[Kimilefty75]

Tout a commencé pour moi après une tentative d’échangisme entre deux couples novices mais curieux. Nous nous étions chauffés tous les quatre, nous en avions tous envie. L’après midi avait été interminable et le trivial poursuit n’était qu’un prétexte pour créer deux équipes.
Philippe était le plus averti, il avait multiplié les aventures avant de rencontrer Caroline, très jolie brune fine et un peu timide.
Elle était pour moi l’opportunité de ma deuxième expérience et je ne pensais qu’à cela, qu’au challenge qui se présentait à moi.
Pourtant Sandrine était la plus sexy, elle ne portait qu’un grand pull en laine qui cachait à peine juste un petit string.
Philippe grand métisse de père martiniquais avait toujours eu beaucoup de succès avec les femmes. Il caressait déjà à peine discrètement la belle poitrine gonflée de désir de celle qui allait devenir ma femme quelques années plus tard. Ils avaient pris la place sur le canapé alors que étions moi et Caroline sur la moquette.
J’étais déjà complètement dominé par la situation et je ne me rendais pas encore compte de l’importance future de ce qui était en train de se passer. J’étais plutôt terrorisé pour mon manque d’expérience qui m’occupait l’esprit mais je ne me suis pas dégonfler.
J’ai pris Caroline par la main, et je l’ai emmené dans la chambre. Nous nous sommes embrasser et caresser, c’était un petit modèle, quelque chose de totalement nouveau pour moi.
Très vite, des gémissements se sont fait entendre dans le salon.
Alors que je faisais glisser le jeans de Caroline, je ne sentais rien dans le mien, l’appréhension était grande. Puis nous avons entendu Sandrine jouir, tout est allé si vite, l’alchimie n’y était pas entre nous et les gémissements ont bloqué définitivement Caroline qui m’a demandé d’aller les arrêter.
Avec la lumière tamisée, ils ne m’ont pas vu rentrer dans le salon, ils étaient tous les deux nus, il la prenait en levrette. J’étais dans un état second et alors que je l’approchais, il a eu le temps de la retourner, elle m’a vu mais pas lui. Je ne l’avais jamais vu aussi belle, que ce soit son beau gros cul en levrette, comme sa silhouette brûlante les jambes écartés offerte sur le canapé. Philippe allait en reprendre possession… je les ai arrêté. Caroline était déjà dans l’entrée.

[zztop]

A suivre

[Erik74910]

Un début un peu difficile... mais j’imagine que ça va aller de mieux en mieux, ta belle à l’air de bien prendre les choses et la queue de votre ami... bientôt la suite?

[Dionysos06]

@Kimilefty75 bien compliqués ces débuts. Le libertinage et l'échangisme ne sont pas toujours un chemin tranquille. Quelle fut la suite de cette soirée ?

[Kimilefty75]

Une fois au lit, elle s’est blottie en silence, sa tête sur ma poitrine quelques instants. Quand elle s’est retournée, je crois qu’elle s’est endormie vite, pas moi. J’ai échangé quelques SMS avec Philippe. Nous nous demandions si tout allait bien. Quelques allusions ont été faites sur la soirée érotique que nous venions de vivre. Entre les banalités montrant notre inconfort à en parler, il était possible de percevoir que seule Caroline n’avait pas appréciée. Dans les semaines et les mois qui ont suivi, nos couples se sont évités.

Le lendemain nous n’en avons pas parler. J’avais envie d’elle mais j’appréhendais. Heureusement elle a prit les devants et le soir venu, Sandrine m’attendait perchée sur des talons, en bas résilles avec un magnifique serre taille pour mettre en valeur sans cul juste magnifique. Blonde, 1,73 m pour 60 kg, portant fièrement son 90C, elle en jetes et elle le sais.
Nous avons fait l’amour comme deux amants morts de faim, la soirée d’hier était encore proche. Pensait-elle encore à lui alors que je la prenais en levrette ?
J’ai fini par lui demander et les mots sont arrivées, francs, directs et crus. Piqué au vif, j’ai répliqué en l’insultant, ce qui lui a beaucoup plus. Elle m’a dit qu’elle adorait se sentir au centre de l’attention, au centre d’un jeu dont elle allait finalement dicter les règles. Un jeu qui lui prouvait combien je l’aimais tout en devenant grâce à lui un meilleur amant.
Je ne faisais plus l’amour à ma future femme mais je baisais une sorte de garce qui s’était faite tringler la veille par mon meilleur ami.
Elle s’est masturbée pour déclencher son orgasme en même temps que moi qui n’étais pas assez endurant. Nous nous sommes effondrés et tues.
Me sentant bien mais inférieur à la puissance de son amant d’hier, je voulais en faire plus. Je suis descendu tout en la tenant fermement par les hanches pour sentir son sexe impur dégoulinant de sperme bien à moi et pouvoir la lécher partout comme un bon toutou.
Quand elle s’est mise sur le ventre, elle fût surprise que j’en profite pour lui bouffer le cul, elle a dit que j’étais fou mais m’a laissée faire en souriant.
Tout était nouveau, il y avait plus d’excitation, plus d’envie, c’était plus intense. C’était comme si tout d’un coup, en 24h à peine, nous avions plus d’expériences tous les deux et que nous baisions mieux.

Avec Philippe, quand nous nous sommes finalement revus, il y avait comme une impression que rien ne s’était jamais passé. Caroline était partie. Avant tout cela, j’aimais qu’il me raconte ses aventures même si j’étais un peu jaloux de son succès, de sa vie sexuelle de trentenaire célibataire qui enchaînait les conquêtes. Sandrine m’avait toujours dit qu’elle ne sortirait jamais avec un salaud pareil. Maintenant, c’était elle, plus jeune que nous de 5 ans et dont j’étais la première expérience qui était pendue à ses lèvres voulant connaître les détails croustillants.
J’ai appris qu’il était passé à la parfumerie ou elle travaillait, la jalousie a commencé à me titiller, pourtant je sentais que la tension était retombée entre nous, nous ne voulions pas casser notre amitié retrouvée.

[Kimilefty75]

@dionysos06 l’échangisme pour commencer n’est effectivement pas le plus évident. Une femme est vite jalouse et elle veut toute l’attention. C’était le cas de Sandrine. Le trio a été le plus simple mais il n’est pas arrivé rapidement et c’était pas du tout tranquille. Pour le candaulisme qui s’est imposé comme une évidence ensuite, c’était encore plus troublant.

@Erik74910 Pourquoi difficile ?
Je l’ai bien pris aussi. Correctement doté par la nature comme puissant, ma pseudo panne ne m’a pas inquiété plus que cela vu les circonstances. Caroline plutôt fermée ne m’avait pas beaucoup aidé non plus alors que dans le salon ils se sont mis à baiser en 30 secondes.
Par contre effectivement elle a bien prise les choses par la suite comme de nouveau sa grosse queue dans la bouche .

@zztop j’essaye de simplifier la suite pour la rendre plus compréhensible et sympa mon niveau d’orthographe comme de grammaire ne m’aidant pas

[zztop]

Tu te débrouilles très bien

[Kimilefty75]

La suite est arrivée deux ans plus tard. Elle aurait soi-disant dit non alors que pour Philippe, elle l’allumait depuis un certain temps. Il ne comprenait d’ailleurs pas pourquoi elle lui résistait alors qu’elle m’avait déjà fait cocu à son enterrement de vie de jeune fille même si cela ne compte pas avant notre mariage.

Il était passé à l’improviste au moment où elle rentrait de la parfumerie. J’aurais du être là, l’occasion était trop belle comme ma garce en escarpin, bas et tailleur sexy. La grossesse récente lui avait donné des formes encore plus sympa.

Je crois sincèrement qu’elle ne voulait pas recommencer avec lui. Elle a aussi dit non car j’allais arrivée d’un moment à l’autre. Elle s’est laissée embrasser malgré tout croyant qu’il en resterait la mais ses grandes mains se sont jeter sur sa belle poitrine.
Elle a résisté à ses assauts mais elle ne portait pas grand chose sous son tailleur et quand il a volé, elle s’est retrouvé à moitié nu en bas et talon face à lui dans notre cuisine.

Sa main est descendu dans son string et elle a du écarter les cuisses pour se laisser pénétrer pas ses gros doigts. Elle a compris qu’il fallait aller jusqu’au bout et vite.
Elle mouillait déjà abondamment. Sa garde enfin baissée, il a pu la prendre par les cheveux pour la mettre à genoux, dégrafer son pantalon et lui enfourner sa bite dans la bouche. Devant sa soumission, il a pu se lâcher verbalement, la traiter de grosse salope sachant qu’elle n’en attendait pas moins.

L’excitation de risquer d’être surprise comme l’interdit de me faire cocu les ont probablement stimuler. Dixit Philippe, même s’il a du la forcer un peu au départ, elle était à fond quand elle a commencé à le pomper volontairement. Elle se touchait en même temps. Quand elle s’est levée et retournée vers le plan de travail de la cuisine, c’était, en baissant son string, pour l’inviter à ce qu’il se régale en finissant en elle et l’a sailli. Parfaitement cambrer sur ses escarpins, il m’a dit qu’elle se tortillait comme une chienne à chaque salve de foutre, et qu’elle a jouit avec lui. Il a senti ses contractions multiples, alors qu’il la remplissait et l’élargissait avec sa grosse queue.

Pourtant, Sandrine et moi, nous nous étions bien retrouvé, nous étions amoureux et nous baisions très bien. Je manquais juste d’un peu d’expérience, et c’était plus quantitatif que qualitatif.
Étant bavard, Philippe, mon meilleur ami à l’époque le savait. Il savait aussi qu’elle m’en voulait un peu de ne pas l’avoir touché pendant la grossesse alors qu’elle avait de grosses envies. Beaucoup d’hommes contrairement à moi la trouvait encore plus bandante à ce moment là. Philippe en faisait partie et ils avaient déjà couché plusieurs fois avec elle.

Comme pour me dominer, même s’il l’a fait bien bien après les évènements, Philippe me racontait tout en détail. Il m’a en fait apprit quelque chose d’essentiel avec les femmes, il faut s’imposer et ne pas gamberger.

[cristian70241]

@Kimilefty75 superbe histoire.

[Kimilefty75]

C’était il y a 20 ans, juste quelques mois après mon premier mariage. Le premier trio est arrivé facilement, j’ai été là, entre eux au bon moment (j’y reviendrais). Je l’ai offerte de bon coeur malgré mes doutes. Leur complicité était évidente et cela faisait des mois que nous baisions de façon bien plus qualitative. Elle était plus active et savait un peu plus ce qu’elle voulait et aimait.

Avec Sandrine, nous sommes resté marié 5 ans et quelquesoit les amants, cette forme de libertinage à sens unique nous a rapproché alors que d’autres choses de la vie nous ont éloigné. Après des années de célibats, je me suis remarié l’année dernière avec Kimi, mon sujet, ma Hotwife … pas encore partagée.

Après cette première soirée, nous n’avons pas eu le temps de gamberger. Philippe nous a invité chez lui les deux samedis suivants.
Nous en avions tous très envie, c’était cool. Quelques jours plus tard, il m’a demandé la permission de s’occuper d’elle sans moi. Il était aussi excité par ce qu’il avait déjà fait dans mon dos qu’avec ce que le grand jour permettrait en m’impliquant avec eux. Moi aussi j’en bandais et je l’ai laissé titiller mon esprit avant de lui dire en bluffant que je savais qu’il couchait déjà ensemble dans mon dos. Il était prit mais nous en avons ri. J’ai demandé quand et comment c’était arrivé de nouveau ? Je me suis mis à rire jaune, c’était il y a presque 6 mois et avant notre mariage le lendemain de son enterrement de vie de jeune fille et pas juste depuis un mois ou deux (j’y reviendrai aussi). J’ai du l’arrêté car je ne me sentais pas prêt. Le choc fût rude mais il m’a rassuré qu’il ne s’était plus rien passer ensuite ni au mariage ni pendant la grossesse mais bien trois mois après. Notre amitié n’a pas été détruite pour autant mais des rapports différents allaient s’établir. Nous avons lâcher prise avec celui qu’elle appelait son amant magnifique. Elle me disait : « tu sais, ce n’est pas un gentil … » et je partais dans les tours mais je respectais son jardin secret, il faut bien une part d’ombre et de mystère.

J’ai voulu tout savoir par la suite, revivre et jouir des événements avec eux. Cela pimentait divinement notre sexualité à deux comme à trois. Je n’étais souvent pas convié, un choix en commun, elle était plus à l’aise sans moi. Philippe n’était pas amoureux, c’était sa soumise et il voulait en disposer comme il l’entendait pour réaliser ses fantasmes. Nos limites résidaient dans notre bien être, notre feeling de ressentir l’amour de l’autre, notre couple. Je n’ai pas voulu qu’il l’a partage quand c’est devenu un fantasme pour lui comme pour moi. Si ce salaud n’ai pas respecté cette limite, l’interdit attire c’est bien connu, j’ai été partie prenante. Sandrine a aussi aimé découvrir d’autres hommes au passage car nous n’avions aucune expérience avant lui.

Je posterai si cela vous intéresse quelques moments bandants ou intéressant de cet époque. N’hésitez pas à me poser vos questions ?

[Erik74910]

sois-en certain, ton histoire nous intéresse beaucoup... et nous te remercions de nous la partager...

[Toto44]

@Kimilefty75

« tu sais, ce n’est pas un gentil … »

Elle voulait dire quoi avec cette phrase ?

Ton"ami" a l'air de ne pas respecter grand chose..

[Kimilefty75]

Elle faisait allusion à ce qui se passait quand je n’étais pas là Elle sous-entendait que j’étais trop gentil d’accepter cela y compris avec elle
Philippe ne lui demandait pas son avis même si elle y trouvait son compte d’être son jouet sexuel.
Il abusait clairement notamment en l’ayant partager à l’insu de notre plein gré

[Kimilefty75]

Je ne sais pas par où commencer pour la suite… tous ces moments sont très sympa à revivre en les écrivant.
Le premier trio ? Le deuxième chez lui ? La première fois qu’il a osé me demander si elle pouvait venir chez lui ?
Le jour où j’ai lâché prise, et je lui ai dit clairement qu’elle était totalement libre sexuellement y compris de suivre les fantasmes de Philippe si elle en avait envie.
La première fois où elle a flirter en ma présence.
Et bien d’autres …

[Olivierito]

Je vote pour "La première fois où elle a flirter en ma présence" !

[Kimilefty75]

Merci @Olivierito pour cet encouragement à partager.

Je vais finalement commencer par le commencement comme je l’ai fait dans mon précédent post qui évoquait la tentative d’échangisme.

Notre premier trio ensemble avec Sandrine gardera toujours une place de choix et un souvenir indélébile.

Je venais de déposer la petite chez mes beaux-parents quand je suis rentrée. Philippe était déjà là, fringant comme à son habitude.
Ce n’était pas la première fois que nous allions danser avec d’autres amis. Sandrine ne portait qu’un cache cœur blanc en V fin et léger qui dévoilait sa belle poitrine généreuse. Une petite jupe plissé et des sandales à la talon haut pour ses longues et jolies jambes.

Il n’était pas encore l’heure de sortir et j’ai débouché une bouteille de champagne, il y avait comme un aire de fête avant la fête, je les ai surpris.

Notre mariage et un enfant était là dorénavant pour me rassurer mais leur complicité était évidente, j’avais quelques doutes.
, ce n’était pas forcément étonnant après notre tentative de libertinage entre couple qui avait bien tourné pour eux. Je ne sais pas si c’est cet épisode qui m’est revenu en tête qui datait de plusieurs années maintenant , le champagne, ou de les voir si beaux, si proche sur notre grand canapé que je me suis senti presque de trop.

Il aurait pu lui poser la main sur la cuisse que cela n’aurait pas été surprenant et surtout j’en avais envie. Le trio m’est paru évident avec une puissante envie de passer à l’action.

L’heure d’y aller approchait, je gambergeais car aller où ? … et si on sautait ma femme tout les deux ? … Je me suis lancé un peu comme un défi… je me suis levé et j’ai décrété : « si on restait ici finalement ? ». nous avons échangé quelques phrases et sourires, tout le monde avait compris.

Il était déjà si proche, qu’il l’embrassa subitement, sa main remontait le long de sa cuisse qui commençait à s’ouvrir.

Surpris , frustré que cela commence si vite et sans moi comme excité, Je ne savais que faire, je devais aller me changer, je les ai interrompu en demandant à Sandrine : « tu pourrais peut-être nous mettre quelque chose de particulier ? »… Ce n’était pas nécessaire, avec deux doigts au fond de sa chatte trempée elle écartait déjà en grand les cuisses mais elle s’est exécuté … leurs bouches aussi humide que son sex se sont séparées sur un filet de bave. Je ne sais pas si Philippe avait entendu ou compris qu’elle allait s’exécuter, mais il était déjà sur ses seins … Elle me faisait des grands yeux : Oh tu as vu ce qu’il me fait ! Alors qu’il la pénétrait de plus belle avec ses gros doigts. Elle a réussi à se dégager, repris ses esprits. un peu de hauteur et de dignité en replaçant ses vêtements comme son string pour filer à l’étage se changer.

[zztop]

Ces récits sont passionnants, Sandrine étant particulièrement un bon sujet..

[Kimilefty75]

Effectivement une bonne libido et elle se laissait porter par les événements sans trop se prendre la tête… du plaisir avant tout

[Kimilefty75]

Je n’ai même pas répliqué quand Philippe m’a sortie une idiotie du type ; « Je ne veux pas que cela change quoi que ce soit entre nous.»

Elle est monté et je l’ai suivi, nous nous sommes enlacé, elle était toute douce, chaude, c’était divin de la tenir entre mes mains juste après, juste avant lui. Tu es fou m’a t’elle dit, notre complicité était parfaite. J’ai repris possession de sa bouche un court instant, c’était merveilleux. Alors qu’elle ajustait un serre taille noire, je l’ai regardé fasciner par son aisance. Dépêche-toi, me dit-elle, alors qu’elle enfilait ses bas.

Je prenais une douche quand elle venue dans la salle de bain. Elle s’est remaquillé, pragmatique elle a fait une queue de cheval avec ses long cheveux blonds. Sur ses talons, elle était cambrée et penchée en avant au dessus de la vasque. Son cul était divinement accueillant. Elle bougeait passant d’une jambe à l’autre, elle était en chaleur et piafait d’impatience de se faire culbuter. Elle se tortillait comme une chienne qui attend d’être prise. Il allait falloir que nous assurions.

Au-dessus de son serre taille parfaitement ajusté pour masquer ses petits défauts, j’apercevais ses seins lourd dans l’angle du miroir. Je bandais déjà aussi. Ses bas couture, sa ridicule et trop petit culotte transparente de quelques milligrammes, l’ensemble était un appel au crime, le rouge à lèvres en touche finale. Pour jouer le jeu, elle jouait le jeu, elle aurait fait bander en quelques instants une meute de mâles prêt à la prendre en gang bang.

Ces moments n’étaient qu’à nous deux, j’avais complètement oublié l’espace de quelques instants, l’homme métisse et puissant d’un mètre 85 qui attendait sagement dans le salon. Le rêve pour toute jeune femme en quête d’expériences sexuelles. Il avait beaucoup de succès et je n’allais pas tarder à comprendre pourquoi.

De mon côté, j’allais donner ma charmante épouse à ce premier salaud avant bien d’autres, ouvrir une boîte de pandore, il était trop tard pour faire demi-tour.

Perchée, elle était beaucoup plus grande que moi et elle se tenait droit, la poitrine gonflée de désirs. J’ai voulu l’enlacer, elle m’a repoussé, « un peu de patience, tu vas me démaquiller. »

Je ne voulais pas redescendre avec elle, je voulais qu’elle aille s’offrir, qu’ils prennent l’initiative pour commencer sans moi.

Elle a passé un déshabillé noir tout en transparence sur sa lourde poitrine nue, elle a tourné les talons et s’est diriger vers l’escalier … ils auraient pu être trois en bas que cela ne l’aurait pas dérangé plus que cela… aléa jacta es

[Claudomir]

Impressionnant

[Kimilefty75]

Vous en conviendrez tous, la première fois on s’en souvient bien, peu de romance est nécéssaire …

Pour que ce soit plus fluide et parce que j’avais envie de les surprendre comme un mari cocu qui rentre à la maison, j’avais décidé d’attendre un peu à l’étage.

Je n’entendais encore rien du haut de l’escalier et impatient, je n’ai pas tenu plus longtemps que ce que je tenais généralement quand je la baisais, c’est à dire deux à trois minutes maximum.

Quand je suis arrivée, elle était déjà en main la tête en arrière les cuisses grandes ouvertes. Philippe lui dévorait les seins en la doigtant comme tout à l’heure. Déjà sur le sol, le déshabiller de madame n’avait fait qu’une brève apparition, tout comme sa petite culotte et ses talons,. Droit au but et au sexe, ma blonde était nue sur le canapé avec juste son porte-jarretelles noire et ses bas assorti. A ma grande surprise, il était encore habillé, et c’est finalement moi qui est déboutonné mon pantalon en premier.

Je voyais clairement sa main puissante en prise directe avec le sex épilé de Sandrine. L’index dans son cul et le pouce pleine chatte, il lui secouait les deux orifices en même temps. J’avoue ne jamais avoir eu cette idée avant de le voir. Ni jamais réaliser ensuite avec mes petits doigts.

Elle me fixa une nouvelle fois avec des grands yeux qui me demandait sans rien dire ; mais qu’est-ce qu’il m’arrive …

Je suis monté debout sur le canapé, j’ai baissé mon boxer pour me faire sucer. Bien prise en main par son amant, elle n’était pas du tout concentrer sur mon sex qui entrait et sortait de sa bouche. Elle gesticulait sous les assauts de Philippe dont la bouche était descendu lécher son con. Je voyais bouger ses bras, il la défonçait avec ses deux mains, je suis sûre qu’elle encaissait plusieurs doigts devant et derrière.

Heureusement pour moi, j’avais droit à des coups de langues et elle me suçait volontiers entre deux spasmes de plaisir., elle bavait bien et de partout. N’en pouvant plus, j’ai entrepris de lui baiser la bouche en lui tenant la tête. Elle se laissait faire, Trama, tout était facile et simple. C’était divin, nous lâchions prise.

Par contre, lui il ne la baisait pas encore, il prenait son temps, un complice parfait qui s’y prenait visiblement très bien. Je n’avais vraiment pas imaginé cela. Lors de notre tentative d’échangisme, il l’avait pénétré très vite en missionnaire et il baisait à poil tous les deux sur le canapé.

J’ai réussi à me contenir avant que son amant la fasse venir en criant de plaisir. Il venait de la faire jouir de la même façon que je savais le faire, même si je ne lui avait jamais encore offert une queue dans la bouche en même temps.

Pour une fois, j’ai déchargé après elle bien au fond de sa gorge. J’avais envie de me régaler jusqu’au bout en lui tenant la tête comme on tient la tête d’une grosse pute. Son amant ne la lâchait pas non plus et elle s’agrippait au canapé comme à ma cuisse. Tenue de toute part, son orgasme a duré longtemps pour bien profiter et avaler mon sperme en même temps.

Je me serais bien fait nettoyer et lécher encore et encore, mais la salope me griffa douloureusement avant de me repousser.

Vengeance ou côté Sado Maso du candaulisme ?

Lui elle l’a laissé lui bouffer la chatte encore un peu avant de se dégager. Elle s’est recroquevillée sur le canapé, les mains entre les cuisses. J’étais à poil en face, un peu stupéfait et lui était toujours habillé mais pas pour longtemps.

À suivre …

[vinick24]

Super excitant, vivement la suite...

[Dionysos06]

@Kimilefty75 extrêmement excitant et très bien raconté. Tu décris parfaitement les états d'âme, les envies, les craintes, les appréhensions, les joies, l'excitation des protagonistes.

[Kimilefty75]

Sa chemise était grande ouverte quand il nous a servi une nouvelle coupe de champagne, si cela lui donnait un air décontractée, il n’était pas à l’aise. Sandrine s’était blotti contre moi et elle m’a embrassé. Souriante comme toujours elle a remarqué que son amant n’était plus là. Avant de s’éclipser pour faire un brin de toilette, joueuse, elle lui a passé la main sur le pantalon en lui disant : « Tu ne pars pas ».

J’ai remis mon boxer et mon t-shirt et nous sommes resté discuté entre hommes. Elle était bien sur au centre de la discussion mais pas un mot plus haut de l’autre, la tension était retombée d’un cran. C’était une première pour tous les trois, nous n’étions pas encore libertin à l’époque ou je fantasmais juste d’un trio avec elle et un ou plusieurs hommes sans connaître le terme candaulisme.

Quand nous avons entendu claquer les talons en haut de l’escalier, nous lui avons fait la surprise d’être fin prêt. En nous découvrant nu et au garde à vous, Sandrine sourit en se pinçant les lèvres. Après le premier acte réussi, elle était encore plus sûre d’elle pour attaquer le second et à trois cette fois. Elle était superbe, elle ne portait même plus de culotte sous le déshabiller transparent qui mettait en valeur ses gros seins comme sa chatte prête pour nos assauts.

La queue de Philippe était bien plus épaisse que la mienne qui se trouve dans la moyenne, elle était plus longue aussi mais surtout de forme bien différente en ogive. Elle s’est approché de lui puis accroupi pour attaquer une belle fellation, le prendre en bouche, elle m’a regardé, j’étais au premier rang.

A deux hommes c’est plus facile et j’ai réussi à tenir le coup, déjà intime avec nous deux, je ne l’avais jamais vu si active. Alors qu’elle le chevauchait, son amant a proposer de la prendre en sandwich.

Si cela n’a pas été facile, j’ai enfin senti nos queues se toucher en elle. Je ne savais plus ou j’étais mais j’étais bien dans son cul. J’ai réussi à aller et venir un peu, elle me sentait proche d’en finir et n’en pouvant plus elle m’a demandé de jouir, j’ai obéis. Sur le canapé la position n’était pas évidente avec notre manque d’expérience et nous n’arrivions vraiment à bouger. Peu importe, elle était bien prise entre nous, son mari venait de se lâcher dans son cul alors qu’elle roulait de pelles à n’en plus finir à ce beau métisse qui venait de me demande de sodomiser ma propre femme.

Bien qu’en période réfractaire, j’étais Sincèrement content qu’ils se régalent ainsi avec moi. Ils ne m’ont pas attendu pour continuer, il était très endurant, il dégageait de la puissance tout en douceur et quand il l’a placé de nouveau sur le dos, j’ai pu me délecter de voir ses seins balloter sous les va et vient de sa grosse queue. Avant qu’il ne lui donne tout son foutre, il a essayé de la faire jouir une nouvelle fois pour enfin se calé bien au fond de son vagin et jouir bruyamment. Sandrine était fier de son oeuvre.

Avachis tous les trois sur le canapé, je n’étais même pas jaloux qu’ils la caresse encore. J’étais fier de ma femme et d’avoir osé cela. J’avais l’impression d’être le maître de la situation. Il a fini par sentir qu’il était de trop et quand il s’est rhabillé, il nous a demandé si nous venions chez lui la semaine suivante. Nous n’avions rien répondu catégoriquement mais juste échangé des sourires qui en disaient longs.

Pas un mot dans la salle de bain mais une fois au lit, je l’ai enlacé, nous avons refait l’amour, doucement et amoureusement… quelques minutes divines, soft ou j’ai profité égoïstement de la plus belle jouissance de la soirée.

[Olivierito]

Magique, merci !

[Himeros79]

@Kimilefty75 après ce trio bien réussi, êtes-vous allés chez lui la semaine qui a suivi ?

[Kimilefty75]

@Himeros79 Merci pour votre intérêt … la question est revenue le lundi, c’est probablement moi qui en ai parlé le premier et il était clair que nous allions chez lui ce week-end là mais à cause de sa copine, bien que ne vivant pas avec lui, cela a prit un peu de temps.
Ente temps
il est revenu à la maison un soir où cela c’est décidé à la dernière minutes comme un coup de folie. Cela s’était encore très bien passé en un peu moins love et beaucoup plus brièvement, il sentait jeté sur elle et c’était plus bestial, pas de cunni, pas de préservatifs, beaucoup de plaisirs.
La première fois chez lui c’était quelques semaines plus tard et dans la voiture c’était étonnant. Il n’y avait aucun doute, aucune ambiguïté sur le pourquoi de notre soirée, ce qui rendait les choses terriblement excitantes. Sandrine c’était bien préparé depuis le milieu de la semaine, nous habitions à 45 bonnes minutes de voiture à la campagne et en chemin, nous étions excités comme si c’était notre premier dépucelage. Elle portait déjà sur elle tout ce qui va bien car pas question qu’elle aille se changer. Cette fois elle avait juste un petit tanga de secours dans son sac et des préservatifs.
Nous avions même fait l’amour la veille, nous faisions encore plus l’amour pendant cette période-là. À l’époque j’étais plutôt du genre qu’il vaut mieux que je fasse la veille pour tenir plus longtemps.
Je ne pense sincèrement pas qu’ils se sont revu dans mon dos, je n’étais pas encore au courant mais mon sixième sens me disait quelque chose sur leur liaison passée et je montrais des signes de jalousie devant leur complicité notamment lorsqu’il flirtait devant moi.

[Yomacampoz]

Un régal merci beaucoup

[Dionysos06]

@Kimilefty75 vraiment superbe et excitant. Merci.

[Kimilefty75]

Une fois chez lui, elle se dandinait, impatiente.

Je me souviens qu’il a prit un appel téléphonique de sa petite amie. Sandrine s’est précipité pour l’embêter à ce moment-là. Elle s’est assise sur lui

Quelques instants plus tard, elle étendait ses bras sur les montants de la cheminée, ce qui faisait remonter sa robe… une invitation pour qu’il vienne la caresser en dessous.

Je me souviens son sourire en approchant pour venir la tripoter. Nous étions tous les trois aux anges.

Nous avons fini très vite dans la chambre, comme les premières fois je voulais diriger et je parlais un peu trop à leurs goûts.

Sur son lit, allongé sur le côté, j’étais en train d’enculer ma femme et je continuais de parler, tout content de faire des choses comme cela avec eux, j’avais l’impression de faire quelque chose d’extraordinaire. Lui il lui prenait la bouche simplement.

J’ai joui, je leur ai laissé le lit libre pour s’exprimer, ce qu’ils ont fait.

Je les ai vu jouir à leur tour, c’était vraiment sympa.

Une excellente soirée de plus.