- 09 juil. 2024, 13:53
#2809141
Cette histoire est totalement inventée mais correspond parfaitement à la manière dont j'aimerais découvrir réellement le candaulisme avec ma femme. Pour éviter que cette histoire ne soit trop longue à lire, je l'ai découpée en plusieurs parties.
En espérant que cela vous plaise...
Partie 1
Voilà, je me lance. C’est avec un brin d’anxiété mais aussi d’excitation que je me décide à écrire notre histoire. Elo et moi sommes mariés depuis une quinzaine d’années. Nous avons tous les deux la quarantaine… Plus proches de quarante que de cinquante. C’est un joli bout de femme, plutôt élancée et sportive, la peau légèrement dorée, des cheveux châtains qui lui tombent sur les épaules. Elle trouve ses seins trop petits mais aime ses belles fesses rebondies. Elle a des formes, de belles formes, c’est une femme, quoi. Les hommes se tournent parfois sur son chemin. Elle ne laisse pas vraiment indifférent la gente masculine, certainement son côté chic et sexy à la fois.
On se connait depuis plus de vingt ans. Nous sommes plutôt épanouis aussi bien amoureusement que socialement. On se dit tout, on partage tout, enfin je le croyais. Il y a un peu plus de sept ans, je m’en souviens comme si c’était hier, Elo rentre du boulot comme tous les soirs mais a le regard sombre. Je la questionne, elle ne dit rien, je m’inquiète. Je vois bien que quelque chose cloche. Je décide donc de ne pas la lâcher en croyant vraiment qu’une chose grave devait m’être annoncée. Ce n’est que le soir, dans le lit, qu’elle craque et éclate en sanglots. Elle me raconte qu’un de ses collègues qu’on connait plutôt bien et avec qui elle passe beaucoup de temps s’est approché d’elle dans l’ascenseur. Ils sont très proches et aiment être ensemble. Je le trouvais d’ailleurs hyper sympa…. Jusqu’à maintenant. Fin trentaine, brun, pas vraiment musclé mais pas vraiment maigrichon. Mec banal quoi. Avec du charme, il faut le reconnaître.
- Et alors ? il voulait quoi ?
- Je ne sais pas, on discutait boulot, on rigolait et lorsque les portes de l’ascenseur se sont refermées, il s’est approché de moi en souriant. Il a posé ses mains sur mes hanches. J’ai eu une bouffée de chaleur…
- Mais tu l’as repoussé ? Tu lui as dit de dégager quand même ? Il me connaît, en plus, ce con !
- Non…..
Ces trois lettres ont résonné dans ma tête. Ma femme n’a pas réagi…
- Il s’est encore approché de moi et avec sa main, il a dégagé les cheveux de mon cou. Sa main a glissé sur ma nuque et il m’a embrassé le cou en remontant vers l’oreille.
Elle éclate de plus belle en sanglots. Ma seule réaction sur le moment, c’est de savoir si elle a été plus loin. Sans même me dire qu’elle était peut-être pétrifiée.
- Mais tu as fait quoi ? Tu l’as repoussé ? T’as crié ou tu as essayé de sortir ?
- Non. Des frissons ont parcouru mon corps quand il m’a embrassé dans le cou. J’ai senti sa main se poser sur mon ventre et remonter doucement sur ma poitrine. Je sais que je ne devais pas, que je devais le repousser. Mais c’était plus fort que moi, je ne pouvais bouger. Je t’assure qu’à aucun moment, je n’ai voulu ce genre de choses avec lui. Je t’aime trop !
Je reste sans voix. Ma femme m’a trompé avec son collègue de travail dans un ascenseur. L’impression que tout mon monde s’écroule. Je n’ose même plus lui demander la suite. Savoir ce qu’elle avait fait. Je ne veux rien savoir, elle me dégoûte….
- Il s’est reculé de suite et s’est excusé en me disant qu’il ne savait pas ce qui lui était passé par la tête. Il s’est collé contre l’ascenseur et on est restés là, tous les deux pendant quelques instants sans se parler. Jusqu’à ce que la porte de l’ascenseur ne s’ouvre. Il est parti de son côté et a fini par m’envoyer un sms en me demandant de lui pardonner. Qu’il te connaissait et qu’il était vraiment désolé. Je n’ai pas répondu.
La seule réponse que j’ai pu faire à ma femme a été de lui dire bonne nuit. Rien de plus. Je me suis tourné de mon côté ruminant toute cette histoire. Elle, se tournant du sien, continuant à pleurer.
Des semaines se sont écoulées. Des semaines durant lesquelles, nous avons fait comme si de rien. Nous n’avons plus parlé de ça. D’abord distants, on a fini par doucement se rapprocher mais sans jamais en reparler. De mon côté, j’y pensais souvent. Surtout le soir. Cette scène, l’ascenseur, cet homme, ma femme, ses mains posés sur son corps, sa bouche posée sur son cou. Et surtout…. Les frissons. Je finis par conclure qu’elle a aimé ce moment. Et étrangement, plus je me disais qu’elle avait aimé ce moment, plus cette idée m’excitait. Voir sa femme avec un autre aurait dû me rendre fou de rage, de jalousie. Comment je pouvais me sentir excité ? Cette question me trottait dans la tête. Et les différentes recherches que j’allais faire par la suite sur le sujet allaient m’exploser au visage.
Le candaulisme… Mot inconnu jusque-là. Le plaisir de voir sa femme prendre du plaisir. Tout le contraire de la jalousie. C’est du partage, de la confiance mais ce n’est valable que lorsque le couple est solide, inébranlable. Sinon, t’exploses en vol. Je sais qu’on s’aime. Je sais que c’est solide. Sinon, elle me l’aurait caché. D’autant plus que, avec le recul, il ne s’est quasiment rien passé. Bien plus facile à dire, avec le recul… Mais sur le moment, j’étais loin de me dire ça.
A vrai dire, ce fantasme m’a bouleversé, voire même ébranlé. Cela remettait en cause mes principes, cela remettait en cause le semblant de macho que je pouvais parfois être. Je devrais peut-être remercier Thomas, ce con de collègue. Il m’a ouvert les yeux… Je devrais remercier ma femme de s’être laissée caresser et embrasser. J’aurais préféré qu’on découvre ce fantasme d’une manière plus conventionnelle, webcam, film porno ou autre.
A suivre...
En espérant que cela vous plaise...
Partie 1
Voilà, je me lance. C’est avec un brin d’anxiété mais aussi d’excitation que je me décide à écrire notre histoire. Elo et moi sommes mariés depuis une quinzaine d’années. Nous avons tous les deux la quarantaine… Plus proches de quarante que de cinquante. C’est un joli bout de femme, plutôt élancée et sportive, la peau légèrement dorée, des cheveux châtains qui lui tombent sur les épaules. Elle trouve ses seins trop petits mais aime ses belles fesses rebondies. Elle a des formes, de belles formes, c’est une femme, quoi. Les hommes se tournent parfois sur son chemin. Elle ne laisse pas vraiment indifférent la gente masculine, certainement son côté chic et sexy à la fois.
On se connait depuis plus de vingt ans. Nous sommes plutôt épanouis aussi bien amoureusement que socialement. On se dit tout, on partage tout, enfin je le croyais. Il y a un peu plus de sept ans, je m’en souviens comme si c’était hier, Elo rentre du boulot comme tous les soirs mais a le regard sombre. Je la questionne, elle ne dit rien, je m’inquiète. Je vois bien que quelque chose cloche. Je décide donc de ne pas la lâcher en croyant vraiment qu’une chose grave devait m’être annoncée. Ce n’est que le soir, dans le lit, qu’elle craque et éclate en sanglots. Elle me raconte qu’un de ses collègues qu’on connait plutôt bien et avec qui elle passe beaucoup de temps s’est approché d’elle dans l’ascenseur. Ils sont très proches et aiment être ensemble. Je le trouvais d’ailleurs hyper sympa…. Jusqu’à maintenant. Fin trentaine, brun, pas vraiment musclé mais pas vraiment maigrichon. Mec banal quoi. Avec du charme, il faut le reconnaître.
- Et alors ? il voulait quoi ?
- Je ne sais pas, on discutait boulot, on rigolait et lorsque les portes de l’ascenseur se sont refermées, il s’est approché de moi en souriant. Il a posé ses mains sur mes hanches. J’ai eu une bouffée de chaleur…
- Mais tu l’as repoussé ? Tu lui as dit de dégager quand même ? Il me connaît, en plus, ce con !
- Non…..
Ces trois lettres ont résonné dans ma tête. Ma femme n’a pas réagi…
- Il s’est encore approché de moi et avec sa main, il a dégagé les cheveux de mon cou. Sa main a glissé sur ma nuque et il m’a embrassé le cou en remontant vers l’oreille.
Elle éclate de plus belle en sanglots. Ma seule réaction sur le moment, c’est de savoir si elle a été plus loin. Sans même me dire qu’elle était peut-être pétrifiée.
- Mais tu as fait quoi ? Tu l’as repoussé ? T’as crié ou tu as essayé de sortir ?
- Non. Des frissons ont parcouru mon corps quand il m’a embrassé dans le cou. J’ai senti sa main se poser sur mon ventre et remonter doucement sur ma poitrine. Je sais que je ne devais pas, que je devais le repousser. Mais c’était plus fort que moi, je ne pouvais bouger. Je t’assure qu’à aucun moment, je n’ai voulu ce genre de choses avec lui. Je t’aime trop !
Je reste sans voix. Ma femme m’a trompé avec son collègue de travail dans un ascenseur. L’impression que tout mon monde s’écroule. Je n’ose même plus lui demander la suite. Savoir ce qu’elle avait fait. Je ne veux rien savoir, elle me dégoûte….
- Il s’est reculé de suite et s’est excusé en me disant qu’il ne savait pas ce qui lui était passé par la tête. Il s’est collé contre l’ascenseur et on est restés là, tous les deux pendant quelques instants sans se parler. Jusqu’à ce que la porte de l’ascenseur ne s’ouvre. Il est parti de son côté et a fini par m’envoyer un sms en me demandant de lui pardonner. Qu’il te connaissait et qu’il était vraiment désolé. Je n’ai pas répondu.
La seule réponse que j’ai pu faire à ma femme a été de lui dire bonne nuit. Rien de plus. Je me suis tourné de mon côté ruminant toute cette histoire. Elle, se tournant du sien, continuant à pleurer.
Des semaines se sont écoulées. Des semaines durant lesquelles, nous avons fait comme si de rien. Nous n’avons plus parlé de ça. D’abord distants, on a fini par doucement se rapprocher mais sans jamais en reparler. De mon côté, j’y pensais souvent. Surtout le soir. Cette scène, l’ascenseur, cet homme, ma femme, ses mains posés sur son corps, sa bouche posée sur son cou. Et surtout…. Les frissons. Je finis par conclure qu’elle a aimé ce moment. Et étrangement, plus je me disais qu’elle avait aimé ce moment, plus cette idée m’excitait. Voir sa femme avec un autre aurait dû me rendre fou de rage, de jalousie. Comment je pouvais me sentir excité ? Cette question me trottait dans la tête. Et les différentes recherches que j’allais faire par la suite sur le sujet allaient m’exploser au visage.
Le candaulisme… Mot inconnu jusque-là. Le plaisir de voir sa femme prendre du plaisir. Tout le contraire de la jalousie. C’est du partage, de la confiance mais ce n’est valable que lorsque le couple est solide, inébranlable. Sinon, t’exploses en vol. Je sais qu’on s’aime. Je sais que c’est solide. Sinon, elle me l’aurait caché. D’autant plus que, avec le recul, il ne s’est quasiment rien passé. Bien plus facile à dire, avec le recul… Mais sur le moment, j’étais loin de me dire ça.
A vrai dire, ce fantasme m’a bouleversé, voire même ébranlé. Cela remettait en cause mes principes, cela remettait en cause le semblant de macho que je pouvais parfois être. Je devrais peut-être remercier Thomas, ce con de collègue. Il m’a ouvert les yeux… Je devrais remercier ma femme de s’être laissée caresser et embrasser. J’aurais préféré qu’on découvre ce fantasme d’une manière plus conventionnelle, webcam, film porno ou autre.
A suivre...
Une première pour nous mais certainement pas une dernière... viewtopic.php?p=2203893#p2203893