas aimééééé chériiiiiiiie?”
J’ai juste répondu toujours en me branlant:
-”Excitant...“
Il l’a fait allonger sur le dos, posant ses mollets sur ses épaules pour l’enfiler et il l’a prise violemment, la tenant par les cuisses, les seins ballottaient, elle gémissait, sa bite épaisse écartait ses chairs, à chaque fois que sa verge luisante ressortait du délicat fourreau pour l’enfiler à nouveau jusqu’à la garde, je m’interrogeais, comment la chatte de ma femme pouvait l’avaler entièrement...
Il soufflait encore plus fort, allait et venait dans son sexe, un bruit humide accompagnait ses coups de reins ainsi que le claquement de son cuisses musclées sur les fesses de ma chère et tendre. Alors que sa verge à lui fouillait le ventre, j’étais humilié, honteux mais le sentiment est délicieux. Doris appréciait la situation, les yeux mi-clos pendant qu’il la pistonnait...
- " Ah putain cocu... elle est bonne ta femme... cette pute va me vider les couilles ooouuuaaaaahouuu...."
Il jouissait dans de grandes salves dans la chatte de ma femme en même temps que Doris qui giclait dans son orgasme inondant tous sous elle, je giclais moi aussi sur le lit tous honteux. Au bout d’un instant, un jet de sperme sous pression sortît de ces lèvres intimes quand il retira sa bite fièrement dressée, blanchie d’écume, de jus mêlés du con de ma femme, il lui demanda en me fixant:
- "Doris, montre à ton mec comment tu me aimes me nettoyer la queue..."
Doris se releva et se pencha sur son vît, je là regardais tandis qu'elle léchait et pompait ses couilles, sa grosse tige charnue. L’odeur de sexe qui flottait dans la chambre est enivrante.
Après que José ait bien baisé ma femme, Il lui expliqua les règles auquel il se devait lui imposée, il la voulait complètement offerte et impudique, elle devait s’habiller un peu plus pute afin d'attirer l'attention des hommes, et même si elle ne devait pas les approcher directement, elle ne devait pas repousser leurs avances et toujours faire ce que lui voulais. Et à la maison, elle devait toujours être en déshabillé. Si quelqu'un frappait à la porte, elle devait l’accueillir sans se couvrir, lui demander d’entrer dans la maison, elle devait tenter de les séduire par tous les moyens possibles.
Plus tard, Doris m’avoua qu’un livreur de pizza était venu nous livrer ce jour là, comme il lui avait demandé, elle lui avait ouvert la porte nue, de sa vision, le jeune avait eu les yeux exorbités, elle avait dû en compensation de pourboire sucer la bite de ce jeune étudiant, certainement puceau, il avait joui très vite et en grande quantité, elle avait avalée le liquide qu’elle avait trouvée délicieux avant de ce voir remercier par lui, et de s’enfuir sur son scooter tous heureux de l’aubaine qu’il venait de vivre.
Ils se sont se doucher j’en ai fait de même à l’étage, puis les ai rejoint sur la terrasse, José a demandé à ma femme de mettre des bas, il adore ça, mais elle n’en avait pas emporté en vacances. Il a donc décidé que nous irions en acheter. Nous voila parti faire ces achats. Dans les rues, la tenue de mon épouse eu du succès, énormément d'admirateurs la regardait, José marchait en lui tenant la main alors que moi j’étais un peu en retrait, nous sommes entré dans un magasin de lingerie. José a choisi plusieurs paires de bas, dont une paire de bas résille rouge qui je trouvais faisait pute, mais je n’ai rien dit, il a choisi aussi deux portes jarretelles, mais en plus une guêpière et bien sur c’est moi qui ai dû payer.
Nous avons déambulé dans les rues de la ville José tenant mon épouse et moi derrière portant les paquets. Ils se sont arrêté à la terrasse d’un café, je me suis installé face a eux qui étaient côte a côte. Il lui caressait les cuisses en remontant la robe, les cuisses de ma femme étaient découverte, elle a voulu baisser sa robe amis, il lui a interdit. Je voyais qu’elle était un peu gênée. Le jeune serveur a regardé les cuisses de mon épouse en venant nous servir, il a du en parler aux autres car les deux autres serveurs sont passé à côté de notre table sans servir personne. Nous avons ensuite récupéré la voiture, José ma tendu les clés en disant:
-"Tu peux conduire?"
Il a fait monter ma femme à l’arrière et lui aussi. Pendant que je roulais je les voyais dans le rétro, ils s’embrassaient passionnément, goulûment, le bruit des salives me parvenait aux oreilles. José avait baissé les bretelles de sa robe et ses seins étaient sortis, le mec dans une camionnette les matait le temps d’un feu rouge. Il lui les pétrissait en pinçant le téton, d’un coup José a dit:
- "Suce moi petite pute... tu me fais bander, j’ai les couilles qui me font mal, tu dois me les vider". J’ai entendu le bruit d’étoffe que l’on ouvre, sûrement la braguette puis j’ai vu le visage de ma femme se baisser et le bruit de succion, j’ai réglé le rétroviseur pour la regarder pendant que José râlait de plaisir:
- "Hhhaaaa... oui vas y salope".
Je pouvais distinguer les veines gonflées de sa hampe disparaître derrières les lèvres maquillée de ma femme. Légèrement relevé, je fixais sa bouche prise par ce membre qui semblait presque trop gros pour elle. Je voyais les joues de Doris se serrer autour de son gland au fur et à mesure qu’il quittait sa bouche. Presque entièrement ressorti, son gland formait une sorte de champignon violacé à la base très évasée. Elle la sucé un bon moment puis je l’ai entendu prononcer un son inaudible, il jouissait dans la bouche de ma femme en lui disant de tout bien avaler, Doris déglutissait plusieurs fois comme impatiente avant de bien nettoyer sa verge de toutes traces. Tandis que je sentais la chaleur de mon propre sperme dans mon sous-vêtements.
Une fois arrivé à la maison, je me suis absenté les laissant seul pour aller à l’étage me changer. Quand je suis revenu, 15 minutes à peine après, j’eu comme l’impression que quelqu’un avait sonné à la porte.
José a demandé à ma femme en souriant de venir m’embrasser, ce qu’elle a fait langoureusement, sa salive chargée fortement d’effluve de sperme à pénétrée ma bouche, j’étais en manque, j’ai répondu à sa langue chargée de salive que je trouvais très gluante, ces lèvres très salées, il est intervenu quelques instant plus tard pour nous interrompre en me demandant d’aller chercher à boire et de ramener les cartons de pizzas, quand je suis revenu de la cuisine, José et elle étaient installé sur la banquette sur la terrasse, ma femme était nue aux côtés de José qui la caressait. J’ai déposé les boissons et des pizzas encore chaudes qui ne sortaient de ne je ne sais d’où, je me suis assis sur le fauteuil. Je regardais les mains de José caresser le corps de ma femme, allant de ses seins à sa chatte en passant pas ses cuisses, elle ronronnait de plaisir sous ses doigts. Puis il a baissé son pantalon exhibant sa grosse bite encore bandée et décalottée, il a fait monter mon épouse à cheval sur lui face à moi et elle s’est empalée sur sa bite d’un coups en me regardant, il la tenait par les fesses en la faisant monter et descendre, elle laissait sur sa queue les traces de son excitation, ils ont baisé un bon moment jusqu’à ce que je les entende jouir pratiquement en même temps. Quand elle c’est relevé, j’étais surpris de voir la quantité de sperme que ce mec produisait en permanence...Ils m’ont ensuite abandonné pour aller se changer. Je suis moi aussi monter, j’avais joui dans mon sous vêtement sans me toucher, je me suis doucher et me suis changer pour le repas. Quand je suis revenu sur la terrasse José faisait le barbecue, il m’a fait servir l’apero, nous avons trinqué alors que m’a femme n’était pas encore réapparue, il ne dit:
-"C’est vraiment une bonne chienne qui aime la bite et le sperme, ta femme... ça faisait longtemps que j’avais pas baisé une pute comme ça. ça ne te dérange pas au moins de me voir la baiser?"
-"non-non.... son plaisir est prioritaire pour moi....”
....dis-je un peu gêné.
-“Ça tombe bien, ce soir, elle veut dormir dans mon lit et toi tu dors la haut.”
José a appelé ma femme, elle est arrivée vêtue d’une courte jupe et d’un débardeur sous lequel elle avait les seins nus, elle ne portait rien non plus sous sa jupe. José la pelotait, l’embrassait durant l’apéro et ensuite durant le repas il me dit:
-“J’ai demandé à cette femelle de ne plus porter de sous vêtements, et... de ne plus se laver la chatte, je veux qu’elle se sente pute... qu’elle sente mon jus couler d’elle et sur ses cuisses en permanence... ”
J’ai du débarrasser ensuite alors qu’ils étaient enlacés sur le canapé. Quand j’ai eu fini, José m’a dit:
- "bon on va se coucher, à demain".
Ma femme m’embrassait en me disant:
-" A demain mon amour... merci... j'ai trop envie d’être à lui ce soir, surtout que je sais que ça t’excite de penser que ta petite femme va se faire baiser la chatte en feu par son amant..."
Puis elle partit avec son regard de coquine, je suis monté moi aussi dans ma chambre. je trouvai qu’elle n'en avais jamais assez, elle voulais qu'il la prenne sans cesse, choqué de la façon dont elle s’offrait sans retenue à lui. La jalousie me mordait au cœur, et je m’en voulais de t’avoir laissée partir. Dans la nuit je suis redescendu pour les voir, mais José avait verrouillé la porte d’entrée, j’ai du retourner me coucher frustré, je l’imaginais demain au matin, souillée, suintant la sueur le sperme et ses propres jouissances et je m’impatientais à l’idée de ses longues heures qui me séparaient de son retour. Quand je me suis levé le lendemain José prenait son café sur la terrasse:
-"Alors... bien dormi cocu, tu n’as pas pu jouer les voyeurs hier soir"
...me dit il en rigolant. Je ne disais rien devant mon café, Doris n’était pas levé, j’étais en manque, elle n’est venue que deux heures plus tard, elle m’a trouvée devant José en train de lui caresser la bite pour la préparer pour elle, j’ai voulu arrêter mais il m’en a empêché, il coulait de ces filaments sur ma main, il a demandé à ma femme après qu’elle est bu son café de venir le boire. J’ai du le faire jouir dans sa bouche, elle ma léchée les doigts et m’a embrassée avec la langue. Nous avons passé la journée sur la plage, José à côté de ma femme allongée qui la caressait en lui mettant de la crème. Ils étaient comme un couple et moi l’ami qui les accompagne.
L’imprégnation de son maillot de bain minimaliste laissait fuir la semence de son sexe pour se répandre sur ça serviette.
Le soir José avait invité deux de ses amis pour un barbecue, je sentais que la soirée risquait de déraper. Vers 19h00 les amis de Jose sont arrivé deux hommes de son âge, un grand maigre et un petit rondouillard à moitié chauve. Il m’a présenté comme un ami de sa fille et ma femme qui se préparait et allait bientôt arriver. Nous avons commencé à boire l’apéro, quand ma femme est arrivée, tout les regards se sont tournés vers elle, Doris portait une robe noire courte moulant et décolletée que je ne lui connaissais pas, visiblement avec le décolleté elle ne portait pas de soutien gorge, elle portait des bas noir acheté la veille dont on voyait les jarretelles du fait du moulant de la robe, elle était chaussée d’escarpins a talons très haut que je ne connaissais pas non plus. J’ai su plus tard que José avait pris ces vêtements dans les affaires de sa fille. Les deux types regardaient ma femme sans rien dire, José s’est levé pour la prendre par la main en disant "je vous présente Doris, l’épouse de Phil" il disait cela en déposant un baiser sur les lèvres de mon épouse. Les deux types m’ont regardé avec un sourire ironique. Mon épouse s’est assise sur la banquette à côté de Jose, ainsi assise sa robe dévoilait la lisière de dentelle de ses bas, les copains de José ne se gênaient pas de la mater surtout que José venait de poser sa main sur la cuisse de ma femme. Il lui a fait écarter les cuisses ce qui a fait remonter la robe au dessus des bas montrant les jarretelles et l’absence de culotte. Un des copains de José a dit:
- "Jolie...”
José lui a répondu:
-“Oui Doris est une jolie salope, son mari me la offerte contre le gite et le couvert pendant les vacances, en plus elle adore ce faire fourrer les orifices de sperme."
Les types m’ont regardé avant de retourner leurs regards sur ma femme. José a dévoilé ces épaules et ses seins nus, ses seins étaient dressés. Elle se laissait faire se laissant exhibée devant ces deux inconnus. J’ai du servir une nouvelle tournée d’apéro à la demande de José, pendant qu’il caressait ma femme devant ses amis. Puis il la faite lever et a défait la fermeture éclair de la robe dans son dos, celle-ci a glisser à ses pieds avec l’aide de José, ma femme était nue en bas porte jarretelles et talons devant ces hommes. Il a poussé Doris vers ses hommes, j’ai vu leurs mains se poser sur le corps de mon épouse, elle avait fermé les yeux. Leurs mains glissaient sur la peau nue, les cuisses, le ventre, les seins, elle gémissait déjà de supplice. Le petit gros a prit les deux seins à pleine main pour les pétrir, l’autre s’est levé et a embrassé ma femme femme a pleine bouche en lui pelotant les fesses. José s’était rassis en sirotant son verre. Les deux mecs étaient debout autour de ma femme, ils la palpaient sur tout le corps, ils se disputaient sa bouche, ses seins, ses fesses, ses cuisses sa chatte, des doigts la fouillaient devant et derrière, elle gémissait, elle râlait. Je n’en pouvais plus je bandais dans mon short. Doris a jouit sous les doigts de ces hommes. José s’est levé pour venir la libérer et l’embrasser en lui disant:
-“Tu es une belle salope.”
Les deux types étaient retournés s’asseoir. José la faite s’agenouiller a leurs pieds. Ils avaient sortis leurs bites bandés.
-“Demande moi l’autorisation de les sucer..." Lui dit José...
Doris lui a fait un signe de la tête que oui, mais ça ne suffit pas, alors le regard plein d’envie:
-”S’il te plaît José, j’ai envie de les vider...”
D’accord putain, appliques toi!”
Lui répondis t’il...
Elle a pris la bite du grand dans sa bouche en masturbant l’autre, il n’a pas été long à lui inonder la bouche de son foutre, elle a avalée avant de prendre en bouche la bite du petit gros. Lui a été plus long à venir, il tenait la tête de ma femme pour qu’elle avale bien sa bite, puis il a dit:
-“Ha c’est bon salope je jute....avale tout... Aaaarrrrggguuuu!!!”
Elle avalait la décharge de sperme qu’elle venais de recevoir puis léchait ses lèvres pour les nettoyer.
Puis elle est retournée fièrement de son travail accomplie s’asseoir à côté de José, celui-ci lui a tendu un verre. Après cet apéritif, nous avons mangés les grillades, elle est resté nue à table, des mains courraient sur elle, les hommes s’excitaient sans se soucier de moi. Après le repas, une fois la table desservie, il c’est tourné vers Doris:
-“Maintenant, tu dois leur dire que tu es une salope. Tu dois les supplier de te baiser. Tu dois leur demander de t'utiliser comme un sac à foutre.“
...Ordonna José.
Même si elle fus hésitante, elle sus en elle-même qu'il lui en fallait plus même si elle devait se conduire en pute. Alors elle cria:
-”Baisez-moi les garçons s'il vous plait.... Utilisez la salope que je suis... remplissez votre sac à foutre avec vos bites et votre sperme.”
José fît allonger Doris sur la table les cuisses écartées, sa chatte était inondée de mouille, bien que ces situations soient dégradantes et humiliantes, je dois admettre que je fus très excitée lorsque José suggéra à ses amis de sortir leurs engins.
Sa confession de salope et l'acceptation de ses désirs sexuels ont décuplé nos excitations.
Le grand a été le premier à la baiser il la tenait par les hanches, ses seins ballottaient sur son torse, elle gémissait, il est sorti pour éjaculer sur sa chatte et son ventre, il a été remplacé par le petit gros, qui a placé les jambes de ma femme sur ses épaules il la défonçait à coups de reins profond, il la tenait par les seins, il a jouit en elle. Pendant plus de deux heures ils se sont tout les trois succédés sur ma femme, elle a même été sodomisée plusieurs fois, elle a aussi été prise en sandwich, mais aussi par les trois en même temps, empalée sur un l’autre dans ses fesses, le troisième dans sa bouche. Ma femme était trempée de sueur et de foutre, dévastée par le nombre incalculable d’orgasmes qui l’avait traversés. Quand les copains de José sont partit, il l’a emmené avec lui après lui avoir demandé de venir m’embrasser, j’ai regagné la mienne ou je me suis branlé malgré la première ejaculation dans mon short.
Quand je me suis levé le lendemain en arrivant sur la terrasse, José était seul devant son café. Je me suis installé à la table me servant un café. José ma demandé si j’avais bien dormi et si la soirée d’hier m’avait plu. J’étais gêné mais je lui ai dit que oui ça m’avait excité de voir ma femme avec ses potes. Il m’a dit qu’elle dormait encore et qu’elle s’était endormie dès en se couchant, il m’a demandé si moi je m’étais endormi aussi ou si je m’étais branlé avant.
Je pensais que tout homme a besoin de vider son sperme dans la bouche ou dans la chatte d'une femme de temps en temps. Sans amour ou sentiments, il n'a pas besoin de se fatiguer à lui plaire. Tout homme cherche une femme prête à se faire baiser sans résister et sans rien attendre, une femme qui laissera sa bouche ou sa chatte utilisée par des hommes pour leur seul plaisir à eux. Ça m’excitais comme un fou de voir d'autres hommes abuser de ma femme, la voir offertes à d'autres comme une simple décharge de sperme. Tu ne feras pas l'amour, tu seras baisée, tu seras juste une bouche et une chatte disponible pour les hommes qui veulent se vider rapidement.
Pour aujourd’hui il prévoyait un après midi plage. Ma femme ne s’est levé que vers midi, elle nous a rejoint nue sur la terrasse, José la prise sur ses genoux en lui roulant une pelle et la tripotant, elle avait les jambes écartées, me montrent ses recoins les plus intimes, sa fente était encore baveuse de fluide inconnue, elle avait été malmenée certainement une partie de la nuit, elle était rouge vif, son puit d’amour complètement ouvert, je devinais sa rosette déformée, ses seins avaient été triturés, des traces sur ces joues , ses cuisses prouvaient qu’elle était encore souillés de sperme séché. Je les regardais faire excité.
Il lui dit:
-“Tu veut ma queue soumise?”
-“Oui, s'il te plait, baise-moi, baise ta salope...Je te promets que je serais ton obéissante décharge de sperme si tu me fais jouir. Je n'ai pas eu assez d'orgasme la nuit dernière, même avec tous ces hommes qui m'ont baisée. J'ai juste besoin d'être bien baisée maintenant pour jouir. Ensuite, tu pourras laisser qui tu m'utiliser comme un « sac à foutre », cela m'excitera.”
Puis il l’a entraînée pour qu’ils aillent prendre une douche ensemble. Par la petite fenêtre de la salle de bain qui était ouverte, j’ai entendu l’eau couler et les gémissements de ma femme, à leurs retours, Doris semblait détendu avec une chatte satisfaite qui perlait de sperme.
L’après midi sur la plage dans une petite crique, José avait donné un nouveau maillot de bain à ma femme, il couvrait légèrement sa poitrine, et pour le bas, juste son clitoris était couvert du frêle tissu, laissant ces lèvres intimes a l’air libre, elle s’allongeait sur sa serviette, il lui a passé de la crème sur tout le corps. Je bandais comme un con sur ma serviette à côté. Des types sur la plage mataient ma femme qui était les jambes ouvertes à sa demande... un moment José lui a demandé si ça pute mouillait, elle lui dit :
-"Énormément... ma chatte est faite de braise...”
En fin d’après midi nous sommes rentrés, la soirée a été calme. Vers 22h00, ils sont allés se coucher, me laissant seul. Rapidement j’ai entendu les gémissements... les cris de ma femme. Je me suis approché de la chambre, mais la porte était fermée, je pouvais juste entendre les gémissement et ma femme dire:
- "José doucement tu me fais mal" et lui de lui répondre...
“-“J’aime ton cul Doris.... c’est bon de t’enculer salope...“
D’entendre ça je me suis branlé en jutant rapidement une nouvelle fois sur le carrelage. Je suis ensuite monté me coucher.
Au réveil quand je suis descendu sur la terrasse José était déjà là tout seul:
-“Bonjour cocu bien dormi...?“
...m’a t’il dit. Puis il m’a dit qu’il devait aller récuperer des colis, que comme ma femme était fatiguée on allait la laisser dormir et y aller ensemble. Après le petit déjeuner je suis allé me doucher et m’habiller. Je l’ai rejoint et nous avons pris sa voiture. Je ne disais rien, en conduisant il a posé sa main sur ma cuisse en me disant:
-"Ça va pas...? tu fais la gueule?"
Je fis non avec la tête, sa main est remonté sur mon short il a palpé ma bite au travers. Ce salaud m’a fait bander mais il m’a lâché en rigolant. On était arrivé, j’ai vu qu’on était chez un de ses potes de la soirée. Les paquets ont été chargés et on est rentré boire un coup. José a dit à son copain, que ma femme était encore au lit, car elle était fatiguée. Son pote en souriant a dit:
-"Tu la baises trop cette salope, mais t’as raison elle est bonne..."
de les entendre parler comme ça de ma femme, ça me troublait. Ils se foutaient carrément de ma gueule....
Quand nous sommes retournés, Doris attendait nue sur la terrasse, elle se demandait où nous étions passés. José lui a dit qu’il devait récupérer des paquets chez son pôte et qu’on avait traîné un peu car j’avais sucé son pote et il m’avait enculé. Ma femme m’a regardé en souriant très surprise, je suis monté honteux et suis allé me doucher. Je n’étais pas bien d’avoir été traité comme ça par José et son copain, en sortant de la douche ma décision était prise, je suis redescendu voir ma femme et lui dire que je voulais qu’on parte, mais elle a refusé, disant qu’on passait de bonnes vacances.
Après le repas, José a proposé d’aller faire un tour sur la côte, j’ai refusé en disant que je préférais rester me reposer, il a rigolé en me disant:
-“Tu as raison repose toi, nous on va aller se faire une ballade en amoureux..."
A 14h30 ils sont partis. Au fil du temps je me demandais ce qu’ils pouvaient faire, ou ils étaient, ce que José faisait à la femme de ma vie.... Je me suis masturbé, imaginant José, la baisant , dans une crique, peut être même devant des voyeurs, ou qu’il l’offrait à ses inconnus qui la baisaient à leur tour... A 19h00, j’ai préparé l’apéro en prévision de leur retour. A 20h00 ils n’étaient toujours pas là, j’ai appelé ma femme sur son portable, mais suis tombé sur son répondeur. A 21h00 pareil, j’en était à mon 4ème whisky, je me demandais ce qu’ils faisaient, qu’est ce que José avait inventé pour ma femme, j’ai baissé mon short et me suis une nouvelle fois branlé. A 23h00 passablement ivre, je suis allé me coucher, une nouvelle branlette et je me suis endormi. Je me suis réveillé vers 9h00 le lendemain, avec la bouche pâteuse et un mal de crâne. Je suis descendu voir si la voiture de José était là, oui elle était là, ils étaient donc rentré, mais à qu’elle heure, qu’avaient ils fait tout ce temps. Pourquoi José n’était il pas levé, je suis aller voir dans la chambre, la porte n’était pas fermée, je l’ai poussé ils dormaient nus enlacés. Soulagé mais jaloux je refermé la porte et suis allé préparer mon café. Vers 10h00 José est apparu nu sur la terrasse. -“Salut Phil, tu t’es bien reposé hier, tu as bien dormi?"
J’ai marmonné un:
- "oui...”
Il s’est assis en me disant:
- "Ta femme est officiellement une bonne pute... qu’est ce qu’elle aime la bite...”
Je me suis levé et suis parti prendre une douche, José rigolant en me voyant comme ça. Quand je suis redescendu un peu calmé, ma femme était levée, elle était nue aussi. Quand elle m’a vu elle s’est levée et est venue m’enlacer en m’embrassant et me disant:
-“Bonjour mon chéri, ça va, tu ne t’es pas trop ennuyé hier, tu ne nous a pas trop attendu?... mon portable était déchargé...”
elle m’embrassa, j’étais heureux... Puis en buvant le café, elle m’a dit que José l’avait emmené hier soir dans une boite libertine, ou elle avait fait l’amour avec plusieurs hommes mais aussi des femmes. Je sentais ma bite durcir sous mon short. Puis elle m’a dit:
-"il faudra qu’on y aille chez nous aussi."
Son amant s’était installé sur la banquette, il a dit:
"Viens me sucer...j’ai envie de ta bouche...”
ma femme s’est levé et agenouillée devant José et je l’ai regarder sucer la belle bite de José. Il m’a dit:
-"Vas-y... branle toi cocu, je sais que tu en as envie...”
J’ai baissé mon short et me suis masturbé en regardant ma femme pomper son amant, elle adorait jouer avec ses couilles, j’étais sûre qu’elle n’en avait jamais vu d’aussi grosses en vrais, ce mec était un vrai taureau. Quand il a jouit dans sa bouche mon sperme giclait par terre. L’après midi on est resté à la maison nus tout les trois. Ils ont baisé deux fois devant moi sur le canapé et je me suis encore masturbé. J’ai aussi léché ma femme, à sa demande, je l’ai aidé à sucé Jose.... Le soir après le dîné, ils se sont allongés sur le canapé, elle lui dit qu’il était très excitée, il était allongé sur elle, frottant sa queue raide sur le pubis de ma femme, il la pénétrer d’un coup sans plus attendre, en la traitant:
-“De pute baveuse”
....qu’il n’avait jamais senti de vulve aussi dégoulinante...
Il était là, à lui ramoner la chatte, ses mains pétrissant ses seins, sa langue fouillant sa bouche. Il s’est ensuite redressé prenant appuis sur ses mains, la défonçant à grand coup de reins, il la prenait sans ménagement. Il lui a dit:
-Tu veux mon jus où petite putain? Dans ta chatte?"
Ma femme pour réponse enroulait ses jambes autour de ses reins, de ses mains elle s’accrochait à ses épaules puissante. Comme elle ne lui répondait pas, il continua...
-“Hein salope...c’est mon jus que tu veux dans ta chatte."
à ce moment là ma femme en jouissant une nouvelle fois lui crie:
-"Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii baiaaaaaiiissssee-moi!!!”
il a continué à la limer et a jouit à son tour inondant son con de son jus brûlant. il s’est retiré d’elle et s’est allongé, elle est allé se coller sur sa poitrine en lui caressant la bite légèrement ramolli, elle ramasse un peu de sperme du gland pour le porter à sa bouche et en écartant ses cuisses dans ma direction, sa chatte dégorgeait, engluée du foutre qui coulait en quantités sur le siège du canapé, elle devait sentir le sperme de son amant s’écouler vers son anus.
Elle ne parlait pas sur le moment et restait allongée. Je lui demandais:
-“tous va bien chérie?"
Elle me répondît:
-“tout va bien mon amour.... Je dois faire quelque chose... mon maître me l’a ordonné... viens lécher la chatte de ta petite femme mon cocu chéri... viens me faire un cunnilingus baveux... me nettoyer la chatte...”
J’ai cru qu’elle plaisantait sur le coup, mais pas du tout. Mon cœur s’est mis à batte à 250 pulsations sous l’effet de l’excitation et du dégout. Je me suis approché au bord du canapé, me positionner devant sa vulve rouge de la pénétration ornée de la blanche de coulée de sperme, les saillies laissaient sa chatte brulante.
J’ai mis le temps, mais j’y suis allé. J’ai passé ma langue sur le fluide de son amant et je l’ai étalé sur toute la moule de ma femme. La texture était collante et le gout était amer, j’avais surtout la bonne odeur intime de ma femme qui me remontait dans les narines, j'y ai pris du plaisir je la connais très bien quand elle est excitée. Ma femme a commencé alors a sortir sa langue et lécher une à une ses couilles...
-"C'est bien continue...bouffe moi les couilles ma pute..."
Sa bite un peu molle redevint rapidement massive, elle était presque collée a son visage, elle remonta ensuite sur le gland délicatement, il coulait déjà le salaud, elle le gouttait... le dégustait en couinant, puis très vite, elle c’est lâchée en enfonçant sa bite dans sa bouche. Je lui broutait le minou délicieusement, elle pouvait sentir ma langue aller profondément dans son trou alors que mes doigts titillaient son clitoris. Elle me tenait la tête de son autre main pendant que je lui nettoyais l’entrecuisse de ce mélange de sperme et et de mouille tiède au gout sucré. Au bout d’un moment, j’ai titillé son urètre, elle a joui très fort. Et alors que sa langue s’activait encore à lecher ses couilles, une premiere giclée de sperme c’est abattu sur son front et le début de ses cheveux, il continuait à la tenir fermement par les cheveux et secoua sa tête de droite à gauche pour mieux barbouiller son visage de ses nombreuses giclées de sperme. Elle le laissais faire dans un plaisir non dissimulée, son foutre s’abattait sur ses joues, ses lèvres, son menton... cette sensation de se faire souiller par ce liquide épais, chaud qu’elle semblait de toute évidence adorer, elle était réduite à l'état de vide-couilles...
Comme un maître l’aurait fait, il lui dit:
-“Ouvre la bouche....tu vas finir ton travail de pute en me nettoyant la queue....".
Elle était comme hypnothisée par sa bite, elle sentais certainement cette énorme quantité de sperme glisser doucement sur son visage, elle ouvrît sa bouche comme par reflexe, mais il avait raison, elle miaulait de plaisir, c'était un reflexe de pute soumise. Elle commença a lécher son gland, à se régaler vraiment du sperme restant, et inconsciement j'aurais voullue recevoir une giclée de sperme au fond de ma bouche, faire rouler delicatement ce liquide chaud et épais sur ma langue, le savourer avant de l'avaler. j'etais à genoux devant eux à lecher les gouttes de sperme qui avaient coulées le long de son visage sur le bord de ses lèvres pour atterrir sur son ventre. Le visage de ma femme souillée de son liquide, elle était belle, je comprenais qu’elle l’ai laissée se traiter comme une chienne.
Sa chatte était parfaitement propre, elle m’as tendu ses lèvres de miel, tâté de ma queue, caressée mon frein pour se rendre compte comme j’étais totalement excité, j’ai éjaculé immédiatement dans ces doigts que j’ai dû nettoyer ensuite. Elle m’a donné du plaisir d’une certaine façon, je vous passe les détails. J’ai eu un orgasme cérébral très fort.