- 10 mars 2011, 08:36
#275437
Depuis le temps que l’on en parlait, Samedi soir ma chère et tendre a sauté le pas.
Elle avait un rendez-vous « galant » avec un de ses collègues de bureau qui lui tournait autour depuis plusieurs mois.
Après s’être habillé elle est venue me montrer qu’elle avait volontairement « oublié » de mettre un string. J’étais dans un état d’excitation que je ne me connaissais pas ; ma petite queue (10 cm en érection) bandait ferme. Elle le remarqua, s’en saisit avec sa main droite, à travers mon caleçon, et en serrant fermement elle me dit, en me fixant droit dans les yeux :
- Toi tu es sage ce soir, c’est moi qui vais m’amuser. Peut-être que quand je rentrerais….
Puis elle me laissa là, penaud, laissant derrière elle les effluves de son doux parfum. Il était 21 heures.
23 heures, toujours aucune nouvelle…. Je trompais mon impatience et mon angoisse en surfant sur internet, mais mon imagination vagabondait. Je l’imaginais dans différentes postures, gémissant et criant de plaisir, prise par ce type que je ne connaissais pas.
Minuit, toujours aucune nouvelle. Prenant mon courage à deux mains, j’appelle sur son portable. Elle décroche, mais ne dit rien. Je l’entends juste gémir et commenter ce que son amant lui fait.
- Oui, vas y, bien à fond…… hummmmm ouiiii, ça me change de la petite bite de mon mari….. Oh mon dieu que ta queue est bonne, elle est si grosse……. Oui vas y par derrière……
Je n’y tenais plus, saisissant mon petit bout comme elle aime à l’appeler, je me branlais frénétiquement, jouissant en quelques secondes entre mes doigts.
Finalement, c’est à près de 3 heures du matin qu’elle rentra. Les cernes sous les yeux qu’elle arborait indiquaient qu’elle avait pris beaucoup de plaisir à cette aventure.
- Coucou petit bout, alors ça n’a pas été trop long ? Moi je n’ai pas vu le temps passer. Etje n’en peux plus. Il m’a épuisée. Au fait j’ai un cadeau pour toi, viens….
Elle s’assit sur le canapé du salon en retroussant sa jupe, afin de dévoiler sa si jolie chatte. Celle-ci était béante et trempée.
- Regarde petit bout, tu voulais être cocu, et bien tu l’es maintenant. Oui, c’est du sperme que j’ai dans la chatte et sur les poils. Il faudrait que j’aille me laver mais j’ai la flemme….. Tu veux t’en occuper ?
Je me levais pour aller chercher un gant de toilette, mais elle m’arrêta aussitôt.
- Non cocu, avec ta langue. Dépêches toi !
Je me pliais à sa volonté, totalement sous son contrôle, m’agenouillais et entrepris de nettoyer son entrejambe avec ma bouche. Cela sentait fort, c’était à la fois écoeurant et excitant. Je lapais comme un jeune chien, avalant le sperme qu’un autre avait laissé dans la chatte de ma femme.
Après quelques minutes de ce traitement elle me prit la tête entre les mains pour me redresser.
- Allez viens, tu as le droit aussi de me prendre.
N’y tenant plus je me ruais entre ses jambes pour insérer mon petit bout. Cruelle désillusion, elle était tellement dilatée que je ne ressentais presque rien, et elle non plus d’ailleurs. D’ailleurs elle coupa très vite court à mes velléités.
- Arrêtes, ça ne sert à rien, je ne te sents pas.
J’étais ravagé par l’humiliation, ce qui la fit éclater de rire.
- Allez petit cocu, viens que je te finisse.
Elle attrapa ma petite queue pour la branler. Après 3 ou 4 va et vient, je jouissais sous ses doigts et sous ses moqueries.
- De mieux en mieux, en plus tu deviens précoce…. J’ai bien fait de trouver un amant performant….. Allez, maintenant au lit, il m’a épuisé.
Elle partit se coucher, me laissant là au milieu du salon, à demi nu et mon petit bout à nouveau ridiculement flasque.
Elle avait un rendez-vous « galant » avec un de ses collègues de bureau qui lui tournait autour depuis plusieurs mois.
Après s’être habillé elle est venue me montrer qu’elle avait volontairement « oublié » de mettre un string. J’étais dans un état d’excitation que je ne me connaissais pas ; ma petite queue (10 cm en érection) bandait ferme. Elle le remarqua, s’en saisit avec sa main droite, à travers mon caleçon, et en serrant fermement elle me dit, en me fixant droit dans les yeux :
- Toi tu es sage ce soir, c’est moi qui vais m’amuser. Peut-être que quand je rentrerais….
Puis elle me laissa là, penaud, laissant derrière elle les effluves de son doux parfum. Il était 21 heures.
23 heures, toujours aucune nouvelle…. Je trompais mon impatience et mon angoisse en surfant sur internet, mais mon imagination vagabondait. Je l’imaginais dans différentes postures, gémissant et criant de plaisir, prise par ce type que je ne connaissais pas.
Minuit, toujours aucune nouvelle. Prenant mon courage à deux mains, j’appelle sur son portable. Elle décroche, mais ne dit rien. Je l’entends juste gémir et commenter ce que son amant lui fait.
- Oui, vas y, bien à fond…… hummmmm ouiiii, ça me change de la petite bite de mon mari….. Oh mon dieu que ta queue est bonne, elle est si grosse……. Oui vas y par derrière……
Je n’y tenais plus, saisissant mon petit bout comme elle aime à l’appeler, je me branlais frénétiquement, jouissant en quelques secondes entre mes doigts.
Finalement, c’est à près de 3 heures du matin qu’elle rentra. Les cernes sous les yeux qu’elle arborait indiquaient qu’elle avait pris beaucoup de plaisir à cette aventure.
- Coucou petit bout, alors ça n’a pas été trop long ? Moi je n’ai pas vu le temps passer. Etje n’en peux plus. Il m’a épuisée. Au fait j’ai un cadeau pour toi, viens….
Elle s’assit sur le canapé du salon en retroussant sa jupe, afin de dévoiler sa si jolie chatte. Celle-ci était béante et trempée.
- Regarde petit bout, tu voulais être cocu, et bien tu l’es maintenant. Oui, c’est du sperme que j’ai dans la chatte et sur les poils. Il faudrait que j’aille me laver mais j’ai la flemme….. Tu veux t’en occuper ?
Je me levais pour aller chercher un gant de toilette, mais elle m’arrêta aussitôt.
- Non cocu, avec ta langue. Dépêches toi !
Je me pliais à sa volonté, totalement sous son contrôle, m’agenouillais et entrepris de nettoyer son entrejambe avec ma bouche. Cela sentait fort, c’était à la fois écoeurant et excitant. Je lapais comme un jeune chien, avalant le sperme qu’un autre avait laissé dans la chatte de ma femme.
Après quelques minutes de ce traitement elle me prit la tête entre les mains pour me redresser.
- Allez viens, tu as le droit aussi de me prendre.
N’y tenant plus je me ruais entre ses jambes pour insérer mon petit bout. Cruelle désillusion, elle était tellement dilatée que je ne ressentais presque rien, et elle non plus d’ailleurs. D’ailleurs elle coupa très vite court à mes velléités.
- Arrêtes, ça ne sert à rien, je ne te sents pas.
J’étais ravagé par l’humiliation, ce qui la fit éclater de rire.
- Allez petit cocu, viens que je te finisse.
Elle attrapa ma petite queue pour la branler. Après 3 ou 4 va et vient, je jouissais sous ses doigts et sous ses moqueries.
- De mieux en mieux, en plus tu deviens précoce…. J’ai bien fait de trouver un amant performant….. Allez, maintenant au lit, il m’a épuisé.
Elle partit se coucher, me laissant là au milieu du salon, à demi nu et mon petit bout à nouveau ridiculement flasque.
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