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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
par CedSand76
#2916279
Voici de nouvelles aventures :x

Luigi n'est désormais qu'un lointain et délicieux souvenir. Francesca et Livio sont au courant des moindres détails de notre week-end « olé-olé » avec le jeune italien.

Gladys assume désormais pleinement nos aventures libertines ; nous en parlons souvent au lit, et elle en rit même avec Francesca au détour de leurs échanges sur WhatsApp. En revanche, pas de nouvelle expérience depuis le départ de Luigi. Nos amis transalpins sont nos seuls partenaires libertins à ce jour. Nous attendons d'ailleurs avec impatience de les retrouver aux sports d'hiver en février prochain.

En attendant nos retrouvailles enneigées avec Francesca et Livio, rien ne laisse présager que le quotidien viendrait, lui aussi, jouer les trouble-fêtes.
Nous sommes en route pour le centre commercial lorsque le téléphone de Gladys sonne... C'est Gaëlle, son amie d'enfance qui l'appelle pour nous convier aux 18 ans de son fils Nathan.

Tout naturellement, nous acceptons, puis nous programmons cette soirée pour dans deux semaines. Gladys est d'autant plus ravie qu'elle est très proche de Gaëlle et que ça fait longtemps qu'elles ne se sont pas vues. A l'inverse, plus fréquemment, Nathan passe du temps avec Lucas, notre fils cadet, bien que nous ne l'ayons pas vu depuis quelques mois puisque Lucas vit chez sa grand-mère pour être plus près de son école.

Le jour J arrive. Gladys se fait belle et revêt une très belle robe noire, qui met en valeur à la fois sa belle poitrine et ses jambes. Ses talons donnent un cachet supplémentaire à sa tenue.

Nous arrivons en fin d'après-midi chez Gaëlle qui nous accueille avec des bisous chaleureux et une joie sincère de nous retrouver. La fête est familiale et Gladys revoit avec plaisir les parents de son amie, ainsi que d'autres amies quelque peu perdues de vue. Nathan affiche un grand sourire quand il nous dit bonjour, avant de nous embrasser. Puis nous lui remettons son cadeau : le dernier maillot de son équipe préférée ... Nouvelles salves de bisous.

Nathan est très fier de nous présenter Manon, sa petite amie, cette jeune femme à peine plus âgée que lui, qui a fêté ses 20 ans l'été dernier.

Nathan est assez grand, en tout cas plus grand que moi qui mesure un mètre quatre-vingts. Il a les cheveux courts, bruns, et les yeux noisette. Il n'a pas encore beaucoup de barbe. Alors qu'il est assez athlétique, il conserve les traits du jeune homme pas encore bonhomme.
Quant à Manon, elle est ravissante : assez grande pour une femme, les cheveux très bruns mi-longs, et de très beaux yeux verts. Sa tenue élégante pour l'occasion permet d'admirer innocemment une très belle poitrine naissante. Je me surprends surtout à remarquer l'attention soutenue que Gladys lui porte.

Le punch préparé par Gaëlle est délicieux, tout comme le buffet qui suit. Nous nous régalons, et sans nous enivrer, nous buvons un excellent vin sicilien (tiens, encore l'Italie...).
Alors que la soirée est désormais dansante, et un peu plus alcoolisée, Gladys discute avec ses amies et notamment Gaëlle, mais également beaucoup avec Manon. Je les observe parler toutes les deux en regardant Nathan, occupé à discuter avec ses cousins. Je ne sais pas si c'est à cause de l'alcool, mais je me surprends à imaginer que leurs rires complices dissimulent des confidences plus intimes... et qu'elles parlent peut-être de sexe. En tout cas, elles ont l'air de bien s'entendre ; je les trouve très complices, et leurs rires ne laissent pas place au doute.

Nathan s'en rendant compte également, il les rejoint. Autant il est très tactile avec Manon, autant il paraît timide avec ma douce. Il n'en reste pas moins que le trio passe un bon moment.

La soirée est très agréable et se finit tard dans la nuit après qu'on ait dansé, discuté et surtout beaucoup ri.

Nous rentrons tard, mais nous ne nous privons pas de faire l'amour. Je ne sais pas encore ce qu'elles se sont dit avec Manon, et je ne sais pas s'il y a un lien, mais ma femme est particulièrement excitée.

Quelques jours plus tard, nous promenons notre chien à côté d'un petit lac à côté de la maison, quand nous apercevons Nathan et Manon qui discutent assis sur un banc.

Gladys leur fait un petit coucou puis nous nous approchons d'eux. Nathan se lève et embrasse ma belle, posant sa main sur son épaule avec une aisance qui me trouble immédiatement.
Manon nous fait une bise, à Gladys et moi-même. Nous entamons une brève conversation et abordons notamment la soirée d'anniversaire de Nathan. Me revient en tête l'idée qu'ils parlaient de sexe, et je sens une chaleur monter en moi, presque déplacée dans ce contexte banal. Mais leurs regards, surtout celui de Gladys, me paraissent tout sauf innocents... Ça tourne à l'obsession. Au moment de reprendre la promenade du toutou, je crois apercevoir le regard de Manon qui lorgne sur les fesses de ma femme, puis qui fait un clin d'œil à Nathan.

Je me dis que je affabule peut-être, que ce n'est qu'un regard anodin, sans arrière-pensée. Mais mon esprit refuse de s'arrêter à cette banalité, et chaque détail prend une autre dimension.
Le soir au lit, je lance la conversation :
— Tu ne vas pas me croire... mais j'ai remarqué quelque chose au lac avec Nathan et sa copine.
Elle me regarde, les yeux grands ouverts.
— Qu'est-ce que tu vas encore t'imaginer ? dit-t-elle. On connaît Nathan depuis qu'il est gamin.
— Et alors ? Je t'assure, j'ai vu la façon dont Manon t'a regardée. Et ce petit jeu de complicité avec Nathan.
— Tu exagères, réplique-t-elle en secouant la tête.
— Peut-être. Mais je ne crois pas que Manon soit une sainte-nitouche.
— Tu as vraiment l'esprit mal placé.
— Ou peut-être plus lucide que toi, chérie. Plus j'y pense, plus je suis convaincu.
Elle soupire.
— N'oublie pas que Nathan est le fils de Gaëlle. Il n'a que dix-huit ans.
— Et alors ?
— Tu ne vas pas croire que je coucherais avec lui. Il est trop jeune.
Je souris, narquois.
— Ah là, tu ne me parles plus de Gaëlle... Et Luigi, il avait quel âge ?
Elle se fige une seconde.
— C'est pas pareil !
— Bien sûr que si. Et tu as admis que ça t'avait plu.
Elle me fusille du regard.
— Tu voudrais que je couche avec Nathan, c'est ça ?
— Je ne dis pas ça comme ça... mais si ça doit arriver, je ne m'y opposerai pas.
— T’es fou.
— Peut-être. Mais tu sais comme moi que Manon ne dirait pas non. Et puis moi, ça m'excite !

Elle reste silencieuse, fuyant mon regard. Je connais assez ma femme pour comprendre : ce silence est la plus éloquente des réponses. La nouvelle Gladys ne craint plus ses envies, même celles qu'elle n'avoue pas encore.

Trois semaines plus tard, revenant du magasin de bricolage, nous avons la surprise de trouver Nathan et Manon à la maison. Ils sont venus pour Lucas que Nathan n'avait pas vu depuis trop longtemps. Ils passent l'après-midi ensemble, pendant que je m'affaire à poser la nouvelle tringle à rideaux dans notre chambre.
19h00
Les trois jeunes redescendent. Lucas doit partir rejoindre sa chérie au cinéma. Nathan et Manon emboîtent le pas quand Gladys les arrête et leur propose de rester un peu pour prendre un verre.

Manon affiche un grand sourire et fait le même clin d'œil à son amoureux que celui qu’elle avait fait au lac. Je ne cache pas ma surprise, mais je me garde bien de l’exprimer. Au fond, je suis ravi : le hasard fait parfois bien les choses. Je vais dans le sens de Gladys et insiste sans qu'il ne soit finalement nécessaire de le faire. Lucas s'en va.
— À demain, lance-t-il, je dors chez Emma !

Et d'un coup, la maison ne résonne plus que de nos quatre voix... une configuration imprévue, mais déjà excitante.

Il est évident que Gladys a une idée derrière la tête. Pourtant, rien ne le laisse croire. Gladys est en tenue décontractée, rien de sexy. Quant à moi je suis en survêtement. Manon est en jean et chemisier, et Nathan est vêtu d'un cargo et de son maillot que nous lui avons offert pour ses 18 ans.

L'apéro est servi... Je me délecte de mon whisky, Gladys de son rhum-ananas caramélisé. Les deux amoureux sont à la Vodka-pomme. Je les observe, fasciné par l'innocence apparente de cette scène et par ce qu'elle dissimule peut-être. L'alcool délie les langues, mais ce sont les regards qui en disent le plus long. Gladys teste Nathan et s'amuse à évoquer Gaëlle, sa maman, et à lui demander si elle saurait seulement où il se trouve à cet instant. Nathan sourit, gêné, et Manon ricane... une complicité trouble s'installe.

C'est alors que maladroitement Nathan renverse son verre sur son maillot. Désolé, il se confond en excuses. Gladys se rapproche de lui et le rassure.
— Ce n'est pas grave mon grand ! Donne-le-moi, je vais le mettre en machine.
— Désolé Gladys.

Gladys – alors qu'elle n'est pas obligée – accompagne Nathan dans son mouvement pour retirer son maillot, comme si c'était la chose la plus naturelle au monde. Il est désormais torse nu, et je surprends un léger sourire sur les lèvres de ma douce, comme si elle savourait chaque détail.

Il est vrai que le jeune homme, bien que juvénile, est bien bâti, avec ses plaquettes de chocolat particulièrement visibles.
Manon est une spectatrice attentive, mais pas pour longtemps. Elle se rapproche de son chéri et passe un bras par-dessus son épaule puis l'embrasse.
Pour le charrier, elle le traite de « maladroit » et ajoute avec un regard malicieux :
— Qu'en penses-tu Gladys ?
— C'est vrai ! répond Gladys avec la même malice. Que dirait ta maman ? En faisant un clin d'œil complice à Manon.

À cet instant, personne ne relève que le pauvre Nathan est toujours torse nu. L'ambiance est désormais réchauffée et ça ne dérange finalement personne. Manon a bien compris qu'elle pouvait passer à la vitesse supérieure. Elle passe sa main sur le torse de Nathan d'un mouvement volontairement lent, comme pour tester la réaction de Gladys... et la mienne.
— Il a bien changé, n'est-ce pas ? dit-elle à ma femme.
— Oui ce n'est plus le petit Nathan que j'ai connu, mais un beau jeune homme.
— Et toi comment trouves-tu Gladys ? enchaîne-t-elle en interrogeant son chéri.

Gêné, Nathan hésite à répondre, mais le regard de Gladys, puis le mien, le déculpabilisent :
— Magnifique, comme elle l'a toujours été aussi loin que je m'en souvienne.
— As-tu déjà fantasmé sur Tata Gladys ? poursuit-elle insidieusement.

Le regard de Nathan se baisse un instant, ses joues rosissent, puis il lève les yeux timidement vers Gladys.
— Oui ! répond-il après quelques secondes d'hésitation.

C'est le moment où si personne ne fait un pas en arrière, il sera trop tard. Et c'est justement l'inverse qui se passe puisque c'est Gladys qui s'approche de Nathan pour l'interroger.
— Et ben alors, mon grand, qu'est-ce que ça veut dire ? Je pourrais être ta mère... Que dirait-elle d'ailleurs ?

Nathan baisse les yeux, ses joues le brûlent. Gladys observe son trouble avec un sourire espiègle.
— Et à quoi penses-tu quand tu fantasmes sur moi ? poursuit-elle.

Alors que Manon poursuit ses lentes caresses au plus proche du bas-ventre de Nathan, il répond :
— À tes seins !
— Ah bon ? Et tu aimerais les voir ?
— J'aimerais ! répond-il, moins hésitant. Et comme ça je ne serais plus le seul à poil... poursuit-il en faisant un clin d'œil à ma femme.
— Tu as tout à fait raison mon grand ! dit-elle en retirant son tee-shirt.

Je retrouve mes sensations passées à l'île du Levant, à Rome ou encore ici même avec Luigi : je suis à l’étroit dans mon pantalon, mais n'ose pas encore me libérer.

Gladys s'approche encore un peu plus de Nathan puis ôte son soutien-gorge, dévoilant sa si belle poitrine au jeune homme.
— Voilà, nous sommes à égalité, lui dit-elle avec un grand sourire.
— Comment les trouves-tu ? demande Manon en commençant à desserrer la ceinture de Nathan.
— Magnifiques ! Encore plus beaux que dans mes rêves.

Manon, tout en déboutonnant le pantalon de son chéri, ajoute :
— C'est vrai qu'ils sont très beaux.
— Merci ma grande, répond Gladys, rougissant légèrement elle aussi.

Manon libère le sexe de Nathan. Tout comme ceux de ma femme, mes yeux s'écarquillent devant cette barre de chair qu'on ne pouvait pas deviner si grande et bien proportionnée. Dame Nature ne s'est pas foutu du fils de Gaëlle...
Puis Manon, se saisissant de sa tige, demande à Nathan :
— Tu as seulement fantasmé sur les seins de Tata Gladys ?
— Non ! répond-il sur un ton de plus en plus assumé.
— Et ? poursuit Gladys.
— J'ai rêvé de ta bouche sur ma queue à de nombreuses reprises.
— Est-ce normal pour le fils de ma meilleure amie de penser à moi comme ça ? poursuit Gladys malicieusement.
— Moi ça m'excite en tout cas ! ajoute Manon qui masturbe doucement son homme.
— Et que dois-je en conclure ? questionne ma belle.
— Que si l'envie t'en prenait, je serais ravie que tu réalises le fantasme de mon chéri, poursuit Manon.

Gladys me regarde comme j'ai aimé qu'elle me regarde lors de nos précédentes expériences libertines. Je l'observe se pencher vers le sexe tendu de Nathan. Sa main prend doucement la place de celle de Manon et se saisit de cette verge raide. La bouche de ma femme s'approche de plus en plus de cette sucrerie pour adultes. Je libère enfin mon sexe et me touche, alors que le gland de Nathan disparaît délicatement entre les lèvres de Gladys.

Manon caresse les cheveux de ma douce tandis que celle-ci suce goulûment son copain. La pipe est des plus efficaces. Une main de Gladys va de bas en haut et accompagne sa bouche le long de la jeune verge. Les bruits de succion et les gémissements de Nathan s'ajoutent à l'ambiance désormais décomplexée.

Gladys me surprend une fois de plus en cessant sa gâterie pour rouler une pelle à la jeune femme. Puis elle l'invite à prendre sa place.

Alors que Manon devient la suceuse, Gladys retire son pantalon et sa culotte et se retrouve nue. Elle s'approche de moi et m'embrasse tandis que je continue à me caresser. Elle a le goût de Nathan, et ça m'excite.
Puis elle retourne vers le jeune couple et demande à Manon de se lever. La jeune femme cesse donc de sucer Nathan et se retrouve face à ma douce. Gladys lui caresse le visage puis l'embrasse doucement sur la bouche. Elle poursuit en la déshabillant, vêtement après vêtement, en prenant son temps. C'est très érotique et sensuel à voir. Nathan, comme moi, observe avec attention et excitation le spectacle de nos partenaires. Face à Manon nue, je découvre sa poitrine opulente, aux larges aréoles et aux tétons pointés.

Gladys caresse le torse dénudé de sa partenaire en s'attardant sur ses seins, qu'elle pétrit avec bienveillance. Elle les lèche puis en mordille les tétons, déclenchant les gémissements de Manon dont les mains sont dans les cheveux de Gladys, qui capture envieusement chaque mouvement.

A ma connaissance, Gladys n'a jamais évoqué ses désirs saphiques et pourtant elle invite Manon à la rejoindre sur le tapis à longs poils du séjour. Elles s'y allongent puis les caresses reprennent. Gladys caresse les seins et le ventre de Manon avant de descendre vers son sexe impeccablement entretenu. Les doigts de ma douce s'insèrent entre ses lèvres avant de découvrir le petit bouton de Manon. Gladys s'y attardant, Manon ne peut cacher son plaisir. Finalement, après avoir introduit deux doigts dans la grotte humide de Manon, ma femme entreprend de lécher sa partenaire. Ses lèvres puis sa langue entourent délicatement son petit joyau pendant de longues minutes.

Nathan et moi sommes subjugués par cette scène que pour ma part je n'aurais jamais imaginé voir.

C'est après avoir de nouveau inséré deux doigts que ma chérie finit par faire atteindre un très bel orgasme à sa jeune amante.

Après quelques secondes de répit à caresser Manon, Gladys remonte, bisou par bisou, jusqu'à lui déposer un dernier et délicat baiser sur la bouche. Puis elle se relève, pour s’adresser à Nathan :
— Ça te plaît ?
— Oui ! C'est génial !
— Je vous propose quelque chose à tous les deux.
— Oui bien sûr ! Dis-nous !
— Si vous êtes d'accord, je veux que toi mon petit Nathan, tu me baises jusqu'à jouir en moi et que toi Manon, tu viennes me faire jouir en me nettoyant avec ta langue.
— Avec grand plaisir, répond Nathan.
— Moi aussi ! ajoute Manon.
— Alors c'est parti, baise Tata Gladys mon Nathan ! réplique ma femme décidément provocante.

Pendant que Gladys retourne sur le tapis, Nathan me regarde, intimidé mais excité. Je lui souris et l’encourage :
— Tu as compris ce que veut Tata Gladys ? Alors, baise-la ! Et moi je veux que ma femme prenne du plaisir, OK ?
— OK ! Merci Nicolas !

Le jeune homme se dirige le sexe en érection vers ma femme, qui l'attend allongée.
— Caresse-moi d'abord puis lèche-moi ! dit ma douce.

Nathan s'exécute avec dextérité et application, ses doigts puis sa langue parcourent le corps de Gladys qui ronronne de plaisir.

Puis peut-être par réflexe, Nathan se place tête-bêche au-dessus de mon épouse, les genoux en appui de part et d'autre de sa tête, la tige désormais dans la bouche de ma femme qui le suce tout en gémissant pendant que la langue de son amant s'active sur son bouton. Le jeune homme n'hésite plus à pénétrer ma femme de ses doigts. Par coquinerie certainement, Nathan se permet même de les aventurer dans le cul de Gladys, déclenchant chez elle frissons et gémissements.

Quant à moi, je surprends Manon qui se masturbe énergiquement. Trois doigts honorent son vagin pendant qu'elle observe son chéri et ma femme. Moi-même je suis au bord de l'explosion.
— Baise-moi, maintenant ! réclame Gladys.

Nathan se repositionne afin de pouvoir pénétrer ma chérie. Que ce soit Luigi ou Livio, aucun des deux n'a un sexe aussi gros et long. Gladys va faire une nouvelle découverte, et moi par la même occasion.

Je me délecte du spectacle de la disparition centimètre par centimètre de cette barre de chair au fond de ma femme. Très vite on entend les gémissements de Gladys suivis de ceux de Nathan.

Le sexe de ma femme est dilaté par cette pénétration exceptionnelle. Je suis aux anges. Alors que les va-et-vient s'accélèrent et que Gladys feule, Nathan accède au plaisir dans un gémissement hors norme. Je vois le foutre s'écouler de l'écrin humide de ma douce, alors que Nathan continue malgré tout ses allers-retours. Une quantité incroyable de sperme se déverse de sa vulve.

Nathan attend patiemment que Manon arrive avant de se retirer. Il dépose un baiser goulu sur la bouche de Gladys et lui dit, par des mots qui ne lui sont pas courants :
— Merci Tata Gladys !
— De rien mon grand, tout le plaisir était pour moi !

Manon prend le relais et commence un cunnilingus gourmand et crémeux. Elle prend visiblement plaisir à avaler tout le fruit du plaisir de son chéri tout en nettoyant efficacement le sexe de Gladys. Manon, avec sa bouche experte, lèche, suce et aspire ses petites et ses grandes lèvres ainsi que son clitoris. Sa langue pénètre sans retenue le vagin de ma femme pour aller y chercher toute la crème de Nathan. Manon insère enfin jusqu’à trois doigts dans le sexe de Gladys et la vitesse à laquelle elle s'active, associée au mouvement de sa langue sur son bouton, permet à ma chérie d'atteindre le Nirvana, un vrai orgasme intense comme j'aime la voir atteindre.

Ma femme me regarde une fois de plus amoureusement après la retombée de la tension sexuelle. Très gentiment et avec la plus grande attention qu'une épouse peut donner à son mari, Gladys vient me sucer. Il me faut très peu de temps pour atteindre à mon tour le septième ciel. Ma chérie avale tout et me garde dans sa bouche jusqu'à ce que mon sexe perde sa rigidité.

La nuit est déjà entamée quand le jeune couple nous quitte. Manon m'embrasse tendrement, tout comme Nathan le fait avec Gladys.

Il n'y a pas de gêne, puisque nous assumons, mais nous sensibilisons Nathan et Manon sur l'aspect exceptionnel de cette soirée. Et nous leur précisons que nous comptons sur leur discrétion. Sauront-ils tenir leur langue ?... Gaëlle le saura-t-elle un jour ? Nous n'osons pas l'imaginer, mais nous savons que les prochains moments partagés avec elle seront spéciaux.

Depuis, nous avons croisé régulièrement Nathan et Manon, échangeant des sourires révélateurs les premiers temps, puis progressivement plus rien. À première vue – mais seul l'avenir pourra le dire – Gladys est redevenue uniquement la meilleure amie de sa maman.

De notre côté, c'est une nouvelle expérience pleine de saveurs et d'interdits que nous venons de vivre.

Cela fait deux fois que Gladys prend plaisir à baiser avec des jeunes hommes de l'âge de nos fils et elle ne l'explique pas.

Cette fois-ci nous ajoutons à notre expérience le fait d'associer une connaissance très proche, et c'est troublant.

J'ai beau interroger Gladys sur le sujet, elle ne trouve aucune explication rationnelle.

Comme à son habitude, Gladys raconte tout à Francesca qui lui répond malicieusement :
— Vivement les sports d'hiver !

Désormais, je sais que Gladys est capable de tout et je me demande ce que la prochaine expérience nous réserve. En tout cas, pour notre plus grand plaisir, ''interdit'', ''tabou'' et ''qu'en-dira-t-on'' sont des mots qui ne font plus partie du vocabulaire sexuel de ma tendre épouse.

À suivre…
#2917482
La suite des aventures de Gladys et Nicolas…

Gaelle – la meilleure amie de Gladys – est exceptionnellement la narratrice de cette cinquième partie

***

Je suis tellement heureuse d'avoir revu mon amie d'enfance Gladys pour les 18 ans de mon fils, Nathan. Cela faisait trop longtemps que nous ne nous étions pas vues, et nous nous sommes promis de ne plus laisser le temps nous séparer, de profiter de chaque occasion pour être ensemble.

Je connais Gladys depuis plus de quarante ans. Nous nous sommes rencontrées aux cours de danse alors que j'avais six ans. Nous ne nous sommes jamais quittées malgré nos chemins différents et notamment nos mariages respectifs. J'adore son mari Nicolas, et leurs enfants qui représentent une seconde famille pour moi.
Gladys et moi sommes pour ainsi dire des sœurs si on retire l'aspect génétique. Tout comme elle, je vais avoir cinquante ans l'année prochaine. Nous nous ressemblons beaucoup bien que je sois un peu plus ronde… Sans me lancer des fleurs, tout comme mon amie, on me qualifie de belle femme malgré mon âge.
Je viens de l'avouer à mon amie : Mes vingt-cinq ans de mariage avec Christophe ne sont pas au beau fixe. Je profite donc des anniversaires, des mariages et de toutes sortes de prétextes pour retrouver mes amis et un peu de légèreté. Lorsque Gladys m'a proposé de les accompagner au ski et de rencontrer leurs amis italiens, je n'ai pas hésité. C'était l'occasion idéale de discuter dans un cadre propice à la détente… et de m'autoriser enfin à penser un peu à moi. Christophe ne sera pas là, et Nathan restera avec sa copine.

Deux semaines plus tard, nous chargeons la voiture de Nicolas, et nous voici partis pour l'Alpe d'Huez. Nous profitons des plus de 600 kilomètres de parcours pour discuter de tout et notamment de ma situation avec Christophe.
Je leur explique que je l'aime encore mais que la flamme est moins brillante. Je le soupçonne même d'avoir eu une aventure. Gladys et Nicolas, me rassurent gentiment et me disent qu'eux-mêmes ont eu leur creux mais qu'avec beaucoup de communication et d'écoute, tout est reparti comme au premier jour. Je ne comprends pas en revanche un sous-entendu lié à des amis italiens et à leurs séjours dans le Sud de la France et à Rome. Gladys ne m'avait jamais parlé d'eux mais je crois comprendre qu'ils sont très proches. Une part de moi sent que quelque chose me sera bientôt révélé, et cette anticipation me rend étrangement impatiente… Enfin bref, le parcours se déroule sans encombre, et au bout de plus de 6 heures de route, nous voici arrivés à bon port.

Les deux couples ont loué un magnifique chalet. De l'extérieur, il semble tout droit sorti d'une carte postale : le toit immaculé de neige, la cheminée fumante et la forêt environnante promettent un séjour des plus agréables. À l'intérieur, le bois prédomine, mêlé à des touches modernes, alliant tradition et confort. C'est somptueux. En plus des quatre chambres et du vaste séjour, un jacuzzi trône dans un coin, invitant à la détente.
Une fois les présentations faites, Livio et Francesca nous accueillent chaleureusement. Les étreintes et les bises sont sincères et réconfortantes. Je perçois dans leurs regards des étincelles, des sous-entendus subtils que je ne peux encore qualifier, mais qui éveillent une curiosité inattendue. Même sans connaître les détails, je comprends immédiatement pourquoi Gladys et Nicolas les apprécient autant.

L'air froid de l'extérieur contraste avec la chaleur qui émane du chalet, et l'odeur du bois qui brûle embaume agréablement l'air. Chaque geste, chaque sourire semble chargé de quelque chose de plus, et je sens en moi une impatience, un mélange de curiosité et de désir pour ce séjour que j'ai tant attendu. Les premiers moments répondent en tout point à ce pourquoi j'ai décidé de me joindre à eux.

Nous finissons de nous installer dans nos chambres lorsque des éclats de rire provenant du séjour m'attirent. Je rejoins tout le monde et découvre une nouvelle présence : Une surprise pour Gladys et Nicolas. Le sourire radieux de mon amie ne laisse aucun doute : Elle est ravie.
La personne en question est Luigi. Je l'ignorais, mais il a séjourné cet automne chez Gladys et Nicolas. Francesca se charge des présentations. Luigi est aussi chaleureux que le couple d'Italiens, et je suis immédiatement séduite par lui. Si ma première impression est excellente, une question me taraude : Pourquoi mon amie ne m'avait-elle jamais parlé de son passage ?

Tout le monde est désormais confortablement installé. Nicolas, qui connaît très bien la station, propose d'aller faire un tour et de récupérer notre matériel de location. Sur le chemin, Francesca et Nicolas discutent, suivis de près par Livio et Luigi. Gladys m'accompagne, et nous prenons peu à peu du retard sur le groupe, sûrement volontaire de sa part pour se confier à moi.
Très vite, j'en ai la confirmation. Gladys se colle à moi, me tenant fraternellement par le bras, et m'interroge sur mon ressenti depuis notre arrivée. Je sens immédiatement que sa question n'est pas innocente, qu'elle porte un sous-entendu que je devine sans qu'elle ait besoin de le formuler.


- Livio et Francesca sont très avenants et charmants, dis-je enfin, et Luigi… il est à croquer.


Gladys sourit, pose doucement sa tête sur mon épaule et m'invite à observer Francesca et Nicolas. Ils marchent côte à côte, mais en y regardant de plus près, Francesca se montre très tactile avec Nicolas, et lui répond avec une complicité évidente.


- Ils sont très proches, non ?
- Il faut que je te dise quelque chose, ma chérie… Répond Gladys alors que sa voix douce et mystérieuse me frôle comme une caresse.
- Vas-y ma puce ! Lui réponds-je un brin inquiète de ce je vais pouvoir apprendre.


Alors, Gladys me confie peu à peu la dynamique qui s'est installée dans son couple depuis leur séjour dans le Sud de la France. Elle m'explique le vieux fantasme candauliste de Nicolas, dont je n'avais même jamais entendu parler, et comment ils ont finalement osé le réaliser. Elle décrit avec sincérité le plaisir intense qu'elle a éprouvé, notamment lors de certaines expériences avec de très jeunes hommes comme Luigi, toujours avec la complicité et l'enthousiasme de Nicolas.
Elle insiste sur le fait que ces moments ne sont qu'occasionnels, mais qu'ils ont renforcé leur complicité et leur épanouissement conjugal. J'analyse alors tous les sous-entendus et silences depuis notre départ ce matin, et je comprends mieux leurs attitudes et regards échangés. Pourtant, je reste éberluée : ma copine d'enfance, si discrète et réservée, se livre à ce type de pratiques… C'est tellement inattendu, et fascinant.


- Et toi, qu'en penses‑tu ? me demande Gladys, ses yeux brillants d'un mélange de malice et de curiosité.
- Je ne sais pas quoi dire, je suis sur le cul !
- C'est pas grave ! Saches juste que Nicolas et moi on est heureux comme ça. Ajoute Gladys
- Comment Nicolas peut-il prendre du plaisir à te voir baiser avec d'autres hommes ?
- Je ne sais pas mais c'est le cas. Et comme il aime à me le répéter, c'est avant tout de voir mon plaisir qui le fait triper.
- Waouh, je ne sais pas si je serais capable de ça avec Christophe. Dis-je.
- Le fait de faire ça avec Nico est essentiel. Je ne le ferai jamais seule dans mon coin. En revanche, c'est parceque tout va bien entre nous que cela fonctionne si fort.
- Et ce week-end ?
- C'est certain que nous l'envisagions, je ne te le cache pas. Mais comme tu es là, je ne voudrais pas te mettre mal à l'aise et donc je ne sais pas. Me répond Gladys.
- Je ne voudrais pas tout gâcher. Lui réponds-je avec un air curieusement espiègle.
- T'inquiète pas ! Mais es-tu curieuse ? M'interroge-t-elle ?
- Ça dépend pour quoi ?
- Dois-je comprendre que tu pourrais l'être ?
- Faut voir…


Cette dernière phrase est sortie de ma bouche peut être un peu trop vite. Mais effectivement je me rends compte que je le suis. Je m'accroche encore plus fortement au bras de mon amie et nous rejoignons Nicolas et les Italiens.

Après avoir loué le matériel, acheté nos forfaits et fait quelques courses pour la soirée, nous sommes bien contents de profiter de l'ambiance cocooning du chalet. Les uns sur le canapé, les autres sur le tapis, nous apprécions tous de boire bière, Prosecco ou whisky devant le joli feu de cheminée.
Les discussions sont diverses et variées, et je comprends encore mieux pourquoi Gladys et Nicolas apprécient autant Livio et Francesca. Luigi n'en est pas moins sympa et c'est vrai qu'il est particulièrement séduisant. Je me surprends même à envier Gladys d'avoir pu profiter des plaisirs de la chair avec ce bel étalon. Mon regard me trahit certainement car elle me taquine en me demandant si Luigi est à mon goût. Je rougis immédiatement.

Plus tard dans la soirée, après avoir dégusté une excellente raclette, nous voilà de retour devant la cheminée, toujours un verre à la main à profiter des crépitements du bois.
L'alcool y contribuant, l'ambiance est un peu plus libérée. Gladys est heureuse et peut-être un peu pompette. Elle propose de trinquer à ce séjour et… au plaisir d'avoir sa meilleure amie à ses côtés. Puis elle rajoute, qu'elle espère que je saurais profiter sans en dire plus.
A nouveau je rougis, en partie émue par ma copine. Mais certainement pompette également, lève à mon tour mon verre, puis répond à Gladys, que si bien entourée, il n'y a aucun doute à avoir.
Le regard échangé avec Gladys vaut mille mots. C'est une forme d'accord tacite. Je me sens bien, en confiance, parfaitement à ma place. Ma tête et mon corps sont en accord ; tout semble réuni pour vivre un moment suspendu. Je lui envoie un baiser à distance, elle me répond d'un sourire fraternel qui m'apaise définitivement.
Je me rassois, mais perds un peu l'équilibre et me retrouve à moitié assise sur Luigi. Tout le monde éclate de rire. Ma maladresse, pourtant anodine, change quelque chose dans l'atmosphère : Une légèreté nouvelle, presque électrique, s'installe. Je sens confusément que la soirée vient de basculer.
Francesca se lève et remplit à nouveau les verres. Elle se penche ensuite vers Nicolas, lui glisse quelques mots à l'oreille ; il sourit et acquiesce. La belle Italienne s'avance alors vers Gladys, lui souffle à son tour quelque chose de discret. Puis elle rejoint Livio, lui adresse le même murmure complice.
Tous trois échangent un regard entendu avant que Francesca ne revienne vers moi. Son sourire est lumineux, sûre d'elle, elle est presque désarmante. Elle s'installe à mes côtés, tout près, et elle se penche cette fois-ci vers moi et me glisse à l'oreille :


- Regarde ta copine, bella mia !


Je vois alors Gladys se diriger vers Livio qui est sur le tapis devant la cheminée. Elle me lance un petit regard au passage. Puis Francesca ajoute :


- Ce que tu vas voir… è il nostro mondo. Tu peux en faire partie, se lo vuoi.


Je reste immobile et observe ma copine d'enfance, la femme de Nicolas, s'assoir à côté de Livio. La main du bel italien se saisit de la nuque de Gladys, puis il l'embrasse. Je vois leurs langues jouer ensemble. C'est incroyable.
Pendant ce temps, Francesca me caresse doucement le dos comme si elle voulait m'apaiser.
Les mains de Livio parcourent les cheveux de Gladys, quand celles de mon amie sont déjà sous le t-shirt de son futur amant. Livio se redresse pour se retrouver debout devant sa partenaire agenouillée. Gladys regarde Nicolas, puis me regarde avec des yeux remplis de joie. Puis elle recentre toute son attention sur son amant transalpin. Ils échangent leurs regards alors que Gladys défait délicatement la ceinture puis les boutons de Livio. Et enfin, elle parvient à libérer le sexe imposant de sa prison de textile.

Je suis littéralement hypnotisée par la scène. Ce que je vois m'émeut autant que ça m'excite. Il y a dans cette vision quelque chose de profondément transgressif : Observer mon amie s'abandonner à un autre homme sous le regard bienveillant de son mari, et en même temps, quelque chose de bouleversant, presque sacré, dans cette forme de confiance et de partage.
Je suis d'autant plus troublée par cette complicité absolue entre les deux couples. Mais quelque part je les comprends, et les envie presque.
Quant à moi, j'ai eu beaucoup d'amants avant Christophe, mais il y a longtemps. Je redécouvre presque la vision d'un sexe masculin et celui-ci est particulièrement bien proportionné. Je le vois maintenant disparaitre dans la bouche de ma meilleure amie qui prend visiblement plaisir à sucer cette tige. Les gémissements de Livio sont désormais très audibles. Je sens la chaleur du feu, celle de Francesca, celle qui monte en moi sans que je la comprenne. Les soupirs, les murmures autour de moi se fondent en une seule onde, vibrante et enveloppante. Je découvre une facette de mon amie, et peut-être aussi de moi-même.
Je suis curieuse de tout et observe également Nicolas. Bien qu'encore habillé, il se touche à travers son pantalon. Comme me l'avait décrit Gladys, il prend plaisir à la voir avec un autre homme. À mes côtés, Luigi n'a pas attendu et a sorti son sexe. Francesca, qui n'a rien raté de la situation, prend ma main, la pose sur la verge de mon voisin et me dit :


- Touche-le… non esitare, bella mia


Machinalement, je me laisse faire et tout en regardant ma copine sucer son amant, je branle un bel et jeune italien. C'est la première fois depuis que je suis mariée que je touche un sexe d'homme qui n'est pas celui de mon mari. Ça devrait me faire culpabiliser, mais c'est tout le contraire : J'y mets beaucoup d'énergie et j'y prends plaisir d'autant que les gémissements de Luigi s'ajoutent à ceux de Livio. Tout semble se dérouler en dehors du temps, comme si la pièce entière baignait dans une lumière plus dense, plus chaude. Mes gestes ne m'appartiennent plus vraiment. Je ne réfléchis pas, je ressens. Une étrange sérénité m'envahit, mêlée à un feu qui couve au fond de moi.
Francesca continue de me frôler, de m'accompagner. Sa présence est à la fois rassurante et déstabilisante, comme si elle savait exactement ce que je traverse. À cet instant, je me sens à la fois observatrice et actrice, à la frontière entre deux mondes : Celui que je connais, sage et mesuré, et celui qui s'ouvre devant moi : Libre, incandescent, affranchi de toute retenue.

Gladys cesse soudainement sa gâterie pour se redresser, et se dévêtir.
Je vois ma copine intégralement nue et la découvre sous un autre angle : Une femme d'une beauté que je ne percevais pas comme ça. Elle est si jolie, sexuelle et tellement désirable. Elle se révèle dans toute sa lumière, je la redécouvre. Ce n'est plus simplement mon amie d'enfance : C'est une femme accomplie, sûre d'elle, belle de cette beauté qu'offre la plénitude du désir assumé.
Je suis bouleversée. Elle rayonne d'une vérité que je n'avais jamais osé regarder en face. Et dans ce rayonnement, quelque chose s'éveille en moi. Je réalise que je ne la juge pas… Je l'admire. Elle ose aller là où je n'ai fait que rêver. Elle vit sans craindre le regard des autres. Et plus je la contemple, plus je sens que quelque chose en moi bascule doucement. Comme si, en la regardant, je me voyais pour la première fois.

Gladys aide ensuite Livio à se dévêtir entièrement, puis s'allonge sur le dos. Son amant la suite en se glissant immédiatement entre ses cuisses. Puis avec une douceur infinie, entame des caresses sur ses seins, puis son ventre et enfin son sexe. J'aperçois la respiration de mon amie s'accélérer avec des mouvement rapides de son ventre. Je me rends compte que ma respiration est complétement calquée sur celle de Gladys, et que je branle Luigi au même rythme.
Le gémissement profond de mon amie trahit le contact des doigts de son amant sur son bouton et certainement sur son puit d'amour. Je me repositionne sur le canapé afin de mieux voir. Effectivement, deux doigts de Livio sont en elle. Ils coulissent facilement alors que le visage de Livio s'est approché du sexe de Gladys. Je comprends à son sursaut que la langue de son amant a entamé de doux mouvements sur son clitoris.

Francesca me susurre alors à l'oreille :


- N'est-ce pas magnifique ? Guarda-la, senti come vive il piacere…


Je ne peux qu'acquiescer d'un mouvement de tête sans cesser de regarder le couple devant moi. Puis elle s'approche de Luigi pour lui murmurer quelque chose en italien sans que je comprenne.

Luigi me chuchote alors en tenant ma nuque :


- Allonge-toi, Gaëlle… sì, così, mia bella…


Je me laisse faire naturellement par ce jeune homme, à peine plus âgé que mon fils, et que je ne connaissais pas encore quelques heures plus tôt. Paradoxalement, je me sens en confiance absolue.
Désormais allongée, je le sens remonter lentement ses caresses le long de mes jambes : Des mollets aux creux des genoux, puis vers mes cuisses qu'il effleure d'une douceur exquise. Ses doigts s'attardent sur le tissu de ma culotte, à peine une caresse… un frôlement qui me fait sursauter, mais que j'accueille sans résistance. Je suis déjà tremblante, terriblement réceptive. Luigi prolonge ses caresses sans feindre les effleurements sur ma vulve. Puis ses paumes se glissent sous mes fesses. Dans un réflexe d'abandon, je les soulève légèrement, lui offrant la permission muette d'ôter le dernier rempart de tissu.
Luigi m'abandonne le temps de se mettre entièrement nu, puis il reprend ses initiatives avec une intensité croissante. Il est de plus en plus entreprenant… Et pour mon plus grand plaisir, ses doigts explorent mon intimité avec une patience experte, effleurant chaque zone avant que, doucement, ils ne pénètrent en moi.
Je lâche un râle de plaisir quand je croise le regard de Gladys qui me souris en constatant que je me laisse aller. De manière si sincère, elle a l'air de me dire « Fais toi plaisir ma chérie ».
Luigi continue de glisser ses doigts en moi, ses lèvres se posent sur mon sexe, et je ferme les yeux pour mieux savourer chaque sensation. Je perçois le mouvement de Francesca qui s'éloigne de moi. Quand je les rouvre quelques secondes plus tard, l'ambiance est totalement débridée. Les sons ne sont plus que plaisir et abandon.
Francesca est désormais agenouillée nue entre les jambes de Nicolas. Elle lui prodigue une pipe goulue que seule une femme d'expérience peut offrir. Nicolas pour sa part, prolonge son plaisir de voir sa femme avec Livio. Gladys est d'ailleurs au bord de l'orgasme alors que son amant lui offre une levrette sans retenue.
Entreprenant, Luigi me relève pour me déshabiller. Je suis maintenant nue, et les regards sur moi sont bienveillants, presque rassurants : Je sens que je reste désirable. Je suis agenouillée alors que Luigi est assis et me fait face. Derrière moi, j'entends que Livio n'a plus aucune retenue quand il prend Gladys. Elle gémit bruyamment et des « Encore… Encore… Plus fort, plus fort… Ouiiiiii je jouis » retentissent au moment même ou ma bouche se pose sur le gland de Luigi.
Totalement décomplexée, j'embouche intégralement l'imposante tige italienne. J'entends Luigi gémir, quand je sens une caresse dans mon dos. C'est Gladys, qui me rejoint après avoir joui. Elle dépose plein de petits bisous le long de mon dos avant d'arriver dans mon cou puis sur ma joue.
Je suis toujours concentrée sur ce que je fais mais j'entends ma chérie me susurrer :


- Tu es magnifique ma belle ! Fais-toi plaisir !


Je cesse alors de sucer Luigi et souris à Gladys. Peut-être par réflexe, je guide le sexe du bel italien vers elle, qui ne se prive pas de le gober à son tour. Le plaisir de Luigi n'est pas feint.
Pendant quelques minutes, nous alternons et nous délectons tour à tour de cette jolie bite.
Alors qu'elle me rend l'exclusivité de cette gourmandise italienne, Gladys se penche à mon oreille et chuchote avec ce mélange de malice et de complicité que je lui connais si bien :


- Sucer une belle et jeune bite, c'est quelque chose, non ?
- Mmmh !!! réponds-je la bouche pleine et le cœur battant.
- Ça me rappelle certains souvenirs récents avec un autre jeune homme… Ajoute-t-elle malicieusement.


Je rougis, un mélange d'interrogation et d'excitation m'envahit. Le plaisir partagé et la complicité que nous vivons m'emplissent d'une énergie nouvelle, me laissant consciente que ce séjour me réserve encore bien des surprises.
Je sens soudain, un nouveau contact sur mes reins. Livio se tient derrière moi quand Gladys me glisse à l'oreille :


- Redresse-toi un tout petit peu ma belle, et laisse-toi aller !


Livio délicatement et avec une infinie douceur me pénètre centimètre par centimètre. Je ne cesse de donner du plaisir à Luigi quand moi-même je découvre cette nouvelle sensation d'être prise en levrette tout en suçant une belle queue. Gladys est toujours à mes côtés pour m'encourager et me caresser. Le plaisir d'être prise est trop intense et je ne parviens plus à me concentrer sur autre chose. Gladys me suggère alors une nouvelle expérience :


- Que dirais-tu que nos beaux italiens te donnent du plaisir simultanément ?
- C'est-à-dire ? lui réponds-je
- Assieds-toi sur Luigi et Livio va venir derrière toi… Tu verras c'est exquis.
- Oula !!!
- N'aies pas peur, fais-moi confiance ! précise-t-elle
- Tu es sûre ?
- Si je ne l'étais pas, je ne te le proposerais pas.


Lui faisant confiance, je finis pas m'installer à genoux sur Luigi de telle sorte qu'il puisse coulisser confortablement en moi. Le plaisir à le sentir en moi est exceptionnel. Quelques va-et-vient me font gémir. Alors que je n'entends plus Gladys, et que je la cherche du regard, je m'aperçois que Francesca et Nicolas baisent dans la même position que nous. Leurs visages sont déformés par le plaisir mais ils nous regardent avec cette curiosité bienveillante.
Gladys revient rapidement, et je comprends très vite pourquoi elle était partie. Elle équipée d'un petit flacon de lubrifiant.


- Me permets-tu ? Me demande-t-elle timidement
- Oui ma chérie ! Lui réponds-je


Délicatement, mon amie applique du gel sur mon petit trou, puis le caresse avant d'insérer très doucement un doigt. C'est troublant d'avoir ce contact avec mon amie d'enfance, et pourtant tout semble naturel, presque évident. Une fois détendue, Gladys ajoute un second doigt avec la même délicatesse, prenant soin de ne pas me faire mal.


- Ça va ma belle ? Me demande-t-elle.
- Oui ça va !


C'est vrai que le sentiment n'est pas désagréable. D'autant plus que Luigi continue de me donner de délicieuses sensations. J'ai déjà pratiqué la sodomie avec Christophe mais il n'avait pas forcément pris le soin de bien me préparer. Je n'y avais donc pas pris plus de plaisir que ça.


- Es-tu prête ?
- Je pense, oui !


Gladys ressort délicatement ses deux doigts et laisse la place à Livio. Je sens son gland sur mon cul alors que Luigi a cessé tout mouvement de son côté. Petit à petit, je sens la tige de l'aîné des Italiens pénétrer mon rectum. Il n'y a pas de douleur, mais pas encore de plaisir. Très à l'écoute également, Livio me demande si ça va. Lui répondant positivement, il entame quelques doux va-et-vient. Puis c'est Luigi qui l'accompagne. Assez rapidement, je découvre de nouvelles sensations positives que je communique à mes deux amants. Leurs mouvements respectifs s'intensifient et j'avoue que j'y prend désormais énormément de plaisir. D'ailleurs, c'est moi qui les invite à y aller plus fort. Ils me baisent de plus en plus intensément, et je hurle maintenant. Le plaisir devient presque insoutenable, et je hurle mon plaisir alors que Luigi et Livio me donnent tout. Au moment où je sens que je vais jouir, Luigi me précède mais il maintient ses mouvements.
Livio quant à lui s'accroche à mes seins pour amplifier sa pénétration anale qui est totale. C'est simultanément que nous jouissons Livio et moi. Je suis abasourdie par l'intensité de mon orgasme. Je viens de découvrir une pratique impensable de base mais merveilleuse une fois vécue. Je suis souillée et ravie de sentir le fruit du plaisir de mes deux amants se déverser. C'est sale mais j'aime cet instant d'après.
Gladys me rejoint et me câline tout en me caressant la joue.
Dans cet instant douceur, nous assistons à l'orgasme de Nicolas. Je suis alors surprise de voir Nicolas se précipiter vers l'intimité de sa maitresse pour la nettoyer avec sa langue. J'en viens même à envier Francesca qui finit par atteindre le nirvana au bout de quelques minutes.

Il me faut quelques longues minutes avant de reprendre mes esprits. Nous sommes tous nus, et pourtant c'est très naturellement que nous discutons près du feu. L'ambiance est désormais posée et sereine. Je suis à ma place et tellement heureuse d'avoir accompagné Nicolas et Gladys. Je ne sais pas de quoi l'avenir avec Christophe sera fait, mais je me promets de ne jamais me priver de nouvelles aventures libertines avec mes amis.
Je profite de chaque journée du séjour entre le ski, les repas et les délicieux moments intimes avec mes amis français et italiens.

Puis au cours du dernier repas, je demande à Gladys :


- Au fait ma chérie, qui est le charmant jeune homme dont tu m'as parlé l'autre jour ?


Nicolas et Gladys se mettent à rire.


- Tu le connais si bien. Me répond-elle avec une malice incroyable
- Ah ??
- Je te le dirai promis… Mais pas maintenant.


Tellement impatiente de rencontrer ce jeune homme…

À suivre :x
Rik5964 a liké

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