- 04 juin 2025, 11:35
#2882912
Les chemins de la passion
Chapitre 1 : « les origines »
Quand on parle de candaulisme, je pense que beaucoup d’hommes peuvent se retrouver, du moins en partie, dans mon récit. Il s’agit souvent d’un fantasme ! Surtout pour les couples qui sont solidement cimentés par un amour sincère et profond, ayant traversé ensemble les épreuves de la vie, en restant unis, toujours aussi amoureux, avec respect et bienveillance, comme c’est le cas pour ma femme et moi. En effet, pour un couple qui s’aime passionnément, passer à l’acte peut être une étape difficile à franchir. La peur de l’inconnu, du lendemain, peut les empêcher d’aller jusqu’au bout, même si le désir est là, à portée de main.
Un couple qui dure et continue à faire l’amour après tant d’années d’union a forcément traversé différentes étapes. Afin de pimenter leur vie sexuelle et d’entretenir la flamme, ils cherchent souvent de nouvelles façons d’évoluer ensemble. Pour ma part, notre couple n’a pas échappé à cette règle, et c’est progressivement que notre vie sexuelle a évolué.
Depuis le jour où je l’ai déflorée Joyce, c’est toujours moi qui ai été son guide. Elle avait 14 ans, une jeune fille magnifique avec déjà un corps de femme, convoitée par tous les garçons du collège, moi j’en avais 16, et j’avais déjà eu des relations sexuelles avec deux autres filles, pour elle, j’étais son premier homme. En couchants ensemble, j’ai compris ce jour-là qu’il existait une énorme différence entre « baiser » et faire l’amour…
Les mots s’étaient révélés superflus, balayés par la magie de l’instant. Ils avaient été remplacés par des gestes tendres et des caresses délicates, chaque mouvement nous entraînant un peu plus vers l’inconnu. Chaque instant était une découverte, une invitation à explorer les profondeurs de notre désir et de notre vulnérabilité. Son parfum enivrant, sa peau était douce, ses seins étaient fermes, sa petite chatte toute humide, prête à m'accueillir. Nos corps étaient en suspension, dans une danse entre deux âmes, une exploration sensuelle où nous apprenions à nous abandonner l’un à l’autre, à savourer chaque frisson, chaque soupir partagé.
Ensemble, nous découvrions la beauté de faire l'amour, un acte sacré, une communion de nos êtres, gravée à jamais dans le livre de notre histoire…
Étant encore jeune et Joyce ayant des parents stricts, nous ne pouvions pas nous voir tous les jours. Cependant, chaque fois que c’était possible, nous en profitions pour faire l'amour autant que nous le pouvions, plusieurs fois par jour, peu importe le lieu. Le plus souvent, cela se passait dans ma chambre lorsque mes parents étaient absents. Mais lorsque ce n’était pas possible, nous trouvions d’autres endroits : chez des amis, dans la voiture, dans la cage d’escalier, en pleine nature, ou parfois même au cinéma. Dans ce dernier cas, il s’agissait plutôt de masturbations discrètes, sous le manteau, ou ma main passait sous sa jupe pour atteindre sa culotte. J’aimais la retirer afin d’avoir un meilleur accès à sa petite chatte. Parfois, elle osait prendre le risque de me faire une fellation lorsqu’il n’y avait pas trop de monde dans la salle.
Je pense que c’est là, très jeune, que j’ai eu ma première révélation, malgré ma jalousie et mon amour passionné pour Joyce. J’étais davantage excité lorsque nous faisions cela dans des endroits insolites : l’adrénaline était à son comble, mêlant la peur d’être surpris et le désir d’être vu.
Cinq années plus tard, nous nous sommes mariés. Pendant les premières années de notre union, nous aimions toujours autant faire l'amour ensemble, mais de mon côté, je trouvais que nos rapports étaient devenus plus conventionnels. Ils avaient perdu un peu de leur magie, de cette impulsion instantanée. Ce qui me manquait, c’était aussi le fait de ne plus faire l’amour dans des endroits insolites.
Ensuite, il y a eu la période de grossesse, de naissance et de pouponnage, qui, à bien des égards, a été le plus beau jour de notre vie avec l’arrivée de notre premier enfant. Cependant, côté sexualité, nous étions moins actifs. Pour la petite anecdote, lorsqu’elle était encore à la maternité, n’ayant pas fait l’amour depuis plusieurs jours, Joyce m’a fait une fellation très excitante dans sa chambre, surtout à l’idée que quelqu’un aurait pu entrer à ce moment-là !
Quelques mois plus tard, Joyce ayant retrouvé sa silhouette de rêve, j'espérais une sexualité plus libérée...
Chapitre 1 : « les origines »
Quand on parle de candaulisme, je pense que beaucoup d’hommes peuvent se retrouver, du moins en partie, dans mon récit. Il s’agit souvent d’un fantasme ! Surtout pour les couples qui sont solidement cimentés par un amour sincère et profond, ayant traversé ensemble les épreuves de la vie, en restant unis, toujours aussi amoureux, avec respect et bienveillance, comme c’est le cas pour ma femme et moi. En effet, pour un couple qui s’aime passionnément, passer à l’acte peut être une étape difficile à franchir. La peur de l’inconnu, du lendemain, peut les empêcher d’aller jusqu’au bout, même si le désir est là, à portée de main.
Un couple qui dure et continue à faire l’amour après tant d’années d’union a forcément traversé différentes étapes. Afin de pimenter leur vie sexuelle et d’entretenir la flamme, ils cherchent souvent de nouvelles façons d’évoluer ensemble. Pour ma part, notre couple n’a pas échappé à cette règle, et c’est progressivement que notre vie sexuelle a évolué.
Depuis le jour où je l’ai déflorée Joyce, c’est toujours moi qui ai été son guide. Elle avait 14 ans, une jeune fille magnifique avec déjà un corps de femme, convoitée par tous les garçons du collège, moi j’en avais 16, et j’avais déjà eu des relations sexuelles avec deux autres filles, pour elle, j’étais son premier homme. En couchants ensemble, j’ai compris ce jour-là qu’il existait une énorme différence entre « baiser » et faire l’amour…
Les mots s’étaient révélés superflus, balayés par la magie de l’instant. Ils avaient été remplacés par des gestes tendres et des caresses délicates, chaque mouvement nous entraînant un peu plus vers l’inconnu. Chaque instant était une découverte, une invitation à explorer les profondeurs de notre désir et de notre vulnérabilité. Son parfum enivrant, sa peau était douce, ses seins étaient fermes, sa petite chatte toute humide, prête à m'accueillir. Nos corps étaient en suspension, dans une danse entre deux âmes, une exploration sensuelle où nous apprenions à nous abandonner l’un à l’autre, à savourer chaque frisson, chaque soupir partagé.
Ensemble, nous découvrions la beauté de faire l'amour, un acte sacré, une communion de nos êtres, gravée à jamais dans le livre de notre histoire…
Étant encore jeune et Joyce ayant des parents stricts, nous ne pouvions pas nous voir tous les jours. Cependant, chaque fois que c’était possible, nous en profitions pour faire l'amour autant que nous le pouvions, plusieurs fois par jour, peu importe le lieu. Le plus souvent, cela se passait dans ma chambre lorsque mes parents étaient absents. Mais lorsque ce n’était pas possible, nous trouvions d’autres endroits : chez des amis, dans la voiture, dans la cage d’escalier, en pleine nature, ou parfois même au cinéma. Dans ce dernier cas, il s’agissait plutôt de masturbations discrètes, sous le manteau, ou ma main passait sous sa jupe pour atteindre sa culotte. J’aimais la retirer afin d’avoir un meilleur accès à sa petite chatte. Parfois, elle osait prendre le risque de me faire une fellation lorsqu’il n’y avait pas trop de monde dans la salle.
Je pense que c’est là, très jeune, que j’ai eu ma première révélation, malgré ma jalousie et mon amour passionné pour Joyce. J’étais davantage excité lorsque nous faisions cela dans des endroits insolites : l’adrénaline était à son comble, mêlant la peur d’être surpris et le désir d’être vu.
Cinq années plus tard, nous nous sommes mariés. Pendant les premières années de notre union, nous aimions toujours autant faire l'amour ensemble, mais de mon côté, je trouvais que nos rapports étaient devenus plus conventionnels. Ils avaient perdu un peu de leur magie, de cette impulsion instantanée. Ce qui me manquait, c’était aussi le fait de ne plus faire l’amour dans des endroits insolites.
Ensuite, il y a eu la période de grossesse, de naissance et de pouponnage, qui, à bien des égards, a été le plus beau jour de notre vie avec l’arrivée de notre premier enfant. Cependant, côté sexualité, nous étions moins actifs. Pour la petite anecdote, lorsqu’elle était encore à la maternité, n’ayant pas fait l’amour depuis plusieurs jours, Joyce m’a fait une fellation très excitante dans sa chambre, surtout à l’idée que quelqu’un aurait pu entrer à ce moment-là !
Quelques mois plus tard, Joyce ayant retrouvé sa silhouette de rêve, j'espérais une sexualité plus libérée...
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