- Aujourd’hui, 21:47
#2904540
C’était il y a 20 ans, mais c’est encore frais dans mes mémoires, Sandrine sortait régulièrement pour retrouver son amant. J’étais calme et souriant avant, tendu et excité comme un fou pendant, doublement soulagé à son retour. Mais jamais je ne me suis senti humilier ni rabaisser qu’elle se donne à lui de la sorte. Des moments candaulistes des plus positifs.
Juste un serre taille sans les jarretelles, « ouvre ton pantalon », elle s’approche et me pousse sur le lit, elle se met à genoux, baisse la tête, fini de s’attacher les cheveux avant de m’administrer une belle fellation.
La voir nu à mes pieds, ses ongles rouges parfait comme son maquillage en mode soirée, me faisait bander à mort, surtout que je savais que ce n’était pas pour moi qu’elle se préparait.
J’essaye d’attraper ses gros seins qui ballotte et m’effondre en quelques instants foudroyé par un orgasme terrible, elle engloutissait mon foutre en ne me lâchant pas, pompant mon sperme jusqu’au bout.
C était bon me dit elle en enfilant un joli bout de ficelle et de tissu noir, transparent que je ne reverrai pas comme le cul de ma femme avant tard dans la nuit.
Elle poursuit tout en mettant son rouge à lèvres après avoir ajustée sa petite robe noir indécemment décollé et courte.
Loin des vicissitudes du quotidien, la petite couchée, la voir se préparer et mettre ses nouveaux escarpins vernis de 12 cm c’était torride.
Elle sait qu’elle va se faire dézinguer mais elle n’a plus l’appréhension.
« Pas trop dur pour toi de rester la chérie ? » plus pour me titiller qu’autre chose.
Faussement bourgeoise, parfaitement apprêté et lisse pour lui, sa vulve allait servir de vide couille et rien de plus. Pas trop de sentiments malgré les effusions entre leurs bouches avides de plaisirs. À peine arrivée, il l’embrasserait à pleine bouche avant de plonger sa grosse main directement dans son string pour lui mettre deux doigts férocement avant beaucoup plus des qu’elle écartera suffisamment. De nouveau à genoux pour faire durcir son membre dont les dimensions réclament un bonne travailleuse pour être au top et pouvoir la défoncée comme elle le mérite.
Pour moi, couché nu, c’était un bonne branlette à distance de savoir qu’il était en train de la faire crié et jouir. D’imaginer le regard, les grands yeux et le sourire vicieux de mon pote, allongé sur le dos en train de se faire bouffer le cul pendant qu’il se branle, la langue de ma salope habituer à lui donner ce grand plaisir.
De le savoir autorisé à la remplir comme une gourde, une conne ou une chienne facile qui lui crie de finir en elle voulant sentir son sex pulser tout son foutre dans son vagin tremper.
La fin, pas de mystère, avant de quitter la chambre d’hôtel d’un vulgaire campagnile, il lui demande quand ils pourront remettre cela, il la tripote et l’embrasse encore un peu après s’être fait nettoyer la queue, de nouvelles insultes pleuvent pour le plaisir de bien la finir, bien l’humilier même si ce n’est pas sincère, juste un jeu entre nous avant de me la renvoyer pour de bon.
Sur le chemin du retour, elle pensait à moi qu’elle était impatiente de retrouver. Cul nu, défaite comme une traînée, meurtrie, éprouvée mais totalement détendue et dégoulinante. Elle souriait de se sentir finalement si bien, terriblement vivante après tant d’orgasmes en si peu de temps.