- Hier, 01:20
#2878138
Du chemin
Ce vendredi-là, à 15h30, la mairie s’est vidée, mais je suis restée, le cœur battant, sachant que Marc pouvait passer. Toute la semaine, il avait répété sa blague – « Vendredi après 15h30, juste toi et moi » – et hier, mon regard appuyé l’avait laissé sourire sans rien dire. J’avais mis une mini-jupe noire moulant mes hanches, mes cuisses épaisses gainées de collants sexy transparents, et un chemisier cintré pour ma poitrine opulente. Quand Marc a poussé la porte, casque sous le bras, sa chemise entrouverte dévoilant un torse luisant, il m’a fixée : « T’es encore là, Agathe ? On dirait que t’attendais quelqu’un. » J’ai souri, je profitais d’être la dernière à la mairie et d’en avoir les clés pour fermer la porte derrière lui. « Peut-être que oui, » ai-je murmuré, l’air s’alourdissant.
Il s’est approché, posant une main épaisse sur mon bureau, son odeur de sueur et de goudron m’enveloppant. Mon corps vibrait – ma peau blanche rosissait, mes bras ronds frémissaient, mes joues charnues s’empourpraient, ma poitrine massive ondulait, mes hanches généreuses et mes cuisses fermes tendaient ma tenue. Marc, montagne brute, contrastait : 1m85 de muscles noueux, peau d’ébène luisante, épaules larges, torse sculpté, avant-bras veinés et barbe rude face à ma douceur pulpeuse. « Les hommes devraient courir après les grasses comme toi, vous méritez les plus beaux étalons, » a-t-il lâché, sa voix grave me faisant frissonner. J’ai posé une main sur son torse, glissant jusqu’à sa ceinture. « Et si je te laissais deviner ce que je veux ? » ai-je répondu, audacieuse.
Il m’a soulevée sur le bureau, mes cuisses s’écartant, les collants crissant sous sa poigne. Nos bouches se sont trouvées, un baiser fougueux, ses lèvres pleines dévorant les miennes. Il a relevé ma mini-jupe, déchirant les collants d’un geste, dévoilant mes formes nues – pas de culotte. Quand son pantalon est tombé, j’ai vu son sexe, et une joie pure m’a envahie : long comme mon avant-bras (j'exagère mais quel engin!) , épais comme un poignet, d’un noir luisant veiné de puissance, un gland large palpitant d’envie – un chef-d’œuvre brut. « Laisse-moi le réveiller, » ai-je soufflé, me penchant pour le prendre en bouche, mes lèvres charnues l’enveloppant, ma langue dansant sur sa peau salée. « Concentre-toi sur ton plaisir, Marc, » ai-je murmuré entre deux succions, le sentant durcir encore, ses grognements rauques vibrant dans la pièce.
Il m’a relevée, ses doigts calleux glissant entre mes cuisses, massant mon clitoris avec une précision qui m’a fait gémir, mes chairs humides pulsant sous sa caresse. Mais je le voulais en moi, maintenant. « Prends-moi, » ai-je haleté, m’allongeant sur le bureau – mes cuisses épaisses ouvertes, mes seins lourds débordant du chemisier défait, mon ventre rond frémissant, mes bras charnus posés derrière ma tête, offerte dans une pose lascive. Marc, bandant fièrement, son sexe dressé comme une lance, m’a fixée, ses yeux noisette brûlants. Il s’est avancé, guidant son membre entre mes lèvres intimes, et d’un coup lent mais ferme, il m’a pénétrée, m’emplissant d’une chaleur brute. J’ai crié, mes hanches larges tremblant sous ses assauts, mon corps moelleux s’arquant alors qu’il allait et venait, ses mains agrippant mes cuisses gainées. Nos peaux claquaient, sa puissance contre ma douceur, et j’ai joui dans un spasme, lui se lâchant avec un grognement sourd.
La lumière tamisée du bureau municipal baignait nos corps en sueur, le silence seulement troublé par nos respirations encore saccadées. Marc, toujours en moi, releva la tête, ses yeux noisette plongeant dans les miens avec une intensité qui me fit frissonner. Ses mains épaisses, posées sur mes hanches généreuses, glissèrent doucement le long de ma peau, comme s’il voulait graver chaque courbe dans sa mémoire. Je sentais encore son sexe, massif et palpitant, niché au creux de moi, et un sourire involontaire étira mes lèvres.
« Agathe, » murmura-t-il, sa voix grave roulant comme un grondement sourd, « ta peau… cette blancheur, c’est irréel. On dirait du lait, ça brille presque sous la lumière. » Ses doigts remontèrent jusqu’à ma poitrine, effleurant mes seins lourds qui débordaient encore de mon chemisier défait. « Et ça… ton 105E, putain, c’est un rêve. Ils sont énormes, pleins, tellement vivants sous mes mains. » Il les soupesa doucement, un éclat de désir brut dans le regard, avant de descendre à nouveau ses paumes vers mes fesses. « Et tes fesses… épaisses, rondes, généreuses. Elles tremblent à chaque fois que je te prends, c’est comme si elles me suppliaient de les admirer encore plus. »
Je rougis sous ses mots, mon cœur battant plus fort. Sa franchise, sa façon de célébrer mon corps sans retenue, me faisait me sentir belle, désirable, puissante. Je posai une main sur son torse massif, sentant les muscles durs sous sa peau d’ébène luisante de sueur. « Marc… ton torse, c’est une œuvre d’art. Large, fort, comme sculpté dans la pierre. Chaque fois que tu bouges, je vois tes muscles rouler, et ça me rend folle. » Mes doigts glissèrent plus bas, jusqu’à son sexe encore dur, que je caressai doucement, le sentant frémir sous ma paume. « Et cette bite… tu sais tellement bien t’en servir. Longue, épaisse, elle me remplit comme personne, et tu la manies avec une précision qui me fait perdre la tête. » Je relevai les yeux vers son visage, captant ce sourire en coin, éclatant, qui illuminait ses traits rudes. « Et ce sourire… il me fait craquer, Marc. Il est chaleureux, malicieux, il me donne envie de tout avec toi. »
Il rit doucement, un son rauque et profond, ses mains serrant mes fesses avec une tendresse possessive. « Mes fesses, hein ? » répéta-t-il, ses pouces traçant des cercles sur ma chair moelleuse. « Elles sont tellement pleines, Agathe, elles appellent plus qu’un simple regard. »
Je saisis la perche, un frisson d’audace me traversant. Mes yeux pétillèrent alors que je me redressais légèrement, toujours perchée sur le bureau, mes cuisses épaisses encadrant son bassin. « Tu trouves ? Peut-être qu’on devrait jouer un peu plus avec elles, alors, » lançai-je, la voix basse et suggestive. « Elles ont peut-être envie de te sentir autrement… de te découvrir sous un autre angle. » Je laissai planer l’idée, mon regard glissant vers le sien avec une pointe de défi, l’invitant à comprendre ce que je sous-entendais – cette envie de sodomie qui grandissait en moi, et qu’avec lui, je me sentais enfin prête à explorer.
Marc arqua un sourcil, son sourire s’élargissant, dévoilant une lueur de curiosité et d’excitation. « T’es sérieuse, là ? » demanda-t-il, ses mains pressant mes fesses un peu plus fort, comme pour tester leur accueil. « Parce que si c’est ce que tu veux, Agathe, je suis partant. Avec toi, tout me tente. »
Je hochai la tête, un mélange de nervosité et d’impatience me nouant le ventre. « Oui, Marc. Avec toi, je veux essayer. » Et dans cet instant, je savais que cette nouvelle étape, avec cet homme massif et rassurant, allait marquer un tournant dans mon exploration de moi-même.
Ce soir-là, sur le canapé, ma robe moulant mes hanches larges et mes seins énormes, j’ai pris la main calleuse d’Antoine, le cœur battant. « Antoine, je veux reprendre le candaulisme. J’ai rencontré Marc, un homme incroyable, et on a craqué une fois à la mairie. Je m’en veux de ne pas t’en avoir parlé avant. Valides-tu, même après coup ? Et pour la suite ? J’ai un fantasme… la sodomie, mais seulement avec ton accord, mon amour. » J’ai cherché son regard, espérant sa confiance. Plus tard, je lui ai confié : « Avec Marc, c’était intense, mais j’aimerais le sentir sans préservatif. On a été prudents pour toi, pour nous. Des tests, tous les trois, pour être sans barrière, ça te va ? » Antoine a souri, caressant ma joue. « Si c’est sûr, je te fais confiance. Vas-y. » Son accord m’a libérée.
Le lendemain, j’ai envoyé un message à Marc, mon cœur battant alors que je tapais : « Marc, j’ai envie de toi sans rien entre nous, la prochaine fois. Des tests, ça te va ? » Sa réponse est arrivée vite, un simple : « Tout ce que tu veux, ma belle. Je passe au labo demain. » J’ai souri, imaginant déjà nos corps fusionnés, sa peau contre la mienne, sans retenue. Quelques jours plus tard, les résultats sont tombés – tous négatifs, un feu vert pour notre désir. J’ai pris rendez-vous avec Marc dans une maison de campagne à l’écart, un lieu où nos peaux pourraient se mêler librement. En attendant, je me surprenais à rêver de lui, de cette intimité totale, mes doigts glissant parfois sur mes fesses généreuses ou mes seins lourds, anticipant le moment où je le sentirais, brut, entier, dans une étreinte sans barrière, avec la bénédiction d’Antoine, mon roc, et la promesse d’un plaisir encore plus profond.
Le week-end arriva, et je me retrouvai dans une maison de campagne isolée, entourée de champs dorés, un refuge parfait pour Marc et moi. L’intérieur, avec ses poutres apparentes et son lit king-size drapé de lin blanc, vibrait d’une chaleur intime, amplifiée par les bougies qu’il avait allumées. Marc m’attendait, sa carrure massive emplissant l’espace, sa peau d’ébène luisant sous la lueur douce, son sourire en coin faisant battre mon cœur. Ma robe moulante rouge épousait mes courbes – mes hanches larges, mon ventre strié de grossesses, et mes seins énormes, débordant du décolleté, lourds et sensibles. « Agathe, t’es un rêve, » murmura-t-il, sa voix grave roulant comme une caresse, ses yeux noisette brûlant d’un désir contenu mais palpable. Je m’approchai, frôlant son torse sculpté, sentant déjà la tension sexuelle crépiter entre nous, un mélange de tendresse et de faim brute.
Il m’enlaça, ses lèvres trouvant les miennes dans un baiser lent, profond, où chaque mouvement semblait sceller notre connexion. Ses mains glissèrent sur mes fesses généreuses, les pressant avec une douceur possessive qui me fit frissonner. « Ce soir, pas de barrière, » chuchota-t-il, et je sentis mon corps s’embraser à l’idée de le sentir enfin sans rien entre nous, grâce aux tests qui nous avaient libérés. Je défis son pantalon, libérant son sexe – long, épais, veiné, dressé avec une puissance qui me coupa le souffle. Je m’agenouillai, le prenant en bouche, savourant sa chaleur, son goût musqué, mes lèvres s’étirant autour de lui. « Putain, Agathe… » grogna-t-il, ses doigts dans mes cheveux, tendres mais fermes, et je m’appliquai, le suçant avec ferveur, excitée par son plaisir. Mais je le voulais ailleurs, plus loin, plus intime.
Il me releva, ses mains défaisant ma robe pour révéler mon corps nu, mes seins lourds frémissant, mes fesses pleines offertes sous son regard affamé. « T’es tellement belle, » murmura-t-il, et il m’allongea sur le lit, sur le ventre, un oreiller sous mes hanches pour surélever mes fesses. La tendresse dans ses gestes – ses baisers sur ma nuque, ses caresses sur ma peau blanche – contrastait avec la tension sexuelle qui montait, son sexe frôlant ma peau, promesse d’un plaisir intense. Il prit un flacon de lubrifiant, et je le regardai l’appliquer, ses doigts massant son membre massif, le liquide clair coulant sur la tête large et rosée, glissant le long des veines saillantes jusqu’à la base, le faisant briller comme une arme d’amour. « On va y aller doucement, ma belle, » dit-il, sa voix un mélange de réconfort et de désir brut.
Il massa mes fesses avec une huile chaude, ses pouces glissant vers mon anus, détendant chaque muscle avec une patience infinie. Un doigt lubrifié entra, lentement, puis un second, ses mouvements précis m’arrachant des soupirs alors que je m’habituais, mon corps se souvenant des essais avec Brad. « Ça va ? » demanda-t-il, et je hochai la tête, murmurant : « Oui… prends-moi, Marc. » La tension était électrique, mon cœur battant à l’idée de cette première sodomie sans barrière, et je m’abandonnai, prête à tout lui donner. Il se positionna, la tête de son sexe – chaude, épaisse, nue – pressant contre moi.
« Attend, prends une photo pour Antoine, je sais que ça l'excitera » dis-je. Marc obéit et se remit à l'ouvrage. « Pousse doucement, » guida-t-il, une main caressant ma hanche, et je suivis, sentant une pression intense, suivie d’une douleur vive, presque brûlante, qui me fit tressaillir et serrer les draps. « Relaxe, ma belle, » murmura-t-il, s’arrêtant net, ses doigts caressant mes fesses pour me détendre, son souffle chaud contre ma nuque me ramenant à lui.
Je pris une grande inspiration, me concentrant sur sa voix douce, sur la tendresse de ses caresses, et la douleur s’adoucit, laissant place à une sensation de plénitude étrange, légèrement inconfortable mais intrigante. Marc avança par minuscules mouvements, son sexe nu glissant avec une prudence extrême, chaque centimètre amplifiant cette chaleur brute sans filtre. Mes fesses généreuses frémissaient sous ses poussées lentes, mes seins énormes frottaient contre les draps, et un plaisir diffus, mêlé d’une gêne persistante, commença à naître. Il était un baiseur hors pair, contrôlant son rythme avec une maîtrise qui me rendait folle, ses mains serrant mes hanches pour guider mes mouvements sans forcer. « T’es parfaite, Agathe, » grogna-t-il, sa voix rauque vibrant d’un désir contenu, et je me donnai à fond, cambrant mon dos, offrant mes fesses, mes soupirs se transformant en gémissements alors que mon corps s’ouvrait peu à peu.
« Ça va mieux ? » demanda-t-il après quelques instants, et je murmurai : « Oui… vas-y, un peu plus. » Il accéléra légèrement, ses assauts restant doux, sa puissance contenue pour ne pas me submerger, chaque mouvement calculé pour m’habituer à sa présence. La tension sexuelle était palpable, nos corps en parfaite synchronie, et je sentais chaque détail de son sexe – sa chaleur, ses veines pulsant contre mes parois – dans une intimité totale. Mes seins lourds frôlaient les draps, mes fesses tremblaient sous l’impact, et le plaisir, encore mêlé d’une légère gêne, s’intensifiait, profond, différent. Je m’abandonnai complètement, murmurant son nom, et Marc, sentant mon ouverture, grogna plus fort, ses mains crispées sur mes hanches. Une chaleur liquide, soudaine, m’envahit alors qu’il éjaculait en moi, son sexe pulsant à chaque jet, ajoutant une sensation nouvelle, presque bouleversante, à cette première fois. Un plaisir intense, plus intime qu’explosif, me traversa, me faisant frémir, et je m’effondrai doucement, comblée. Il ralentit, caressant mes fesses avec une tendresse infinie, puis se retira doucement, m’enveloppant dans ses bras massifs.
« T’étais incroyable, » murmura-t-il, son sourire éclairant la pièce alors qu’il m’embrassait le front. Nous nous sommes levés, encore frémissants, et il m’a guidée vers la salle de bain attenante, où une douche spacieuse nous attendait. Sous le jet d’eau chaude, nos corps se sont enlacés, l’eau ruisselant sur mes seins énormes et mes fesses généreuses, tandis que Marc savonnait ma peau avec une douceur qui prolongeait notre connexion. Ses mains glissaient sur mes courbes, ses lèvres effleuraient mon épaule, et je me sentais choyée, enveloppée par sa chaleur. Après nous être séchés, nous sommes retournés au lit, et je me suis blottie contre son torse massif, ses bras m’enlaçant comme un cocon. La chaleur de son corps, sa respiration régulière, et le souvenir de notre étreinte m’ont bercée, et je me suis endormie dans ses bras, comblée, sachant qu’Antoine, mon roc, vibrerait en entendant chaque détail de cette nuit où je m’étais donnée à fond, avec la bénédiction de notre amour.
A suivre ...