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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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par Bardoine
#2858845
Petit flashback pour une vieille anecdote.

Avant d’expérimenter le candaulisme avec mon conjoint, alors que cela n’était encore qu’un fantasme, mon mari et moi préparions un déménagement.

Un matin, un employé de la société de déménagement était venu déposer des cartons chez nous.
C’était un beau gosse, châtain clair, environ 1m90, musclé, dans la force de l’âge, sans doute entre 25 et 30 ans. Toute la journée, je repensais à lui et son physique.

Le soir, Antoine et moi faisions l’amour avec entrain, et, dans l’élan du moment, il lâcha une phrase un brin clichée : "Il faut que je te démonte avant le déménagement."

Sauf que, dans mon esprit, ce n’était pas Antoine qui me "démontait", mais ce séduisant déménageur… Je l’imaginais en train de me soulever avec la même facilité qu’il pourrait porter nos cartons, me plaquer contre un mur comme une simple étagère à fixer, me faire trembler comme une vieille armoire mal vissée... Cette pensée m’excitait terriblement.

Je voyais Antoine savourer mon plaisir, mais ce frisson qui parcourait mon corps, cette tension qui me faisait me cambrer sous lui… il n’en était pas vraiment la source. Je savourais cette petite tromperie, douce et inoffensive, un fantasme caché entre deux coups de reins, comme un meuble renferme un tiroir secret.

Le jour du déménagement arriva, et, à ma grande tristesse, ce ne fut pas lui qui se présenta, mais d’autres déménageurs.
Heureusement, ils étaient tous aussi solides, tous aussi bien bâtis. De grands hommes aux muscles saillants, leurs bras fermes soulevant sans effort nos meubles les plus lourds. Je les regardais faire, fascinée par leur maîtrise, par cette manière presque sensuelle de manipuler les objets, de les basculer, de les emboîter pour optimiser l’espace dans le camion.

Un fantasme plus osé me traversa l’esprit… et si, cette fois, c’étaient eux qui me soulevaient, eux qui me démontaient, eux qui me faisaient perdre pied ? Une scène presque irréelle, où je me retrouvais, moi aussi, à être transportée, manipulée, vidée…
Mais je chassai vite cette pensée. J’étais encore trop prude pour fantasmer sur un plan à plusieurs. Trop sage pour imaginer qu’ils pourraient me livrer plus qu’un simple service.

Pourtant, alors que l’un d’eux me lança un sourire en coin après avoir porté un meuble particulièrement encombrant, je sentis une chaleur familière s’installer en moi. Peut-être qu’un jour, j’oserais aller plus loin… Peut-être qu’Antoine, lui aussi, prendrait plaisir à me voir être prise en charge par d’autres mains.

Mais ce jour-là, je me contentai d’observer, savourant à nouveau cette douce et délicieuse tension… Comme un meuble prêt à être monté, mais encore soigneusement emballé...

Fin du flashback
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par LeCouple
#2858871
@Bardoine Merci de cet interlude exquis, vibrations passées d'actes à venir
Bardoine a liké
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par Dionysos06
#2861056
@Bardoine merci pour ce retour en arrière si charmant et teinté d'un érotisme sage qui allait plus tard cesser de l'être.
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par Bardoine
#2867890
Un dîner qui dérape

Ce soir-là, un dîner chez nous avec Lucas et Sophie avait commencé comme une soirée ordinaire. Antoine avait débouché un côte-de-nuit, fier de son choix, et l’odeur du vin rouge se mêlait à celle de l’entrecôte grillée. Sophie, assise en face de moi, était magnifique : son corps athlétique moulé dans un chemisier mettait en valeur sa poitrine généreuse (90E), et une douceur presque magnétique émanait d’elle. Ses cheveux châtains ondulaient sur ses épaules, et son sourire me faisait fondre. Lucas, à ses côtés, avec sa carrure imposante et son air décontracté, semblait prêt à tout.

La conversation roulait tranquillement. Antoine, exploitant agricole, parla de son travail avec ses bêtes. « J’ai l’habitude de trouver des beaux taureaux pour mes vaches, » lança-t-il avec un rire, avant d’ajouter, les yeux pétillants, « et Agathe, c’est ma belle vache à moi ! » Je lui donnai une petite tape sur le bras, gênée mais amusée. Sophie révéla qu’elle était professeure, sa voix posée trahissant une intelligence calme. Moi, je glissai que j’étais secrétaire administrative à mi-temps dans une mairie, un job discret qui me laissait du temps libre. Lucas, lui, se présenta comme développeur freelance, ce qui collait à son allure d’homme libre.

Puis, Sophie changea l’atmosphère. Elle posa sa fourchette, se tourna vers Antoine avec un sourire doux mais ferme. « Antoine, merci pour ce dîner, c’est vraiment délicieux. Mais… pour la suite, je préférerais que tu nous laisses. Ce qu’on va faire avec Lucas et Agathe, je ne veux pas t’y inclure. » Sa voix était pleine de tact, presque caressante, mais sans appel. Antoine cligna des yeux, un peu déstabilisé, mais hocha la tête. « D’accord, je comprends, » dit-il en se levant, emportant son verre de vin pour s’éclipser dans la pièce voisine.

Quand la porte se referma, mon cœur s’accéléra. L’idée qu’il soit là, exclu mais si proche, me troublait. Ça me gênait, oui, mais ça m’excitait aussi, comme une vague chaude qui montait dans mon ventre. Sophie, elle, ne perdit pas de temps. « Franchement, je vais quand même pas coucher avec un cocu, » lâcha-t-elle, une dureté soudaine dans le ton, loin de sa douceur habituelle. Ces mots me frappèrent comme une gifle, et sur le moment, ils me firent frissonner de désir brut. Plus tard, en écrivant ça, je me sentirais mal pour Antoine, regrettant de ne pas avoir réagi à cette remarque cinglante.

Sophie se tourna vers moi, ses yeux glissant sur ma peau blanche qui brillait presque sous la lumière. « Agathe, ta peau… elle est si fraîche, si pure, » murmura-t-elle, ses doigts effleurant mon bras. « Ton physique, j’adore ça. Ces courbes, cette poitrine… » Elle désigna mon 105E avec une admiration sincère. Je rougis, flattée, mon pouls s’accélérant sous son regard. Lucas renchérit avec un sourire. « Elle a raison. Et moi, je suis bien membré, un vrai taureau, pas vrai ? » Sophie éclata de rire. « Oh oui, un sacré taureau ! »

A suivre ... :x
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par Dionysos06
#2868826
@Bardoine toujours très plaisant de lire tes récits si bien ciselés. Tu décris parfaitement les situations et les sentiments des participants ; et toujours avec beaucoup de tendresse pour tous ceux (et toutes celles) qui croisent ta route libertine.
Je vais, par contre, me montrer critique vis-à-vis de Sophie... du moins en fonction de ce que tu en dis dans ce début de récit. Je trouve son attitude par rapport à Antoine intentionnellement cruelle et méchante. Et il ne le mérite absolument pas. Elle manifeste un sentiment de supériorité vis-à-vis de lui parcequ'elle est professeure qui m'insupporte totalement. Sentiment inepte et déplacé car je doute qu'elle soit la grande intellectuelle que son orgueil croit qu'elle est.
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par Bardoine
#2869319
La suite du diner

L’air devint électrique. Sophie se leva, s’approcha de moi, ses doigts frôlant ma nuque. « On commence toutes les deux, » souffla-t-elle, son souffle tiède contre mon oreille. Elle m’entraîna vers le canapé, et je me laissai guider, le corps déjà vibrant d’anticipation. Ses mains, délicates mais assurées, déboutonnèrent mon chemisier, libérant mes seins lourds qui se balancèrent légèrement. Elle les prit dans ses paumes, caressant mes tétons avec ses pouces. Une chaleur douce monta en moi, et je sentis mes mamelons durcir sous ses doigts, un frisson me parcourant la poitrine.

Lucas, assis à côté, tendit une main pour effleurer mes cuisses pleines, remontant doucement vers mes hanches. Il ne faisait que caresser, pour l’instant, et j’aimais cette retenue qui laissait Sophie prendre les devants. Elle pencha la tête, ses lèvres capturant un téton, le suçant avec une lenteur qui me fit gémir. Sa langue tournait autour, humide et chaude, et je sentais mon sexe pulser sous mon jean, une moiteur grandissante entre mes jambes. Puis, sa main glissa vers mon entrejambe, frottant mon clitoris à travers le tissu. « T’es déjà toute mouillée, » murmura-t-elle, un éclat coquin dans les yeux.

Je n’en pouvais plus. Dans un élan, je l’attrapai par les épaules et l’embrassai voracement, ma langue plongeant dans sa bouche avec une faim brute. Sophie gémit, surprise, ses mains s’emmêlant dans mes cheveux. Elle défit mon pantalon, glissant deux doigts dans ma chatte trempée. Ils s’enfoncèrent doucement, explorant mes parois humides, et elle trouva ce point sensible qui me fit tressaillir. Ses mouvements étaient lents, précis, et je sentais la pression monter, une boule de plaisir qui grossissait dans mon bas-ventre. Mes hanches ondulaient d’elles-mêmes, mes seins lourds frémissant à chaque vague, et je jouis dans un cri étouffé, les cuisses tremblantes, le corps secoué par une déferlante de chaleur.

À peine remise, je voulais la goûter. « À toi, » soufflai-je, encore essoufflée. Sophie s’allongea sur le canapé, écartant les jambes avec une assurance naturelle. Son corps athlétique était sublime : ses cuisses fermes, son ventre plat, et ses seins généreux qui pointaient sous son haut relevé. Je baissai son legging et sa culotte, découvrant sa chatte lisse, déjà brillante d’excitation. Je posai ma bouche dessus, humant son odeur musquée avant de glisser ma langue entre ses lèvres. Elle était chaude, humide, et son goût salé me fit frissonner.

Je léchai son clito, doucement d’abord, puis plus fort, le sentant gonfler sous ma langue. Sophie gémissait, ses doigts tirant sur mes cheveux, et je la sentais se tendre, son bassin se pressant contre mon visage. Je suçai son bouton, l’aspirant entre mes lèvres, et elle jouit dans un cri aigu, ses cuisses se refermant autour de ma tête alors que son corps tremblait.

Quelque part derrière la porte, je savais qu’Antoine était là, mon cocu adoré, peut-être le verre à la main, écoutant mes gémissements étouffés. L’idée qu’il soit réduit à ce rôle, exclu mais témoin malgré lui, me pinçait le cœur autant qu’elle m’enflammait. Il avait accepté ça, mon plaisir avec d’autres, mais ce mot, "cocu", que Sophie avait lâché si durement, résonnait dans ma tête. Ça m’excitait, oui, mais une petite voix me soufflait que je le regretterais plus tard.

Sophie, encore haletante, se redressa et lança un regard malicieux à Lucas. « Hé bé, mon taureau, on t’oublie ? » dit-elle en riant. Il était resté en retrait, mais son boxer tendu trahissait son excitation. Sophie et moi nous approchâmes à quatre pattes sur le tapis. Elle baissa son sous-vêtement, libérant sa queue massive, longue et épaisse, les veines saillantes sous la peau tendue. « Putain, quel engin, » murmurai-je, fascinée par sa taille.
On s’y mit ensemble. Sophie le prit en bouche, ses lèvres s’étirant autour de son gland luisant, tandis que je léchais ses couilles pleines, les caressant avec ma langue. Puis on échangea : je fis glisser ma langue le long de sa verge, savourant sa chaleur et sa fermeté, avant de le prendre dans ma bouche. Il était si gros que mes joues se creusaient, et je sentais son pouls battre contre ma langue. Sophie, à côté, le branlait à la base, ses doigts serrés autour de son manche. Lucas grognait, ses mains crispées sur nos têtes, et je sentais son sexe gonfler encore, prêt à exploser.

Sophie, encore haletante, se redressa et lança un regard malicieux à Lucas. « Hé bé, mon taureau, on t’oublie ? » dit-elle en riant. Il était resté en retrait, mais je sentais ses yeux sur moi, détaillant mes formes avec une intensité qui me faisait frissonner. Son boxer tendu trahissait son excitation, mais ce qui me troublait davantage, c’était la façon dont il admirait mes courbes – mes hanches pleines, mes seins lourds qui débordaient presque de mon chemisier entrouvert. Il ne disait rien, mais son regard parlait pour lui : il aimait ce qu’il voyait, et ça me donnait une assurance brûlante. Sophie et moi nous approchâmes à quatre pattes sur le tapis, et elle baissa son sous-vêtement, libérant sa queue massive, longue et épaisse, les veines saillantes sous la peau tendue. « Putain, quel engin, » murmurai-je, fascinée par sa taille, tandis que ses yeux ne quittaient pas mon corps.

On s’y mit ensemble. Sophie le prit en bouche, ses lèvres s’étirant autour de son gland luisant, pendant que je léchais ses couilles pleines, les caressant avec ma langue. Lucas grogna doucement, et je levai les yeux pour croiser son regard : il me fixait, un sourire discret au coin des lèvres, comme s’il savourait autant mes courbes que mes gestes. Puis on échangea : je fis glisser ma langue le long de sa verge, savourant sa chaleur et sa fermeté, avant de le prendre dans ma bouche. Il était si gros que mes joues se creusaient, et je sentais son pouls battre contre ma langue, ses mains se crispant sur nos têtes. Sophie, à côté, le branlait à la base, ses doigts serrés autour de son manche, et je voyais dans ses yeux qu’il appréciait chaque ondulation de mon corps, chaque tremblement de mes seins pendant que je m’activais. Son sexe gonflait encore, prêt à exploser, et je me sentais désirée comme jamais.

Sophie s’allongea sur le dos, écartant les cuisses. « Viens, mon taureau, » l’appela-t-elle. Lucas se plaça entre ses jambes, frottant sa queue contre sa chatte avant de s’enfoncer lentement. Elle gémit fort, ses seins rebondissant à chaque coup de reins, mais même là, je sentais qu’il me jetait des coups d’œil, admirant la façon dont mes formes s’étalaient sur le tapis. Il se retira, encore raide, et se tourna vers moi, ses yeux plongeant dans les miens avec une lueur de désir brut.

Je me mis sur le dos, jambes écartées, offrant ma chatte trempée. Lucas s’approcha, ses mains puissantes agrippant mes hanches pleines, et je vis son regard s’attarder sur mes cuisses épaisses, mon ventre rond, mes seins qui s’étalaient sous leur propre poids. « T’es magnifique, » murmura-t-il, presque pour lui-même, avant d’entrer en moi doucement, laissant mon corps s’habituer à sa taille. Chaque centimètre me remplissait, étirant mes parois avec une pression délicieuse, et je gémissais à chaque mouvement, sentant ses yeux me dévorer autant que son sexe me prenait. Il accéléra, ses coups devenant plus profonds, plus rythmés, et je sentais mes seins lourds tanguer sous l’assaut, une chaleur intense irradiant de mon ventre. Sophie glissa une main entre nous, frottant mon clito avec ses doigts agiles, et je perdis pied. L’orgasme me frappa comme une vague, mes cuisses tremblant autour de Lucas alors qu’il continuait à me pilonner, son regard toujours fixé sur mes courbes qui s’agitaient sous lui. Il grogna, son sexe pulsant en moi, et je sentis ses jets chauds me remplir, prolongeant mon plaisir dans une extase brûlante.

Et pourtant, en cet instant, alors que mon corps vibrait encore sous l’étreinte de Lucas, une pensée me traversa. J’aime Antoine, profondément, d’un amour qui dépasse ces moments de chair. Mais ce qu’il ne peut me donner, cette sauvagerie, cette intensité brute qui me fait me sentir vivante, c’est ce que le candaulisme m’apporte. Antoine, avec sa tendresse et sa bedaine rassurante, ne peut pas rivaliser avec le physique de Lucas – ce mètre quatre-vingt-dix de muscles bronzés, cette puissance animale qui me submerge. Il le sait, et il m’offre cette liberté parce qu’il m’aime. Mais moi, j’ai besoin de ça, de ces taureaux qui me labourent là où lui ne suffit plus. C’est une évidence, une faim que je ne peux nier, même si mon cœur reste ancré à lui.
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par LeCouple
#2869326
@Bardoine
Très beau récit, comme à l’accoutumée une narration subtile entre action, ressenti et analyse... Merci et hâte d'avoir la suite, les ressentis de chacun... :cuck:
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par Bardoine
#2873418
Un petit final sympa

Quand Lucas jouit en moi, son grognement rauque résonnant encore dans mes oreilles, on s’effondra tous les trois sur le tapis, haletants, nos corps trempés de sueur et alanguis dans une chaleur pesante. Sophie caressa ma joue, ses doigts doux glissant sur ma peau moite. « Toujours aussi fraîche, même après ça, » murmura-t-elle avec un sourire complice. Lucas, un bras musclé autour de nous, riait doucement, son regard s’attardant encore sur mes courbes – mes seins lourds qui s’étalaient, mes hanches pleines qui frémissaient sous l’épuisement.
On resta là, silencieux, reprenant notre souffle pendant ce qui me sembla une éternité – peut-être quinze minutes, peut-être une demi-heure –, le temps de laisser nos corps se calmer, la tension retomber comme une vague qui reflue.

Puis Sophie brisa le calme. Elle se redressa, un éclat espiègle dans les yeux, et cria d’une voix forte : « Antoine ! Viens nettoyer Agathe ! » La porte s’ouvrit presque aussitôt, et Antoine entra, un mélange de surprise et de soumission dans son regard. Je le fixai, encore essoufflée, mon corps dégoulinant des traces chaudes de Lucas entre mes cuisses. Sophie lui lança un sourire narquois. « Allez, fais ton boulot, » dit-elle, une pointe de mépris dans la voix qui me fit frissonner. Antoine s’approcha sans un mot, s’agenouillant devant moi avec une douceur familière. Sa langue glissa sur ma chatte, lapant le sperme épais de Lucas qui coulait encore, et je frémis sous ce contact, un mélange de tendresse et d’excitation brute. Pendant qu’il s’affairait, Sophie me jeta un regard complice et murmura : « On va voir si notre taureau peut remettre ça. »

Elle se pencha vers Lucas, qui était encore avachi, sa queue ramollie luisant de nos ébats. Je la suivis, et on se mit à deux pour le sucer. Sophie commença, ses lèvres enveloppant son gland mou, tandis que je léchais la base, caressant ses couilles lourdes avec ma langue. Lucas grogna doucement, puis posa une main sur ma tête. « Vas-y, Agathe, fais-moi bander encore, » m’encouragea-t-il, sa voix grave et chaude vibrant dans mon ventre. Au début, il restait flasque, sa verge tiède et molle dans ma bouche, mais je m’appliquai, faisant tourner ma langue autour de son gland, aspirant doucement. Sophie me laissa prendre le relais, et sous mes efforts, je sentis son sexe se raffermir un peu – pas une érection complète, juste une demi-molle, mais assez pour qu’il gémisse. « T’es trop bonne, » souffla-t-il, et après quelques va-et-vient, il tressaillit, laissant échapper quelques gouttes salées dans ma bouche. Je les avalai d’un coup, un goût âcre et familier qui me fit sourire.

Antoine, qui venait de finir de me nettoyer, releva la tête juste à temps pour voir ça. Nos regards se croisèrent – le sien, un mélange de docilité et de quelque chose d’indéchiffrable, le mien, encore brillant de l’intensité du moment. Je lui lançai un petit clin d’œil et murmurai, la voix rauque : « Pas besoin de nettoyer cette fois, j’ai avalé, mon chéri. »
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par Bardoine
#2875845
Un nouveau chapitre

Après cette nuit avec Lucas et Sophie, Antoine et moi avons mis le candaulisme de côté pour une période “famille”. J’avais adoré cette liberté, mais une autre envie prenait le dessus : fonder une famille. « Je veux que nos enfants soient de toi, » lui ai-je dit un soir, blottie contre lui. Il m’a souri, m’a embrassée, et on a changé de cap. Fini les amants, fini Brad. Juste nous.

En sept ans, trois grossesses ont marqué mon corps. Mes hanches se sont élargies, mon ventre a gardé des vergetures, et mes seins, déjà gros à 105E, sont devenus encore plus énormes, lourds, débordant de mes soutiens-gorge. Antoine les caressait, fasciné, murmurant : « T’es magnifique comme ça. » Nos nuits sont devenues tendres, rythmées par les bébés, loin des excès d’avant.

Le candaulisme n’était plus qu’un souvenir brûlant. Pourtant, un soir, Antoine m’a regardée avec un éclat dans les yeux, une vieille photo de moi et Julien en main. « Un jour, peut-être ? » a-t-il glissé. J’ai ri, serré sa main. « Pour l’instant, je n’accepte que les reproducteurs. » Et j’étais comblée.

Puis je commençais à ressortir mes jouets. L’idée de la sodomie s’insinuait en moi comme une obsession discrète, grandissant à chaque fois que je ressortais mes jouets – Brad surtout, avec sa forme imposante qui me faisait imaginer autre chose, un plaisir plus audacieux, plus interdit.

Je fantasmais sur cette sensation nouvelle, mais au fond, je savais qu’Antoine, malgré son amour et sa patience, ne pourrait pas m’accompagner là-dedans – pas par manque de volonté, mais parce qu’il n’avait ni l’élan ni l’assurance qu’il me fallait pour franchir ce cap. Julien et Lucas, eux, étaient des amants parfaits, des bons coups qui me faisaient vibrer, des copains avec qui rire après l’effort, mais il manquait quelque chose : une distance affective planait entre nous, un vide qui m’empêchait de leur confier une exploration si intime, si vulnérable. J’avais besoin de plus qu’un corps habile – je voulais une complicité, un lien qui rende ce pas naturel, presque évident.
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par Bardoine
#2875846
Un chantier révélateur

Depuis mon bureau à la mairie, j’avais pris l’habitude de voir défiler les dossiers de travaux publics, une routine ennuyeuse jusqu’à ce que Marc entre dans mon champ de vision. La première fois, il m’a lancé avec un sourire en coin : « Faites attention, madame, avec un décolleté pareil, vous allez me faire dérailler mes conducteurs d’engin », et j’ai rougi, troublée par ce colosse d’1m85, la quarantaine, à la carrure de bûcheron – épaules larges, torse massif dans une chemise tachée, avant-bras musclés sous une peau d’ébène luisante, héritage sénégalais. Ses cheveux grisonnants étaient souvent sous un casque, mais son visage – mâchoire carrée, barbe de trois jours, nez tordu, yeux noisette perçants – m’a marquée. Il dirigeait une entreprise de travaux publics, et la mairie lui avait confié la réfection de la place centrale.

Il est passé signer des papiers, son odeur de terre et sueur m’enveloppant. « C’est toi qui fais tourner la boutique ? » a-t-il demandé, sa voix grave roulant avec un accent léger, saisissant le stylo avec des mains épaisses. Ses yeux ont glissé sur mon 105E avant de repartir, laissant une trace de boue. Il revenait souvent, lâchant parfois : « Un vendredi après 15h30, la mairie sera vide, juste toi et moi, hein ? » avec un clin d’œil qui me faisait frissonner.

« T’as des courbes qui pourraient faire dérailler un bulldozer », m’a-t-il dit un jour, et dans les couloirs, les secrétaires gloussaient. « Ce Marc, il paraît qu’il est monté comme un taureau, » a lâché Corinne, avec un sourire entendu. « En tout cas, Agathe, vu comment il te mate, il cracherait pas sur l’idée de te le prouver, » a renchéri Nadine, ses mots crus me faisant rougir et fantasmer à la fois. On le surnommait "le baiseur", mais moi, je voyais plus : une chaleur qui me mettait à l’aise, une complicité naissante.

Un après-midi, il s’est assis face à moi, casque sous le bras, une tache de poussière sur la joue. « Faut parler de la place, » a-t-il prétexté, avant d’ajouter : « Un vendredi après 15h30, je pourrais rester. » « T’as l’air d’une femme qui sait ce qu’elle veut, » a-t-il repris, sérieux. « Peut-être, mais faut que je trouve comment le demander, » ai-je répondu, sentant autre chose qu’un simple désir. Ce soir-là, seule, jouets en main, je pensais à lui – son corps massif, ses mains, sa tendresse cachée. Mon envie de sodomie prenait son visage : un homme qui saurait m’initier, avec autorité et douceur. Si je n’aimais pas Antoine si fort, Marc aurait pu être un compagnon, une vie entière. Sa blague, « Vendredi après 15h30, juste nous deux », résonnait, et avec les murmures des secrétaires, tout devenait plus troublant.

:qs:
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par Dionysos06
#2877012
@Bardoine une fin très “chaude“ de ton récit où tu t'es encore davantage lâchée, progressant encore dans tes envies et réalisations coquines.

Après cette pause “familiale", je sens que tes fourmillement intimes vont se réveiller, peut-être avec encore plus d'ardeur et d'envies qu'avant. Reléguer aux oubliettes les changements de ton corps, redevenir aussi une femme vibrante au corps affamé de coquineries. Tout cela bout en toi et va se libérer avec une puissance irrépressible.

Si je n’aimais pas Antoine si fort, Marc aurait pu être un compagnon, une vie entière.


Une telle attirance ne peut que produire des résultats volcaniques, éruptifs.

Histoire à suivre bien évidemment.
Bardoine a liké
#2878138
Du chemin

Ce vendredi-là, à 15h30, la mairie s’est vidée, mais je suis restée, le cœur battant, sachant que Marc pouvait passer. Toute la semaine, il avait répété sa blague – « Vendredi après 15h30, juste toi et moi » – et hier, mon regard appuyé l’avait laissé sourire sans rien dire. J’avais mis une mini-jupe noire moulant mes hanches, mes cuisses épaisses gainées de collants sexy transparents, et un chemisier cintré pour ma poitrine opulente. Quand Marc a poussé la porte, casque sous le bras, sa chemise entrouverte dévoilant un torse luisant, il m’a fixée : « T’es encore là, Agathe ? On dirait que t’attendais quelqu’un. » J’ai souri, je profitais d’être la dernière à la mairie et d’en avoir les clés pour fermer la porte derrière lui. « Peut-être que oui, » ai-je murmuré, l’air s’alourdissant.

Il s’est approché, posant une main épaisse sur mon bureau, son odeur de sueur et de goudron m’enveloppant. Mon corps vibrait – ma peau blanche rosissait, mes bras ronds frémissaient, mes joues charnues s’empourpraient, ma poitrine massive ondulait, mes hanches généreuses et mes cuisses fermes tendaient ma tenue. Marc, montagne brute, contrastait : 1m85 de muscles noueux, peau d’ébène luisante, épaules larges, torse sculpté, avant-bras veinés et barbe rude face à ma douceur pulpeuse. « Les hommes devraient courir après les grasses comme toi, vous méritez les plus beaux étalons, » a-t-il lâché, sa voix grave me faisant frissonner. J’ai posé une main sur son torse, glissant jusqu’à sa ceinture. « Et si je te laissais deviner ce que je veux ? » ai-je répondu, audacieuse.

Il m’a soulevée sur le bureau, mes cuisses s’écartant, les collants crissant sous sa poigne. Nos bouches se sont trouvées, un baiser fougueux, ses lèvres pleines dévorant les miennes. Il a relevé ma mini-jupe, déchirant les collants d’un geste, dévoilant mes formes nues – pas de culotte. Quand son pantalon est tombé, j’ai vu son sexe, et une joie pure m’a envahie : long comme mon avant-bras (j'exagère mais quel engin!) , épais comme un poignet, d’un noir luisant veiné de puissance, un gland large palpitant d’envie – un chef-d’œuvre brut. « Laisse-moi le réveiller, » ai-je soufflé, me penchant pour le prendre en bouche, mes lèvres charnues l’enveloppant, ma langue dansant sur sa peau salée. « Concentre-toi sur ton plaisir, Marc, » ai-je murmuré entre deux succions, le sentant durcir encore, ses grognements rauques vibrant dans la pièce.

Il m’a relevée, ses doigts calleux glissant entre mes cuisses, massant mon clitoris avec une précision qui m’a fait gémir, mes chairs humides pulsant sous sa caresse. Mais je le voulais en moi, maintenant. « Prends-moi, » ai-je haleté, m’allongeant sur le bureau – mes cuisses épaisses ouvertes, mes seins lourds débordant du chemisier défait, mon ventre rond frémissant, mes bras charnus posés derrière ma tête, offerte dans une pose lascive. Marc, bandant fièrement, son sexe dressé comme une lance, m’a fixée, ses yeux noisette brûlants. Il s’est avancé, guidant son membre entre mes lèvres intimes, et d’un coup lent mais ferme, il m’a pénétrée, m’emplissant d’une chaleur brute. J’ai crié, mes hanches larges tremblant sous ses assauts, mon corps moelleux s’arquant alors qu’il allait et venait, ses mains agrippant mes cuisses gainées. Nos peaux claquaient, sa puissance contre ma douceur, et j’ai joui dans un spasme, lui se lâchant avec un grognement sourd.

La lumière tamisée du bureau municipal baignait nos corps en sueur, le silence seulement troublé par nos respirations encore saccadées. Marc, toujours en moi, releva la tête, ses yeux noisette plongeant dans les miens avec une intensité qui me fit frissonner. Ses mains épaisses, posées sur mes hanches généreuses, glissèrent doucement le long de ma peau, comme s’il voulait graver chaque courbe dans sa mémoire. Je sentais encore son sexe, massif et palpitant, niché au creux de moi, et un sourire involontaire étira mes lèvres.

« Agathe, » murmura-t-il, sa voix grave roulant comme un grondement sourd, « ta peau… cette blancheur, c’est irréel. On dirait du lait, ça brille presque sous la lumière. » Ses doigts remontèrent jusqu’à ma poitrine, effleurant mes seins lourds qui débordaient encore de mon chemisier défait. « Et ça… ton 105E, putain, c’est un rêve. Ils sont énormes, pleins, tellement vivants sous mes mains. » Il les soupesa doucement, un éclat de désir brut dans le regard, avant de descendre à nouveau ses paumes vers mes fesses. « Et tes fesses… épaisses, rondes, généreuses. Elles tremblent à chaque fois que je te prends, c’est comme si elles me suppliaient de les admirer encore plus. »

Je rougis sous ses mots, mon cœur battant plus fort. Sa franchise, sa façon de célébrer mon corps sans retenue, me faisait me sentir belle, désirable, puissante. Je posai une main sur son torse massif, sentant les muscles durs sous sa peau d’ébène luisante de sueur. « Marc… ton torse, c’est une œuvre d’art. Large, fort, comme sculpté dans la pierre. Chaque fois que tu bouges, je vois tes muscles rouler, et ça me rend folle. » Mes doigts glissèrent plus bas, jusqu’à son sexe encore dur, que je caressai doucement, le sentant frémir sous ma paume. « Et cette bite… tu sais tellement bien t’en servir. Longue, épaisse, elle me remplit comme personne, et tu la manies avec une précision qui me fait perdre la tête. » Je relevai les yeux vers son visage, captant ce sourire en coin, éclatant, qui illuminait ses traits rudes. « Et ce sourire… il me fait craquer, Marc. Il est chaleureux, malicieux, il me donne envie de tout avec toi. »

Il rit doucement, un son rauque et profond, ses mains serrant mes fesses avec une tendresse possessive. « Mes fesses, hein ? » répéta-t-il, ses pouces traçant des cercles sur ma chair moelleuse. « Elles sont tellement pleines, Agathe, elles appellent plus qu’un simple regard. »

Je saisis la perche, un frisson d’audace me traversant. Mes yeux pétillèrent alors que je me redressais légèrement, toujours perchée sur le bureau, mes cuisses épaisses encadrant son bassin. « Tu trouves ? Peut-être qu’on devrait jouer un peu plus avec elles, alors, » lançai-je, la voix basse et suggestive. « Elles ont peut-être envie de te sentir autrement… de te découvrir sous un autre angle. » Je laissai planer l’idée, mon regard glissant vers le sien avec une pointe de défi, l’invitant à comprendre ce que je sous-entendais – cette envie de sodomie qui grandissait en moi, et qu’avec lui, je me sentais enfin prête à explorer.

Marc arqua un sourcil, son sourire s’élargissant, dévoilant une lueur de curiosité et d’excitation. « T’es sérieuse, là ? » demanda-t-il, ses mains pressant mes fesses un peu plus fort, comme pour tester leur accueil. « Parce que si c’est ce que tu veux, Agathe, je suis partant. Avec toi, tout me tente. »
Je hochai la tête, un mélange de nervosité et d’impatience me nouant le ventre. « Oui, Marc. Avec toi, je veux essayer. » Et dans cet instant, je savais que cette nouvelle étape, avec cet homme massif et rassurant, allait marquer un tournant dans mon exploration de moi-même.

Ce soir-là, sur le canapé, ma robe moulant mes hanches larges et mes seins énormes, j’ai pris la main calleuse d’Antoine, le cœur battant. « Antoine, je veux reprendre le candaulisme. J’ai rencontré Marc, un homme incroyable, et on a craqué une fois à la mairie. Je m’en veux de ne pas t’en avoir parlé avant. Valides-tu, même après coup ? Et pour la suite ? J’ai un fantasme… la sodomie, mais seulement avec ton accord, mon amour. » J’ai cherché son regard, espérant sa confiance. Plus tard, je lui ai confié : « Avec Marc, c’était intense, mais j’aimerais le sentir sans préservatif. On a été prudents pour toi, pour nous. Des tests, tous les trois, pour être sans barrière, ça te va ? » Antoine a souri, caressant ma joue. « Si c’est sûr, je te fais confiance. Vas-y. » Son accord m’a libérée.

Le lendemain, j’ai envoyé un message à Marc, mon cœur battant alors que je tapais : « Marc, j’ai envie de toi sans rien entre nous, la prochaine fois. Des tests, ça te va ? » Sa réponse est arrivée vite, un simple : « Tout ce que tu veux, ma belle. Je passe au labo demain. » J’ai souri, imaginant déjà nos corps fusionnés, sa peau contre la mienne, sans retenue. Quelques jours plus tard, les résultats sont tombés – tous négatifs, un feu vert pour notre désir. J’ai pris rendez-vous avec Marc dans une maison de campagne à l’écart, un lieu où nos peaux pourraient se mêler librement. En attendant, je me surprenais à rêver de lui, de cette intimité totale, mes doigts glissant parfois sur mes fesses généreuses ou mes seins lourds, anticipant le moment où je le sentirais, brut, entier, dans une étreinte sans barrière, avec la bénédiction d’Antoine, mon roc, et la promesse d’un plaisir encore plus profond.

Le week-end arriva, et je me retrouvai dans une maison de campagne isolée, entourée de champs dorés, un refuge parfait pour Marc et moi. L’intérieur, avec ses poutres apparentes et son lit king-size drapé de lin blanc, vibrait d’une chaleur intime, amplifiée par les bougies qu’il avait allumées. Marc m’attendait, sa carrure massive emplissant l’espace, sa peau d’ébène luisant sous la lueur douce, son sourire en coin faisant battre mon cœur. Ma robe moulante rouge épousait mes courbes – mes hanches larges, mon ventre strié de grossesses, et mes seins énormes, débordant du décolleté, lourds et sensibles. « Agathe, t’es un rêve, » murmura-t-il, sa voix grave roulant comme une caresse, ses yeux noisette brûlant d’un désir contenu mais palpable. Je m’approchai, frôlant son torse sculpté, sentant déjà la tension sexuelle crépiter entre nous, un mélange de tendresse et de faim brute.

Il m’enlaça, ses lèvres trouvant les miennes dans un baiser lent, profond, où chaque mouvement semblait sceller notre connexion. Ses mains glissèrent sur mes fesses généreuses, les pressant avec une douceur possessive qui me fit frissonner. « Ce soir, pas de barrière, » chuchota-t-il, et je sentis mon corps s’embraser à l’idée de le sentir enfin sans rien entre nous, grâce aux tests qui nous avaient libérés. Je défis son pantalon, libérant son sexe – long, épais, veiné, dressé avec une puissance qui me coupa le souffle. Je m’agenouillai, le prenant en bouche, savourant sa chaleur, son goût musqué, mes lèvres s’étirant autour de lui. « Putain, Agathe… » grogna-t-il, ses doigts dans mes cheveux, tendres mais fermes, et je m’appliquai, le suçant avec ferveur, excitée par son plaisir. Mais je le voulais ailleurs, plus loin, plus intime.

Il me releva, ses mains défaisant ma robe pour révéler mon corps nu, mes seins lourds frémissant, mes fesses pleines offertes sous son regard affamé. « T’es tellement belle, » murmura-t-il, et il m’allongea sur le lit, sur le ventre, un oreiller sous mes hanches pour surélever mes fesses. La tendresse dans ses gestes – ses baisers sur ma nuque, ses caresses sur ma peau blanche – contrastait avec la tension sexuelle qui montait, son sexe frôlant ma peau, promesse d’un plaisir intense. Il prit un flacon de lubrifiant, et je le regardai l’appliquer, ses doigts massant son membre massif, le liquide clair coulant sur la tête large et rosée, glissant le long des veines saillantes jusqu’à la base, le faisant briller comme une arme d’amour. « On va y aller doucement, ma belle, » dit-il, sa voix un mélange de réconfort et de désir brut.

Il massa mes fesses avec une huile chaude, ses pouces glissant vers mon anus, détendant chaque muscle avec une patience infinie. Un doigt lubrifié entra, lentement, puis un second, ses mouvements précis m’arrachant des soupirs alors que je m’habituais, mon corps se souvenant des essais avec Brad. « Ça va ? » demanda-t-il, et je hochai la tête, murmurant : « Oui… prends-moi, Marc. » La tension était électrique, mon cœur battant à l’idée de cette première sodomie sans barrière, et je m’abandonnai, prête à tout lui donner. Il se positionna, la tête de son sexe – chaude, épaisse, nue – pressant contre moi.

« Attend, prends une photo pour Antoine, je sais que ça l'excitera » dis-je. Marc obéit et se remit à l'ouvrage. « Pousse doucement, » guida-t-il, une main caressant ma hanche, et je suivis, sentant une pression intense, suivie d’une douleur vive, presque brûlante, qui me fit tressaillir et serrer les draps. « Relaxe, ma belle, » murmura-t-il, s’arrêtant net, ses doigts caressant mes fesses pour me détendre, son souffle chaud contre ma nuque me ramenant à lui.

Je pris une grande inspiration, me concentrant sur sa voix douce, sur la tendresse de ses caresses, et la douleur s’adoucit, laissant place à une sensation de plénitude étrange, légèrement inconfortable mais intrigante. Marc avança par minuscules mouvements, son sexe nu glissant avec une prudence extrême, chaque centimètre amplifiant cette chaleur brute sans filtre. Mes fesses généreuses frémissaient sous ses poussées lentes, mes seins énormes frottaient contre les draps, et un plaisir diffus, mêlé d’une gêne persistante, commença à naître. Il était un baiseur hors pair, contrôlant son rythme avec une maîtrise qui me rendait folle, ses mains serrant mes hanches pour guider mes mouvements sans forcer. « T’es parfaite, Agathe, » grogna-t-il, sa voix rauque vibrant d’un désir contenu, et je me donnai à fond, cambrant mon dos, offrant mes fesses, mes soupirs se transformant en gémissements alors que mon corps s’ouvrait peu à peu.

« Ça va mieux ? » demanda-t-il après quelques instants, et je murmurai : « Oui… vas-y, un peu plus. » Il accéléra légèrement, ses assauts restant doux, sa puissance contenue pour ne pas me submerger, chaque mouvement calculé pour m’habituer à sa présence. La tension sexuelle était palpable, nos corps en parfaite synchronie, et je sentais chaque détail de son sexe – sa chaleur, ses veines pulsant contre mes parois – dans une intimité totale. Mes seins lourds frôlaient les draps, mes fesses tremblaient sous l’impact, et le plaisir, encore mêlé d’une légère gêne, s’intensifiait, profond, différent. Je m’abandonnai complètement, murmurant son nom, et Marc, sentant mon ouverture, grogna plus fort, ses mains crispées sur mes hanches. Une chaleur liquide, soudaine, m’envahit alors qu’il éjaculait en moi, son sexe pulsant à chaque jet, ajoutant une sensation nouvelle, presque bouleversante, à cette première fois. Un plaisir intense, plus intime qu’explosif, me traversa, me faisant frémir, et je m’effondrai doucement, comblée. Il ralentit, caressant mes fesses avec une tendresse infinie, puis se retira doucement, m’enveloppant dans ses bras massifs.

« T’étais incroyable, » murmura-t-il, son sourire éclairant la pièce alors qu’il m’embrassait le front. Nous nous sommes levés, encore frémissants, et il m’a guidée vers la salle de bain attenante, où une douche spacieuse nous attendait. Sous le jet d’eau chaude, nos corps se sont enlacés, l’eau ruisselant sur mes seins énormes et mes fesses généreuses, tandis que Marc savonnait ma peau avec une douceur qui prolongeait notre connexion. Ses mains glissaient sur mes courbes, ses lèvres effleuraient mon épaule, et je me sentais choyée, enveloppée par sa chaleur. Après nous être séchés, nous sommes retournés au lit, et je me suis blottie contre son torse massif, ses bras m’enlaçant comme un cocon. La chaleur de son corps, sa respiration régulière, et le souvenir de notre étreinte m’ont bercée, et je me suis endormie dans ses bras, comblée, sachant qu’Antoine, mon roc, vibrerait en entendant chaque détail de cette nuit où je m’étais donnée à fond, avec la bénédiction de notre amour.

A suivre ...
#2878168
@Bardoine tu ne croyais pas si bien dire en invoquant la passion brute, absolue, irrésistible qui vous unit, Marc et toi.

L'explosion sexuelle de ce fameux vendredi à 15:30 représente l'aboutissement logique d'une longue introspection sur toi-même mêlée à une non moins longue séduction mutuelle. Et après cette longue maturation, l'éruption volcanique logique, irrépressible ; je dirais même irréversible.
Cela me fait penser à la mécanique des enquêtes du commissaire Lecoq écrites par Émile Gaboriau ; une longue gestation pleine d'analyses et de réflexions et un final fulgurant où tout est révélé.

Marc et toi êtes faits l'un pour l'autre ; au moins sexuellement (tu ne dis rien, pour l'instant du reste).
Si tu n'aimais pas Antoine comme tu l'aimes, tu l'aurais sûrement quitté pour Marc.

Il faut souligner l'amour immense de ton mari, qui sait à la fois être là pour toi, et s'effacer quand il le faut pour que tu t'épanouisses. Un homme vraiment précieux. Ton inséparable alterego ; bien plus que ton mari et le père de tes enfants.

Vivement la suite de vos aventures.
Bardoine a liké

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